TEUBCRADE
Salut les queutard !
Alors, tous en train de courir les magasins surpeuplés à la recherche des derniers cadeaux de Noël ? Sur votre blog préféré, le Père Noël a pris un peu d'avance... Après la vidéo bien juteuse d'hier, c'est un autre cadeau à la fois kiffant et original qui vous est fait par un fidèle du blog : une parodie des 3 premiers paragraphes du roman "A la recherche du temps perdu" de Marcel Proust, en version nettement plus sexe et spécial odeurs de keums en rut ! Franchement félicitations à toi pour cet exercice de style vraiment original, et j'avoue super bandant !!! N'hésitez pas à dire vous aussi ce que vous en pensez les mecs. Perso, je pense qu'on se serait tous nettement moins emmerdé à le lire au bahut dans cette version trash. Allez, trêve de blabla, je laisse sans plus attendre la parole à Marsel PROUT et à sa parodie odorante d'un classique de la littérature française...
Bonjour à toi et merci pour le blog !
Depuis quelques temps je suis attiré par les odeurs, et la première fois que j'ai débarqué sur le blog, je me suis dit c'est vraiment dégueu. Mais régulièrement je retourne visiter le blog,
et ça me met de bons fantasmes en tête. Pour moi, ce goût pour l'odeur c'est assez récent, et malheureusement je n'ai pas encore trouvé un plan branché odeur, c'est pas facile à dégoter. Pour
Noël, j'avais envie de faire un petit cadeau à toi et aux visiteurs du blog avec un article "intello" (lol). J'ai repris les 3 premiers paragraphes de "A la recherche du temps perdu"
pour le parodier à la sueur de mâle. Encore merci à toi Teubcrade et joyeux Noël à tous !
A la recherche du from perdu
Du côté de chez suinte
Première partie - Schlingay
Longtemps, je m'suis dit : "le fromton m'écoeure". Parfois, à peine mon prépuce retroussé, mes narines humaient
si fort que je n'avais qu'un désir : "offrir cette odeur". Et, quelques sniffes après, la pensée qu'il était temps de chercher un mec me pénétrait, je voulais laver mon gland autrement
qu'avec mes mains et l'enfiler dans sa bouche ; je n'avais pas cessé en m'excitant de faire des réflexions sur ce que je désirais faire, mais ces réflexions avait pris le tour d'un combat ;
il me semblait que j'étais moi-même gourmand d'un gland puant, à la fois attiré, révulsé, la bouche franchement alléchée à en cracher une quiche. Cette contradiction survivait au
coeur de mon phantasme ; elle me gênait car la réciprocité d'une turlute odorifère ouvrait des bourgeons dans ma bouche et l'empêchait d'abaisser le prépuce sans frayeur. Puis elle
commençait à devenir obsédante, comme après des journées sans une douche la peau se parfumait de milles muscs salés ; le zob au from s'attachait à ma salive, j'étais libre d'y appliquer ma
langue ; aussitôt je recouvrais le goût sauvage et j'étais plein d'excitation de trouver autour de moi un corps sale, puant et bandant pour mon esprit, mais peut-être plus encore pour ma
bite, à laquelle il apparaissait comme un homme primitif, animal, comme un homme vraiment en rut. Je me demandais qui ferait mon affaire; j'entendais les beaux râles d'un garçon tendre qui,
plus ou moins velu, comme un chat miaulant entre une paire de cuisses, le pif dans un nid de sniffes, me décrivait l'étendue de la puanteur secrète où le sniffeur se plonge en toute nature;
et le petit oiseau qu'il suce va être gravé dans son souvenir par la saveur qu'il doit à des plans crado, à des enivrements initiatiques, à des ouvertures récentes et au fromage sous le
prépuce dissimulé, qui macère toujours dans le silence de la nuit, à l'odeur prochaine du petit jour.
J'appuyais tendrement mes boules contres les belles boules de mon mâle qui, pleines et chaudes, sont comme les boules de soi-même. Je frottais mon allumette en regardant ses fesses. Bientôt l'anus. C'est le moment où le sniffeur, qui adorait le phallus puant approche d'une cave obscure, versant sur la cerise, réjouit d'écarter avec appétit une raie des fesses. Quel bonheur ces jeux de cul ! Dans un moment les senteurs seront levées, il faut profiter de l'ouverture, bouffer où l'on abandonne la matière. Le désir d'aimer un cul autant que l'autre aime le mien. Juteusement j'ai préparé son trou, miraculeusement couronné de poils, ses pets sont comme les miens. Et ma raie des fesses qui était sous sa langue accueille sa bite. C'est rentré ; on vient d'allumer le gaz ; la première salve est partie et nous aurons toute la nuit pour jouir sans remède.

Marsel PROUT
Texte original : http://intexto.org/opus/fr/proust/recherche/001
Snifé un tube bien fromagé quelle délise et si tu a les essels en+ cest le nirvana pour moi pas besoin de drogie ou popper tu me done tous sa maturel vive la naturs
le reve...
c'est vraiment un truc que j'adorerai lecher: une queue avec du fromton dessus!! :( je n'ai pas encore eu l'occaz de tenter cela...
hummm que je payerai bien chere pour que ont m'offrirai un bonne queue fromageuse a sniffer d'un jeune homme hummm quel regale cela serai pour moi