TEUBCRADE

Salut les queutards !

Alors la forme ? Visiblement beaucoup d'entre vous ont kiffé les derniers articles publiés... C'est clair que ça donnait grave envie d'aller faire un tour en Suisse ou bien de se promener en forêt ! Pour cette nouvelle mise à jour du blog, je suis heureux de vous annoncer le grand retour de mon pote FROMTIX sur ce blog !!!
Je suis sûr que vous vous souvenez tous de ce p'tit minet de 20 ans bien lopsa qui kiffe grave les odeurs de mâle en rut et la bonne pisse bien fumante !!! Vous aviez d'ailleurs été très nombreux à engluer vos calbuts en lisant ses deux précédents témoignages "Larvé par deux bogosses en rut" et "Petite branle humide". Il nous raconte aujourd'hui le cadeau très original que lui avait réservé son mec pour son anniversaire ! Et en plus cerise sur le gâteau, FROMTIX dispose désormais lui aussi d'un blog super cho consacré aux amateurs d'odeurs et de trips hard ! Alors n'hésitez pas à lui rendre visite et à lui laisser de nombreux commentaires pour l'encourager...
En attendant tous à vos teubs et bonne branle à tous ! Et un grand merci à toi mon pote pour ta collaboration... Et surtout n'oublie pas, on remet çà quand tu veux en réel ! ;-)


Il y a quelques jours, c’était mon anniversaire. Je m’attendais à un beau cadeau de la part de mon mec, mais rien. A croire qu’il l’a zappé. Sauf qu’hier, en arrivant chez moi, je tombe sur lui, dans le salon avec deux rebeux ! 

Sur le moment, je pige pas, mais très vite, je comprends :
— Bon anniversaire chéri ! Aujourd’hui avec mais nouveaux potes, on va te faire prendre ton pied. Tu vas voir que tu vas devenir plus chienne que jamais. Alors maintenant t’enlèves ton fût, ta cravate et ta chemise, et tu te mets ce collier en cuir. Tu vas voir, mon ami Karim est venu avec sa laisse, l’accessoire indispensable pour sortir une chienne comme toi.

Ledit Karim doit avoir 25 ans. Sa gueule de racaille me fait bien bander. Alors pour pas le décevoir, lui et son pote, je me débarrasse de mes fringues.
— Putain mec, tu pues le Chanel ! T’inquiète, ça va changer. Dessape-toi complètement, je t’ai amené ce qu’il te faut comme fringues...
Et là, il me balance à la gueule un slob bien odorant, bien dégueu. Je me le fous illico sous le nez.
— Regarde-le Karim, il aime ça la salope... Quelle belle pute !
— C’est clair, Mo, il va en chier ce batard ! On va le faire morfler.

Karim et Mo : je connais désormais les noms de ces deux mecs. Je sens que je risque pas de les oublier. En bonne chienne obéissante, j’enfile le slob cartonné de Karim. Je trique comme un malade et me laisse faire comme une chienne lorsque Mo vient m’attacher la laisse à mon collier de tepu.
— A quatre pattes maintenant. On va aller faire un tour. J’peux te dire que tu vas pas les oublier tes 21 ans ! Par contre, dis au revoir à ton mec. Ce soir, t’es rien qu’à nous !
Eric, mon mec, m’envoie alors un molard en pleine gueule en ajoutant :
— Amuse-toi bien chéri...


J’ai pas le temps de répondre : Karim est déjà en train de tirer sur la laisse pour me faire avancer. C’est seulement vêtu d’un slob bien crade que je me retrouve dans la rue, attaché à une laisse, à quatre pattes. Heureusement, Mo a garé sa caisse juste devant l’entrée et me fait monter à l’arrière.
— On va rejoindre des potes. Cette nuit, tu seras à nous. Alors à partir de maintenant, tu nous appelles "maîtres".

On roule pendant une bonne demie-heure. Puis de nouveau, Karim me traîne en laisse. Il la tient courte. Pas facile de marcher dans ces conditions, surtout que le gravier sur mes genoux nus me fait horriblement souffrir. Mo s’en aperçoit et m’envoie aussitôt un coup de savate dans le cul.
— Marche mieux que ça ! Montre que t’es un bon clebs.
Ils m’amènent ainsi jusque dans une cave. Il y fait sombre. Elle est simplement éclairée par des bougies. J’y distingue au moins 5 ou 6 silhouettes.

En m’approchant, je m’aperçois qu’ils sont déjà tous à poil, bite à la main. L’un des mecs lance alors :
— Vous arrivez au bon moment. Pile quand j’ai envie d’un trou à limer. Allez mec, monte sur le sling ! Je vais te faire sentir mon zob dans ta chatte.
Ledit zob a des proportions énormes : au moins 23 ou 24cm, et un diamètre impressionnant. Je sais déjà que je vais morfler, et ça m’excite encore plus. Je me fous sur le sling, cul offert. Les mecs se rapprochent de moi, bites tendues.
— Ouais, je vais te défoncer la chatte !
Il crache sur sa queue, histoire de la lubrifier, puis commence à me l’enfoncer. Il me déchire le cul, mais n’a pas l’air de s’en soucier. J’ai envie de gueuler, mais un mec me fout son zob dans la bouche, étouffant tout cri. J’ai désormais 7 mecs autour de moi, une bite énorme qui me laboure le cul et une autre qui me lime la bouche sans ménagement. Je bande comme un âne.
— T’aimes ça les rebeux comme nous ! T’es vraiment qu’une pute !
Je ne compte plus les molards qui me couvrent la gueule. Un premier mec se met alors à me pisser dessus, suivi d’un autre.
— Allez, bois ma sepi ! Et n’en perds pas une goutte.
Les mecs se relayent dans mon cul. Ils sont tous bien montés et bien bourrins quand ils me défoncent. L’odeur de pisse, de mâles pas lavés et de slobs pas clean emplit la cave d’une odeur à gerber. Je prends un pied d’enfer.

Après une bonne demie-heure de labourage, les mecs se rapprochent de ma gueule.
— Le jus de sept rebeux, ça te dit ?
— Oh oui, maîtres, inondez-moi de votre jus !
C’est Karim qui jouit en premier. Il me couvre la gueule de sa semence, puis me l’étale avec sa main.

— Vas-y lèche la sauce ! C’est bien, suce.
Je me reçois bientôt 2, puis 3 doses de jus dans la gueule.
— Et si on t’inondait la chatte maintenant ? Vas-y Rachid, baise-moi ce batard !
Il ne faut pas longtemps pour que le Rachid en question se vide au fond de mon cul en gueulant. Puis c’est Mo qui prend le relais, suivi des deux derniers mecs qui n’ont pas joui. Ils me baisent comme des malades. Et moi, je jouis comme une chienne, le cul bien plein. Les mecs se sont vidés. Je pue la sueur, la pisse, le jus. Et je suis complètement crevé.
— Rachid, sors une corde ! On va l’attacher en attendant que les autres copains se ramènent.
Il m’attache alors les pieds et les mains et me fout dans un coin de la cave. Les cordes sont bien serrées. Je peux difficilement bouger.
— On revient dans une heure avec d’autres potes. T’as intérêt à être bien sage !

Après une attente interminable, je les entends revenir. Ils sont bien 8 ou 9 à rappliquer cette fois. Réinstallé sur le sling, je me fais de nouveau limer le cul. Cette fois-ci, ils m’ont foutu un slob cartonné dans la bouche. Cette odeur sous le nez me donne la gerbe…. mais j’aime ça !

Après un limage en règle. L’un des mecs décide alors de me fister. J’ai jamais pratiqué et j’avoue que je suis pas rassuré. Mais avec toutes les doses de jus que j’ai reçues dans le cul, et toutes les bites qui m’ont limé, j’ai le cul bien préparé. C’est Farid, un nouvel arrivé, qui s’occupe de me fister. Les autres s’amusent à me faire sentir leurs skets et leurs slobs cartonnés. Je me reçois également de bonnes quantités de sepi. Ils s’occupent un bon moment de moi avant de décharger leur jus. J’en bouffe une bonne quantité. Le reste coule le long de mon corps. Putain, ces mecs m’ont humilié comme jamais ! Rachid me balance alors :
— Vas-y maintenant casse-toi !
Il me lance simplement le vieux slob cartonné et le tee-shirt avec lequel je suis arrivé, histoire que je me promène pas à poil. Complètement perdu, ll me faut le reste de la nuit pour rentrer chez moi. J’arrive complètement mort. Et là, je me fais de nouveau larver par mon mec, excité par l’odeur. Il me fait jouir deux fois coup sur coup. Sûr, je me souviendrai longtemps de cet anniversaire ! A moins que je ne recommence l’an prochain...
Fromtix