Toujours aussi excitant ce p'tit keum du 94, non
?!! Et visiblement ce n'est pas le seul si j'en crois le témoignage que m'as envoyé POUTICHO26, un mec de 41 ans sur Valence, 1,85m pour 75kg, bien foutu mais pas sportif, poilu torse et jambes, cul imberbe et
couilles rasées, teub 17cm circoncis, plutôt passif, bon têteur. Il recherche des mecs bien foutus, actifs et cool dans la région de Valence pour de bons plans odeurs et pisse, mais pas
scat ni trop crade. Alors si ça vous êtes intéressés, n'hésitez pas à la contacter... il n'attend que çà ! ;-)
Dans ce récit hyper bandant, il nous raconte un de ses meilleurs souvenirs de plan odeurs avec un bidasse hétéro en perm rencontré lors d'une soirée, qui le ramène chez lui pour le
baiser comme une pute et en faire profiter un de ses potes bidasses, en perm lui aussi... Franchement, je suis comme toi mec, je kiffe grave les bidasses bien bourrins dans ce genre. Ils savent
se lâcher grave lors d'un plan (surtout avec quelques bières dans le nez comme là ! lol) et je garde d'excellents souvenirs de baise avec des militaires bien och. D'ailleurs si vous
aussi vous avez des anecdotes ou des plans bien hard avec des bidasses à nous faire partager, n'hésitez pas ! Mais pour lors, préparez-vous à gicler un max de yop avec ce putain de récit... moi
j'en ai encore le calbut tout gluant ! ;-)
C’était déjà l’été mais pas encore les vacances et
j’étais coincé en ville pour une soirée anniversaire chez un collègue alors que je n’avais qu’une envie : me lever un petit mec de préférence odorant pour un bon plan à la cool.
Je me suis tout de même connecté histoire de trouver un mec pour ma fin de soirée car je ne comptais pas
jouer trop longtemps le gay de service dans cette soirée hétéro bon teint. La soirée ne s’annonçait
pas top et au bout d’une heure sans rien trouver de concret sur mes rézos préférés, je décidais d’aller à l’anniv de mon pote.
Il y avait la petite bande de collègues et de potes habituelle et l’ambiance commençait à être bien chaude quand je suis arrivé vers 21h30. Bien sûr, je me suis fait chambrer sur ma tenue
parce que je n’avais fait aucun effort pour me saper. J’étais resté en baggy et skates pourraves, espérant aller draguer après la fête.
Au bout de mon cinquième verre, je commençais à m’emmerder grave, à passer d’un groupe à l’autre et je me creusais la tête pour trouver un prétexte bidon pour m’éclipser quand un jeune mec bien bandant fit son entrée. J’abandonnais aussitôt mes projets de départ et essayais d’en savoir plus sur le nouveau.
J’étais à interroger discrètement la meuf de mon pote sur lui quand il s’est approché de nous pour
embrasser Marie qui m’a donc présenté Thibault, le cousin de mon collègue. Je lui serre la main et
d’entrée, il me balance en souriant :
— C’est toi le collègue pd de Cyril ? Il paraît que t’es plutôt un marrant.
Marie lui file un grand coup de coude en le traitant de gros naze mais je lui dis que ce n’est pas très grave.
Visiblement, il est déjà bien allumé le petit cousin, Cyril m’avait parlé de lui une fois en des termes pas
très cool, gentil garçon mais plutôt bourrin, d’ailleurs il venait de s’engager dans l’armée.
Là dessus, il se casse vexé en disant que c’était juste pour chambrer et file dans la cuisine se chercher un verre.
Je le regardai traverser le groupe des danseurs et je dois dire que son petit cul moulé dans son jogging blanc me fait le trouver très intéressant. 25 ans, pas très grand mais bien balancé,
blond ras, le muscle rond et la peau blanche avec tâches de rousseur. Tout ce que j’aime.
Je le guettais toute la soirée draguer sans complexes toutes les filles canons mais ça n’avait pas l’air de
marcher des masses. Tant mieux.
Vers minuit, j’étais à siroter un dernier verre dans la cuisine quand il s’est pointé refaire le plein de Jack Daniels. Nous étions seuls. Un peu gêné, il s’excuse pour son mot de tout à
l’heure et remplit mon verre vide. On commençait à bien discuter quand on s’est aperçu que les gens partaient petit à petit. On décide de se casser nous aussi et en sortant de l’immeuble,
il me propose un dernier verre chez lui. Il habite à 15 minutes à pied. On traverse les jardins de la mairie quand il s’arrête pour pisser dans un bosquet. Bien sûr, j’ai prétexté une
grosse envie pour faire comme lui et voir ce qu’il avait dans le jogging. Comme je sors ma teub, il tourne la tête et me mate avec un sourire vicieux de petit lascard. Bientôt, il se rapproche
de moi la bite toujours à la main, se plante devant moi, m’arrose le baggy de sa pisse odorante et me sort direct :
— Je suis sûr que t’aimes ça, petit salaud !
Le temps de
répondre, j’avais le futal trempé et la queue raide. Forcément, je me suis vite retrouvé à genoux devant son jet puissant qui me remplissait la bouche de sa bonne pisse chaude. Il
continuait à bien m’arroser tout en me motivant aux insultes quand son tel sonna. Il décrocha en me disant de continuer à bien le pomper. C’était un pote en perm comme lui. Soudain, je
l’entends demander à son pote s'il n’avait pas envie de se vider dans une bonne lope car il en avait justement une accrochée à sa teub qui lui avalait la pisse en direct. Il raccroche, m’enlève
son jouet odorant de la bouche, me relève et me dit qu’on va continuer chez lui avec un de ses potes, ce sera plus cool... En plus, le mec est super bien monté et il adore les bonnes têteuses
comme moi. Je le suis de plus en plus excité et pour me faire patienter, il m’autorise à lui tâter
la teub à travers le jogging jusqu’à chez lui.
Dès que nous sommes dans l’appart, il m’ordonne de me foutre à poil et de lui décrasser la teub en attendant son pote. Sa queue dégageait grave, il avait un long prépuce et en le décalotant
petit à petit, j’ai trouvé des trésors de from bien crémeux. J’y passais des petits coups de langue délicats histoire de profiter à fond. Il gémissait de bonheur entre deux volées
d’insultes bien graves dès je foutais ma langue sous son prépuce gluant de mouille.
Quand son pote a sonné, il m’a demandé d’aller lui ouvrir et de me foutre à genoux pour bien lui servir de chiennasse dès son arrivée. Et franchement quand j’ai vu la bombasse, je n’ai eu
aucun problème à me soumettre. Le mec était super barak, plus grand que moi qui fait déjà 1,85m et avec une super bonne tête de militaire.
— Alors c’est toi la bonne lope ? T’est plutôt pas mal pour tes 38 ans. Tu vas voir, ça va être
cool..
Et pour marquer son territoire, il me balance un mollard sur la gueule, me relève en m’attrapant par la nuque et me roule une super bonne pelle baveuse. Il m’entraîne ensuite vers le salon où
Thibault nous attend à poil, assis sur le canap, jambes écartées, une bière à la bouche. Le nouveau se fout à poil direct avant de s’installer sur le canap. Thibault avait raison, Ivan a une
teub de ouf : elle dépasse grave des coussins. Je m’approche espérant le têter quand il m’arrête en me disant qu’il veut d’abord se descendre quelques binouzes pour bien m’arroser ensuite. Pour
me faire patienter, il me donne ses chaussettes et ses skets à sniffer et tous les deux m’encouragent à bien me gazer et à bien lécher. Comme je lui ai bien décrassé les pompes,
Ivan veut me récompenser et me demande si j’ai envie de lui nettoyer le fion. J’ai déjà la langue sur son trou humide et imberbe quand il me lâche
un pet odorant dans les narines. Ca me fout en transe total et je me déchaîne sur sa rondelle pendant que Thibault se relève pour me pisser dessus. Bientôt, je laisse le trou mouillé d’Ivan
pour me brancher sur le jet de Thibault et j’avale entièrement sa deuxième tournée.
J’ai à peine fini de vidanger le petit lascard que son pote me présente sa grosse queue gonflée à bloc mais là, il me
laisse juste la sentir puis il m’entraîne dans la salle de bain, me cale dans la baignoire le cul bien cambré et demande à Thibault de me la mettre profond pendant qu’il lubrifiera mon trou à
la pisse. Thibault y va comme un petit bourrin pendant qu’Ivan commence à pisser doucement. Bientôt sa pisse chaude coule dans ma raie et entre
dans mon cul au rythme des coups de boutoir de son pote. La pièce est saturée de l’odeur enivrante de pisse et ma bite me fait mal tellement je bande. Thibault se déchaîne sur ma rondelle, ses
couilles joufflues me battent le cul et je sens qu’il ne va pas tarder à décharger son bon yop dans mon cul.
Ivan l’encourage à gros jets de pisse et bientôt le blondinet m’inonde le trou de sa jute en gueulant comme un âne. J’ai l’oeillet encore gluant et je sens déjà la pisse d’Ivan
m’inonder le boyau. Et pendant que sa queue molle me flatte la raie, Thibault me présente son derche à nettoyer. La queue d’Ivan grossit bientôt et vient élargir mon trou encore poisseux
de la jute de son pote, il me baise en véritable pro, me calant toute la longueur de son gros boudin dans le fion.
Le cul de mon petit
militaire est un vrai délice, chaud et odorant, j’y colle le pif et la langue avec rage pour le faire gémir, il remue ses fesses, les écarte avec les mains et se sert de ma langue comme d’un
gode. Mais ça ne lui suffit pas et bientôt j’y fous deux doigts que sa rondelle avale sans problème. Il a envie de se faire mettre grave et bientôt Ivan me laisse le trou béant pour aller
calmer la chatte de son pote. Il l’encule debout. Thibault est tellement excité qu’il rebande direct et j’en profite pour lui gober la queue encore gluante de jute.
Soudain, Ivan m’attrape les cheveux et me fout la tronche sur la chatte qu’il pilonne pour que je la lubrifie à la langue, il
m’encourage en me traitant de petite lope baveuse. Puis il veut que je lui gobe les couilles mais bientôt il décule : la chatte de Thibault est super ouverte et baveuse de mouille. Ivan
m’oblige à la nettoyer pendant qu’il commence à se branler sur le cul blanc de son pote, il dirige son gros bout sur la raie moite et quand il lache son jus, je tends la langue
et lèche les grosses giclées qui tombent dans la chatte de Thibault.
Pour me finir, Thibault se retourne pour que je le pompe à fond pendant qu’Ivan me barbouille la gueule de son gros zob baveux. Je prends la décharge du petit lascard en fond de gorge et
j’avale tout. Pour me remercier de l’avoir si bien
épongé, Ivan me branle pendant que je finis de nettoyer la teub de son pote et c’est avec une bonne queue mi-molle dans la bouche que je décharge sur le carrelage poisseux de
pisse.
Je suis resté un moment encore avant de reprendre une
dernière bière et de rentrer en leur promettant de revenir les vidanger lors de leur prochaine perm.
POUTICHO26 (pouticho26@yahoo.fr)
En juin dernier, vu que j'étais en plein exam avec le stress, tout çà, avec un pote de baise on a décidé de fêter comme il se
doit la fin des cours. On se donne donc rendez-vous pour le weekend et on fait la tournée des boîtes et des bars, on se bourre bien la gueule, puis on va à son appart. A peine rentrés
dans le couloir, mon pote m'ordonne direct :
Je m'approche, il me prend
la tête et me la colle direct entre ses jambes. Je sniffe un max et le lèche, je m'attarde sur les taches de pisse et de jus d'homme. C'est vraiment excellent car il vient juste de
finir de pisser donc il y a des taches toutes fraîches à déguster. Je le lèche et le relèche, son boxer est maintement totalement humide à cause de ma salive. Il le retire alors et
me le fout dans la gueule sans ménagement. Je respire ce mélange d'odeurs de pisse, de foutre, de transpi de couilles... Hummmm !!!
A quatre pattes, je suis mon nouveau maître qui m'emmène dans un vieux hangar à quelques mètres de la bagnole. Les potes de Karim
sont là, installés dans un vieux canapé. Ils sont quatre. Trois rebeux et un black. Ils ont aménagé tout un coin du hangar avec des vieux meubles de récup. Sur la table, des bouquins de cul,
les pages collées par le jus. Sur des étagères : des godes, des cordes, des chaînes.
— Laisse-moi la place Yassin ! C'est mon tour de lui péter la rondelle à ce bâtard !
Les autres mecs me jutent rapidement toute leur sauce sur la gueule. Je finis à mon tour par jouir, longuement, et me retrouve
couvert de sauce !
Avec la bénédiction du
frangin, mon p'tit cousin m'encula... Sa queue rentra toute seule dans mon cul tant il avait été défoncé par le mandrin de mon maître. Ce dernier se plaça d'ailleurs debout devant moi, j'étais
allongé par terre, une queue qui s'agitait dans mon cul, et me donna ses ieps à bouffer, agrémentés de quelques mollards qu'il crachait bien au fond de ma gorge. Il n'a pas mis
longtemps à rechopper la gaule et je pus regoutter encore à ses vingt centimètres de pur bonheur... Le petit accéléra, je compris qu'il allait juter, le grand frère lui dit de venir juter
sur sa teub. Il s'exécuta aussitôt. Avez-vous déja taillé une pipe au sperme ? Je peux vous dire que c'est assez jouissif comme truc... Il a donc juté sur la queue de son frère que j'avais en
bonne partie dans la bouche pour mon plus grand plaisir. Mon maître ne mit pas longtemps à venir à son tour dans un dernier râle de plaisir. Il largua une bonne dose de jute dans ma gueule.
J'avalais tout of course !
9 heures. Mon cousin avait
foutu un réveil cet enfoiré, je pense qu'il n'avait pas envie de rater la matinée qu'il m'avait prédite. Sa queue était toujours dans mon cul ! Ouf, il la retira et je me placais sur le ventre
par peur que la pisse de la nuit coule sur les draps. Il sortit de la chambre, ne faisant même pas attention a moi ! Il m'a juste dit qu'il avait faim, et qu'il m'attendait sur la terrasse
pour le p'tit déj'. Je plaçai alors trois doigts dans mon cul et fis un saut par les chiottes pour me vider de la pisse d'un autre mec... C'est pas commun comme truc ! Mais ça me faisait
kiffer grave !
Et là, c'est moi qui fus surpris ! Le salaud, il avait décidé de me faire ma fête, depuis le temps que je l'attendais ! Après avoir
avalé son mollard, il me laisse à peine le temps de reprendre mes esprits et me plaçe la gueule contre le mur afin que je puisse le sucer pensais-je... Il se mit face à moi, à genoux sur le lit,
et me décolla une baffe monumentale, qui me fit basculer sur le côté. J'étais ailleurs, comme sur une autre planète. Il empoigna encore une fois mes cheveux et me replaça contre le mur, face à
lui. C'est là qu'il entreprit de me bourriner la gueule de sa queue. Il plaça le bout de son gland juste devant mon visage. J'avais déjà la gueule grande ouverte. Mais lui ne le voyait pas de cet
oeil. J'avoue que le goût de fruits de mer avariés dont certains parlent sur ce site me sauta au nez. Il avait un long prépuce qu'il n'avait pas complètement décalotté. Il le fit juste devant mes
yeux, et là, je vis apparaître sur son gland une masse blanchâtre qui traînait une odeur forte à la limite de la gerbe. C'est à cet instant que j'ai regretté d'avoir ouvert ma gueule plus
tôt...
Je m'exécutai avec précaution tout de même et allai jusqu'à la salle de bain qui était de l'autre côté du couloir. J'étais à poil.
Je savais ce qui m'attendait là-bas : il avait envie de m'arroser de sa pisse bien chaude et peut-être même m'en faire avaler. Le rêve ! Je laissai la lumière éteinte. Au bout de quelques
minutes, j'entendis une porte s'ouvrir ! Enfin, mon maître va continuer mon dressage... Mais je fus très surpris ! C'était le petit frère de 16 ans qui entrait dans la pièce.
A ce moment, je choppe sa sket trop lointaine et je lui montre qu'il peut me serrer le pacson avec en la rapprochant de mes
burnes à terre et en écartant les cuisses. Tout en me plaquant sa main derrière la tête, il commence à défaire sa ceinture. Pendant qu'il fait sauter son bouton, je baisse sa braguette
avec les dents et je colle aussitôt mon pif dans la fente juste ouverte. C'est bon, c'est chaud, ça sent le mâle, le vrai, le naturel !
Là, il me fait une surprise de
choix, il se retourne et s'accroupissant, il me fout sa rondelle sous les yeux ! Je lui prends les couilles en main pour l'attirer vers moi et il me colle la pastille direct sur le pif. J'en peux
plus, je lui déguste la rosette en lui enfonçant ma langue le plus profond possible, pendant que mes mains se chargent de lui écarter la raie. Assis la tête contre le mur, coincé par son cul, je
suis aux anges. Mais v'là ti pas qu'il m'ordonne de m'allonger par terre... Je m'exécute !
J'ai aussi d'autres trips comme voir un mec les couilles bien pleines en train de se branler devant un miroir et bien gicler
dessus. Un de mes trips pas encore réalisé c'est de voir un mec domi en train de loper un passif soumis, sans participer mais juste en tant que spectateur en me branlant. J’ai un copain depuis 10
ans, mais il n’est pas du tout branché odeurs. On se fait des plans à 3 soft et j'aime bien mater mon mec en train de limer un cul. Je passe alors derrière lui et regarde de près sa bite
qui bourre bien le cul du mec. Mon cop et moi préférons nous partager un passif plutôt qu'un actif. J’aime aussi sniffer les boxers (les miens ou ceux de mon cop), bien les renifler en me
branlant. Je prends toujours un malin plaisir
Je ressors du dial frustré,
puis un jour où j'étais bien décidé à me faire ce genre de plan, j'ai cherché sur plein de site (j'étais en congés et j'avais donc tout le temps de chercher). Après quelques contacts sur le site,
un mec de Toulouse me répond qu’il est ok, je lui donne mes conditions, que je cherche juste a sniffer, me faire sniffer et décrasser et rien d'autre : ça ne lui pose aucun problème.
Plus d'une heure s’écoule
puis le téléphone sonne : il est arrivé en ville. Je lui indique alors les rues à prendre puis de la fenêtre, je regarde. Il descend ma rue, je lui dis de se garer sur le parking juste en
face de chez moi, je raccroche et descends le chercher. Après les présentations d’usage, on monte au premier puis je l’amène dans la chambre. On dial un peu en fumant une clope. Une fois fini, on
s'assoit sur le lit et là, d'entrée, il me roule une pelle. On se caresse puis il commence à sniffer mon tee-shirt. Je remarque qu'il aime et je le laisse sniffer longuement : il passe son
pif partout, y compris sur mes aisselles qui sentent carrément le fauve. Je l'entends renifler à fond puis il descend au niveau de mon entrejambe puis, tout en continuant de sniffer, me regarde
avec un léger sourire. On dirait qu'il est aux anges ! Il profite un max et prend son temps à sniffer tous les endroits. Il revient ensuite ver mon visage et on se roule une pelle d’enfer.
Il enlève mon tee-shirt et colle à nouveau son pif sous mes bras pour bien les sniffer et les lécher. Hummm ça commence à me plaire. Je lui demande s’il aime, il répond « Oui toujours ! » avec ce petit sourire conquis, puis il redescend lentement. Je m'allonge sur le dos et il se remet à sniffer mon entrejambe. Je porte un
pantalon en tissu doublé avec un élastique à la taille ; il tend le devant du pantalon pour sniffer dedans.
Il la sniffe et renifle
longuement mes couilles humides, puis il la prend doucement ma teub en bouche
Il y colle le pif direct
puis se met à me lécher les fesses à grands coups de langue. Il passe ensuite la langue sur ma raie daubante, tout en se shootant littéralement avec ma bonne odeur de fion humide. Il enfonce sa
langue bien au fond de mon trou, ce qui a failli me faire jouir direct ! Un fois la rondelle bien décrassée, je me mets à genoux et il se redresse aussitôt pour me sucer. Après avoir sniffé
mes odeurs de jeune mâle en rut et avoir nettoyé ma teub et mon fion, il va goûter à mon jus ! Je lui colle donc ma queue bien au fond de la bouche (c'est trop bon de se faire engloutir la
teub par une bouche chaude !) et après quelques vas-et-viens dans sa bouche, je largue mes jets de sperme en gueulant ! Je l'entends avaler 3 ou 4 jets bien puissants, mais je sens
qu’il a du mal à tout gobé tellement y’en a. Mais il a quand même tout avalé et visiblement, il a bien aimé le final. Moi aussi d’ailleurs ! On s’est ensuite rhabillés puis je l’ai
raccompagné à sa voiture. On s'est dit à la prochaine mais je ne l’ai jamais revu sur msn.
Voilà, j’espère que ma
première expérience de décrassage vous a bien fait bander et juter. Merci à Teubcrade et longue vie à ce blog ! Bonne branle et peut-être à bientôt...
Salut les mecs ! Je ne résiste pas à l'envie
de vous raconter ma dernière aventure. J'avais esperé ce genre de plan depuis longtemps, sans jamais fanchir le pas... C'est maintenant chose faite.
Olivier décida alors de me détacher pour me retourner à 4 pattes et il replaça les menottes pour bien me fixer les deux mains aux
urinoirs. J’avais le cul offert et je me suis dit que mes trois gaillards allaient en profiter un max. Le maçon se plaçait alors contre le mur, jambes écartées pour que je puisse gober son chibre
qui puait et les deux autres m’ont limé en me claquant le cul. L’ouvrier s’est servi de son slob immonde pour me bâillonner, car je gueulais trop, j’avais quasiment envie de vomir tellement il
était dégueulasse, et il m’encula direct comme un bourrin pendant que les deux autres buvaient une bière en me pissant dessus. J’étais trempé par la pisse, je commençais à avoir froid, et j’avais
la gueule qui puait le fromton. J’avais mal au cul, mais je savais qu’au bout d’un moment je prendrai vraiment du plaisir à me faire défoncer.
Jugeant mon travail bien fait, il m’a laissé le droit de renifler sa teub et de sortir ma langue pour commencer à décrasser son matos. Rapidement, il s’est mis en mode « j'te
défonce la gorge » ! Il me maintenait bien fermement la tête et foutait des grands coups de reins. Ses couilles venaient claquer sur ma gueule à chaque mouvement. Il a joui très vite en
m’envoyant sa purée direct en fond de gorge. Il s’est retiré de ma bouche et m’a souri sadiquement. A ce moment là, il a sorti de sa poche une capote usagée qu’il s’est vidé dans la main. Il
s’est rapproché de moi et m’a englué la gueule avec cette semence dont je ne connaissais pas le fournisseur. Puis il s’est cassé sans un mot, me laissant en plan avec une bosse énorme dans le fut
et du sperme jauni dégoulinant sur mes fringues.
Depuis quelques jours, je surfe sur le net à
la recherche d’un plan…Clics de souris et tapotage de clavier… Sites de chat, les mecs passent.. On me demande si je vais bien, échanges de mensuration à répétition, confrontation de "trips"… Le
temps passe, les mythos aussi, et je finis par en voir un qui se connecte avec une pic de pur beau gosse en tenue militaire, très jeune. Je le contacte pour le fun, juste histoire de lui dire
qu’il est mignon, réponse : « Dispo quand ? ». Moi : « Quand tu veux ! ».
Il me sort alors d’un ton naturel :
Le message est clair.
Il repousse alors son
prépuce, laissant apparaître un gland bien rouge et baveux de mouille et de fromton. J’approche le nez comme un clebs, mais j’ai un mouvement de recul instinctif. Ça pue le fromage corse, le jus
de vieilles branlettes et la pisse.
Allongé sur le dos, je le vois baisser son fut aux genoux et il s’assied littéralement sur ma gueule. J’ai son trou du
cul poilu et moite sur la bouche. Ça sent fort, et je ne réfléchis pas trop avant de lui fouiller le trou à coup de langue
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