Salut les queutards !
J'espère que vous avez passé un bon week-end et que vous avez profité du froid glacial pour vous faire de bonnes baises torrides avec un max d'odeurs, de jus et de pisse ! J'en connais que la vidéo publiée jeudi a beaucoup excité et qui sont passés aux travaux pratiques dès le lendemain... Pas vrai HAIRYLEGS94 ? ;-) D'ailleurs, je pense qu'il a pris quelques photos pendant le plan et qu'il nous en fera bientôt profiter sur le blog ! En attendant de le retrouver dans ses aventures de queutard, je vous propose un texte hyper bandant qu'il m'a envoyé il y a quelques semaines... Le récit d'un rêve hyper och qu'il a fait après le réveillon du Nouvel An, et qui explique qu'il se soit réveillé avec le calbut trempé au matin du 1er janvier ! Hummm t'as vraiment le coup pour nous faire partager tes délires mon pote, et j'en connais plus d'un ici qui adore se tirer le jus en lisant tes récits de baise ! Pas vrai les mecs ? :-)
Je vous laisse donc découvrir en détails le rêve ultra bandant de notre queutard poilu préféré, et si jamais ça vous tente de l'aider à passer
du rêve à la réalité, n'hésitez pas à le contacter... Je pense qu'il se fera un plaisir de partager ce trip avec vous !
J'étais une semaine en vacs au Portugal dans de la famille pour le nouvel an. Juste avant de partir, j'avais un bon petit plan, comme d'hab, sniffage de bitos odorants, suce, et j'ai enculé le
mec... Il m'a dit qu'il kifferait décrasser un bon zob au from. Vu que je partais en vacs je me suis dis, ça sera une semaine sans sturb, repos total, comme ça le from se fera. Me suis vidé les
burnes le mardi, 3 jours avant de partir et 3 jours après mon plan. Une fois en vacs au pays, les matins je me levais avec une trique bien dure. En plus dans le car avec oim, il y avait 3 beaux
mecs avec qui je me serais bien amusé. Pareil là-bas, il y avait des gars bien mignons. Je résistais comme je pouvais à l'envie de me sturber, surtout les matins et soirs, seul dans mon lit.
Dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier, après avoir fêté le nouvel an en famille, j'ai eu une grosse envie de branle, et voulais voir si j'avais du from. Direction les chiottes
pour vérifier : j'avais une bonne couche et ça puait, trop kiffant ! Donc pas de branle, me suis couché, et j'ai fait un de ces rêves ! Wooooow !!!
J'ai rêvé que j'allais chez un mec, un régulier que j'ai déja vu, pour un plan en plein été. Je m'étais bien préparé, une semaine sans déo, gardé les mêmes cho7, le même boxer. Je sentais grave
de partout. Il m'avait fait une surprise pour le plan qu'il voulait bien hard. J'arrive chez lui, il me reçoit seulement vêtu d'un boxer anciennement blanc, qui a viré sur le
jaune/marron.
|
|
On se pose sur le canapé, on se boit des bières, et là arrive de la chambre à 4 pattes un mec complètement nu. Mon pote me dit que c'est ça la surprise : un bâtard à notre dispo ! Je le regarde, je le fais approcher : il portait une cagoule avec trous pour les yeux et la bouche, bien musclé sec, jeune, un gode queue de iench dans le trou. Mais rasé de partout.
J'attrape la pute par la mâchoire, je lui dis que je déteste les imberbes et les mecs rasés, que je préfère les poilus et lui crache à la gueule, tout en lui balançant une mandale. Je lui ordonne
alors de me décrasser les pompes, il ne mérite pas plus de moi ! Il me lèche les pompes, la semelle, puis je les retire...
L'odeur envahit la pièce direct. La lope hésite à s'approcher, je lui ordonne de venir, qu'un bâtard est juste là pour satisfaire, je l'attrape par la tête et la lui plaque sur mes ieps. Ainsi, bien habitué à l'odeur, il commence à lécher à travers les cho7 crades. Je lui fous alors un pied dans la bouche, il devra têter mes orteils pour avoir le goût en bouche. Il s'occupera principalement de mon pote. Et nous servira de chiottes, de table basse, de repose-pieds... comme toute bonne lope digne de ce nom !
|
|
Puis j'ai eu l'ídée de le mettre sur la table, allongé sur le dos, pour le faire morfler encore un peu plus. Mon pote lui mettait des pinces à linge et moi avec deux bougies, une dans chaque main, je les laissais goutter sur son corps de pute, et surtout sur sa bite et ses burnes. Chaque fois que mon pote enlevait une pince, je faisais direct couler de la cire et la lope criait. |
|
La lope toujours solidement attachée sur la table, mon pote est alors parti chercher de quoi lui
travailler son ptit trou. On a d'abord commencer par des godes, de plus en plus gros, puis on l'a carrément fisté. Je le fistais et mon pote lui baisait la bouche comme un vrai bourrin en
rut, en l'en faire vomir. Vu que j'ai des petites mains petites, j'en profitais pour mettre les deux dans son trou de bâtard !
C'est alors que la sonnette de l'appart retentit. Mon pote va ouvrir... C'était un voisin venant se plaindre du bruit. Sans se démonter, mon pote l'invite aussitôt à participer. On va dans la chambre. Le voisin avait une teub monstrueuse, hyper veinée, longue comme un avant-bras et tout aussi large ! On s'y est mis à 3 pour le sucer.
|
|
Le mec est vite devenu bien dur, mais la pute a pris peur quand on lui a ordonné de s'assoir sur la bite du mec. Mais après cette séance de fist, c'est rentré comme dans du beurre ! Sans doute pas habitué à avoir une pute capable d'encaisser intégralement son putain de mandrin, le mec lui a pilonné la chatte dans tous les sens en hurlant. La lope en pleurait et n'était plus qu'un trou béant pour ce queutard littéralement déchaîné.
Pendant qu'il le tringlait comme un bourrin, moi j'ai pu m'occuper de mon pote tranquille : le sucer, lui travailler son cul avant de l'enfiler moi aussi, et qu'on échange et qu'il m'encule à sont tour. Une fois que le voisin eut déchargé dans le cul de la pute en poussant un hurlement de ouf, il s'est barré direct et la lope est alors venue lécher et nettoyer le cul de mon pote et le mien, tous deux dégoulinant de foutre.

Voilà mon premier rêve de l'année les mecs... J'ai essayé de me souvenir et de retranscrire ça le mieux que j'ai pu, mais les images étaient plus que bandantes, je les ai d'ailleurs encore en
tête une semaine après ce rêve !
HAIRYLEGS 94


J'enfile mon jockstrap noir, me fous un plug dans la chatte, et me mets des pinces à seins sur les
tétons, mon jean, un tee-shirt, la veste et je file direct chez lui. Arrivé chez le mec, je me dessape dans l’entrée et entre dans le salon. Je le vois assis sur le canapé en jean, tee-shirt
blanc et aux pieds des airmax blanches bien pourries. Je suis bien chaud et me fous direct à ses pieds. Là, il m’enfile un collier autour du cou et m’attache avec une laisse pour pouvoir bien me
guider, puis il inscrit au feutre sur mon torse et sur mon cul les inscriptions : « Bonne pute » et « Salope à dispo ».
D'ailleurs comme vous le voyez, je suis déjà de retour pour vous faire profiter du dernier plan crade de
mon pote 




Au cas où il vous resterait encore un peu de jus dans les burnes, je vous propose pour terminer un
témoignage hyper bandant laissé par mon pote 
Il commençait à se branler, crachant dans sa main pour lubrifier. Il se la branlait doucement, prenant son temps avec
ses mouvements, utilisait parfois ses deux mains, où une branlait et l'autre caressait son ventre, son pubis hyper poilu, son torse... Je ne pouvais pas m'empêcher de la fixer, mais je
n'avais pas fait attention aux miroirs sur les murs.
Son prépuce n'est pas très long, dommage. Il recouvre la moitié du gland, mais en le décalottant une forte
odeur de pisse envahit mon nez. Pas aussi bandante que l'odeur de sperme, mais kiffante quand même. Là, je passe un long moment à sniffer sa teub, en faisant le tour, sniffant à droite, à gauche,
en tirant son prépuce et collant mon nez dans ses plis. Il kiffe me matter lui faire tout ça, c'est la première fois qu'on s'occupe de lui comme ça. N'en pouvant plus, il enfonce sa queue au fond
de ma gorge et me la baise, m'étouffant au passage. Je le calme, lui disant d'aller plus doucement. Mais lui, il adore voir le mec étouffer,



Samir, le jeune rebeu, me lance alors :
Depuis le début, le céfran − qui s'appelle Julien − ne dit rien, mais je sais pas si c'est par solidarité avec moi, ou si
c'est juste parce que c'est un gros pervers.
Samir
me pince le prépuce et se retourne vers ses potes en disant :
Sur le coup, je vois pas ce qu'ils veulent dire. Je suis inquiet, et ma quéquette doit faire moins de 3 cm,
prépuce compris. Pedro s'approche. Il me tend sa grosse-grosse bite devant moi. Avec ses doigts bien larges, il s'approche de ma toute petite quéquette. Il prend les replis de peau ridicules de
mon zizi. Il déplie cette dentelle de chair rose digne d'un puceau. Et il me décalotte... Là, les trois mecs atteignent un point jamais imaginé d'humiliation : mon gland de bébé apparaît au grand
jour.
Pedro ramasse avec ses doigts plusieurs couches de fromage de teub. Blanc clair et jaune foncé. Je deviens fou. J'essaie
de deviner le nombre de jours qui ont dû aboutir à ce fromage de mec. 4 jours ? 8 jours ? Deux semaines ? 

En arrivant au taff, alors que je me changeais dans les vestiaires, un poil s'est coincé dans
mon prépuce. Je sors alors ma bite et décalotte pour l'enlever, re-calotte et range le tout.
Avec les doigts, je lui ouvre à fond la bouche et y rentre ma bite jusqu'à l'en étouffer. Je lui baise littéralement la gueule, et je kiffe grave voir la bave couler le long de sa
bouche et de son menton.
Suis deg de pas l'avoir recroisé dans la journée, mais j'espère qu'il reviendra bientôt faire de nouvelles
vacations à mon taff...
Aurélien nous fait une démonstration de ses gadgets : cockring, masturbateur et autres babioles. Je
vais chercher ma tenue : collier de chien, harnais et cockring en cuir. L’alcool aidant, on commence à se palucher tous les 4 puis chacun pompe une bite saisie au hasard...

Après s’être remis de ses émotions, Willy me lâche qu’il a envie de pisser : hop, un crochet par la salle de
bain ! Je m’assois dans la baignoire, lui est debout devant moi, j’ai son sexe au niveau des yeux. Cette situation inhabituelle semble le mettre mal à l’aise, ça a du mal à sortir mais je
suis patient... Je ne dis rien... Je ne le touche pas… ça dure quelques minutes et sa pisse finit enfin par couler !
Je dirige aussitôt le jet vers ma bouche pour en boire un maximum. Sa pisse est la plus forte des trois mais ça ne me
dérange pas, je bois tout ce que je peux, jusqu’à la dernière goutte. On se rince et on sort de la salle de bain. On rejoint les autres dans le salon. Peu après, nos invités se rhabillent et
prennent congé en disant qu’il faudra remettre ça. C’est vrai que ça a vraiment été une soirée mémorable : j’ai bu la pisse de tous les participants, je suis vraiment une bonne
pissotière !
Commentaires