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Témoignages

Samedi 5 septembre 6 05 /09 /Sep 13:03

Toujours aussi excitant ce p'tit keum du 94, non ?!! Et visiblement ce n'est pas le seul si j'en crois le témoignage que m'as envoyé POUTICHO26, un mec de 41 ans sur Valence, 1,85m pour 75kg, bien foutu mais pas sportif, poilu torse et jambes, cul imberbe et couilles rasées, teub 17cm circoncis, plutôt passif, bon têteur. Il recherche des mecs bien foutus, actifs et cool dans la région de Valence pour de bons plans odeurs et pisse, mais pas scat ni trop crade. Alors si ça vous êtes intéressés, n'hésitez pas à la contacter... il n'attend que çà ! ;-)

Dans ce récit hyper bandant, il nous raconte un de ses meilleurs souvenirs de plan odeurs avec un bidasse hétéro en perm rencontré lors d'une soirée, qui le ramène chez lui pour le baiser comme une pute et en faire profiter un de ses potes bidasses, en perm lui aussi... Franchement, je suis comme toi mec, je kiffe grave les bidasses bien bourrins dans ce genre. Ils savent se lâcher grave lors d'un plan (surtout avec quelques bières dans le nez comme là ! lol)  et je garde d'excellents souvenirs de baise avec des militaires bien och. D'ailleurs si vous aussi vous avez des anecdotes ou des plans bien hard avec des bidasses à nous faire partager, n'hésitez pas ! Mais pour lors, préparez-vous à gicler un max de yop avec ce putain de récit... moi j'en ai encore le calbut tout gluant ! ;-) 



C’était déjà l’été mais pas encore les vacances et j’étais coincé en ville pour une soirée anniversaire chez un collègue alors que je n’avais qu’une envie : me lever un petit mec de préférence odorant pour un bon plan à la cool. Je me suis tout de même connecté histoire de trouver un mec pour ma fin de soirée car je ne comptais pas jouer trop longtemps le gay de service dans cette soirée hétéro bon teint. La soirée ne s’annonçait pas top et au bout d’une heure sans rien trouver de concret sur mes rézos préférés, je décidais d’aller à l’anniv de mon pote.

Il y avait la petite bande de collègues et de potes habituelle et l’ambiance commençait à être bien chaude quand je suis arrivé vers 21h30. Bien sûr, je me suis fait chambrer sur ma tenue parce que je n’avais fait aucun effort pour me saper. J’étais resté en baggy et skates pourraves, espérant aller draguer après la fête.

Au bout de mon cinquième verre, je commençais à m’emmerder grave, à passer d’un groupe à l’autre et je me creusais la tête pour trouver un prétexte bidon pour m’éclipser quand un jeune mec bien bandant fit son entrée. J’abandonnais aussitôt mes projets de départ et essayais d’en savoir plus sur le nouveau.

J’étais à interroger discrètement la meuf de mon pote sur lui quand il s’est approché de nous pour embrasser Marie qui m’a donc présenté Thibault, le cousin de mon collègue. Je lui serre la main et d’entrée, il me balance en souriant :
— C’est toi le collègue pd de Cyril ? Il paraît que t’es plutôt un marrant.

Marie lui file un grand coup de coude en le traitant de gros naze mais je lui dis que ce n’est pas très grave.

Visiblement, il est déjà bien allumé le petit cousin, Cyril m’avait parlé de lui une fois en des termes pas très cool, gentil garçon mais plutôt bourrin, d’ailleurs il venait de s’engager dans l’armée.


Là dessus, il se casse vexé en disant que c’était juste pour chambrer et file dans la cuisine se chercher un verre.


Je le regardai traverser le groupe des danseurs et je dois dire que son petit cul moulé dans son jogging blanc me fait le trouver très intéressant. 25 ans, pas très grand mais bien balancé, blond ras, le muscle rond et la peau blanche avec tâches de rousseur. Tout ce que j’aime.

Je le guettais toute la soirée draguer sans complexes toutes les filles canons mais ça n’avait pas l’air de marcher des masses. Tant mieux.


Vers minuit, j’étais à siroter un dernier verre dans la cuisine quand il s’est pointé refaire le plein de Jack Daniels. Nous étions seuls. Un peu gêné, il s’excuse pour son mot de tout à l’heure et remplit mon verre vide. On commençait à bien discuter quand on s’est aperçu que les gens partaient petit à petit. On décide de se casser nous aussi et en sortant de l’immeuble, il me propose un dernier verre chez lui. Il habite à 15 minutes à pied. On traverse les jardins de la mairie quand il s’arrête pour pisser dans un bosquet. Bien sûr, j’ai prétexté une grosse envie pour faire comme lui et voir ce qu’il avait dans le jogging. Comme je sors ma teub, il tourne la tête et me mate avec un sourire vicieux de petit lascard. Bientôt, il se rapproche de moi la bite toujours à la main, se plante devant moi, m’arrose le baggy de sa pisse odorante et me sort direct :
— Je suis sûr que t’aimes ça, petit salaud !
Le temps de répondre, j’avais le futal trempé et la queue raide. Forcément, je me suis vite retrouvé à genoux devant son jet puissant qui me remplissait la bouche de sa bonne pisse chaude. Il continuait à bien m’arroser tout en me motivant aux insultes quand son tel sonna. Il décrocha en me disant de continuer à bien le pomper. C’était un pote en perm comme lui. Soudain, je l’entends demander à son pote s'il n’avait pas envie de se vider dans une bonne lope car il en avait justement une accrochée à sa teub qui lui avalait la pisse en direct. Il raccroche, m’enlève son jouet odorant de la bouche, me relève et me dit qu’on va continuer chez lui avec un de ses potes, ce sera plus cool... En plus, le mec est super bien monté et il adore les bonnes têteuses comme moi.
Je le suis de plus en plus excité et pour me faire patienter, il m’autorise à lui tâter la teub à travers le jogging jusqu’à chez lui.


Dès que nous sommes dans l’appart, il m’ordonne de me foutre à poil et de lui décrasser la teub en attendant son pote. Sa queue dégageait grave, il avait un long prépuce et en le décalotant petit à petit, j’ai trouvé des trésors de from bien crémeux. J’y passais des petits coups de langue délicats histoire de profiter à fond. Il gémissait de bonheur entre deux volées d’insultes bien graves dès je foutais ma langue sous son prépuce gluant de mouille.


Quand son pote a sonné, il m’a demandé d’aller lui ouvrir et de me foutre à genoux pour bien lui servir de chiennasse dès son arrivée. Et franchement quand j’ai vu la bombasse, je n’ai eu aucun problème à me soumettre. Le mec était super barak, plus grand que moi qui fait déjà 1,85m et avec une super bonne tête de militaire.

— Alors c’est toi la bonne lope ? T’est plutôt pas mal pour tes 38 ans. Tu vas voir, ça va être cool..
Et pour marquer son territoire, il me balance un mollard sur la gueule, me relève en m’attrapant par la nuque et me roule une super bonne pelle baveuse. Il m’entraîne ensuite vers le salon où Thibault nous attend à poil, assis sur le canap, jambes écartées, une bière à la bouche. Le nouveau se fout à poil direct avant de s’installer sur le canap. Thibault avait raison, Ivan a une teub de ouf : elle dépasse grave des coussins. Je m’approche espérant le têter quand il m’arrête en me disant qu’il veut d’abord se descendre quelques binouzes pour bien m’arroser ensuite. Pour me faire patienter, il me donne ses chaussettes et ses skets à sniffer et tous les deux m’encouragent à bien me gazer et à bien lécher. Comme je lui ai bien décrassé les pompes, Ivan veut me récompenser et me demande si j’ai envie de lui nettoyer le fion. J’ai déjà la langue sur son trou humide et imberbe quand il me lâche  un pet odorant dans les narines. Ca me fout en transe total et je me déchaîne sur sa rondelle pendant que Thibault se relève pour me pisser dessus. Bientôt, je laisse le trou mouillé d’Ivan pour me brancher sur le jet de Thibault et j’avale entièrement sa deuxième tournée.

J’ai à peine fini de vidanger le petit lascard que son pote me présente sa grosse queue gonflée à bloc mais là, il me laisse juste la sentir puis il m’entraîne dans la salle de bain, me cale dans la baignoire le cul bien cambré et demande à Thibault de me la mettre profond pendant qu’il lubrifiera mon trou à la pisse. Thibault y va comme un petit bourrin pendant qu’Ivan commence à pisser doucement. Bientôt sa pisse chaude coule dans ma raie et entre dans mon cul au rythme des coups de boutoir de son pote. La pièce est saturée de l’odeur enivrante de pisse et ma bite me fait mal tellement je bande. Thibault se déchaîne sur ma rondelle, ses couilles joufflues me battent le cul et je sens qu’il ne va pas tarder à décharger son bon yop dans mon cul.
Ivan l’encourage à gros jets de pisse et bientôt le blondinet m’inonde le trou de sa jute en gueulant comme un âne. J’ai l’oeillet encore gluant et je sens déjà la pisse d’Ivan m’inonder le boyau. Et pendant que sa queue molle me flatte la raie, Thibault me présente son derche à nettoyer. La queue d’Ivan grossit bientôt et vient élargir mon trou encore poisseux de la jute de son pote, il me baise en véritable pro, me calant toute la longueur de son gros boudin dans le fion.
Le cul de mon petit militaire est un vrai délice, chaud et odorant, j’y colle le pif et la langue avec rage pour le faire gémir, il remue ses fesses, les écarte avec les mains et se sert de ma langue comme d’un gode. Mais ça ne lui suffit pas et bientôt j’y fous deux doigts que sa rondelle avale sans problème. Il a envie de se faire mettre grave et bientôt Ivan me laisse le trou béant pour aller calmer la chatte de son pote. Il l’encule debout. Thibault est tellement excité qu’il rebande direct et j’en profite pour lui gober la queue encore gluante de jute.

Soudain, Ivan m’attrape les cheveux et me fout la tronche sur la chatte qu’il pilonne pour que je la lubrifie à la langue, il m’encourage en me traitant de petite lope baveuse. Puis il veut que je lui gobe les couilles mais bientôt il décule : la chatte de Thibault est super ouverte et baveuse de mouille. Ivan m’oblige à la nettoyer pendant qu’il commence à se branler sur le cul blanc de son pote, il dirige son gros bout sur la raie moite et quand il lache son jus, je tends la langue et lèche les grosses giclées qui tombent dans la chatte de Thibault.


Pour me finir, Thibault se retourne pour que je le pompe à fond pendant qu’Ivan me barbouille la gueule de son gros zob baveux. Je prends la décharge du petit lascard en fond de gorge et j’avale tout.
Pour me remercier de l’avoir si  bien épongé, Ivan me branle pendant que je finis de nettoyer la teub de son pote et c’est avec une bonne queue mi-molle dans la bouche que je décharge sur le carrelage poisseux de pisse.

Je suis resté un moment encore  avant de reprendre une dernière bière et de rentrer en leur promettant de revenir les vidanger lors de leur prochaine perm.

POUTICHO26 (pouticho26@yahoo.fr)

Par POUTICHO26 - Publié dans : Témoignages
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Samedi 5 septembre 6 05 /09 /Sep 12:02

Salut les queutards !

Alors cette rentrée, pas trop difficile ?!! Ne vous en faîtes pas, votre blog préféré est là pour vous changer les idées et continuer de vous faire kiffer avec un max d'articles bien bandants. En plus, le soleil et la chaleur seront normalement de retour la semaine prochaine, l'occasion de prolonger un peu l'été avec quelques plans odeurs bien cho ! ;-)

En attendant, je poursuis la mise en ligne de vos contributions avec pour commencer celle de HAIRYLEGS94, qui compte sans doute parmi les plus fidèles lecteurs du blog et qui laisse toujours de supers commentaires sous les articles. Souvenez-vous, il y a à peine deux mois, ce p'tit keum de 20 ans du Val-de-Marne, 1m75, 60 kg, jambes poilues et bonne queue bien large et veineuse, vous faisait déjà kiffer avec un super témoignage sur ses jeux de pisse avec un pote.  Il est de retour aujourd'hui avec un autre récit de plan hard assez court mais très efficace, avec en prime une superbe série de pics perso ! Putain ça doit être trop kiffant de pouvoir se lécher le gland et se juter direct sur la langue comme tu le fais mon pote !!! Merci pour ce p'tit cadeau qui à mon avis va en rendre jaloux plus d'un ! Allez les mecs, tous à vos queues et bonne sturbe à tous !


En juin dernier, vu que j'étais en plein exam avec le stress, tout çà, avec un pote de baise on a décidé de fêter comme il se doit la fin des cours. On se donne donc rendez-vous pour le weekend et on fait la tournée des boîtes et des bars, on se bourre bien la gueule, puis on va à son appart. A peine rentrés dans le couloir, mon pote m'ordonne direct :
— Dessape-toi !
Je m'exécute, mais avec tout ces verres dans le nez, j'ai un peu du mal. Alors il perd patience, il prend une paire de ciseaux, se jette sur moi, me découpe furieusement mes fringues, et me lance avec un grand sourire :
— Ben voilà salope, quand tu veux tu peux !
Et il me demande de me mettre a genoux, il baisse son futal et là une putain d'odeur arrive à mes narines. Déjà  qu'il puait bien la transpi depuis deux semaines, vu qu'il ne s'était pas lavé en prévision de notre soirée. Je n'avais pas remarqué qu'il avait sorti sa bite par le côté de son boxer, qu'il me larguait déjà ses premiers jets de pisse bien jaune grâce aux bières qu'il s'était bues toute la soirée. J'ai illico ouvert la bouche pour tout recevoir mais il y en avait trop. J'suis pas trop fan de la pisse jaune mais dans le feu de l'action, j'ai bu jusqu'à plus soif. Une fois la vessie vidée, il s'arrête, range sa teub et m'ordonne de lui lécher son boxer.

Je m'approche, il me prend la tête et me la colle direct entre ses jambes. Je sniffe un max et le lèche, je m'attarde sur les taches de pisse et de jus d'homme. C'est vraiment excellent car il vient juste de finir de pisser donc il y a des taches toutes fraîches à déguster. Je le lèche et le relèche, son boxer est maintement totalement humide à cause de ma salive. Il le retire alors et me le fout dans la gueule sans ménagement. Je respire ce mélange d'odeurs de pisse, de foutre, de transpi de couilles... Hummmm !!!
Il m'attrape ensuite les cheveux, me mollarde la face et me repisse dessus avec la queue direct dans la bouche.
— Alors ça te plait toutes ces odeurs et cette pisse, hein tarba ?!! 
Je fais un signe de la tête pour dire oui tout en continuant de boire sa sépi.
Je me mets à lui pomper le dard à fond, je lui décalotte le bitos et il a une putain de crème là-dessous ! Je fais aussitôt tourner ma langue sur son gland couvert de from.

Peu à peu, j'ai pris de l'assurance et quelque minutes après, je lui aspire le zob et je me délecte du from et des odeurs de transpi dans ses poils. Malheureusement, il a déchargé sa sauce trop vite et j'ai pas bien pu profiter des odeurs qu'il avait sur le pubis.

    
Et comme d'hab, on échange ensuite les rôles. Maintenant, c'est lui qui va être mon tarba ! Ni une ni deux, je lui saisis la tête, la bloque et j'enfonce mes 16 cm d'un coup jusqu'à sentir mes couilles taper sur son menton. Je les laisse bien au fond le temps qu'il se rende compte que c'est qu'une salope, ma salope, puis je les retire d'un coup. Il se met à tousser et à cracher. Je lui écarte bien la bouche avec mes doigts et  je lui refourre ma queue en fond de gorge. Là, je mets mon pote contre un mur, je lui bloque toujours la tête entre mes mains et je lui défonce la bouche comme je défoncerais un cul. J'adore sentir mes couilles claquer contre son menton et l'entendre s'étouffer avec ma queue. Le kiff !!!

Plus je lui défonce la bouche, plus il salive un max et crache des litres de bave sur ma queue : ça m'excite trop ! Je le fous alors sur le dos sur son lit, la tête en arrière et je lui défonce la bouche de plus belle, m'amusant à regarder sa gueule couverte de bave. En 2-2, ma queue est trempée et  soudain je m'arrête et commence à lui pisser bien au fond de la gorge. Je me retire pour qu'il avale puis je me redresse et lui fourre ma queue sans prévenir au fond du trou. Je lui pisse bien dans le cul. Je me retire de son trou, ça gicle de pisse, je re-rentre dans son trou et ressort. Je lui défonce bien le trou pensant 5 ou 6 minutes et lui crache mon jus bien au fond, avant de lui repisser dedans.

 

Mon foutre se mélange a la pisse. A chaque va-et-vient, ça coule ! En retirant ma bite, son cul crache un mélange de pisse et de jus : ça m'excite tellement que je décide de lui tasser le tout. Je lui remets donc aussitôt ma queue bien au fond et je le bourrine à mort. Je lèche ce qui coule et lui fais ensuite nettoyer entièrement ma queue. Puis on s'est endormis, il était environ 6 heures du mat'. Et le dimanche, on s'est reveillés et on s'est mis en 69 pour se pisser et se juter dans la bouche... Rien de tel pour bien commencer la journnée !

HAIRYLEGS94
Par HAIRYLEGS94 - Publié dans : Témoignages
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Mardi 1 septembre 2 01 /09 /Sep 23:14

Salut les queutards !

Et ouais, c'est la rentrée des crasses ;-) Donc me revoici sur le blog pour quelques mises à jour bien och. Désolé de ne pas publier plus régulièrement de nouveaux articles mais j'ai pas mal de taff en ce moment et c'est vraiment pas évident. En tout cas merci à ceux qui m'ont envoyé leurs contributions pendant les vacances, je vais m'efforcer de les mettre en ligne le plus rapidement possible. Et n'oubliez pas de continuer à nous faire partager vos trips et vos baises hard crades, notamment à travers des photos prises au cours de vos plans.

Pour cette rentrée, je voulais rentre hommage à mon pote FROMTIX qui vient de reprendre son blog lui aussi (je compte sur vous pour y faire un tour et lui laisser quelques comm' pour l'encourager à continuer : http://hardxblog.over-blog.com). Visiblement ce p'tit batard ne s'est pas ennuyé pendant les vacances et il nous raconte aujourd'hui comment, après s'être fait lopé sur MSN par un rebeu, il a ensuite servi de vide-couilles à tous ses potes du côté de Poitiers ! Putain t'es vraiment une grosse chiennasse mon pote !!! Et c'est d'ailleurs pour çà que je te kiffe ! lol

Mais trêve de bla-bla, je lui laisse la parole pour ce récit de baise hyper bandant. Et pour illustrer ce super témoignage, quelques photos perso de mon pote qui, même après s'être fait baisé furieusement, ne peut s'empêcher de s'amuser avec les capotes pleines de yop laissées par les mecs qui l'ont défoncé ! Hummm, j'ai vraiment hâte de sentir ce slob cartonné mon pote...  ;-)


Il m'arrive parfois de faire des plans cam avec des mecs. Ce jour-là, c'était avec Karim, un beau keum de 22 ans. Ce mec m'avait grave excité à me parler sur msn comme à une pute. J'avais donc vite branché ma cam pour qu'il puisse me matter en train de me doigter. En bonne chiennasse que je suis, j'ai suivi à la lettre toutes ses instructions, même quand il m'a demandé de me pisser dessus ou quand il a voulu que je bouffe tout le jus que j'avais pas réussi à retenir. Bref, ce mec avait réussi par cam à me rendre hyper chienne.


Alors quand il m'a dit qu'il voulait me voir en vrai, j'ai pas hésité bien longtemps. Notre rencontre a été planifiée pour le samedi suivant. Je l'ai rejoint à Poitiers vers 23 heures. Il m'attendait à la gare, dans une bagnole toute pourrie. Direct il me dit :

— J'espère que tu vas être aussi chienne qu'en cam, parce qu'y a tous mes potes qu'attendent pour te baiser !

Ça évidemment, c'était pas prévu. Mais j'avoue qu'il m'en faut plus pour me faire reculer. Alors je monte, mets ma ceinture et commence à lui tater le paquet pendant qu'il roule.

— Tu la sens gonfler... ça t'excite hein ? Bientôt t'en auras 5 comme ça bâtard ! On va te baiser la chatte. Et t'inquiètes, mes potes sont bien vicelards !


Au bout de 15 minutes, il s'arrête. On est dans une zone industrielle visiblement déserte. Il faut dire qu'il fait déjà nuit depuis plus d'une heure.


— Vas-y descend salope ! Et fous toi à poil. Tu crois pas que tu vas rester comme ça !

Il s'approche de moi, l'air mauvais, et me crache un putain de mollard à la gueule.
— A poil ! Je vais pas attendre une heure !

En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, je me retrouve donc à poil, avec uniquement mes baskets. Karim me fout alors une chaîne autour du cou.

— C'est bien, maintenant on peut vraiment dire que t'es une bonne chienne !
Et il me crache à nouveau sur la gueule. Ce coup-ci, je récupère son molard avec le doigt et me le lèche direct. Visiblement, il apprécie ma réaction.

A quatre pattes, je suis mon nouveau maître qui m'emmène dans un vieux hangar à quelques mètres de la bagnole. Les potes de Karim sont là, installés dans un vieux canapé. Ils sont quatre. Trois rebeux et un black. Ils ont aménagé tout un coin du hangar avec des vieux meubles de récup. Sur la table, des bouquins de cul, les pages collées par le jus. Sur des étagères : des godes, des cordes, des chaînes.

— C'est bon ça Karim, tu nous as trouvé une belle tepu apparemment !
Le mec se lève et commence à s'approcher de moi.

— Vas-y connard, tate moi le paquet ! Tu vas voir, tu vas vite l'aimer ma teub.
Je commence à lécher sa bite à travers son survet. Je la sens grossir et bande à mon tour comme un taureau.

Une délicieuse odeur, mélange de jus et de pisse, se dégage quand je commence à baisser son fute. Les autres s'approchent alors, bite à la main. Tous sont bien montés, notamment le black qui a un putain de gourdin (et croyes-moi, je m'y connais en teub de renoi). Et alors que je ne m'y attendais pas, l'un des rebeux se met à me pisser sur la gueule.
— Ouvre la bouche connard ! Et bois ma bonne pisse !
Pour ne pas le décevoir, j'ouvre la bouche en grand et m'approche de sa bite. Il me prend alors la tête et commence à me limer la bouche furieusement. Après quelques bons coup de reins, il me fait passer d'une bite à l'autre et me corrige en tirant de grands coups sur ma chaîne chaque fois que je ne fais pas selon ses attentes.

L'un des rebeux, visiblement excité par mon petit cul, commence à me doigter la chatte. Il faut pas longtemps avant qu'il commence à y introduire sa bite ! Il y va (relativement) doucement. Sa bite rentre lentement dans mon trou, habitué aux gros calibres. Une fois entré, il ne prend plus autant de précautions et me défonce le cul bien comme il faut durant de longues minutes. Pendant ce temps, les autres se relayent pour que je les suce. Je me retrouve même à sucer deux bites de rebeux en même temps. Putain quel pied !!!

— Laisse-moi la place Yassin ! C'est mon tour de lui péter la rondelle à ce bâtard !
Le black prend la place de Yassin et m'enfonce violemment sa bite dans le cul. Je ne peux m'empêcher de gueuler tellement j'ai mal. Karim, énervé, me fout alors son poing dans la gueule et me refout sa bite direct dans le fond de la gorge. J'essaie de me dégager, mais il me tient fermement. Je me fais limer ainsi de longues minutes, pendant lesquelles l'un des rebeux se fait un plaisir de m'arroser de sa pisse.

Les odeurs de mâle, de sexe et de pisse contribuent à me rendre encore plus chienne et mon cul est maintenant bien dilaté, bien lubrifié. Les mecs me baisent chacun leur tour, et ils y vont tous comme des bourrins !

L'un des rebeux s'avance alors vers ma bouche et me lance, l'air menaçant :

— T'as pas intérêt à laisser tomber une seule goutte de mon jus ! Pigé ?

Et il commence à branler plus rapidement sa teub. Au bout de quelques instants il lâche la sauce et enfonce sa queue dans le fond de ma gorge. Je sens son jus coulé et suis à deux doigts de juter moi aussi !

Le black, qui est revenu me limer le cul, accélère la cadence et lâche à son tour, direct dans mon fion.

— T'aimes ça sentir le jus dans tous tes trous ! Dis-le que t'aimes ça, chiennasse !!!

Les autres mecs me jutent rapidement toute leur sauce sur la gueule. Je finis à mon tour par jouir, longuement, et me retrouve couvert de sauce !
Les mecs ont l'air satisfait. Moi je suis épuisé, complètement vidé. Mais terriblement satisfait d'avoir obéi à tous les désirs de mes nouveaux maîtres...

Par FROMTIX - Publié dans : Témoignages
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Mercredi 19 août 3 19 /08 /Août 14:00

Salut les queutards !

Putain quelle chaleur !!! A l'heure où je fais cette mise à jour, il fait pas loin de 32° C dans l'appart et je transpire un max de partout. Mon boxer est déjà bien trempé de sueur et ça fait grave ressortir les odeurs de pisse et de jus séchés. J'en connais plus d'un qui ne demanderait pas mieux que de se coller direct le pif dessus et se gazer avec mes odeurs de queutard en rut. Hummm franchement les mecs, y'a rien de mieux qu'une bonne baise crade quand il fait chaud comme çà, et qu'en moins de deux les corps sont déjà dégoulinants de sueur... Et canicule oblige, il faut bien sûr penser à bien s'hydrater... avec une bonne douche de pisse réciproque ! La sépi bien fumante c'est comme le thé vers au Maghreb, ça désaltère toujours un max l'été alors n'hésitez pas ! ;-)

A part çà, je vois que le p'tit JARED a déjà fait gicler des centaines de mecs avec son super témoignage de larvage entre cousins. Et pour avoir pas mal discuté avec lui cer derniers jours, je peux vous dire que si ce mec kiffe grave se faire loper hard, il n'en dédaigne pas moins larver à son tour de bonnes petites tépus bien och ! Faut dire que vu l'initiation à laquelle il a eu droit avec ses cousins, il n'a aucune difficulté à bien faire morfler ses lopsas. Je pense d'ailleurs qu'il va falloir qu'on s'organise prochainement une rencontre au sommet Jared / Teubcrade... Et si ça se fait, vous aurez bien sûr droit en exclusivité à tous les détails ! ;-)

En attendant, et comme vous êtes nombreux à l'avoir demandé, voici la suite du premier lopage de Jared par son cousin. Nous l'avions laissé couvert de pisse et de jus après une baise d'enfer, découvrant dans l'obscurité la silhouette d'un mec... Je vous laisse découvrir la suite, et comme la fois dernière je vous conseille de sortir vos queues tout de suite si vous voulez pas engluer direct vos calbuts. En plus cette fois-ci, les photos illustrant l'article sont réellement celles de mon pote Jared, en exclu mondiale pour tous les queutards du blog ! Alors si vous kiffez, n'hésitez pas à lui laisser un max de commentaires sous l'article, je peux vous dire qu'il les lit tous attentivement et qu'il adore çà ! ;-) Et qui sait, ça le motivera peut-être à nous raconter d'autres baises aussi kiffantes. Merci encore à toi mon pote et bonne sturbe à tous !!!


Mon petit cousin était de retour. Entièrement nu, la queue bandée à fond, il avait été excité par nos bruits. Son grand frère fut surpris de sa présence et lui dit :
— Ben qu'est-ce tu fous là, frérot ?
— J'ai bien envie de l'enculer, j'ai tellement kiffé quand il m'a sucé t'alleur...
— Mais t'es vraiment qu'une p'tite salope Jared ! T'as sucé mon p'tit reuf et tu m'as rien dit... Il a même pas 18 ans ! T'abuses !
Bah moi non plus j'ai pas plus de 18 ans, mais bon, j'ai pas osé la ramener par peur de me reprendre une grosse mandale dans la gueule...

Avec la bénédiction du frangin, mon p'tit cousin m'encula... Sa queue rentra toute seule dans mon cul tant il avait été défoncé par le mandrin de mon maître. Ce dernier se plaça d'ailleurs debout devant moi, j'étais allongé par terre, une queue qui s'agitait dans mon cul, et me donna ses ieps à bouffer, agrémentés de quelques mollards qu'il crachait bien au fond de ma gorge. Il n'a pas mis longtemps à rechopper la gaule et je pus regoutter encore à ses vingt centimètres de pur bonheur... Le petit accéléra, je compris qu'il allait juter, le grand frère lui dit de venir juter sur sa teub. Il s'exécuta aussitôt. Avez-vous déja taillé une pipe au sperme ? Je peux vous dire que c'est assez jouissif comme truc... Il a donc juté sur la queue de son frère que j'avais en bonne partie dans la bouche pour mon plus grand plaisir. Mon maître ne mit pas longtemps à venir à son tour dans un dernier râle de plaisir. Il largua une bonne dose de jute dans ma gueule. J'avalais tout of course !
Le petit frère partit alors se coucher. Il était déjà 3 heures du matin, et moi j'allais en faire de même lorsque mon cousin me dit :
— Attends ! Viens dormir dans mon lit ma p'tite salope, ça me ferait plaisir que tu m'appartiennes encore pour la nuit ! Et tu dois partir à quelle heure demain ?
— 9 heures
, lui répondis-je
— Tu resteras jusqu'à 11 heures, on va encore s'amuser un peu avec toi demain matin !
Je n'allais quand même pas dire non ! Ca ne se refuse pas des occases comme celle-çi. En plus, demain matin on sera seul, les parents seront au boulot...

On se met donc au lit, mon maître me fout alors sa queue molle dans le cul et me dit que je dois la garder toute la nuit dans mon fondement ! Sinon, je serais réveillé à coups de ceinture... Bien que l'idée m'excitait, je m'exécutai et essayai de garder ce mandrin toute la nuit en moi... L'idée n'était pas si mauvaise finalement !

Je fus réveillé par une sensation bizarre dans mon corps. Je sentais la respiration de mon couz', il était réveillé, je compris quelques secondes plus tard, sentant toujours sa queue dans mon cul, qu'il était en train de me pisser dedans...

La sensation est vraiment très forte ! Quand on vous jute dans le cul, vous sentez les bonnes rasades de foutre déversées dans vos intestins ; avec la pisse, c'est la même sensation multipliée par 100 ! Je vous jure, à essayer obligé une fois dans votre vie ! Et puis j'entendis :
— Si tu en perds une seule goutte, c'est ma merde que je te mettrai dans la bouche !

Bon ok, j'aimais ce plan, mais de là à avaler la merde, je ne sais pas si j'en aurais été capable. Alors je fis bien attention. Sa queue était toujours bien plantée dans mon boule, ça servait de bouchon. Rien ne pouvait sortir. Je me rendormis donc complètement esclave et in love de mon cousin.

9 heures. Mon cousin avait foutu un réveil cet enfoiré, je pense qu'il n'avait pas envie de rater la matinée qu'il m'avait prédite. Sa queue était toujours dans mon cul ! Ouf, il la retira et je me placais sur le ventre par peur que la pisse de la nuit coule sur les draps. Il sortit de la chambre, ne faisant même pas attention a moi ! Il m'a juste dit qu'il avait faim, et qu'il m'attendait sur la terrasse pour le p'tit déj'. Je plaçai alors trois doigts dans mon cul et fis un saut par les chiottes pour me vider de la pisse d'un autre mec... C'est pas commun comme truc ! Mais ça me faisait kiffer grave !

Bien vidé, je me rendis sur la terrasse, TN aux pieds. Mon cousin était en train de bouffer, lui aussi avait enfilé ses TN, on avait les mêmes sauf que les siennes avaient au moins deux ans de plus. Bien pourraves. Je m'assis face à lui, il portait juste un calecon plutôt large qui lui aussi avait du vécu !
— Ben t'attends quoi pour te mettre à l'oeuvre ma salope ?
— Là, sur la terrasse ?

— Ouais, tu verras c'est bien kiffant en extérieur. Allez, passe sous la table !
J'avais rien à perdre, de toute facon, je connais pas les voisins ici ! Alors chui passé sous la table, j'étais à 4 pattes dans les graviers avec seulement un calbut blanc et mes pompes. Je m'approchai de sa teub qui était déja bien bandée. L'odeur était forte. Mélange de pisse, merde et jute. Un cocktail délicieux ! Je commencai par bien respirer l'odeur puis je me mis à le sucer hardiment. Je voyais même pas sa gueule mais je suppose qu'il kiffait grave ! Je l'ai entendu écrire un texto. Cinq minutes après, le frérot apparut juste derrière avec ses skets et un short de bain. Il s'assit à ma place.

Il commenca à me tripoter le cul, me foutre des doigts. Tout ça sans ménagement. Mon cul était encore bien open. Les deux frères parlaient pendant ce temps la. Je n'entendais pas tout ce qu'ils disaient, mais j'entendis vaguement "face-sitting", je ne connaissais pas ce terme mais rien que l'idée me faisait tripper !

Après quelques minutes à servir de pute à mon maître, les deux frangins me dirent de rentrer et de m'allonger sur le dos sur la table du salon. Je le fis sans rechigner. Ils arrivèrent quelques minutes après, le temps de mettre une stratégie au point, pensais-je. 
 
Le petit se plaça au niveau de mon cul et m'enfila directement son chibre... Pendant ce temps-là, le face-sitting allait s'accomplir. Mon maitre s'agenouilla alors au dessus de ma tête, j'avais son trou du cul au niveau de ma bouche et la queue me retombait sur le dessus du visage. Il commenca alors à se lâcher... Voulant limite m'étouffer, c'est le principe. Il lacha même à l'occase quelques pets que j'étais obligé d'avaler, mais ce n'était pas désagréable. Je ne voyais pas mon enculeur, pourtant il me labourait bien la chatte, ça durait depuis dix bonnes minutes.

Puis ils échangèrent les places. J'eus donc aussi à être étouffé par le plus jeune de mes cousins. Lui ne se gêna pas pour me larguer des caisses assez énormes dans la gueule. Après cette nouveauté, j'eus droit encore à une première !
 

Mon maître se plaça cul sur la table, et m'ordonna de venir m'empaler sur sa belle queue,ce que je dis sans sourciller. Et quelle ne fut pas ma surprise lorsque je sentis une deuxième queue s'introduire en moi !

Putain mais mes cousins sont vraiment géniaux !!! Je les vénère ! Les deux me défoncaient bien le cul à fond ! Truc de malade la double péné, j'vous jure... ça dura environ vingt minutes, mais mon cul s'en souvient encore !

Après, le petit s'est retiré et ils m'ont allongé sur le dos. Mon maître a continué à m'enculer et le petit à se faire sucer. Ils ont juté tous les deux en même temps, l'un dans mon cul, l'autre dans ma bouche béante. Mon cousin me fit ensuite sucer sa queue toute foutreuse qu'il sortait juste de mon fondement.
 

Après avoir joui comme des fous et souillé mon corps, il fallait le nettoyer...

Ils me soulevèrent alors à deux pour me mener à la salle de bain dans la baignoire, où je me pris leurs pisses bien copieuses et fumantes sur tout le corps, ma bouche restant bien sûr grande ouverte pour recueillir le précieux breuvage.

Ils me laissèrent ainsi dans la salle de bain, recouvert de pisse et gavé de leur sperme. Je me mis à me branler, jutant jusque dans ma bouche vu l'excitation de cette matinée. Puis je me nettoyai, et repartis.

J'ai parfois revu mes cousins, mais cela ne fut jamais aussi intense que ces jours de juillet...
Malheureusement !

JARED

Par JARED - Publié dans : Témoignages
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Samedi 8 août 6 08 /08 /Août 14:50

Pas mal ce petit plan skets entre laskards, non ? Comme ça fait un p'tit moment que je n'ai pas fait de mise à jour, je vous propose donc un deuxième article aujourd'hui avec le témoignage hyper bandant de JARED, un pur bogosse de 20 ans, fidèle du blog qui nous raconte son premier larvage hard avec son cousin il y a quelques années. Putain, il avait direct capté que t'avais un bon potentiel de lopsa mon pote, et il s'est pas privé pour l'exploiter à donf et faire de toi son vide-couilles ! ;-)

Hummm je comprends que tu aies pris ton pied grave !!! J'en connais plus d'un qui aurait adoré être à ta place mec ! Merci à toi pour ce super témoignage et n'oubliez pas que vous pouvez également m'envoyer récit et/ou pics de vos plans pour qu'ils soient publiés sur ce blog (j'en profite pour préciser que les photos illustrant le témoignage de Jared sont des pics du net). Les contributions se faisant de plus en plus rares, je compte vraiment sur vous pour continuer à alimenter régulièrement ce blog ! N'oubliez pas que c'est vous qui le faîtes vivre !

En attendant vos nombreux mails, je vous laisse donc avec Jared pour un pur plan baise en famille... Bonne sturbe à tous !


Salut ! Depuis le temps que je jute en mattant ce site, je me suis dit qu'il était temps que j'y contribue un peu, en espérant vous donner bien du plaisir ;-) Je m'apelle Jared, 20 ans, teubé 19 bien épaisse et kiffant tous les trips de bons mâles en rut du site.

Cette histoire s'est passé il y a 2 ans à peu près. Je voyais mon cousin régulièrement, le week-end notamment. Il nous arrivait de nous taper des queues ensemble devant un bon film porno où les gonzesses se faisaient défoncer la chatte par Rocco. Mais rien de plus ! On jutait et puis finito, des trucs de cousins quoi ! Mais ce jour là, ce ne fut pas pareil...

On était tous les deux dans sa chambre, tout le monde dormait dans la barraque. Il était une ou deux heures de mat' et après un bon film d'horreur, une branle s'imposait ! Alors on met un film de cul bien hard comme à chaque fois. J'avais déjà remarqué ses effluves de mâle - il n'était pas très pote avec la douche - mais aujourd'hui, c'était encore pire que d'habitude. Un truc de malade, à vous réveiller un mort ! On avait donc nos deux queues en main, il était plutot bien monté, 20 cm épaisse et bien poilu comme j'aime. Il se doutait sûrement que j'kiffais les chums, mais jamais il n'aurait tenté quelquechose sur moi, par peur de ma réac'. Mais là moi, j'avais grave envie de sa queue car ses odeurs de mâle m'excitaient un max ! Alors je m'décidai...

— Ca te dit que je te suce ?

Et là aucune réponse, il avait plutôt l'air surpris. Et soudaint, d'un coup sec, il me choppa par les cheveux. On était encore allongés l'un contre l'autre, moi tenant ma queue à pleine main. Il plaça ma tête en dessous de son visage, au niveau de son ventre, et m'ordonna d'ouvrir la bouche. Je m'exécutais. Et là, il va chercher au fond de sa gorge le mollard du siècle, un truc énorme qu'il me lâche en plein dans la bouche en me lançant :
— Commence par avaler çà !

Et là, c'est moi qui fus surpris ! Le salaud, il avait décidé de me faire ma fête, depuis le temps que je l'attendais ! Après avoir avalé son mollard, il me laisse à peine le temps de reprendre mes esprits et me plaçe la gueule contre le mur afin que je puisse le sucer pensais-je... Il se mit face à moi, à genoux sur le lit, et me décolla une baffe monumentale, qui me fit basculer sur le côté. J'étais ailleurs, comme sur une autre planète. Il empoigna encore une fois mes cheveux et me replaça contre le mur, face à lui. C'est là qu'il entreprit de me bourriner la gueule de sa queue. Il plaça le bout de son gland juste devant mon visage. J'avais déjà la gueule grande ouverte. Mais lui ne le voyait pas de cet oeil. J'avoue que le goût de fruits de mer avariés dont certains parlent sur ce site me sauta au nez. Il avait un long prépuce qu'il n'avait pas complètement décalotté. Il le fit juste devant mes yeux, et là, je vis apparaître sur son gland une masse blanchâtre qui traînait une odeur forte à la limite de la gerbe. C'est à cet instant que j'ai regretté d'avoir ouvert ma gueule plus tôt...

Il me regarda alors droit dans les yeux et me dit :

— Tu voulais un mec, ben chui là ! Alors maintenant, tu vas pas faire ta mijorée et tu vas faire ce que je te dis ou sinon ça va mal aller pour toi !

Je ne pouvais alors plus rien faire ! J'étais obligé d'aller jusqu'au bout de cette expérience.

J'ouvris donc à nouveau la bouche. Il prit de ses doigts un peu de fromton de sa queue et les enfonca le plus possible dans mon nez, afin que je garde son odeur pestilentielle pendant tout l'acte. Et je me mis donc à le sucer. C'était assez étrange car je me suis mis à apprécier ce goût âpre, à kiffer cette odeur extrême de mâle. Il me laissa quelques secondes pour m'habituer à sa queue, mais cela ne dura pas !

Il reprit vite les choses en main. Tenant sa queue dans une main, et appuyant ma tête contre le mur, il commença des va-et-vient à un rythme effréné. Plus fort que le bourrinage de chatte de nos films favoris. Ma bouche ne suivait pas tant il était rapide et allait profond. Il me défoncait litteralement la gueule. Quand il était bien à fond dans ma gorge, il restait quelques secondes en poussant des cris de bestiau : ça le faisait kiffer grave de me voir souffrir. Mais moi aussi, j'adorais çà ! Je m'appliquais du mieux possible. Il alternait en me faisant bouffer ses grosses couilles poilues. Ca le faisait triper que je prenne les deux en bouche en même temps. Il pouvait se branler bien tranquille sur ma gueule pendant que ses burnes étaient bien au chaud dans ma bouche de pute. Cela a duré une bonne vingtaine de minutes. Vingt minutes de pillonage intensif !

Mais il n'avait pas envie que cela se termine de sitôt. Alors il me dit :

— Bon grosse salope de cousin, ça fait 6 jours que j'ai pas juté ce soir, et j'ai envie que ça dure pour pouvoir te noyer dans mon sperme !

L'expression était exagérée mais ça m'excitait grave rien que d'y penser. Il s'alluma alors une clope et me dit de venir à coté de lui. On parla un peu, lui racontant ce que je kiffe chez les mecs et lui me disant que c'est sa première expérience. Qu'il aimerait faire çà avec sa meuf mais qu'elle ne veut pas se soumettre à lui.

— Et ça fait longtemps que t'as envie de ma queue ?

— Ben ouais, ça fait déjà pas mal de temps que tu me donnes envie, avec toutes nos branles et tout... Mais là, ce qui m'a plu, c'était ce gland fromageux. Comment tu fais çà ?

— Je t'expliquerai plus tard comment faut faire mais pour le moment, tu vas aller dans la baignoire et m'attendre bien gentiment !

— Mais je vais pas sortir à oilpé, traverser le couloir alors que les parents et ton frère dorment juste à c...
J'ai pas le temps de finir ma phrase qu'il m'a déjà collé un coup de poing dans le ventre, me pliant en deux.

— Tu fais ce que je te dis et c'est tout !

Je m'exécutai avec précaution tout de même et allai jusqu'à la salle de bain qui était de l'autre côté du couloir. J'étais à poil. Je savais ce qui m'attendait là-bas : il avait envie de m'arroser de sa pisse bien chaude et peut-être même m'en faire avaler. Le rêve ! Je laissai la lumière éteinte. Au bout de quelques minutes, j'entendis une porte s'ouvrir ! Enfin, mon maître va continuer mon dressage... Mais je fus très surpris ! C'était le petit frère de 16 ans qui entrait dans la pièce.

— J'ai tout entendu ce que vous faîtes, et vu que ça m'a donné la gaule, tu vas me servir de vide-couilles !

Il sortit alors sa queue. Il était déjà bien pourvu pour son âge mais ne puait pas autant que son frère, dommage. Je m'exécutai à sucer cette queue, il est venu en 5 minutes environ et a juté bien au fond ma gorge. Il n'avait pas autant de poigne que mon maître mais il était plaisant ! Il repartit vite fait dans sa chambre en me lancant un petit "Merci C'zin !"

J'entendis alors mon cousin sortir de sa chambre. Il vint directement devant moi, il ne bandait plus mais que sa queue était grosse au repos ! Il m'ordonna alors de prendre sa queue entière dans ma bouche, ce que je fis sans discuter. Il me promit une pluie de mandales si jamais je n'avalais pas tout. Il se concentra et commenca à m'inonder la bouche de sa pisse fumante et puante. Je m'attelai à tout boire et à ne pas perdre une goutte de ce précieux liquide. Quelques gouttes tombèrent tout de même dans le baignoire, mais il me les fit lapper. Il me dit ensuite de m'allonger sur le dos dans la baignoire, que j'allais devoir lui décrasser son trou qui d'après lui était bien gras et que j'aimerais ça. En effet, j'ai aimé décrasser son cul. J'avais jamais fait çà avant, mais j'ai adoré cette odeur particulière.

— Et t'aime aussi te faire enculer comme une chienne ???

— Ben ouais bien sûr ! lui répondis-je sans vergogne.


On retourna alors dans sa chambre pour qu'il donne une raclée à mon petit cul. Et il n'y alla pas de main morte !
Il me fit mettre à 4 pattes, mollarda une ou deux fois sur mon cul enfonçant son index au plus profond. Et lorsqu'il décida que mon cul était prêt, il posa son gland sur ma chatte de pute. Et d'un coup sec rentra son dard bien au fond de mon fondement. Au plus profond de mes entrailles. Je poussai alors un hurlement. Il m'engueula de plus belle et décida de retirer ses chaussettes et de m'en coller une bien au fond de la gueule pour que mes hurlements soient retenus. Au moins pour ceux qui dorment, bien que le frère devait être en train de se branler en nous écoutant. Il pillona alors mon cul pendant de longues minutes. J'avais le derrière en feu, jamais on ne m'avait enculé aussi fort !

Il se retira et vint se placer devant moi, je me mis alors au niveau de sa queue, il me frappa sur la tête et me dit :

— Lèche-moi les pieds, sale garce ! Après t'auras mon jus !

J'étais à 4 pattes devant mon cousin qui s'est assis sur son lit, continuant à se palper la teub pendant que je lui bouffais les ieps. Je passais entre chaque doigt de pieds, pour récuperer tous les morceaux et les odeurs de son 45 fillette. Il prit alors une barre chocolatée près de son lit, se mit à la bouffer. Je me demandais pourquoi faire. Je compris vite lorsqu'il me fit ouvrir la bouche pour tout recracher dedans. J'étais sa pute, son urinoir et maintenant sa poubelle. Je kiffe !!!

Il me dit alors qu'il n'est pas loin de juter.

— Fous-toi allongé sur le dos sur le lit, ta gueule en dehors du matelas que je puisse prendre ta bouche comme une chatte et y foutre toute ma sauce !

Je pris la position qu'il souhaitait et il enfourna sa teub dans ma bouche pour un dernier pillonage en règle ! Au bout de deux minutes seulement, il déchargea, le gland sur mes lèvres. Je pris de grandes giclées dans ma gueule. Il juta énormément, c'était vraiment impressionant ! Mais je me délectais de cette liqueur. Il en coula bien sûr par terre. Il reprit ensuite doucement ses esprits.

Mon cousin me fixait droit dans les yeux, peut-être se rendait il compte qu'il vient de grave m'humilier.

— Je veux quand même que tu jutes, p'tite salope ! Alors tu vas commencer par lapper tout le jus sur le sol et viendra t'asseoir sur çà...

Il montrait du doigt sa lampe torche qui avait un diamètre assez large. Je lappai donc toute la semence perdue, et vînt m'assoir sur la lampe. Il prit alors pour la première fois ma queue en main, et me branla pendant que mon cul coulissait sur sa torche. Je ne mis que quelques secondes à juter tant j'étais excité par tout ce qui venait de m'arriver. Je restai immobile, mon cul empalé, et mon jus tout autour. La main de mon cousin était recouverte de sperme, et il me la fit nettoyer comme une chienne.


Quand tout à coup une ombre apparût derrière la porte...

Par JARED - Publié dans : Témoignages
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Mardi 7 juillet 2 07 /07 /Juil 15:36

Pas mal ce petit plan abattage entre laskards, non ? Pour ceux qui resterait encore sur leur faim, voilà un nouveau témoignage de XAVIER, un bogosse de 29 ans bien salope sur Paname qui vous avait déjà fait kiffé il y a quelques années avec son témoignage "Le décrasseur décrassé" (une des premières contributions du blog). Preuve qu'il est fidèle au blog car il revient aujourd'hui avec le récit hyper bandant de son dernier lopage dans les chiottes de la fac...

On a beau être en pleines vacances, ce plan Q hyper och va certainement donner envie à beaucoup d'entre vous de reprendre rapidement les cours. Si vous aussi vous avez de bonnes anecdotes de plans dans les chiottes à raconter, n'hésitez pas à m'envoyer vos récits... 

 

Salut les sniffeurs ! Ca fait un p'tit moment que je vous ai pas écrit les récits de mes p'tits plans de bonne tepu chodasse. Depuis quelques temps, j'ai moins de temps pour moi mais j'ai gardé quelques contacts à qui je sers régulièrement de sac à foutre. Comme d'habitude, toute ressemblance avec des faits ayant réellement eu lieu ne serait pas purement fortuite.
Approche classique via un site de cul. On se donne rencard par mail et on se retrouve devant un bâtiment du campus, puis on descend dans les chiottes discretos. Elles sont larges, ça laisse de la place. Là, le mecton m'ordonne illico : 

— A oilpé et à genoux ! désignant du bout du doigt le sol devant son pacson.

Le ton étant donné, je m'exécute dans mon rôle de bonne salope. Il commence à me coller le pif sur son pacson déja serré à l'étroit dans son jean moulant.

A ce moment,  je choppe sa sket trop lointaine et je lui montre qu'il peut me serrer le pacson avec en la rapprochant de mes burnes à terre et en écartant les cuisses. Tout en me plaquant sa main derrière la tête, il commence à défaire sa ceinture. Pendant qu'il fait sauter son bouton, je baisse sa braguette avec les dents et je colle aussitôt mon pif dans la fente juste ouverte. C'est bon, c'est chaud, ça sent le mâle, le vrai, le naturel ! 
Puis le calbut tombe et le slobard apparaît, laissant deviner  quelques taches de mouille.
— J'espère que tu kiffes man, elle est pas sortie prendre l'air depuis trois jours !
Pour lui faire comprendre que j'apprécie, comme il dit, je colle mon pif direct au pacson pour sniffer le subtil fumet. Je m'enivre déjà, mais voilà soudain que le gland sort déjà par le côté. Il me choppe la tête en arrière et me lance alors :
— T'as intérêt à avoir soif ! en me larguant une première rasade de jaune dans la gorge.
Le gland n'est pas encore décalotté mais qu'à cela ne tienne, en le choppant par le pacson je mets ma langue à l'oeuvre pour y découvrir un peu de from bien caché.

Là, il me fait une surprise de choix, il se retourne et s'accroupissant, il me fout sa rondelle sous les yeux ! Je lui prends les couilles en main pour l'attirer vers moi et il me colle la pastille direct sur le pif. J'en peux plus, je lui déguste la rosette en lui enfonçant ma langue le plus profond possible, pendant que mes mains se chargent de lui écarter la raie. Assis la tête contre le mur, coincé par son cul, je suis aux anges. Mais v'là ti pas qu'il m'ordonne de m'allonger par terre... Je m'exécute !

Il se met alors au-dessus de moi et me rejette une bonne rasade de pisse bien chaude à la geule. Puis il se retourne à nouveau au-dessus de moi et s'assied sur ma tronche, enfoncant son zgeg dans ma bouche. Ensuite, se décalant un peu, il me refout son derche sur la tronche, en s'exclamant fièrement :
— Allez ma pute, je sais que t'aimes ça alors applique-toi et fais plaisir à ton maître !
Je le bouffe pendant de longues minutes avant qu'il se relève et aille devant les chiottes. Il se met alors en position de pisser et me regarde, faisant un signe de la tête tout en grognant :
— Viens à l'abreuvoir, salope !
Je m'approche de son zgeg qu'il pointe fièrement. Il me fout la tête dans la tinette sur le côté du chiotte et me dit :
— Allez ouvre la bouche et bois, j'ai grave envie ! en me foutant son bitos dans la gueule.
Et il se lache en un jet intense et puissant, que j'ai du mal à avaler. Enfin, il se met à se branler furieusement pendant que je lui lèche les couilles bien pendantes et poilues. Il finit par se décharger sur ma gueule. Il se rhabille sans un mot et quitte le chiotte me laisssant cuver dans la pisse et le foutre.
 

Depuis, il me rapelle de temps en temps, à chaque fois qu'il a besoin d'une langue pour se faire décrasser le zgeg et qu'un urinoir à 37.5° lui semble recommandé pour son nectar en fond de gorge.  

XAVIER

Hummmm rapide mais efficace ton témoignage gars ! ça donne envie de sortir se faire un bon plan dans les chiottes les plus proches. D'ailleurs à ce propos, un petit sondage express concernant les trips chiottes, histoire d'en savoir un peu plus sur vous et sur vos trips. Merci de prendre 30 secondes pour répondre...



Par XAVIER - Publié dans : Témoignages
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Vendredi 26 juin 5 26 /06 /Juin 20:30

Et ouais, c'est encore moi ! Décidément vous êtes gâtés aujourd'hui ! ;-) Après deux superbes vidéos de touze au jus entre minets, des pics d'une belle teub belge bien fromageuse, voilà le récit hyper kiffant de BITOFROM, un fidèle du blog depuis des années, qui a décidé de vous faire partager son premier plan décrassage... Ce moment de plaisir intense où le pif du mec vient se coller sur votre glandos bien crémeux et où sa langue passe délicatement sous le prépuce pour recueillir tout le fromton. Putain, ton histoire m'a vraiment rappelé des souvenirs mec et je suis certain que beaucoup d'entre vous ont dû commencer les trips odeurs avec un plan de ce genre.

D'ailleurs si certains veulent réagir sur cet article ou mieux encore raconter leur premier plan odeurs, n'hésitez surtout pas ! En plus, ça peut aider pas mal de mecs qui n'ont pas encore franchi le pas à voir concrétement comment ça se passe la première fois. Et pour compléter ce superbe récit, un petit sondage pour en savoir un peu plus sur votre première fois à vous...



Et maintenant que vous avez répondu, tous à vos queues pour lire (et relire) le témoignage hyper excitant de BITOFROM, illustré d'ailleurs par ses propres photos. Et avis aux quelques mecs qui avaient regretté de ne pas voir  davantage de trips odeurs de fion sur ce blog,  je pense qu'ils vont adorer cet article... Et pour ceux que ça pourrait éventuellement choquer, ben chacun son truc après tout... L'essentiel dans le sexe n'est-il pas de se faire plaisir entre personnes adultes et consentantes ? ;-)

 

Salut les mecs ! Tout d'abord, j'aimerais dire que ce blog et très excitant, j'y viens souvent pour me vider les couilles en lisant les récits. Et ouais, je suis un accro de la branlette ! Si je ne baise pas, je me branle 2 à 3 fois par jours, espacé généralement de 3 à 4 heures. Je suis plutôt bon juteur, avec de bons jets de sperme plutôt fluide : les 3 ou 4 premiers jets atterrissent sur le haut de mon torse, voire sur mon cou et parfois le menton, le reste va sur le ventre et bas-ventre. Je suis peu poilu niveau torse, par contre j'ai la teub et le fion poilus. Les fions poilus,  hummmm j'adore çà ! Un mec imberbe ne m'excite pas trop, alors qu'un mec avec des poils, c'est tout de suite plus excitant, surtout les poils du cul que j'aime arroser avec mes bons jets de sperme.

J'ai aussi d'autres trips comme voir un mec les couilles bien pleines en train de se branler devant un miroir et bien gicler dessus. Un de mes trips pas encore réalisé c'est de voir un mec domi en train de loper un passif soumis, sans participer mais juste en tant que spectateur en me branlant. J’ai un copain depuis 10 ans, mais il n’est pas du tout branché odeurs. On se fait des plans à 3 soft et j'aime bien mater mon mec en train de limer un cul. Je passe alors derrière lui et regarde de près sa  bite qui bourre bien le cul du mec. Mon cop et moi préférons nous partager un passif plutôt qu'un actif. J’aime aussi sniffer les boxers (les miens ou ceux de mon cop), bien les renifler en me branlant. Je prends toujours un malin plaisir  à passer un de mes doigts entre ma raie pour le sniffer ensuite, surtout l’été, c'est trop bon ! Le poppers, je kiffe pas mais une bonne odeur de fion humide, hummm alors là ça m'excite grave ! Au repos, ça a un effet quasi-immédiat : je sniffe une bonne odeur de fion et je bande direct.
Après vous avoir parlé de mes petits trips, je vais vous raconter mon premier décrassage. J'avais 29ans et depuis deux ans environ, j'avais envie d'une première expérience crade : sniffer, me faire sniffer et décrasser mais comme vous le savez, ce genre de plans est dur à trouver. Les sniffeurs décrasseurs, ça court pas les rues par chez moi ! J'ai donc cherché, puis abandonné, avant de recommencer à chercher sans succès. Puis par le biais de sites, j’ai eu quelques contacts mais j'allais rencontrer d’autres problèmes. Le premier mec était ok mais il voulait plus que ce que je lui proposais. Moi, je cherchais juste à sniffer et me faire sniffer teub et fion, puis à me faire décrasser. Il était ok pour ça, mais il voulait également que je lui pisse dessus ou que je le soumette. Je cherchais pas un plan uro et soumettre un mec n'est pas vraiment mon truc ; du coup, il a refusé. Tant pis, j'en ai cherché un autre… Le deuxième était pas loin de chez moi, là aussi il était ok pour sniffer et décrasser mais il voulait un plan en extérieur. J’ai refusé et pourtant j'en avais grave envie de ce plan mais je ne fais jamais de plan en extérieur, je reçois chez moi. Mais malgré mon insistance, il n’a pas voulu venir. Encore raté !
Je ressors du dial frustré, puis un jour où j'étais bien décidé à me faire ce genre de plan, j'ai cherché sur plein de site (j'étais en congés et j'avais donc tout le temps de chercher). Après quelques contacts sur le site, un mec de Toulouse me répond qu’il est ok, je lui donne mes conditions, que je cherche juste a sniffer, me faire sniffer et décrasser et rien d'autre : ça ne lui pose aucun problème.  On échange donc nos adresses msn, je lui file 3 pics prises deux jours avant : une de mon boxer blanc pisseux avec des traces de merde derrière, une de ma teub au from de 7 jours puis une autre où l'on voit ma teub par en-dessous. Les pics lui plaisent et malgré la distance, il me dit qu’il a grave envie de la sniffer et de la nettoyer à la langue. Je bande dur ! On échange nos tels et on prévoit l'heure : tout est ok ! Il m'envoie un texto pour me dire qu'il part de chez lui.

J'étais impatient et excité, j'avais pris soin de bien faire en sorte d'avoir du from et de bonnes odeurs de mâle, j'avais pissé dans mon boxer blanc 5 jours avant, j'avais juté dedans aussi  puis je l'avais mis de côté dans un sac plastique. J'avais ce soir-là un boxer kaki bien daubant, porté pendant toute la semaine, J'arrêtais pas de me demander s’il allait aimer. Je suis allé chercher mon boxer blanc puis j'ai retiré le kaki pour mettre le blanc, avant de renfiler le kaki par-dessus. Me voilà avec 2 boxers fumants ! Pour amplifier les odeurs, je décide de me faire transpirer un max. Je vais dans la salle de bain et je fous le chauffage à fond, tout en restant habillé chaudement, et je commence à faire des pompes. J'avais le temps : 1h30 environ avant qu’il n’arrive. J’ai  donc fait des pompes, je m'arrêtais un peu puis je recommençais. Le sport, c'est franchement pas mon truc mais là, il fallait que je transpire un max : je voulais pas que le mec soit déçu. Au bout d'une bonne demi-heure, j’ai arrêté. Je sentais mon corps bouillant, j'avais le tee-shirt trempé, je transpirais bien sous les bras et le premier boxer était humide ce qui faisait ressortir l'odeur de pisse : ça devrait suffire ! Je retourne donc au salon, me roule un pétard et me fous devant ma play. Je sentais l'odeur de pisse et de transpi, en attendant patiemment mon premier décrasseur.
Plus d'une heure s’écoule puis le téléphone sonne : il est arrivé en ville. Je lui indique alors les rues à prendre puis de la fenêtre, je regarde. Il descend ma rue, je lui dis de se garer sur le parking juste en face de chez moi, je raccroche et descends le chercher. Après les présentations d’usage, on monte au premier puis je l’amène dans la chambre. On dial un peu en fumant une clope. Une fois fini, on s'assoit sur le lit et là, d'entrée, il me roule une pelle. On se caresse puis il commence à sniffer mon tee-shirt. Je remarque qu'il aime et je le laisse sniffer longuement : il passe son pif partout, y compris sur mes aisselles qui sentent carrément le fauve. Je l'entends renifler à fond puis il descend au niveau de mon entrejambe puis, tout en continuant de sniffer, me regarde avec un léger sourire. On dirait qu'il est aux anges ! Il profite un max et prend son temps à sniffer tous les endroits. Il revient ensuite ver mon visage et on se roule une pelle d’enfer. Il enlève mon tee-shirt et colle à nouveau son pif sous mes bras pour bien les sniffer et les lécher. Hummm ça commence à me plaire. Je lui demande s’il aime, il répond « Oui toujours ! » avec ce petit sourire conquis, puis il redescend lentement. Je m'allonge sur le dos et il se remet à sniffer mon entrejambe. Je porte un pantalon en tissu doublé avec un élastique à la taille ; il tend le devant du pantalon pour sniffer dedans.

Putain, si jusqu'à maintenant je bandais mou, là de le voir faire çà et de l’entendre bien renifler, ça m’a fait bander hyper dur !! Il se tripote la bite, il enlève mon pantalon pour se mettre à sniffer le premier boxer kaki que j'avais porté toute la semaine et qui venait d'être imprégné de l’odeur du boxer blanc pisseux. Je l’entends illico gémir de plaisir : il kiffe grave on dirait ! Il sniffe autour du boxer, il le descend légèrement tout en reniflant et là son pif tombe sur le boxer blanc. Il me lèche la teub et les couilles au travers… putain j'adore !!!  Il salive un max dessus puis enlève totalement le kaki, qu’il garde entre les mains pour mieux le sniffer. Ouah, il aime vraiment ça et inutile de dire que ça m'excite un max ! Il revient ensuite sniffer le boxer blanc, il le descend, sniffant le devant puis le derrière, en léchant les traces de merde. Je sens toutes les odeurs se mélanger autour de moi et je suis grave cho ! Après avoir bien nettoyé à la langue le boxer blanc pendant de longues minutes, il passe à ma teub et fout son nez devant ma teub. Elle est redevenue un peu molle,  le prépuce recouvre quasiment tout le gland. Putain, moi qui attendais çà depuis longtemps, je m’étais souvent branlé en imaginant un mec le pif devant ma teub que je décalottais doucement. J’ai donc fait la même chose avec lui… Hummm trop bon !!!
Il la sniffe et renifle longuement mes couilles humides, puis il la prend doucement ma teub en bouche  sans la décalotter. Puis, avant que je ne bande bien dur, il colle son pif direct devant mon gland puis écarte délicatement le prépuce pour sniffer l'intérieur ; ça l'excite visiblement beaucoup si j’en crois les nombreux gémissement qu’il émet. Il passe alors sa langue à l'intérieur, ma bite se tend de plus en plus et le gland commence à apparaître. Il prend mon gland encore un peu recouvert du prépuce puis tout en continuant de sniffer,  il le décalotte doucement… Putain, j'aurais jamais cru que cela allait autan me plaire ! J’ai senti mes couilles bouillir quand il s’est mis à lécher le bout du gland, là où il y a le moins de from.  Pui sa langue descend sur le gland, jusqu’à ce qu’elle trouve une bonne épaisseur de from humide et jauni par la pisse. Il passe bien sa langue partout sur ma teub et ramasse au fur et à mesure tout le from accumulé pendant 7 jours sur mon gland.

Une fois ma teub bien nettoyée, on se roule une nouvelle pelle. En temps normal, j'aurais jamais roulé une pelle à un mec qui vient juste de décrasser une teub bien crade mais là, dans l'excitation, ça ne me gêne pas le moins du monde. Je sens le goût de mon from dans sa bouche. Bien sûr, j'avais déjà goûté à mon propre from en passant un doigt dessus pour en prendre un peu mais là c’est encore plus excitant… ça colle au palais et ça se répand dans la bouche : le genre de truc qui reste un moment ! Je bande un max  et j'ai trop envie de me faire lécher les couilles. Il est maintenant allongé à poil sur le lit, je m’accroupis sur sa face afin de lui donner mes couilles à lécher tout en me branlant. Je sais pas vous mais moi j'adore qu'on me lèche les couilles ! Il passe sa langue entre les couilles et mon trou… Putain cette zone chez moi, c'est terrible ! ça me fait trop de bien de me faire lécher le dessous des couilles. Je me branle en même temps mais au bout de quelques secondes, je sens que la sauce monte. J'arrête aussitôt de me branler puis je lui donne mon fion à sniffer.
Il y colle le pif direct puis se met à me lécher les fesses à grands coups de langue. Il passe ensuite la langue sur ma raie daubante, tout en se shootant littéralement avec ma bonne odeur de fion humide. Il enfonce sa langue bien au fond de mon trou, ce qui a failli me faire jouir direct ! Un fois la rondelle bien décrassée, je me mets à genoux et il se redresse aussitôt pour me sucer. Après avoir sniffé mes odeurs de jeune mâle en rut et avoir nettoyé ma teub et mon fion, il va goûter à mon jus ! Je lui colle donc ma queue bien au fond de la bouche (c'est trop bon de se faire engloutir la teub par une bouche chaude !) et après quelques vas-et-viens dans sa bouche, je largue mes jets de sperme en gueulant ! Je l'entends avaler 3 ou 4 jets bien puissants, mais je sens qu’il a du mal à tout gobé tellement y’en a. Mais il a quand même tout avalé et visiblement, il a bien aimé le final. Moi aussi d’ailleurs ! On s’est ensuite rhabillés puis je l’ai raccompagné à sa voiture. On s'est dit à la prochaine mais je ne l’ai jamais revu sur msn.
Voilà, j’espère que ma première expérience de décrassage vous a bien fait bander et juter. Merci à Teubcrade et longue vie à ce blog ! Bonne branle et peut-être à bientôt...

BITOFROM

Par BITOFROM - Publié dans : Témoignages
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Mardi 16 juin 2 16 /06 /Juin 17:40

Comme promis, je continue à publier les quelques témoignages hyper bandants que vous m'avez envoyés ces deux derniers mois... Visiblement le plan pisse de HAIRYLEGS94 ne vous a pas laissé indifférent et je pense que beaucoup d'entre vous y repenseront lorsqu'ils s'arrêteront pisser dans les chiottes d'une aire d'autoroute cet été ! ;-)

Je pense que vous devriez également kiffer grave le nouveau témoignage de XAV (alias HARDHAIRY) qui, après avoir servi de vide-couilles à 3 potes de rugby puis s'être fait loper par un ouvrier du BTP bien macho sur Marseille, s'est maintenant trouvé un master bien hard pour le faire progresser. Et pour commencer ce dressage, une bonne mise à dispo de ce bâtard dans des chiottes désaffectés pendant toute une nuit... C'est clair que pour un début c'est carrément trash mais passée l'appréhension des premières heures, cette chiennasse a eu l'air d'apprécier d'être mise à dispo. D'autant plus que son master lui avait sélectionné de bons queutards bien och et hyper daubants ! De quoi lui en mettre plein les narines, et vous faire cracher un max de yop à la lecture de son récit...
Je vous laisse découvrir ce plan de ouf, illustré là-encore par des pics du net pour le rendre encore plus bandant ! Bonne sturbe à tous !!!

Salut les mecs ! Je ne résiste pas à l'envie de vous raconter ma dernière aventure. J'avais esperé ce genre de plan depuis longtemps, sans jamais fanchir le pas... C'est maintenant chose faite. 

Depuis quelques mois, je suis en relation avec Olivier, un master de 40 ans physiquement très différent de moi. Il est haut comme trois pommes, moi je mesure 1m96, il est imberbe moi je suis très poilu, il est très musclé, moi je suis longiligne. Ce qui nous a bien rapproché c'est le cul ! Il prend son pied à humilier, à utiliser un mec comme urinoir, comme nettoyeur de raie, de couilles, de gland fromageux, d'aisselles, de panards. Nous nous sommes rencontrés dans une boîte à cul et j'ai pu lui montrer que je pouvais être le bâtard idéal pour lui. Quand je lui ai raconté mes derniers exploits de clebs à dispo, il s’est senti dans l’obligation de faire mieux. A peine étions nous sortis de la boîte qu’il m’emmena sur une aire de repos désaffectée pour me montrer le lieu de ma prochaine humiliation. J’avais bien vu que cette aire de repos où rodaient habituellement des gays avait été supprimée, mais je ne savais pas qu’il était encore possible d’y accéder par un chemin. A l’origine, il devait y avoir trois pissotières, mais celle du milieu avait été retirée. Il restait donc deux pissotières puantes avec un bel espace entre elles, des graffitis porno sur les murs, bref le lieu idéal pour une lope en mal de baise bien crade !

Pour me mettre en appétit Olivier m’ordonna de me mettre à genoux entre deux urinoirs et il m’arrosa de sa pisse chaude avant de m’enfourner sa bite pour me limer la gueule pendant de longues minutes. Il était tellement excité qu’il juta sur mon tee-shirt avant de me ramener chez moi.
T’inquiète Xav, je te prépare un plan comme tu n’en as jamais fait, tiens-toi prêt dans un mois en jock et chaps, le cul nikel !
Le mois de septembre aura été le plus long de l’année pour moi, d’autant qu’Olivier me tenait informé de l’avancement de son organisation par texto chaque jour. Connaissant mon goût pour les décrassages, il s’appliquait à me trouver des mecs bien daubants. Le 26 septembre j’ai reçu le texto suivant : « mon pote maçon s’est toujours pas savonné la bite depuis le début du mois, ses collègues lui disent qu’il commence à puer ». En rentrant chez moi le soir-même, j’ai pu admirer le slob du pote en question, du jamais vu…je me touchais à peine la bite que je crachais toute ma sauce tellement j’étais excité de savoir que 4 jours après j’allais morfler, mais je ne savais toujours pas combien de bites allaient défiler en moi. La nuit du 29 au 30, j’ai eu beaucoup de mal à trouver le sommeil, je bandais comme un âne et dès que je m’endormais je rêvais aux chiottes de l’aire de repos. 

Le 30 septembre à 22 heures, Olivier s’est présenté chez moi : rangers, treillis, débardeur blanc. J’étais en tenue de combat moi aussi, mais le cul à l’air. Putain j’avais la gorge serrée et je ne voulais rien lui demander.
Alors ma salope, ta chatte est bien propre, on va bien t’utiliser, prépare-toi à une grande soirée !
Sans rien dire, je l’ai suivi dans sa bagnole. Il m’a demandé de retirer mes groles et il m’a enfilé une cagoule, et des bracelets en cuir aux bras et aux chevilles. Avant de démarrer, il me força à sniffer son paquet qui daubait un max à travers le treillis, je l’ai alors supplié de sortir sa bite pour bien en profiter.
T’inquiète, t’auras le temps de l’avoir dans la gueule celle-là et un maximum d’autres !
Je me suis redressé et nous avons roulé 20 bonnes minutes sans un mot. A peine arrivée à l’aire de repos, je me suis retrouvé attaché par les poignets entre deux pissotières assis le dos au mur. Olivier me retira la cagoule, pour m’enfourner direct son gland recouvert de fromton…
Lèche-moi ça sale pute !  Passe bien ta langue autour du gland que je sois bien propre du zob !
Je m’exécutais avec plaisir en me recevant ses mollards dans la gueule et je m’excitais un max à sentir de chaque côté de ma tête les pissotières. C’est alors que deux mecs se mirent à pisser dans les deux urinoirs. Celui de droite me montra son slob avant de sortir sa bite, ça ne pouvait être que le maçon tellement il puait du slob simplement en ouvrant son jean.

De l’autre côté, c’était un jeune beur en survêt et skets super mignon, qui bandait déjà avant même de pisser. Il ne tarda pas à pisser à côté de l’urinoir et à se diriger vers ma gueule pour me la remplir, comme si j’étais une simple pissotière, son fromton mélangé à sa pisse me dégoulinait sur la gueule et il en profitait pour me débarbouiller avec. Il me prit la tête avec ses deux mains pour me guider sous ses couilles : ça puait la transpiration et l’odeur de jeune mâle négligé. Voyant que ses couilles poilues m’excitaient bien, il décida de me les foutre toutes les deux dans la bouche. Elles avaient un goût âcre et je me délectais à les faire rouler sous ma langue pendant qu’il se branlait en crachant sur sa tige. Je récoltais du coup ses mollards qui glissaient sur ses couilles.

Il se retourna sans rien dire et me présenta sa raie poisseuse que j’ai dû lécher comme une chienne. A l’évidence, il n’avait pas pris de douche et il écartait bien sa raie pour que je pénètre sa rondelle avec la pointe de la langue. Olivier me félicitait et se mit à me pisser sur la raie du beur en me demandant de bien nettoyer jusqu’à la dernière goutte. Je ne me touchais pas la bite car j’aurais craché tout de suite. J’avais carrément oublié l’ouvrier qui finissait de pisser à côté, mais il retira ses rangers et se mit à essuyer la raie pisseuse du beur avant de m’enfourner ses panards puants. Il avait des cho7 en laine kaki bien cartonnées et je ne savais plus où donner du pif entre l’odeur de la raie, celle de la pisse d’Olivier et celle des panards du maçon. Les trois se sont relayés pour m’enfiler leur zob dans la gueule en m’insultant et en me crachant sur la gueule pendant 20 bonnes minutes... C’était déjà l’extase pour moi et j’allais me satisfaire de ce bon plan avec trois dominateurs. J’attendais plus que les enculades à la chaîne avec ces trois membres bien dimensionnés. 
Olivier décida alors de me détacher pour me retourner à 4 pattes et il replaça les menottes pour bien me fixer les deux mains aux urinoirs. J’avais le cul offert et je me suis dit que mes trois gaillards allaient en profiter un max. Le maçon se plaçait alors contre le mur, jambes écartées pour que je puisse gober son chibre qui puait et les deux autres m’ont limé en me claquant le cul. L’ouvrier s’est servi de son slob immonde pour me bâillonner, car je gueulais trop, j’avais quasiment envie de vomir tellement il était dégueulasse, et il m’encula direct comme un bourrin pendant que les deux autres buvaient une bière en me pissant dessus. J’étais trempé par la pisse, je commençais à avoir froid, et j’avais la gueule qui puait le fromton. J’avais mal au cul, mais je savais qu’au bout d’un moment je prendrai vraiment du plaisir à me faire défoncer.
Olivier tu nous as trouvé une bonne pute bien docile, faut en faire profiter les autres !
Le jeune qui n’avait rien dit jusque là me prit alors par les cheveux pour que je le suce et il se mit rapido à me juter sur le cou en me traîtant de salope, de tire-jus, de vide-couilles. Il me donna une baffe, m’essuya son foutre avec une de ses cho7, j’ai sniffé ses skets pouraves, et il s’est cassé. Olivier et son pote l’ont suivi jusqu’à sa bagnole et je les attendais pour m’occuper de leurs bites… Sauf que j’ai clairement entendu trois bagnoles repartir, et je me retrouvais menotté à deux urinoirs, sur une aire de repos abandonnée, trempé de pisse, le cul en l’air…

 

J’ai vraiment cru que des flics passeraient pour faire une ronde et qu’ils me trouveraient attaché, souillé, et j’ai vraiment paniqué. Comme dans les films, je me suis demandé comment me libérer les poignets des bracelets en cuir, j’ai essayé de forcer sur la tuyauterie des urinoirs qui ne risquait pas de bouger, et j’échafaudais une explication au cas où quelqu’un viendrait. Après de longues minutes, j’ai entendu une moto s’arrêter, j’ai vraiment cru que c’était les flics, j’avais une trouille d’enfer et je ne risquais plus de bander… C’était l’aventure de trop et j’allais être vacciné pour un moment ! Deux mecs se sont pointés avec leur casque et ils se mirent à se foutre de ma gueule à 4 pattes et attaché. Ils se sont tous les deux pointés devant chaque urinoir et ils ont sorti leur zob. Celui de droite m’a rassuré, en se décalottant pour pisser car j’ai vu du fromton tomber de son gland. Il le récupéra dans la pissotière et il me l’enfourna direct dans la gueule.
Olivier avait raison c’est cool de venir pisser ici ! Hein Eric, qu’est-ce que t’en penses ?
Je me suis retourné vers le deuxième mec qui avait une putain de grosse queue avec un long prépuce, tout ce que j’aime.
Ben ouais, on va l’essayer cette chienne !
Eric s’est tourné vers moi pour finir de me pisser dans la gueule en m’enfournant direct sa bite. Il ne bandait pas encore totalement et je sentais son prépuce au fond de la gorge qui ruisselait de pisse. Après avoir tout englouti, j’ai commencé à bien le sucer pour lui faire gonfler son chibre. Son gland s’est bien libéré, il avait aussi du from et il gémissait de plaisir en me voyant le sucer, l’autre semblait jaloux que je ne m’occupe que de la bite de son pote, il s’est mis à m’insulter :
Ben alors t’es une salope ou t’es pas une salope ?!! Si t’es là pour faire ta sucrée et choisir tes bites, je me casse !

Sans rien dire, je me suis approché de son paquet et je m’en suis bien occupé pendant quelques minutes alors qu’il me collait des baffes. C’est alors que l’autre est passé derrière, a enfilé une Kpote et m’a bourré comme une bête pendant que je suçais l’autre qui commençait maintenant à me complimenter. Ils se sont relayés entre mon cul et ma gueule et ils ont fini par me juter dessus. Sans rien dire, ils se sont cassés, et je n’étais pas plus avancé. J’avais bien dégusté, mais je ne savais toujours pas ce que j’allais devenir.

 

Deux minutes après, c’est Olivier qui s’est pointé avec son pote maçon et deux autres gars, genre portugais, poilus comme j’aime.
Pour finir ta soirée de lope, tu vas satisfaire mes deux collègues ! me lança le maçon. Ils ne s’étaient pas changés après leur taff, et ils puaient la transpi. Olivier me détacha et il m’ordonna de lécher les deux mecs en partant des aisselles jusqu’aux panards. J’aime les plans crades, mais là c’était cho pour moi, surtout les panards qui daubaient un max dans leurs bottes de chantier. Les quatre gaillards m’ont ensuite enfilé les uns après les autres pendant que la file d’attente se formait devant ma gueule pour que je suce, et je me faisais insulter dès que je montrais des signes de fatigue. J’ai fini assis entre les deux urinoirs avec le foutre que les quatre mecs ont carrément largué en même temps sur moi.

J’avais plus qu’à me branler avec tout ce foutre pour jouir comme rarement ça m’est arrivé… Un vrai régal !!! Mais heureux d’avoir pu rapidement me retrouver à la maison sous ma douche tellement j’étais souillé !

 

XAV (alias HARDHAIRY)

Par HARDHAIRY - Publié dans : Témoignages
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Vendredi 12 juin 5 12 /06 /Juin 17:22

Alors les mecs, pas mal ces deux queutards en train de pilonner leur batard, non ?!! Comme promis, je vais commencer à publier les contributions que quelques-uns d'entre vous m'ont envoyées ces dernières semaines et qui, je l'avoue, m'ont fait cracher un max ! A commencer par le témoignage de PIERRE, un bon p'tit batard de 21 ans kiffeur d'odeurs qui s'est récemment fait larver à la pisse lors d'un arrêt dans les chiottes de l'autoroute... Et on peut dire que pour une première, son iniateur ne l'a pas ménagé ! Mais à voir comment il triquait à la fin du plan, couvert de jus et de pisse, je suis sûr qu'il était prêt à remettre çà direct ! ;-)

Comme d'habitude, et sauf mention contraire, les pics illustrant l'article ne sont pas des pics réelles du plan mais des pics prises sur le net, donc inutile de laisser des commentaires pour dire qu'elles ne correspondent pas exactement au plan... Je les fous juste histoire de vous filer encore plus la gaule ! Alors bonne sturbe à tous et merci à toi Pierre ne nous avoir fait partager ce putain de bon plan bien crade !!


Salut Teubcrade ! Je m'appelle Pierre, j'ai 21 ans typé espagnol, musclé sec et bien passif, bonne gueule de salope et grosses narines avides d’odeur de teub ! Je vis à nantes et ça fait un an que je kiffe ton blog. En attendant de pouvoir décrasser ta teub mythique, je t'envoie un plan que j'ai fait la semaine dernière. J’espère qu'il mettra le barreau direct à tous les kiffeurs du blog parce que moi j’ai bien pris mon pied !

La semaine dernière en revenant sur Nantes, grosse envie de pisser ! Je décide innocemment de m’arrêter sur une aire d’autoroute pour me soulager. Je gare ma caisse et constate que le parking est bien chargé. Je descends et me dirige vers les chiottes.
A l’intérieur plein de graffitis de bites, de couilles, d’enculade... Soudain, un mec me rejoint et s’installe devant la pissotière à coté de la mienne. Il sort sa teub et commence à se gratter les couilles et à s’astiquer doucement le manche. Il avait une putain de belle teub : épaisse et bien veineuse comme je kiffe avoir en bouche ! Et surtout, j’ai commencé à sentir une odeur de pourri bien bandante.  Il m’a foutu le barreau direct et ça, il l’a bien vu.

D’un coup, il me saisit brutalement par le col de mon T-shirt et m’envoie dans la cabine de chiotte. Il rentre et ferme la porte à clef. C’est sûr, il va me faire ma fête ! Un bon regard de tueur, un mollard direct envoyé sur la gueule sont les prémices du plan. Bien docile, je me fous direct à genoux prêt à manger chaud. Le mec se rapproche de moi, me passe la teub devant le pif et commence à me la faire sentir. Putain, je me rapproche et commence à renifler à plein poumon. Il approche bien sa teub et me colle le gland sur chaque narine histoire de bien être sûr de marquer son territoire. Il me graisse bien le gland sur le pif et sur la bouche avant de décalotter son gland. Pas beaucoup de from mais un putain de fumet à faire vomir les novices. J’ai donc voulu commencer à décrasser cette teub dégueu quand le mec à juger  utile de me faire faire une autre activité. Il m’a pris par le cou en serrant bien fort ses deux doigts et m’a placé au dessus de la cuvette des chiottes. Je ne savais pas ce qu’il attendait de moi. D’un coup, il m’a appuyé sur la tête jusqu’à ce qu’elle touche la cuvette. Ces gestes étaient insistants, bien virils limite violents. Son but était que je récure la cuvette des chiottes maculée de pisse. J’ai trouvé çà dégueu et j’ai eu un mouvement de recul. Le mec m’a alors empoigné tellement fort que j'ai été obligé d'obéir. Je me suis mis à récurer la pisse des chiottes devant le sourire du mec qui me forçait à le faire. Rapidement, j’ai commencé à prendre mon pied et je me suis appliqué dans cette nouvelle mission.
Jugeant mon travail bien fait, il m’a laissé le droit de renifler sa teub et de sortir ma langue pour commencer à décrasser son matos. Rapidement, il s’est mis en mode « j'te défonce la gorge » ! Il me maintenait bien fermement la tête et foutait des grands coups de reins. Ses couilles venaient claquer sur ma gueule à chaque mouvement. Il a joui très vite en m’envoyant sa purée direct en fond de gorge. Il s’est retiré de ma bouche et m’a souri sadiquement. A ce moment là, il a sorti de sa poche une capote usagée qu’il s’est vidé dans la main. Il s’est rapproché de moi et m’a englué la gueule avec cette semence dont je ne connaissais pas le fournisseur. Puis il s’est cassé sans un mot, me laissant en plan avec une bosse énorme dans le fut et du sperme jauni dégoulinant sur mes fringues.

Bonne expérience que je recommande !

Par Pierre - Publié dans : Témoignages
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Dimanche 5 avril 7 05 /04 /Avr 12:03

Alors les queutards, on profite des premiers rayons du soleil pour transpirer un max et s'en foutre plein les narines ?! lol Visiblement, l'arrivée du printemps a réveillé les hormones de beaucoup d'entre vous qui redécouvrent les plaisirs de bons plans sniffage et décrassage en pleine nature ! C'est d'ailleurs le cas de mon pote PAMPA, toujours aussi cho du zob, qui malgré les températures encore un peu fraîches, n'a pas hésité à suivre en forêt un pur beau gosse looké militaire rencontré sur le net pour un plan décrassage hyper bandant dont vous me direz des nouvelles ! Je précise que si le plan est réel, les photos qui l'illustrent viennent du net (ben oui, c'est pas évident de prendre pics quand on est en train de récurer un keum des pieds à la teub ! lol). Et n'hésitez pas à laisser de nombreux commentaires à Pampa afin qu'il nous fasse profiter de ses prochains plans bien och !!!


Depuis quelques jours, je surfe sur le net à la recherche d’un plan…Clics de souris et tapotage de clavier… Sites de chat, les mecs passent.. On me demande si je vais bien, échanges de mensuration à répétition, confrontation de "trips"… Le temps passe, les mythos aussi, et je finis par en voir un qui se connecte avec une pic de pur beau gosse en tenue militaire, très jeune. Je le contacte pour le fun, juste histoire de lui dire qu’il est mignon, réponse : « Dispo quand ? ». Moi : « Quand tu veux ! ».

Le rendez-vous est pris pour le lendemain après-midi, le gars m’arrose de sms bien chauds avant le moment de la rencontre, et bien sûr je ne manque pas de lui préciser qu’il n’a pas besoin de se doucher d’ici notre rencontre. Ça ne le dérange en rien, et il m’avoue même que ça fait deux jours qu’il zappe la douche. Ses textos continuent de pleuvoir et il semble attendre de ma part un bon décrassage dans les règles. A voir si tout cela est bien réel…

Le moment venu, il est à l’heure, un beau mec de 19 ans, brun, cheveux très courts, des yeux bleus perçants, un vrai beau gosse bien viril, look militaire. Passées les présentations, je nous conduis tranquillement sur les routes en direction de la forêt où il m’indique la direction d’une cabane construite avec ses potes, le tout en discutant de thèmes classiques et convenus. Arrivé en lisière du bois, il faut continuer à pied. On grimpe entre les arbres, il m’amène vers une cabane construite sommairement à l’aide de planches de bois, fermée (ce qui est appréciable vu les températures encore fraîches). Nous entrons dans une petite pièce exiguë avec pour seul mobilier un vieux matelas en mousse.

Il me sort alors d’un ton naturel :
— J’ai trop envie de pisser, t’as soif j’espère !
Il ouvre alors sa braguette, baisse son slip d’une main et sort sa teub toute molle, découvrant un peu son gland bien rose. Je me mets à la hauteur de son entrejambe, son odeur de mec arrive à mes narines : ça sent déjà bien bon le slip bien porté et les parties pas lavées. Je ferme docilement mes lèvres sur le bout de son sexe et laisse venir...
— Attends… Ça vient ! me dit-il, concentré.
Je reste à genoux devant ce jeune engagé.

— Tiens…Avale !
Un fin jet d’urine m’arrive dans la bouche et je prends sa pisse bien chaude et salée avec un arrière-goût de Corn Flakes. Il pisse doucement. Ça prend du temps. Seul le bruit régulier de mes gorgées au fur et à mesure que je déglutis trouble le silence de la cabane. J’avale tout jusqu'à la dernière goutte, une des rares fois où j’avale toute la pisse d’un gars, et c’est trop bon, à croire que j’étais fier de lui avoir servi de d’urinoir, avec en prime une agréable sensation de chaleur dans l’estomac.
— Putain ! T’as tout avalé ! qu'il me dit, l’air étonné.
— Dommage, j’aurais bien voulu que t’en lâches un peu sur tes fringues.
Je le regarde avec de grands yeux ronds...
— Et comment je rentre chez moi après ?
Il prend alors la base de sa queue entre deux doigts et la tape sur ma gueule, ce qui fait gicler ses dernières gouttes un peu partout sur moi, en particulier sur mon front et mes joues. Je sens des gouttelettes de pisse qui me coulent le long des joues. Le bout de son gland humide passe ensuite sur mes lèvres et je m’empresse de l’engloutir, mais il la retire et se dirige vers le matelas.
— Maintenant, j’ai bien envie de me faire lécher les panards !
Il s’affale sur le vieux matelas et s’allume un bedot.
— Allez !
Le message est clair.
Je commence à enlever une sket, une odeur chaude et masculine s’en dégage.

— Et j’espère que tu feras comme je t’ai dit, passe bien entre les orteils !
En effet par sms, après lui avoir proposé de lui lécher aussi les panards, il m’avait répondu avec grand plaisir mais qu’il voulait que je passe bien entre les doigts avec la langue.
J’enlève la chaussette, et commence à lécher ce beau pied aux ongles trop longs sur toute la longueur. J’ai son goût plein la bouche, ça sent fort, et ça me fait bander comme un malade. Je m’attaque à lécher les orteils un à un, je récolte des bouts de peau qui collent dans ma bouche à chaque coup de langue, le tout avec cette odeur écœurante de panards. Putain, c'est qu'il daube grave le gars !

— Comme je t’ai dit, j’ai la flemme de me laver depuis quelques jours…Mais t’as l’air d’aimer !

Sûr que ça me plait ! C’est infecte mais je suis carrément excité, et mon nettoyage appliqué semble lui plaire tellement de bien qu’il pousse alors son pied dans ma gueule pour que ses orteils soient au chaud pendant que je racle à coups de langue tout ce que je peux bouffer. Il retire ensuite brusquement son pied.
— Laisse tomber, remets ma sket, j'me caille trop… Viens plutôt me nettoyer la queue !

Je m’exécute et remonte vers son entrejambe. Sa queue est déjà  plus grosse, bien large avec un gland humide qui dépasse du prépuce, mais il ne bande pas à encore à fond.
— C’est là que ça sent le plus fort, quand j’vais pisser je décalotte même plus tellement ça pue la bite après !
Il repousse alors son prépuce, laissant apparaître un gland bien rouge et baveux de mouille et de fromton. J’approche le nez comme un clebs, mais j’ai un mouvement de recul instinctif. Ça pue le fromage corse, le jus de vieilles branlettes et la pisse.
— Tiens regarde là...
Avec son pouce et son index, il malaxe de petits morceaux de fromton qui s’agglutinaient sous le rebord du gland. Après avoir joué avec à quelques centimètres de mes narines, il ne manque pas de les mettre dans ma bouche pour les essuyer en les frottant contre ma langue.
— Faut que tu nettoies ici, ça schlingue grave ! dit-il en mettant ses mains derrière ma tête alors que j’effleure doucement du bout de la langue chaque coté de son gland, récoltant à chaque lapée un peu des dépôts à l’extrémité de sa tige répugnante.
Je lève les yeux vers lui pile au bon moment pour recevoir un mollard qui s’écrase sur mon nez et coule peu à peu sur ma bouche.
— C’est pour faire couler, salope ! qu’il me dit avec un sourire moqueur alors que je le gobe en l’aspirant.
Malgré son jeune âge, ce mec est très bien inspiré.
Je continue mon décrassage appliqué, sa teub est maintenant bien raide et je le pompe à fond, le nez dans sa touffe de poils pubiens aux effluves enivrante de plusieurs jours passé à transpirer dans son intimité. Je léchouille un peu ses couilles et continue en dessous. Il n’en faut pas plus pour qu’il se lève et me fasse signe de m’allonger sur le dos.
— Bonne idée, mets-toi là, tu seras plus à l’aise pour me lécher le trou du cul !

Allongé sur le dos, je le vois baisser son fut aux genoux et il s’assied littéralement sur ma gueule. J’ai son trou du cul poilu et moite sur la bouche. Ça sent fort, et je ne réfléchis pas trop avant de lui fouiller le trou à coup de langue  pendant qu’il me branle la queue sur cette vielle banquette. La position devient rapidement inconfortable pour lui, aussi il enlève son fut et se réinstalle confortablement sur mon visage. Son trou est trop bon, je l’embrasse et essaye d’y enfoncer ma langue au plus profond du mieux que je peux, le faisant parfois couiner de bonheur. Lui me suce bien la teub, et me gratifie même d’un  « Elle est bonne ta queue ! ». En effet, elle est bien crémeuse, comme il m’avait demandé. Depuis la veille, je m’étais branlé plusieurs fois en y laissant mon foutre pour qu’il ait de bons restes et une bonne odeur de keum.

Je jute rapidement, et il avale en grognant de plaisir. Lui vient à son tour. Je lui demande de me donner son sperme. Il se retourne alors, le poing serré autour de sa bite dégoulinant de sperme au-dessus de moi, je garde la bouche grande ouverte pour recevoir ce qui tombe. Son jus est bien épais et goûteux. Il essuie sa teub sur ma gueule en ramenant tout vers ma bouche. Je finis de le nettoyer comme un bon clebs, heureux de sentir son foutre me descendre dans le gosier.

Le froid aidant, nous ne mettons pas bien longtemps pour nous rhabiller et prendre le chemin du retour. Toujours est-il qu’en cherchant, on peux finir par trouver des beaux p'tis mecs branchés crade, même dans une petite ville...

Par Pampa - Publié dans : Témoignages
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