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Dimanche 5 avril 7 05 /04 /Avr 12:03

Alors les queutards, on profite des premiers rayons du soleil pour transpirer un max et s'en foutre plein les narines ?! lol Visiblement, l'arrivée du printemps a réveillé les hormones de beaucoup d'entre vous qui redécouvrent les plaisirs de bons plans sniffage et décrassage en pleine nature ! C'est d'ailleurs le cas de mon pote PAMPA, toujours aussi cho du zob, qui malgré les températures encore un peu fraîches, n'a pas hésité à suivre en forêt un pur beau gosse looké militaire rencontré sur le net pour un plan décrassage hyper bandant dont vous me direz des nouvelles ! Je précise que si le plan est réel, les photos qui l'illustrent viennent du net (ben oui, c'est pas évident de prendre pics quand on est en train de récurer un keum des pieds à la teub ! lol). Et n'hésitez pas à laisser de nombreux commentaires à Pampa afin qu'il nous fasse profiter de ses prochains plans bien och !!!


Depuis quelques jours, je surfe sur le net à la recherche d’un plan…Clics de souris et tapotage de clavier… Sites de chat, les mecs passent.. On me demande si je vais bien, échanges de mensuration à répétition, confrontation de "trips"… Le temps passe, les mythos aussi, et je finis par en voir un qui se connecte avec une pic de pur beau gosse en tenue militaire, très jeune. Je le contacte pour le fun, juste histoire de lui dire qu’il est mignon, réponse : « Dispo quand ? ». Moi : « Quand tu veux ! ».

Le rendez-vous est pris pour le lendemain après-midi, le gars m’arrose de sms bien chauds avant le moment de la rencontre, et bien sûr je ne manque pas de lui préciser qu’il n’a pas besoin de se doucher d’ici notre rencontre. Ça ne le dérange en rien, et il m’avoue même que ça fait deux jours qu’il zappe la douche. Ses textos continuent de pleuvoir et il semble attendre de ma part un bon décrassage dans les règles. A voir si tout cela est bien réel…

Le moment venu, il est à l’heure, un beau mec de 19 ans, brun, cheveux très courts, des yeux bleus perçants, un vrai beau gosse bien viril, look militaire. Passées les présentations, je nous conduis tranquillement sur les routes en direction de la forêt où il m’indique la direction d’une cabane construite avec ses potes, le tout en discutant de thèmes classiques et convenus. Arrivé en lisière du bois, il faut continuer à pied. On grimpe entre les arbres, il m’amène vers une cabane construite sommairement à l’aide de planches de bois, fermée (ce qui est appréciable vu les températures encore fraîches). Nous entrons dans une petite pièce exiguë avec pour seul mobilier un vieux matelas en mousse.

Il me sort alors d’un ton naturel :
— J’ai trop envie de pisser, t’as soif j’espère !
Il ouvre alors sa braguette, baisse son slip d’une main et sort sa teub toute molle, découvrant un peu son gland bien rose. Je me mets à la hauteur de son entrejambe, son odeur de mec arrive à mes narines : ça sent déjà bien bon le slip bien porté et les parties pas lavées. Je ferme docilement mes lèvres sur le bout de son sexe et laisse venir...
— Attends… Ça vient ! me dit-il, concentré.
Je reste à genoux devant ce jeune engagé.

— Tiens…Avale !
Un fin jet d’urine m’arrive dans la bouche et je prends sa pisse bien chaude et salée avec un arrière-goût de Corn Flakes. Il pisse doucement. Ça prend du temps. Seul le bruit régulier de mes gorgées au fur et à mesure que je déglutis trouble le silence de la cabane. J’avale tout jusqu'à la dernière goutte, une des rares fois où j’avale toute la pisse d’un gars, et c’est trop bon, à croire que j’étais fier de lui avoir servi de d’urinoir, avec en prime une agréable sensation de chaleur dans l’estomac.
— Putain ! T’as tout avalé ! qu'il me dit, l’air étonné.
— Dommage, j’aurais bien voulu que t’en lâches un peu sur tes fringues.
Je le regarde avec de grands yeux ronds...
— Et comment je rentre chez moi après ?
Il prend alors la base de sa queue entre deux doigts et la tape sur ma gueule, ce qui fait gicler ses dernières gouttes un peu partout sur moi, en particulier sur mon front et mes joues. Je sens des gouttelettes de pisse qui me coulent le long des joues. Le bout de son gland humide passe ensuite sur mes lèvres et je m’empresse de l’engloutir, mais il la retire et se dirige vers le matelas.
— Maintenant, j’ai bien envie de me faire lécher les panards !
Il s’affale sur le vieux matelas et s’allume un bedot.
— Allez !
Le message est clair.
Je commence à enlever une sket, une odeur chaude et masculine s’en dégage.

— Et j’espère que tu feras comme je t’ai dit, passe bien entre les orteils !
En effet par sms, après lui avoir proposé de lui lécher aussi les panards, il m’avait répondu avec grand plaisir mais qu’il voulait que je passe bien entre les doigts avec la langue.
J’enlève la chaussette, et commence à lécher ce beau pied aux ongles trop longs sur toute la longueur. J’ai son goût plein la bouche, ça sent fort, et ça me fait bander comme un malade. Je m’attaque à lécher les orteils un à un, je récolte des bouts de peau qui collent dans ma bouche à chaque coup de langue, le tout avec cette odeur écœurante de panards. Putain, c'est qu'il daube grave le gars !

— Comme je t’ai dit, j’ai la flemme de me laver depuis quelques jours…Mais t’as l’air d’aimer !

Sûr que ça me plait ! C’est infecte mais je suis carrément excité, et mon nettoyage appliqué semble lui plaire tellement de bien qu’il pousse alors son pied dans ma gueule pour que ses orteils soient au chaud pendant que je racle à coups de langue tout ce que je peux bouffer. Il retire ensuite brusquement son pied.
— Laisse tomber, remets ma sket, j'me caille trop… Viens plutôt me nettoyer la queue !

Je m’exécute et remonte vers son entrejambe. Sa queue est déjà  plus grosse, bien large avec un gland humide qui dépasse du prépuce, mais il ne bande pas à encore à fond.
— C’est là que ça sent le plus fort, quand j’vais pisser je décalotte même plus tellement ça pue la bite après !
Il repousse alors son prépuce, laissant apparaître un gland bien rouge et baveux de mouille et de fromton. J’approche le nez comme un clebs, mais j’ai un mouvement de recul instinctif. Ça pue le fromage corse, le jus de vieilles branlettes et la pisse.
— Tiens regarde là...
Avec son pouce et son index, il malaxe de petits morceaux de fromton qui s’agglutinaient sous le rebord du gland. Après avoir joué avec à quelques centimètres de mes narines, il ne manque pas de les mettre dans ma bouche pour les essuyer en les frottant contre ma langue.
— Faut que tu nettoies ici, ça schlingue grave ! dit-il en mettant ses mains derrière ma tête alors que j’effleure doucement du bout de la langue chaque coté de son gland, récoltant à chaque lapée un peu des dépôts à l’extrémité de sa tige répugnante.
Je lève les yeux vers lui pile au bon moment pour recevoir un mollard qui s’écrase sur mon nez et coule peu à peu sur ma bouche.
— C’est pour faire couler, salope ! qu’il me dit avec un sourire moqueur alors que je le gobe en l’aspirant.
Malgré son jeune âge, ce mec est très bien inspiré.
Je continue mon décrassage appliqué, sa teub est maintenant bien raide et je le pompe à fond, le nez dans sa touffe de poils pubiens aux effluves enivrante de plusieurs jours passé à transpirer dans son intimité. Je léchouille un peu ses couilles et continue en dessous. Il n’en faut pas plus pour qu’il se lève et me fasse signe de m’allonger sur le dos.
— Bonne idée, mets-toi là, tu seras plus à l’aise pour me lécher le trou du cul !

Allongé sur le dos, je le vois baisser son fut aux genoux et il s’assied littéralement sur ma gueule. J’ai son trou du cul poilu et moite sur la bouche. Ça sent fort, et je ne réfléchis pas trop avant de lui fouiller le trou à coup de langue  pendant qu’il me branle la queue sur cette vielle banquette. La position devient rapidement inconfortable pour lui, aussi il enlève son fut et se réinstalle confortablement sur mon visage. Son trou est trop bon, je l’embrasse et essaye d’y enfoncer ma langue au plus profond du mieux que je peux, le faisant parfois couiner de bonheur. Lui me suce bien la teub, et me gratifie même d’un  « Elle est bonne ta queue ! ». En effet, elle est bien crémeuse, comme il m’avait demandé. Depuis la veille, je m’étais branlé plusieurs fois en y laissant mon foutre pour qu’il ait de bons restes et une bonne odeur de keum.

Je jute rapidement, et il avale en grognant de plaisir. Lui vient à son tour. Je lui demande de me donner son sperme. Il se retourne alors, le poing serré autour de sa bite dégoulinant de sperme au-dessus de moi, je garde la bouche grande ouverte pour recevoir ce qui tombe. Son jus est bien épais et goûteux. Il essuie sa teub sur ma gueule en ramenant tout vers ma bouche. Je finis de le nettoyer comme un bon clebs, heureux de sentir son foutre me descendre dans le gosier.

Le froid aidant, nous ne mettons pas bien longtemps pour nous rhabiller et prendre le chemin du retour. Toujours est-il qu’en cherchant, on peux finir par trouver des beaux p'tis mecs branchés crade, même dans une petite ville...

Par Pampa - Publié dans : Témoignages
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