TEUBCRADE
Depuis la création de ce blog voilà maintenant presque 4 ans, je reçois régulièrement des témoignages de mecs qui me disent que ce blog leur a permis de constater qu'ils n'étaient pas les seuls à kiffer les odeurs de mec, et que grâce à çà, ils ont d'ailleurs pu commencer à assumer leurs trips et à passer à l'acte. J'avoue que ça me fait super plaisir car c'était un peu un de mes buts quand j'ai créé ce blog. C'est clair que c'est pas commun de kiffer reniffler les odeurs de transpi ou récurer un bon chibre couvert de fromton, mais après tout c'est un trip comme un autre. Et puis ça ne fait de mal à personne ! Il semblerait même que de plus en plus de bi et d'hétéros, sans doute blasés par la monotonie de leur vie sexuelle, se laissent tenter par des plans sniffage... Et j'avoue que ceux que j'ai pu initier y ont d'ailleurs vite pris goût ! ;-)
Je vous propose donc aujourd'hui le témoignage et les pics perso envoyés par ZOBODOR, fidèle du blog depuis des années. Je pense que beaucoup d'entre vous se reconnaîtront dans son témoignage et dans son évolution par rapport aux trips crades au fil du temps. Merci à toi mec pour ce récit et les superbes pics de ton zob bien fumant. Et n'hésitez pas à lui laisser un p'tit commentaire sous l'article, je suis certain que ça lui fera grave plaisir.
Salut Fromton Boy !
Enfin je trouve le temps de t'écrire pour te dire à quel point je kiff ton blog !
Moi dès l'adolescence, j'étais fasciné par l'odeur de ma bite, mais j'en avais un peu honte... Il faut dire que je suis un bon producteur d'odeurs de queue. Pourtant, ça ne m'empêchait pas au
collège, dans le vestiaire de gym, de me gonfler les narines à bloc des odeurs de mes camarades de classe. Prépuces, couilles, trous du cul, pets, panards... Je kiffais en secret.
A la maison aussi, je ne pouvais pas m'empêcher des fois d'aller dans le panier de linge sale récupérer des slips sales de mon père pour
les sniffer pendant la nuit. Et puis bien sûr, mes premières branles, je les faisais
avec mes calbuts crades sous le nez !
Après, en devenant adulte, j'ai un peu refoulé tout çà. Quand j'avais un mec, je passais des heures à me laver la queue. Pourtant, une
heure après déjà, l'odeur de poiscaille était revenue, avec une bonne pellicule de mouille sur mon gland. S'il prenait l'envie à mon mec du moment de me sucer sans me prévenir, j'étais super
mal à l'aise... Pourtant, il n'y a jamais eu de problème et je sais pourquoi ! En fait, ces petits bâtards rafollaient secrètement de l'odeur de mon zobard, comme beaucoup de pédés je
crois. De toute façon, seuls des pédés peuvent être assez tordus pour aimer l'odeur d'une bite au from ! J'en suis et j'en suis fier !
Aujourd'hui, j'ai 30 ans et je suis redevenu nature. Bien négligé du trou et d'la bite ! Je me fais des petits plans crades et j'assure dans les 2
rôles. Parfois, je suis la bonne décrasseuse au service du mec : je pose ma bonne langue de pute sur des gros glands baveux et je nettoie à fond tous les interstices du bonhomme. Mais
j'aime bien aussi me faire décrasser par une petite lope dépravée.
Je te raconterai ça plus tard. En tous cas, c'est pas toujours facile de trouver
quelqu'un avec les mêmes trips, alors les plans solo, ça soulage. Dès que je rentre du jogging, plusieurs fois par semaine, je me pose sur le canapé, me fous à poil et sors mon bitos.
En général, les mouches tombent de suite ! Un bon fumet de queue se dégage, mélange de jus de ma branle du matin, de pisse, de from' et de sueur des couilles. C'est trop kiffant et je
bande comme un turc ! Je me passe bien le doigt autour du prep' et je récupère la mouille, je mélange à l'odeur de mon trou et ça me fait des bonnes sucettes parfum bite/fion !
Je sniffe, je suce et je me gaze avec mon boxer fumant et cartonné que j'ai pas changé depuis 6 jours. Si je jouis pas trop vite, je vais dans la
douche... Pas pour me laver bien sûr, mais pour me pisser dessus ! En géneral, je remets mon tee-shirt pour qu'il soit bien trempé de pisse pendant que je continue la branle. Et puis je
tète tout ce qui passe : le chaussette de sport, le tee-shirt pisseux, le boxer foutreux... Je profite un max de ces bonnes odeurs de mec jusqu'au larguage de jus !!! Voilà ! Il m'arrive même
de donner des petits coups de langue ensuite dans ce bon foutre crémeux en me disant que plus d'une truie dépravée se régalerait bien avec ce jus bien chaud.
Bon en attendant j'espère que tu kifferas
ces quelques photos de ma branle de ce jour après mon jogging. Ciao.
Zobodor
putain quelle belle bite. je suis pas trop accro aux mecs qui se razent les pubes, mais vraiment j'aime bien cette queue.
bien sur tout le monde aime les queues pas lavees. Ils veulent juste pas l'admettre. Tu leur fous du fromage sous le nez et ils sont au paradis
plus ça pue mieux c'est
Moi jais 70 an et jais toujours tripésur les queue qui sente le mal et la senteur de ppisse que je boit plus de30 an et malgré mon ages je fais encore du fromaton sur le glan mais pour moi aussi c,étais difisile de trouvé mec qui tripe la desus vive les queue crade
salut à tous!
si vous voulez vous faire decrasser...hesitez pas ma langue est à dispo!
Merci pour ton super récit et les photos, sniffer ton boxer au bout du 6eme jour ca doit etre top.
Salut suis ok pour venir te décrasser mon msn : samtroll@hotmail.fr
Merci Zobodor pour ce moment de partage sans tabou.
Je suis fan des memes trips, rien de meilleur qu'un retour de jogging transpirant pour se lancer ds une branle odorante mémorable.
Biz sur ton calbut cremeux
super récit, moi aussi j'ai kiffé tres jeune les odeurs de bite, je me souviens mon pote de classe sentait la bite quand je lui passais la main sous le bureau et jaimais son odeurs .... à l'etude, on se donnait rendez vous aux chiottes pour se branler, mais putain, qu'est ce que jaimais son odeur tres particuliere..... apres comme toi, je me suis lavé, mais grace à teubcrade je deviens de plus en plus négligé, et j'aime ca, des que je baisse le futal ca refoule.... et en plan exterieur la nuit je kiff trop qd on me suce et on me decrasse, sans faire de remarques déplaisantes sur mes odeurs de male en rut,