TEUBCRADE
Salut les queutards !
Me voilà de retour après un long silence de près de 3 semaines... Désolé de vous avoir laissé si longtemps sans mise à jour du blog mais bon le moral n'était pas au plus haut ces derniers temps, et j'avoue que je n'étais plus trop motivé. J'en profite d'ailleurs pour remercier les potes qui ont pris de mes nouvelles durant cette absence prolongée (Actifcrad, Chris et Nico) avec une spéciale dédicace à Richard qui a su me motiver grave et me convaincre de vous proposer encore plein de bons articles pour vous faire cracher un max de yop ! Et en matière de yop, il s'y connaît ! ;-)
Donc pour relancer le blog, je vous propose de découvrir le nouveau témoignage hyper och de Xav (alias Hardhairy). Souvenez-vous les mecs, il vous avait déjà fait kiffé il y a quelques mois en vous racontant comment il s'était fait larvé par trois potes hétéros devant un match de rugby. Toujours aussi sportif, il s'essaye aujourd'hui à l'aviron, avec un couple visiblement bien cho et bien macho !!! Franchement, préparez-vous à cracher un max de jus en lisant cette histoire... Perso, j'en ai encore le calbut tout gluant ! lol
Depuis deux semaines, j'avais préparé un plan avec un couple de mecs fans d'aviron. Je les avais croisé au club alors que je venais prendre des renseignements sur l'initiation à ce sport. En visitant les lieux, j'étais très surpris de l'état des vestiaires. Le ménage n'était pas fait souvent, les casiers ouverts avec les fringues d'aviron entassés, les skets parfois pourrraves, et les douches puaient de la crasse entassée depuis des mois.

— Si tu veux, mon pote et moi on peut t'apprendre l'aviron, et plein d'autres choses...
J'ai 38 ans, hyper poilu, et j'ai bien compris que ces deux mecs encore jeunes (25 et 32 ans) voulaient se payer une bonne partie de cul.
On s'est échangé nos tel et bingo, les deux lascards avaient les mêmes trips que moi : les odeurs de bite, de raie, d'aisselles, de sueur, de panards... En plus, ils cherchaient un passif à crader dans les vestiaires : tout ce que j'aime. J'ai gardé mon slob 10 jours, j'ai juté une dizaine de fois dedans, j'ai fait 4 footing avec et j'ai transpiré un max dedans.
Le jour J, j'ai enfilé mes skets les plus pourraves et je me suis rendu au club au petit matin avant l'ouverture aux sportifs. Ils avaient tous les deux des cuissards bien portés au vu des traces de pneus bien visibles. Ils m'ont embarqué sur l'eau pour un essai, mais je ne pensais qu'au moment de la douche. J'ai bien transpiré et je sentais l'odeur de mon slob me monter aux narines.
Direction le vestiaire, enfin, accompagné de Vincent bel athlète très brun, le plus jeune, alors qu'Olivier hyper musclé et hyper poilu avait disparu. J'ai compris en franchissant la porte du vestiaire... Olivier était assis sur un banc tapissé de slobs d'aviron des membres du club, les jambes écartées :
— Allez salope viens me nettoyer ! me dit-il sèchement alors que Vincent me poussait dans le dos. Il m'obligea à me mettre à 4 pattes devant les skets de son pote et j'ai sniffé ses panards l'un après l'autre. Ca daubait un max et je bandais comme un âne. Alors que je voulais enfourner le zob d'Olivier, il m'ordonna de sniffer d'abord son paquet à travers son cuissard. Le salaud, il s'était pas lavé de la semaine : c'était pas possible de dauber de la bite à ce point là !
Pourtant j'aime les bites odorantes mais là, c'en était presque écoeurant ! Il me fourrait les slobs qui étaient à sa disposition dans la gueule les uns derrière les autres, et il alternait avec son paquet chaud et puant. Quand il a baissé son cuissard, j'ai cru que j'allais partir en courant, sauf que Vincent me maintenait fermement sur la queue de son pote. Un chibre très épais, avec un long prépuce, le gland pointait complétement gluant, poisseux et blanc. Son fromton mélangé à sa mouille était crémeux, je ne pensais franchement pas pouvoir m'avaler çà...

J'étais tellement excité, que mon cul mouillait. Vincent s'en est aperçu et me déculotta sur le champ. Il se mit à me doigter direct, en me poussant la gueule sur la bite d'Olivier. Putain ce gout âpre, de fromage pourri, se développait au fur et à mesure que je suçais, et que la bite devenait dure. Le gland complètement dégagé regorgeait de fromton, et j'ai du passer plusieurs fois la langue sur la base du gland pour bien tout enlever. Olivier gémissait en me traitant de bonne suceuse, et Vincent poussait sur ma tête pour je suce bien en profondeur.


Xav (alias Harhairy)
Salut Fromton Boy !
ça fait bien plaisir de te retrouver ! tu as assez profité de ta 3ème mi-temps ! lol
Biz
Chris
Mon petit lapin ! Super boulot bravo ! Faut continuer !
Richard
Imagine tous les sloboard qui se tendent, toutes lespines qui se dressent, tous les fions qui s'ouvrent .... à la lecture de tes histoires !
Lache pas l'affaire mec ! on est là ...
Dis nous c'qui pourrait te faire plaisir et te redonner le moral ...
Merci pour ton blog