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Samedi 2 novembre 6 02 /11 /Nov 15:40

Salut les queutards ! Tout d'abord, un grand merci à tous les mecs qui ont pris le temps de laisser un commentaire sous les derniers articles suite à mon petit coup de gueule (et à tous ceux qui s'apprêtent à le faire). C'est vraiment motivant de constater que vous êtes nombreux à kiffer ce blog et à attendre impatiemment les mises à jour ! Donc pour vous remercier comme il se doit d'avoir rempli cette "règle" des 10 commentaires pour un nouvel article, je vous propose aujourd'hui un article qui vous fera larguer à coup sûr un max de foutre, foi de Teubcrade ! C'est le témoignage d'un de mes potes de longue date, TONIO, bon lascard bi, macho, viril et toujours prêt à gazer une salope avec ses odeurs de mâle... et aussi bien les meufs que les mecs ! Suite à l'article sur les nanas et les odeurs de mecs, mon pote m'a d'ailleurs confirmé que pas mal de meufs kiffaient s'occuper d'un bon bitos odorant, voire même fromageux, sans pour autant oser l'avouer... Et je peux vous dire que Tonio ne s'est d'ailleurs pas privé de se faire lustrer le chibre par de bonnes chiennasses en manque de vrais mâles domi macho.

Tonio (0)Son témoignage hyper bandant raconte d'ailleurs en détails son décrassage par une beurette bien nympho qui le chauffait un max depuis un bon bout de temps... Et visiblement, quand il a enfin réussi à la pécho, cette salope n'a pas eu chagrin de sa course ! Mais comme vous le verrez, tout bon domi macho qu'il est, mon pote Tonio ne rechigne pas non plus à faire la tépu quand un pote hétéro lui déballe son bitos bien fumant sous le pif ! C'est fou ce que l'odeur de bite a tendance à transformer les plus gros domis en décrasseurs hyper salopes ! lol

Allez trêve de blabla, je vous laisse découvrir le témoignage et les pics de mon pote... Il m'a dit qu'il avait grave hâte de lire vos commentaires alors je compte sur vous pour faire péter les compteurs les mecs !!! Et un conseil, sortez vos queues tout de suite si vous ne voulez pas courir le risque de tout larguer dans votre froc en lisant l'article ! ;-)

Tonio (1)Salut poto ! Comme promis, voilà un de mes plans que je souhaite te faire partager à toi et à nos frangins lecteurs du blog ! C'était en mai dernier, environ un mois avant mon départ du 93 pour rentrer en Normandie, dans ma région natale. À l'époque où j'avais emménagé dans mon immeuble en 2010, j'avais fait la rencontre de mon voisin de palier Steven, que j'avais trouvé attirant avec son visage de taulard et son regard perçant.
Bien qu'il était un peu enrobé, il était beau mec. Moi j'étais en couple avec mon mec. Très vite on est devenus amis avec lui et sa femme. On se faisait des soirées dvd entre voisins, des barbecues, etc... Steven était devenu un vrai pote avec qui je bougeais et passais du temps au grand dam de mon mec bien sûr... La belle-s
œur de Steven était logé chez lui avec son mec Walid... sauf que celle-ci très attirante et sexy me faisait constamment du rentre- dedans dès que son mec Walid n'était pas là ! Pendant plus d'un an, j'ai résisté aux avances de la belle-sœur de Steven, voulant rester fidèle à mon mec.

 

Tonio (5)On faisait souvent des soirées où l'on restait dormir les uns chez les autres et j'avais remarqué depuis le début que Steven n'avait pas l'air d'être très fan de douche. J'avais même soupçonné des odeurs douteuses plusieurs fois quand on était en voiture ensemble... Arriva le jour où je me suis séparé de mon mec. Steven et sa femme avaient déménagés dans une ville limitrophe à la mienne, et Sonia aussi s'était séparée de Walid !

J'avoue que bien des fois je me suis paluché en m'imaginant loper Sonia comme une vrai chienne, la souiller comme j'aime le faire quand je sors avec une meuf ! Et oui, je suis bi ! ;-)

Mon fantasme devint enfin réalité le weekend du 14 juillet 2011 ! Steven m'avait invité à venir taper le week-end chez lui, ce qu'on avait l'habitude de faire en bons amis ! On avait convenu qu'avant d'arriver chez lui, je devais récupérer Sonia, sa belle-sœur à son taf. Inutile de vous dire que cette idée me chauffait bien : elle était célib et moi aussi donc le terrain était libre ! Et ça faisait plus d'une pige qu'elle voulait mon bitos de céfran cette magnifique beurette et qu'elle ne s'en cachait d'ailleurs pas, donc j'étais remonté comme un vrai porc en rut ! C'était le moment ! Je ne m'étais pas douché et avais enfilé mes airmax cuir ce qui me chauffait encore plus, surtout qu'en plein mois de juillet la chaleur et le soleil étaient au rdv !!!
Tonio (13)Sonia monta dans ma caisse, se brûlant legèrement les cuisses sur le siège en cuir de ma caisse et on fila vers Sarcelles chez Steven. Il ne fallut pas plus de trois minutes dans la voiture pour que tous deux cochons que nous étions, la conversation tourne déjà sur le sexe !
Alors Sonia, ça fait un moment qu'on se tourne autour toi et moi et que je ne cède pas !
Oui, c'est vrai Tonio, je te trouve super attirant, je me souviens encore le jour où t'as emménagé, on se chamaillait ma sœur et moi pour être la première à te croiser. On te trouvait super beau, et tu m'attires toujours ! Et tu sais Tonio, je suis une meuf qui assume ses désirs !
Ha ouais Sonia ??! (rires) J'ai bien remarqué ça, t'inquiète ! Et dis-moi alors, tu kiffes quoi sexuellement ?
Honnêtement Tonio, j'adore qu'on me domine bien ! Mais les mecs n'osent pas trop en général...
Bah tu veux que je t'avoue un truc Sonia ? Moi, c'est l'inverse... je kiffe trop dominer les meufs, truc de ouf !!!
Autant vous dire que j'avais mon paquet qui allait exploser dans mon jean !

T'es sérieux Tonio ?! Et bien je crois qu'on va bien s'entendre alors !
Oui, là c'est clair Sonia ! Si t'aimes te prendre des baffes, te faire insulter et humilier, on va grave s'entendre, j'te l'assure ma belle !

Tonio (12)On arriva chez Steven et la soirée se passa tranquillement, malgré que Sonia et moi n'arrêtions pas de nous jeter des regards qui en disaient long ! Sachant ce qu'elle aimait, je n'arrêtais pas de lui lancer des regards vicieux pour bien lui faire comprendre que sa chatte allait bientôt m'appartenir et je voyais bien qu'elle aimait ça ! J'avais trop hâte qu'on aille tous se coucher pour enfin me faire décrasser ma bite enfermée pendant toute cette chaude journée dans mon jean et lui labourer sa chatte humide de tous mes doigts et de mon bitos ! Sauf que coup de théatre, Sonia alla se coucher dans la chambre de sa petite-nièce, seule !!!  Rien ne se passa ! Et hors de question d'éveiller les soupçons chez Steven et sa femme !


Le lendemain matin, on se leva tous. J'avais dormi tout habillé et je prétextai à Steven que je devais allez vite fait chez moi prendre une douche, n'ayant pas de quoi me changer. Sonia comprit de suite le message et devant Steven elle me dit :
Attends-moi, je me prépare et je viens avec toi, j'ai besoin d'acheter des cigarettes !
Elle sortit de la salle de bain plus sexy que jamais avec son jean moulant et ses talons hauts qui lui faisaient une silhouette d'enfer ! J'étais fier !
Tonio (11)Ni une ni deux, une fois arrivés chez moi, on se sauta l'un sur l'autre ! J'étais crade de la veille, pas lavé, pas changé, et au bout de 30 secondes de galochage, je l'attrappe par la nuque et la fais descendre jusqu'au niveau de ma bite sale. Il ne fallut pas plus de temps pour qu'elle se mette à me nettoyer le chibre bien comme il faut !


Mon rêve, mes branles secrètes, mon fantasme devenaient realité : Sonia était en train de me décrasser la bite et elle aimait ça, en bonne femme soumise et cochonne qu'elle était !!!

Tonio (16)S'ensuit une bonne série de pilonnage de sa gueule et sa chatte, en passant par les insultes et les gifles ! Je lui pilonnais sa chatte alors qu'elle portait encore son petit string blanc en coton qui allait vite devenir jaune de mouille et de jus...
On prit ensuite notre douche ensemble, où je lui offris ses premiers jets de pisse sur sa gueule, avant de retourner ensuite chez Steven.
Ça y est, elle était à moi !

Sonia, tu sais que tu es ma pute maintenant, hein ? Ta chatte est à moi et je compte bien l'utiliser à ma guise ! lui dis-je dans la voiture au retour.

Tonio (14)Elle abdiqua d'un sourire. Arrivée au pied de l'immeuble de Steven, on attendait l'ascenseur avec plusieurs personnes. Moi encore bien remonté, pour montrer à Sonia mon titre de propriété, j'en profitai pour me coller à elle et doucement je passai ma main par le derrière de son entrejambe afin de titiller cette chatte qui était désormais mienne, par dessus son jean et son string. Elle me suppliait d'arrêter en chuchotant, mais son liquide séminal coulait à travers son jean ! Elle était trempée, elle dégoulinait. Arrivés devant la porte de Steven, je lui fis sucer mes doigts plein de sa mouille super odorante avant d'entrer chez lui comme si de rien n'était.

 

La nuit qui suivit, je la baisai encore plus violemment que le matin (dans le lit de Steven cette fois-ci, ainsi que le surlendemain à nouveau chez moi). Autant vous dire que la capote n'était pas au rdv... C'était ma seule et unique fois sans capote, on se connaissait bien donc la confiance était là, on pouvait tout se permettre !

Tonio (15)

On s'est revus par la suite un dimanche après-midi où elle était passé me voir à ma demande, mais elle n'était pas chaude. Je ne lui laissa toutefois pas le choix de bouffer mon bitos une dernière fois ! Après ce jour, nous reprîmes chacun notre vie respective en restant bon amis. Nous avions chacun réalisé nos fantasmes respectifs. La vie continua et mon pote Steven se sépara de sa femme quelques mois plus tard.

 

C'est là qu'intervient la seconde partie de l'histoire les amis ! ;-)
Steven et moi sommes restés potes malgré nos déboires de couple respectifs et nous somme toujours amis aujourd'hui. Mais c'est en mai 2013 que notre amitié devient plus intime ! Il savait que j'étais bi et il l'acceptait bien, je le taquinais régulièrement sur le sexe (il avait du mal à trouver des meufs pour se soulager). Je lui avais déjà proposé mes services en plaisantant, bien que de mon côté un peu pervers il y avait de la vérité. Et j'avais toujours ce doute qui me rongeait concernant l'hygiène intime de mon pote...

Tonio (9b)Un soir de mai dernier donc, on se parle sur Facebook comme souvent, lui hébergé chez sa sœur et moi seul chez moi. Ce soir-là, je ne sais pas ce qui lui a pris mais je n'ai pas eu besoin de sortir mes vieilles plaisanteries de branleur à deux balles. Il a été cash !
Salut Tonio, bien ou bien poto ?
Hey tranquille, et toi Steven ?
La loose, y'a rien à faire et surtout rien à graille (graille = pecho sexuellement parlant). Vas-y, on va au BdB ? (Bois de Boulogne)
Steven, je t'ai dit l'autre soir que je kiffe pas le BdB et comme je t'ai déjà dit, va pas te payer une pute alors que t'as ton pote qui peut te rendre service gratos...
Ouais, c'est clair Tonio... En plus, à ce qu'il parait, les mecs sucent mieux que les meufs !
Je confirme Steven !
Bon alors on fait quoi Tonio, je viens chez toi ?
Ok Steven, tu veux qu'on essaie ?

Bah en fait je sais pas trop... Bon je viens, on se matte le film "Les Cailleras" et on laisse les choses se faire naturellement.

Ok Steven, à tout de suite. Je t'attends.
Et là ça y est, j'étais certain que j'allais enfin goûter à la pine de céfran de mon pote !

Steven arriva quelques minutes plus tard. Comme d'habitude, il paraissait détendu comme si la conversation qu'on venait d'avoir sur Facebook n'avait jamais eu lieu. Il était naturel, comme chaque fois qu'on se tapait des soirées poto entre "hétéros"... D'ailleurs, ça faisait un moment qu'on ne s'était pas retrouvés que tous les deux car habituellement lors de nos soirées, il y avait toujours un pote à nous, Hakim, hétéro et pas au courant pour moi. Lui, c'est un vrai queutard, toujours à essayer de ramener des meufs quand on est ensemble ce Hakim...

Bref, on se posa Steven et moi devant le film "Les Cailleras" récemment sorti, tout en buvant du coca. En fait, j'y suis allé progressivement. Au bout de dix minutes de film, j'ai éteint la lumière du salon pour qu'il soit plus à l'aise. On a continué à matter un peu le film tous les deux, assis l'un à côté de l'autre dans le canapé. Au bout d'un moment, j'ai pris mon courage à deux mains et lui ai sorti doucement :
− Alors Steven, t'es chaud ?
Putain grave Tonio !

Aussitôt, je posai donc ma main entre ses cuisses et commençai à le caresser doucement.
Je retirai sa ceinture et enlevai les boutons de son jean. Je mis ma main dans son calbut et commencai à presser sa bite entre mes doigts en la caressant doucement et en titillant son très long prépuce du bout de mon pouce... Lui se laissait faire  Je sortis ensuite sa queue, en baissant doucement la tête vers son prépuce. Et là, une odeur âcre m'arriva en plein dans la face ! Putain, je le savais ! Mon pote est un vrai porc !!! Un bon Français négligé comme je kiffe !
Tonio (3)Direct, je pris son chibre en bouche pour le sucer et c'est là que j'ai senti des morceaux durs sur ma langue et mes lèvres ! Putain le salaud avait la bite pleine de fromton ! Je sentai le goût du from sur ma langue et remplir ma bouche, et je l'entendais gémir de plaisir. Quand d'un coup il me lance :
Viens, on va dans ton lit !

Il bandait comme un porc en rut ! Arrivés sur le lit, on se déshabilla entièrement et il me dit qu'il aimerait goûter à ma bite. Il veut tester. On se met donc en 69. On s'était mis sur le côté, lui légèrement par dessus moi. Il se mit à me sucer langoureusement, je fis de même quand tout à coup en continuant à me sucer, il commenca à me pilonner la gueule. Du coup, j'avais ma tête coincée entre ses larges cuisses, le pif collé à son trou ! Putain le salopard daubait un max du fion !!! Une odeur aigre et acide que je ne pouvais faire autrement que de respirer : à chaque coup de boutoir qu'il me foutait dans ma gorge, mon pif se collait à sa raie poisseuse ! C'était immonde, mais venant de lui ça devenait un délice. Ensuite, il m'a proposé de me sodomiser. Moi étant habituellement actif, j'ai hésité une seconde puis j'ai finalement accepté de lui offrir mon cul.
Tonio (2)Et du coup, il ne m'a pas baisé mais il m'a fait l'amour comme personne ne me l'avait fait auparavant, sans aucune douleur. Steven m'a dévergé avec délicatesse et désir. Il me désirait. Mon pote hétéro me désirait comme moi je le désirais ! J'hallucinais, incapable de bander tellement je voulais savourer ce moment intense. Je ne savais plus quoi ressentir, quoi penser. Mon pote et moi faisions l'amour et non la baise ! Il a joui dans la capote, en moi, avant de se retirer de mon cul, la capote remplie de jus mais aussi recouverte de ma merde... Il m'avait bien ramoné le trou ce salaud ! Nous nous somme ensuite rhabillés sans prendre de douche (ce qui confirme que c'est un vrai porcos mon pote) et on termina la soirée tranquille, avant de s'endormir ensemble dans mon pieu.

J'avais peur de sa réaction à froid mais à ma grande surprise, que ce soit juste après notre baise ou le lendemain, il resta naturel, égal à lui-même, sans aucune gêne. J'étais rassuré, notre amitié ne volerait pas en éclat pour du cul ! Par la suite, je lui ai quand même demandé s'il regrettait et il m'a dit que non mais qu'on ne le referait plus car il kiffe trop les meufs... Ce sont ses mots... Moi, maintenant, je sais qu'il kiffe mon cul et ma bouche aussi ! On s'est dit que ce sera notre secret à nous. Depuis, je le revois de temps en temps mais toujours en compagnie de notre pote Hakim. Ils sont même venus me rendre visite en Normandie.

Alors, est-ce qu'un jour je regoûterai de son from à mon pote Steven ? Moi je l'espère, qui sait, un jour peut-être ! Ce jour-là, vous inquiétez pas les frangins porcos, je vous en ferai part ! ;-)
Tonio (7)Vous voyez, je ne vous avais pas menti... Trop kiffant ton récit mon pote !!! Putain vivement que je vienne te rendre visite en Normandie ! Si vous voulez encore un max d'articles aussi trippants que celui-ci, vous savez ce qu'il vous reste à faire ! Vous essuyez le foutre que vous venez de larguer sur le clavier et vous laissez un p'tit comm avec vos impressions ou vos remarques sous l'article...

Je vous rappelle la nouvelle règle de mise à jour du blog :
10 commentaires = 1 nouvel article, 20 commentaires = 2 articles...
Alors à vous de jouer les mecs ! ;-)

Par Tonio - Publié dans : Témoignages
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Mercredi 30 octobre 3 30 /10 /Oct 18:00

Salut les queutards !

Et ouais, une fois de plus je me suis fait un peu désirer ! Pas toujours facile de concilier le taf, la vie perso et la gestion régulière d'un blog... Je profite donc de quelques jours de congé pour mettre en ligne quelques nouveaux articles, histoire de vous faire cracher un max de foutre ! Pour commencer, je vous propose le récit d'un plan bien och de mon pote HAIRYLEGS94, dont vous avez été nombreux à savourer la vidéo de yopage de jockstrap il y a quelques semaines... Il nous fait aujourd'hui profiter d'une baise bien fumante avec son ex, un pur lascard fier de ses odeurs et sa teub ! J'en connais plus d'un qui kifferait se retrouver à genoux en mode lopsa devant un tel queutard, pas vrai les mecs ? :-)
Une histoire certes assez courte (illustrée de quelques pics du net), mais terriblement efficace... Alors sortez vos teubs et nonne sturbe à tous !

 

laskar (3)Cette histoire remonte à deux ans. J’étais alors en couple avec un mec en mode lascard même à son taf, brun, yeux bleus, poilu. A chaque fois qu’on sortait, j’avais envie de baiser direct tellement il m’excitait. Un mec en survet costla avec de bonnes odeurs, ça me fait toujours triquer. Un jour, bien cho au réveil, je le sextote, et lui dis que ce soir il doit être en total lascard costla, mais porter le plus odorant qu’il a. Il me répond qu'il est ok et que moi je devrai porter mon jock cartonné (4 ans que je le yoppe sans le laver !).

 
Je débarque chez lui après le taf, sur tout le chemin je bandais dur. Il ouvre la porte. Humm, il me dit de me mettre direct en jocks. On s’embrasse puis je me fous à 4 pattes, je lui lèche ses TN noir, j’en enlève une dont je sniff illico l’intérieu. C'était ses plus crades, dosée au jus et à la pisse, ses TN et cho7 pour lope comme il disait ! Il les dose régulièrement et fait toujours son jogging avec, l’odeur est forte et enivrante. Je lui suce les orteils à travers ses cho7 crades, couvertes de vieilles taches de sperme et d'auréoles de pisse. Le goût m’envahit la bouche, je lui tête les ieps comme une vraie tépu. Pendant ce temps, il passe un doigt le long de ma raie poilue et moite, puis le porte à son nez pour le sniffer longuement avant de recommencer. Excité par la scène, je me doigte et cambre bien mon boule pour le chauffer un max.


Je suis toujours à ses ieps, m’occupant méticuleusement de ses pieds, je veux faire durer le plaisir. Puis je me mets à genoux et sniffe son pacson.

 

Wooow je vous dis pas l’odeur de son froc ! Il  a de bonnes traces blanches séchées, et aussi une putain d'odeur de pisse. Je le sniffe à fond et le lèche comme une vraie chienne. Je passe et repasse ma langue sur les taches, me caressant le zboub à travers mon jockstrap. Je lui baisse ensuite le pantalon, et là direct il me chope par la nuque et me colle la gueule sur son boxer. Malheureusement peu d’odeurs : c'était son boxer du jour, juste quelques petites auréoles de pisse. Vu qu'il ne sert à rien, je le vire. Sa teub bien bandée me fait face, j’approche le nez et hume. Humm bonne odeur de mâle, un peu de from sur le bord du prep et sur le gland. Je décalotte doucement, le fumet qui s’en dégage me rend dingue. Je me gaze à fond avec son glandos puis je passe la langue autour pour récolter son from : goût pas trop fort, bien kiffant, mais vite consommé hélas... 3-4 coups de langue y'en a déjà plus !
laskar (1)Il s’assoit alors et s’ouvre une bière pendant que je m’occupe de son zob. Je prends une TN et ses cho7 pourraves pour sniffer en même temps que je pompe, le kiff total !!! Puis il me retourne, mon cul lui fait face, boule bien cambré, la tête au sol dans ses skets, cho7 et ieps, pendant qu’il me doigte le fion et me le travaille longuement. Et oui, Monsieur est TBM ! 1… 2… 3 doigts y passent, presque 5 doigts ! Moi je suis toujours au paradis des kiffeurs avec ses odeurs. Je bouge mon cul pendant qu’il me travaille. Il kiffe ça et me claque les fesses vigoureusement avant de me lancer qu’il a envie de pisser. Je me lève aussitôt et me dirige dans la salle de bain.

Où tu vas mec ? J’ai la flemme de bouger là, à genoux et ouvre ta gueule !
Je reviens donc vers lui, me positionne sous sa queue et il commence à me pisser dans la bouche. Autant vous dire que j’ai intérêt à rien laisser tomber ! Je le prends en entier, ça coule au fond de ma gorge et j’avale sa pisse jusqu'à la dernière goutte, hummmm !

suce08.jpg Il me pousse alors en arrière, crache sur son zeb, je me cambre bien, sur le sol, je sniffe ses cho7 et TN, bien mieux que du poppers. Il présente son gland, le fait glisser sur ma raie pour étaler son mollard, et crache à nouveau sur ma chatte poilue. Il rentre direct dans mon trou ! Putain je le sens passer ! Il ne bouge pas, m’attrape le jock et les hanches et d’un coup me rentre ses 18 cm bien larges. Je sers les dents avec unr cho7 en bouche pour étouffer mes cris. Il se calme deux secondes mais reprend aussitôt le pilonnage intensif de mon boule. Il sait que je n’aime pas les « marteaux-piqueurs » mais je l’ai tellement excité qu’il veut absolument se vider en me bourrinant le fion. Il ne s’arrête pas de baiser.

laskar (4) Par moment, il sort sa pine et admire mon trou élargi. Quand je me fais baiser comme çà, moi ce que je kiffe c’est de toucher la bite qui rentre et sort de mon cul, d’y mettre un doigt. Il se retire alors sans prévenir, m’attrape les cheveux et crache un max de foutre épais sur mon visage, qu'il lèche ensuite à grands coups de langue pour récolter son jus et me le donner en bouche.

Par Hairylegs94 - Publié dans : Témoignages
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Jeudi 29 août 4 29 /08 /Août 18:40

Après ce lopage à distance, un autre petit plan sympa laissé sur le blog par PTIT0M, qui lui aussi a visiblement bien kiffé cet été ! C'est rapide, mais super bandant et efficace !!! Grave kiffant de tomber sur un black sportif, domi, macho et fier de ses odeurs de queutard ! A mon avis, t'as pas fini de t'éclater avec lui mec !! J'espère que tu continueras à nous raconter ton futur dressage ;-) Je vous laisse découvrir le récit super bandant de Ptitom, agrémenté de quelques photos prises sur le net pour l'illustrer... Bonne sturbe à tous !


black 00

Le plan a été prévu en 5 minutes : on se trouve en bas de chez moi, on descend direct dans ma cave et il me lope sans limite. Seule condition : on met la capote.


Il est 11h50, il arrive.

David est canon : black, 1m70, il rentre du sport, en short skets débardeur, lunettes de soleil et clope au bec. Il finit tranquillement de fumer et me suit dans l'ascenceur. Pas un mot. Une fois en bas, il perd pas de temps : une grosse pelle bien baveuse pour me dire bonjour, et un mollard pour me faire comprendre que je suis sa pute.

Interdition de toucher son paquet, de lécher ou quoi que se soit : il enlève une de ses skets, une TN bleu pas très neuve.

− Me suis pas lavé pour toi, alors dépêche de venir me nettoyer les pieds !

Ni une ni deux, je m'exécute et porte son pied à ma bouche.

Il sentait bon le mec chaud, et la sueur d'un mec qui aime qu'on remarque ses odeurs. C'était moite et bien puant, idéal pour m'imbiber le visage de son odeur en peu de temps. Quelques mollards aidant, je me suis vite retrouvé le visage trempé et ma barbe de trois jours complètement crade. J'avais l'impression d'être une chaussette dans laquelle il allait se vider.


Il parlait peu mais chaque mot résonnait comme une excitation supplémentaire.

Après avoir passé en revue ce premier pied aux odeurs de bon sportif en rut, pas le temps pour le second, monsieur avait envie de sortir sa pine.

− Tiens Tom, regarde cette queue pour toi ! Ferme ta gueule et regarde avec le nez !
black 01 Je le regarde sans trop y comprendre quand soudain l'odeur m'arrive aux narines... Un fumet âcre et viril. Il sourit et semble kiffer me faire subir ces odeurs qui dépassent largement le simple délire un peu macho. Il décalotte devant ma figure totalement à sa merci et observe mes réactions face à un gland baveux et apparement en l'état depuis sa dernière branle.

− Qu'est-ce que t'attends ? Tu nettoies ou tu veux que je te montre comment ça marche ?

Suite à mon manque de réaction, David décalotte complètement et s'essuie littéralement la bite sur mon visage. J'ai l'impression de n'être qu'un morceau de sopalin, mais l'excitation monte alors que je sens les odeurs envahir mon nez. Il se place devant ma bouche et force l'entrée. Sans me préparer au calibre surdimensionné de sa grosse bite de blackos, il lime ma bouche. Mes petits soupirs et mes cris ne l'arrêtent pas et ont au contraire tendance à l'encourager à me baiser la bouche davantage. Je me retrouve écrasé contre le mur avec sa bite qui entre et sort violemment, laissant échapper des traînées de bave visqueuse de ma gorge profondemment pénétrée.
black 02 − Sale pute, tu croyais que je venais me faire pomper comme ça ? Je suis venu pour te donner un premier extrait de ce que ta vie va devenir... Tu vas être une pute pour moi, tu comprends ?

black 04Je ne pouvais rien dire, la gorge totalement occupée par l'énorme bite de ce mec que je connaissais à peine.

− Tu écoutes tout ce que je dis, tu obéis et tout ira bien !

Il me fout par terre et me baise la bouche. Je l'entends soupirer.

− Je vais t'asperger la gueule et je te préviens, t'as intérêt de garder mon jus toute la journée sur la face, sinon tu vas morfler.
Il se relève et m'ouvre la bouche, le regard plein de vice, il pousse un bon cri de mâle en giclant sur mon visage son jus bien épais et gluant. Après l'avoir bien étalé sur tout mon visage, il se relève et me demande d'en faire autant. Retour à l'ascenseur avec ce jus sur le visage.

− C'est bien pute, continue comme ça et on sera très bons amis... RDV très bientôt... J'ai besoin de ma toilette quand je sors du sport.

La porte de l'ascenseur s'ouvre, il sort et me laisse avec son foutre sur la gueule. Retour chez moi, pour une giclée rapide sur la gueule, histoire que mon yop goûte le sien...

Par Ptitom - Publié dans : Témoignages
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Jeudi 29 août 4 29 /08 /Août 17:30

Salut les queutards ! J'espère que vous avez passé d'excellentes vacances et profité un max du soleil et de la chaleur de ces deux derniers mois pour vous en mettre plein les narines ! ;-) D'ailleurs n'hésitez pas à m'envoyer les récits, photos et/ou vidéos de vos plans de l'été pour que je les publie sur le blog ! J'ai encore quelques articles en attente mais j'avoue que je manque cruellement de nouvelles contributions en cette rentrée. A bon entendeur :-)

 

Pour commencer, je vous propose un p'tit plan original et sympa réalisé par COÏNCIDENCE, un des fidèles du blog, qui après avoir lopé un agent immobilier et un coiffeur, nous fait aujourd'hui partager un défi lancé à un de ses potes au taf... Hummm apparemment il en veut ce p'tit batard, vivement que tu nous racontes un bon lopage odorant avec lui mec ! En tout cas, merci pour ce témoignage et ces quelques photos bien bandantes... Et si vous aussi vous avez envie de lancer des défis de ce genre à vos potes, n'hésitez pas et n'oubliez pas de venir tout nous raconter après sur ce blog...

 

Il y a quelques temps, je discutais avec un pote sur Skype qui me disait qu’il était en manque de from et de sniffage de bons boxers daubants car son mec ne tripe pas du tout sur ce trip (il ne sait pas ce qu’il loupe ! lol).  Sachant mon pote assez joueur (c’est lui qui m’a fait découvrir cet excellent blog qu'est Teubcrade) et qu’il peut être assez salope, mon esprit pervers ne fit qu’un tour et je lui ai proposé un défi. Devant aller régulièrement dans les locaux où il taf, je lui propose de lui crader un boxer que je porterais plusieurs jours et que je lui laisserais dans les chiottes de son taf pour qu’il puisse s’amuser avec. Bien sûr, en bonne lope qu’il est, il accepte sans hésiter.


Comme je devais me rendre à son taf une dizaine de jours plus tard, j'ai décidé dès le lendemain de garder mon boxer jusqu’au jour J. Donc 10 jours à le porter, à transpirer dedans, me branler et juter dedans. Je vous raconte même l’odeur quand je me réveillais avec le matin, j’avais le barreau direct et ne pensais qu'à baiser toute la journée.

Concidence (12)

Arrive le jour J... Je lui envoie un sms pour lui dire à quelle heure il trouvera sa surprise (bien sûr je jute une dernière fois dedans juste avant de partir). Je le mets dans un petit sachet en lui laissant également un petit mot car je voulais voir s’il était une vraie salope prête au défi...

Concidence (11)

 

« Salope, tu vas aller dans les chiottes pour sniffer ce boxer foutré et commencer à te branler. Puis tu vas aller à ton bureau et te branler bien à fond dans le boxer en pensant à ma teub dans tes trous de chienne. Etale bien ta mouille dessus et caresse-toi le torse et la gueule avec. Jute sur le boxer. Prends des photos de ta queue de lope dans mon boxer, montre-moi la chienne que tu es qui peut pas s’empêcher de se branler au taf avec le boxer d’un autre. Je récupérai le boxer dans une heure au même endroit dans les chiottes. »


Je suis donc allé aux chiottes de son taf, j’ai déposé le paquet comme prévu. Une heure après je l’ai récupéré bien humide...

 

 

Et le soir, j’avais les photos par mail et mon pote m’a demandé si je pouvais en faire un article pour Teubcrade. C’est chose faite. Bon matage à tous et bonne branle !

 

 

Concidence (13) Concidence (14)
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Par Coïncidence - Publié dans : Témoignages
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Samedi 3 août 6 03 /08 /Août 01:00

Il semblerait que la dernière histoire de larvage dans les vestiaires laissée sur le blog par mon pote CRADYON ne vous ait pas laissés indifférents, loin de là ! Je ne résiste donc pas à la tentation de vous faire partager une autre témoignage traduit de l'anglais par lui pour votre plus grand plaisir... C'est de loin la meilleure description d'un décrassage de bite fromageuse que j'aie jamais lu ! Preuve qu'outre-Manche aussi les p'tits hétéros machos kiffent se faire récurer leur zob bien daubant par leur pote pédé ! Et vous verrez que même si l'Angleterre n'est pas spécialement connu comme un grand pays producteur de fromages, certains mecs n'hésitent pas à nous faire concurrence ;-)
Allez trêve de bavardage, je sens que vous avez déjà la queue raide alors sortez vos teubs les mecs, c'est parti pour un pur témoignage qui vous fera cracher à coup sûr !

 

A 21 ans, j'ai vécu avec 5 autres gars dans une maison à Waterloo, où nous allions tous à l’Université. Je les connaissais tous depuis quelques années, avant de décider de déménager du campus et de partager une maison. J'avais tout le sous-sol pour moi en chambre à coucher, il y avait une chambre au premier étage, trois autres au second et un grenier pour finir. Ian était dans le grenier.

C'était l'été. Le grenier était chaud et humide, presque trop chaud. Je me demandais comment Ian pouvait le supporter car c'était sa chambre et il dormait là, la plupart des nuits. J'avais déménagé un lit grande taille dans le sous-sol la semaine précédente et poussé l'ancien lit jumeau contre le mur opposé. La journée avait été chaude et nous avions tous senti la chaleur : une bande de gars dans leur job d'été, en sueur, musqués et détendus. Rien que des mecs, la plupart d'entre nous portions des shorts.
canicule 01La peau de ces hommes était brillante et parfois ruisselante de sueur. Nous n’avions aucun climatiseur. Le salon sentit bientôt comme un vestiaire. Certains d'entre eux, un par un, se levèrent pour aller prendre un bain. La seule baignoire était au deuxième étage et il n'y avait pas de douche. Ian n’était pas parmi les gars qui se nettoyaient. Neil s’était effectivement éloigné de lui sur le canapé après avoir commenté l’odeur corporelle de Ian.

canicule 03 Nous étions tous à fumer des 420, boire des bières et je pense que Ian avait même un peu de drogue. À environ une heure, nous nous sommes tous couchés. Je suis allé à la cave fraîche et Ian est allé au grenier. Environ une demi-heure plus tard, la maison était silencieuse. J'étais à l'aise dans mon nouveau lit, dans la fraîcheur du sous-sol et je somnolais. Puis j'ai entendu des pas dans l'escalier, sur le sol de l'étage principal, puis descendre les escaliers jusqu'au sous-sol. J'ai allumé ma lumière et Ian se tenait devant ma porte, seulement vêtu de son caleçon blanc totalement moite. Sa peau était de nouveau brillante de sueur et son calbut en coton collait à ses cuisses épaisses et musclées. Ses couilles sortaient sur un côté et son impressionnante bite non circoncise sur l'autre. Sa braguette était ouverte et je pouvais voir la touffe luxuriante juste au-dessus de sa queue.

-- Mec, je supporte plus chaleur là-haut. Je crève. Je peux squatter ici ?
-- Bien sûr. Je sais pas comment tu endures cet été.
Je pensais que Ian aurait jeté les vêtements qui étaient sur mon vieux lit jumeau au sol et se serait couché là, mais il traversa la pièce et s’écroula sur l'autre côté de mon nouveau lit. Il leva les bras au-dessus de sa tête sur l'oreiller et je pus immédiatement le sentir. C’était une puanteur intense. Il passait son été à repeindre des maisons et il portait toujours la même combinaison, alors, qu’il se baigne tous les jours ou pas, tous les jours après le travail, il puait. C'est pas comme si je vérifiais si les gars se lavaient ou pas, mais je profitais des odeurs virils quand ils ne le faisaient pas. Je me doutais bien que Ian est l'un de ces gars qui ne prennent pas vraiment un bain tous les jours. Peut-être juste laver son visage et ses aisselles avec un gant de toilette le matin. Pas de méprise, il aurait bien pu se laver pour un rendez-vous en fin de semaine, mais c'était jeudi soir.

-- Merci mec. J’arriverai pas à survivre là-haut ce soir
-- Pas de problème, ai-je dit, me retournant pour le regarder, mon nez si près de ce paradis poilu puant.

canicule 05 Ian était un mec qui travaillait dur et s’endormit assez rapidement. Il était allongé sur le dos avec les bras au-dessus de la tête et les jambes écartés prenant plus que sa part du lit. Nous étions tous les deux sur les draps. Même si le sous-sol était plus frais que partout ailleurs dans la maison, il faisait encore trop chaud pour être couverts. Lorsque sa respiration se ralentit et devint plus régulière, je me suis rapproché. Ma bite était raide comme un roc et passait au-dessus de la ceinture de mon caleçon. J'ai approché mon visage des aisselles de Ian et je pris une profonde bouffée.
canicule 04 Son odeur corporelle était forte et épaisse dans mes narines. J'ai collé ma langue pour goûter sa sueur salée et j'ai doucement sucé les poils que je trouvais ici. J’ai dû chatouiller Ian parce qu'il se tortillait un peu et je me suis arrêté un instant. J'ai éloigné ma tête de son aisselle mais mon visage était encore humide de sa sueur et je pouvais le sentir encore. Il se remit en place. J'ai regardé son short. Sa bite se trouvait de mon côté. Il aurait pu ne rien porter du tout parce que son boxer était complètement trempé et transparent. Je pouvais voir le bout de son gland dont je savais qu’il était recouvert d’un prépuce épais. Je m’appuyai sur un coude et avec ma main libre, je traçai d’un doigt la longueur de sa virilité de la racine aux lèvres boudeuses de son prépuce. Je portai ce doigt à mon nez pour sniffer, pas beaucoup d’odeur.

 

canicule 04b Je vérifiai qu'il était bien endormi avant de glisser ma main dans la braguette ouverte de son boxer et lentement, avec précaution, extraire sa bite humide. Je la laissais étendue dans la chaleur et la regardais attentivement. J'étais heureux de ne pas avoir enlevé ma lampe de chevet après que Ian soit venu dans mon lit. Elle ne donnait pas beaucoup de lumière mais ça suffisait pour voir que son pénis était sombre et son prépuce long. J'ai caressé légèrement les bords de son prépuce. J'ai léché mon doigt et recommencé. La bite de Ian a commencé à réagir. Ian a recommencé à se tortiller le haut du corps et j'ai retiré ma main et jeté ma tête en arrière où j'étais prisonnier de son odeur rance d’aisselle.

Au bout d’un moment, je me suis déplacé vers le bas du lit pour que mon visage soit à quelques centimètres de sa bite. Maintenant je pouvais la sentir. C’était différent de l’odeur de mes jocks en sueur. Ma sueur de bite et de couilles était musquée. La sueur de bite de Ian était carrément piquante, presque une odeur aigre. Sentir le prépuce non lavé en sueur de Ian me faisait mouiller du gland. J'ai tendu une main et saisi la peau avec mon pouce et l'index pour la tirer vers le bas de sa tige.


J'avais juste commencé à faire ça lorsque Ian leva soudain la tête en haletant et souleva ses bras de l'oreiller.
-- Putain ! Putain mec, qu’est-ce que tu fais ? Dégage de ma bite putain !
-- Désolé, ai-je murmuré avant de me redresser et de me rallonger sur l’oreiller, regardant le plafond, incapable de regarder Ian.
-- Qu’est-ce que tu faisais, putain ? dit-il à voix basse tout en me regardant.
Il s’était détendu mais n’avait pas remis sa bite dans son boxer. Ses mains ne protégeaient pas sa queue. Elle était toujours exposée.

-- Pourquoi tu touchais ma bite, mec ? Eh, regarde-moi quand je te parle !
J'ai tourné ma tête pour regarder Ian. Son visage n'était pas en colère. Il était perplexe. Comme s’il ne pouvait pas comprendre ce qui était arrivé. Je pouvais aussi voir du coin de l’œil que son pénis gonflait.
-- Je... euh... tout simplement j’ai jamais touché un mec avec un prépuce avant, ai-je répondu faiblement.

-- Tu joues avec les bites des mecs ? C’est ce que tu me dis ?
-- Eh bien, ok, oui, c’est ce que je fais.
-- T’aimes les tenir ? Ou les caresser en cercle ? Ou quoi ?
-- Tenir, presser. Parfois caresser, mais juste en duo, pas comme un tas de gars.
-- T’as aussi sucé un mec à fond, hein ? Dis-moi la vérité.

 Puis, quand il s'est tourné pour me regarder et qu'il a senti l'odeur émanant de ses aisselles, je crois qu'il a lancé un truc du genre : "Putain, je pue vraiment là !".

-- Ouais, ai-je répondu timidement.
-- Ouais quoi ? Ouais tu suces la queue ou ouais je pue ?

 Je pouvais voir que la bite de Ian était entièrement dressée maintenant. Le bout de sa bite était à environ deux centimètres de ses abdos durs, comme si elle était en lévitation dans l'air. Je me tournai et regardai droit sur sa bite.
-- Les deux. Oui tu sens comme un homme pas lavé et oui j'ai déjà sucé de la bite.

 
canicule 18 Ian prit une profonde inspiration. Ses pectoraux se sont élargis et ses abdos se sont levés et sont retombés et il laissa échapper un long soupir.
-- Alors t’es un pédé ! Je suis au lit avec un pédé et tu as touché ma bite pendant que je dormais !
-- Ouais, je pense que oui...
-- Regarde ce que t’as fait, mec. Elle est toute raide. Et mes couilles sont pleines aussi. J’ai pas vu ma meuf depuis deux semaines. Regarde. C’est ce que tu as fait. T’aimes ça ?
Il a pressé ses fesses et les a fait tressauter. Le prépuce recouvrait encore complètement son gland mais un peu de jus coulait à l'extrémité de sa peau.

-- Putain, mec. Ouais j'aime çà !.
-- Touche-la encore !
Et j'ai tendu ma main aplatie pour la poser sur le dessus de son engin.
-- Non, sens-la ! dit-il avec plus d’empressement.

J'ai alors fermé mon poing autour de sa bite raidie. Elle était dure comme de la pierre et elle tressaillait dans ma main. Il prit une profonde inspiration et soupira...
-- Je pue, mec. J'ai travaillé toute la journée avec cette chaleur atroce et j'ai pas pris un bain depuis des jours. J'aime ma propre odeur quand j'ai travaillé mais là, c'est assez extrême. Tu disais que t’avais jamais touché le prépuce d'un mec avant. Tu sais ce qui se passe quand on ne le lave pas ?
-- Je sais qu’il y a un truc qui apparait, mais je sais pas...

-- Descends ton visage vers ma bite ! dit-il avec autorité, ne me laissant pas d'autre choix que d'obéir.
-- Maintenant tire mon prépuce vers le bas, doucement, lentement...

canicule 11Putain, je pensais qu'il reprenait le plan là où je l’avais laissé. Je me suis vraiment rapproché de sa bite et puis j’ai commencé à tirer la peau en arrière. La première chose à se produire lorsque la peau a été bien dégagée fut qu'une grande quantité de liquide séminal clair a coulé sur ses abdos et est restée suspendue à sa bite comme un épais sirop. J'ai continué à tirer vers le bas et j’ai vu le gland pourpre tout brillant avec son jus et puis il est allé du violet à blanc à environ un tiers de la hauteur du gland.

-- T’as vu ça ? C'est le fromton. Du fromage de bite. C'est ce qui arrive quand je la lave pas tout le temps. J’en ai tous les jours mais j’ai la flemme. C’est la production de 5 jours. Elle pue, hein ?
fromextra1.jpg J'ai pris une grosse bouffée. Ça sentait l’odeur de bite la plus intense que j'ai jamais sentie. J'ai pris une autre grosse sniffée de la bite de Ian et j’ai continué à retrousser sa peau. Au sommet du gland, la peau se dégagea subitement et là, juste face à moi, il y avait une énorme accumulation de gros morceaux de from accompagné d’une substance crémeuse, et tout ça sentait extrêmement fort la bite crade.

 J'ai approché la bite de Ian de mon nez et j’ai frotté de son from sur le bout de mon nez.
-- Putain, mec. C’est pas dégoûtant ? Je veux dire, t’es pas écœuré ?
-- Non Ian, ai-je dit avant de me retourner pour regarder son visage
-- Je dois dire que j'aime l'odeur de ta bite crade. Je peux la sentir et je peux sentir l’odeur de tes couilles dans ce vieux jockstrap et... eh bien, j'aime beaucoup.
 
-- T’aimes mes couilles ? Sniffe-les alors !

Sur ce, il a levé ses jambes et a enlevé son boxer une fois pour toutes avant de se rallonger, complètement nu. J'ai aussi chopé une bonne odeur de pieds quand ils ont volé près de mon nez. Incroyable. Ma bite me faisait mal tellement je bandais. J'ai jeté un dernier regard à son beau visage puis j’ai plongé mon visage dans son entrejambe poilue, odorante. Le paradis !!! Le paradis de la puanteur masculine ! Mieux que n'importe quel jockstrap en sueur que j'aie jamais reniflé secrètement dans un vestiaire. Mieux que n'importe quel sous-vêtement crade de mec avec lequel j’ai pu me branler quand personne n'était à la maison. J'ai léché et sucé ses couilles poilues alors qu'il gémissait un peu et murmurait des choses comme "putain de malade" et "sale pédé".

canicule 06 Sa respiration devenait irrégulière et plus rapide. J'ai léché sa peau jusqu’à ses pieds et reniflé l'odeur complètement dingue de ses pompes et l'odeur aigre de ses chaussettes et léché le fromage entre ses orteils rances et sucé sur les orteils (ce qui le faisait sursauter). Il s'assit alors. Je me suis donc assis moi aussi. Sa bite se tenait droit vers le haut et le prépuce recouvrait le gland à nouveau.
-- Si t’aimes mes pieds, mon pote, tu vas adorer le goût de ma bite au from. Suce-moi à fond !

Il a saisi ma tête d'une main et m'a forcé à descendre vers sa bite. Je l'ai arrêté avant qu'il force ma bouche.
-- Laisse-moi faire à ma façon, mec. Je veux te tailler la meilleure pipe que t’aie jamais eue !

 
Ian se détendit, s’allongea et je suis allé m’occuper de lui. J'ai tiré le prépuce vers le bas lentement à nouveau, complètement cette fois et mes narines se remplirent de cette odeur de saleté caractéristique. J'ai léché l'extrémité de la queue de Ian où le liquide séminal suintait et savouré le goût sucré et l'odeur aigre de sa bite. J'ai tendu ma langue et j’ai commencé à récolter l'amas de fromton sous la crête du gland et je l'ai amené dans ma bouche et mâché. Je pouvais sentir les secousses de la bite de Ian dans ma main, chaque fois que je léchais son pieu fromageux.

canicule 17 Je laissais ma langue envelopper doucement et tourbillonner sur son gland couvert de blanc pendant qu'il se raidissait et gémissait et que la croûte blanche devenait crémeuse avec ma salive. J'ai frotté sa grosse queue sur ma lèvre supérieure pour pouvoir sentir tout le fromton que j'avais laissé là. Puis j'ai pincé mes lèvres et les ai tartinées de son liquide séminal jusqu'à ce qu'elles soient couvertes de liquide visqueux et glissant, puis j’ai glissé sa bite entre mes lèvres glissantes, plus profond et plus profond. Le goût épais de son from de bite emplissait ma bouche. Il se tortillait d'un côté à l'autre et poussait ma tête de plus en plus bas, jusqu'à ce que je puisse goûter son from dans ma gorge, épais et corsé, avec mon nez enfoncé dans sa toison pubienne piquante de sueur. Il a commencé à grogner et à m'appeler "suceur de bite", " sale porc" et "Pédépédépédépédépédé".


Quand il a joui dans ma bouche, c'était comme si c’était solide. Coup après coup, du jus avec la consistance de la gomme. Mais pas le goût de la gomme. C'était incroyable de déguster ça, peut-être parce qu'il n'avait pas éjaculé depuis si longtemps, peut-être parce qu'il était mélangé à de la saleté qui s'accrochait encore à sa bite, c'était doux et épicé, salé et âcre. Et il y en avait tant. J'ai continué à sucer et ça continuait à sortir et à gicler à l'arrière de ma bouche et à descendre vers ma langue et mes lèvres et j'ai avalé et avalé et avalé.

canicule 14J'avais fini d’avaler, mais je gardais sa bite dans ma bouche tandis qu'elle ramollissait, léchant doucement, suçant doucement, sentant encore plus les couilles de Ian. Je ne voulais pas que ça s'arrête. Il a mis ses mains sur ma tête et m’a dit d'un ton sec :
-- Enlève-toi de ma bite !
Je me suis étendu à côté de lui à nouveau avec son odeur d’aisselle dans mon nez à nouveau et je l’ai regardé. Il m’a regardé droit dans les yeux et m'a alors lancé :
-- C’était un putain de plan, sale baiseur ! Putain, va te laver le visage mec ! Je peux sentir la puanteur de ma bite crade sur ton visage.
Mais cette fois, je n’obéis pas. Je me suis retourné et j’ai gardé son odeur là où je pourrais l’apprécier toute la nuit. Plusieurs fois, je me suis réveillé dans la nuit pour trouver mon visage enfoui dans son aisselle impressionnante encore une fois, ou sentir sa bite dure, pressée contre mon dos ou frottant contre mes fesses. Ian était un baiseur tellement excité.

D’autres rendez-vous après cela ? A chaque vague de chaleur au cours de cet été...

Par Cradyon - Publié dans : Témoignages
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Lundi 27 mai 1 27 /05 /Mai 17:00

Salut les queutards ! C'est cool de retrouver enfin le soleil, pas vrai ? On va enfin voir les températures augmenter et pouvoir s'en mettre plein les narines dans le métro ou le bus avec des ptits lascards négligés en survet et débardeurs imprégnés de sueur... Hummm putain rien que de m'imaginer la gueule dans de bonnes aisselles poilues bien fumantes, ça me fout la trique direct ! Et je suis certain que je ne suis pas le seul, pas vrai Simon ? ;-)

Pour bien commencer la semaine, une petite histoire bien och traduite de l'anglais par CRADYON, un fidèle du blog de la première heure, que je remercie pour sa fidélité... Il nous a déniché outre-Atlantique une histoire hyper bandante où un coach visiblement bien odorant va initier un de ses élèves au décrassage de queue bien crémeuse ! C'est d'autant plus kiffant que généralement les Américains sont quasi tous circoncis et assez à cheval sur l'hygiène de leur queue... Mais il semblerait que les trips uncut et from de teub commencent également à exciter grave nos amis yankees ! Donc maintenant va falloir assurer les mecs et leur montrer que les Français sont vraiment les meilleurs producteurs de from au monde !!! ;-) Allez sans plus attendre je vous laisse sortir vos queues et larguer un max sur cette putain d'histoire (illustrée comme d'hab par quelques pics prises sur le net). Et si ça vous plait, n'hésitez pas à laisser quelques commentaires car mon pote CRADYON en a plein d'autres en stock ;-)

 

coach (2)J'avais 18 ans et la pleine conscience de mon corps : je voulais être musclé, poilu et viril mais ça n’en prenait pas le chemin. Je n’étais pas sportif, mais j'avais essayé plusieurs fois : généralement j’étais le gars chargé de m'occuper de l'équipement des équipes. Cette année, c'était le football à l'automne et le baseball au printemps.

 

Certains joueurs de foot avaient capté, je pense, ce que je voulais et de qui je le voulais. Ils faisaient beaucoup de blagues "de pédé" entre eux tout le temps, mais lorsqu'ils les faisaient à mon sujet, le rire était différent. Au début, je pensais que c'était parce que je portais des vêtements alors qu’ils étaient tous nus ou en jocks-straps et en sueur, épuisés par le jeu. Ils faisaient preuve de camaraderie. J'étais différent dans ce vestiaire. J'avais 18 ans et plein d’hormones en ébullition qui exigeaient que ma bite se raidisse 30 fois par jour et qu’elle reste comme ça en permanence dans le vestiaire.

 

Parfois, je portais une coque pour masquer la forme bombée dans mon jeans. Je ne suis pas super bien monté, mais ma bite dure tendait mon pantalon et était nettement perceptible : la coque la déguisait. L'odeur musquée humide du vestiaire masculin me fait bander encore plus.


Je ne pouvais pas détourner mon regard des parties poilues des mecs : je matais les aisselles et m'interrogeais sur leur parfum humide d’après-match, je voyais les poils du torse collés aux pectoraux par la sueur, le sillon de poils qui descend vers le pubis, des poils épais, sombres et bouclés, ou de soyeuses touffes blondes, des jambes musclées et velues, des pieds humides libérés des chaussures et chaussettes d'athlétisme.


coach (5)Je ramassais le matériel de l’équipe pendant qu’ils étaient sous la douche et se changeaient. Un par un, ils me disaient au revoir, disaient dans quel bar ils allaient, me proposaient de venir pour une putain de baise ou en tout cas il y aurait des bières. Je disais toujours "Sûr que je vais y aller, mais j’ai du boulot à finir ici d'abord" et je ne les ai jamais rejoints. J'avais mes propres trucs à faire.

Des trucs comme ramasser leurs T-shirts et chaussettes puants et les jeter dans la machine à laver ou renifler les jocks-straps, laissés sur les bancs pour le lavage. Les gars qui attachaient des pouvoirs mystiques à leurs jocks-straps non lavés les mettaient juste dans leur casier et fermaient la porte.

 

coach (4)Ce vendredi soir, le dernier gars était parti et la salle était calme. Ma queue était raide, j'étais seul, je l'ai donc sortie de mon Levis et je me retrouvais avec le fantasme des mecs en sueur qui étaient maintenant partis, mais dont le parfum restait comme un fantôme dans la pièce dans les T-shirts et les jocks. Je savais à qui était lequel et je commençais à échantillonner. Je ramassais le T-shirt de Vic du banc en face de son casier. Je l'ai lavé une douzaine de fois au moins, mais jamais sans prendre d'abord une grosse bouffée de son odeur personnelle. Ça me faisait décoller. Ma bite frétillait alors que je respirais l'odeur des aisselles humides de Vic. J'ouvris la porte de son casier et en retirai son jock mystique. Il était encore en sueur et humide du match. Il était un peu jauni par la sueur et les gouttes de pisse qui s’étaient écoulées de sa bite et marron sur les bords de la poche qui frottaient dur contre son entrejambe poilue.


Je l'ai approché lentement de mon visage pour voir quand je détecterais l'odeur du scrotum de Vic. Vic était déjà un bel homme grand, imberbe, musclé, bien qu'il ne fût qu’en dernière année à la fac. Il était tout ce que j'ai voulu être et il sentait comme un animal sauvage. Son parfum a pénétré mon cerveau et m'a rendu étourdi, faible ou affamé, comme si je voulais manger son odeur.


J'étais excité et debout dans le vestiaire des hommes avec ce jock humide de Vic, pressé contre mon visage de ma main gauche et ma bite dure dans ma main droite, ma tête basculée en arrière avec mes yeux fermés, mon nez plein d'odeur de Vic, mon esprit complètement ailleurs. Jusqu'à ce que j'entende le coach Pascoe se racler la gorge dans son bureau. Ça m’a surpris. Je pensais qu'il était déjà parti comme tous les autres mecs. Je le supposais seulement. Je n’avais pas vérifié son bureau avant de commencer. J'ai commencé à transpirer et trembler et j’essayais de penser à ce qu'il fallait faire ensuite.


coach (1)Le coach Pascoe a rejoint l'université depuis seulement deux ans, il a environ 24 ou 25 ans je dirais. Une éducation physique principalement, son corps est superbe. Il avait de la force et une solide présence. Son visage était viril, anguleux et ouvert et son sourire était blanc, joyeux et encourageant. Son ombre était toujours là, même tôt le matin. La testostérone de ce mec faisait des heures supplémentaires. Il avait travaillé très étroitement avec moi lorsque nous cherchions un sport où je pourrais être bon et il n’a jamais abandonné. J'ai finalement renoncé, mais il m'a encouragé pour essayer de nouveaux sports ou simplement travailler dehors. Il m’a donné beaucoup de cours particuliers mais en fin de compte, j'ai arrêté d'essayer de nouvelles choses et, je suppose, je l’ai déçu. Il ne savait pas que la proximité avec lui au cours de son instruction ou lorsqu’il me sécurisait aux haltères, mon regard braqué vers le haut, matant son paquet, m'excitait tellement que j'avais peur qu’il le remarque et sache que j'étais pédé. Je savais que je n'étais pas supposé avoir ces pensées au sujet du coach.


Mais il n'a jamais manqué une occasion de me remercier d’être le gérant de l'équipement et de veiller à ce que l'équipe soit prête. Ses tapes dans le dos étaient solides avec une main forte et épaisse, toute en muscles. Parfois, quand il se tenait près de moi, après un match, je pouvais sentir son corps, aussi. Cela me faisait frissonner. J'ai été irrémédiablement attiré par lui dès la première fois où je l’ai vu, mais le béguin s’éloignait à chaque interaction, chaque contact, chaque soupçon d'odeur d'homme.


coach (3)J'ai entendu la chaise du bureau du coach grincer. J'ai remis le jock de Vic là où je l’avais trouvé et je me suis précipité vers les douches. Si le coach venait dans le vestiaire, je ne voulais pas qu’il me voit avoir du mal à rentrer ma bite raide dans mon jeans. Je suis allé à un urinoir dans les douches hors du vestiaire et me tenais immobile comme si je pissais. Quelques secondes plus tard, le coach Pascoe vint et se mit à l'urinoir d’à côté et tira sa queue hors de son pantalon de survêtement et son jock en sueur.

-- Je suppose que nous sommes tous deux à bosser tard, Jim. Encore beaucoup à faire ?

-- Eh bien, coach, j'ai le lavage et quelques affaires à ranger, et... je ne sais pas...


 

Je ne pouvais pas penser à ce stade. Le coach se trouvait assez loin de l'urinoir pour que je puisse avoir un bon aperçu de son engin. Il était épais et non circoncis. Il avait à moitié décalotté le prépuce et sa pisse giclait un flux jaune contrastant avec le blanc de l'urinoir. Je voyais des taches blanchâtres de from le long de ce prépuce rétracté et j'étais sûr qu'il savait que je le voyais.

 

Je pouvais le sentir, aussi. Je pouvais sentir son odeur âcre de pisse remontant de l'urinoir. C’était fort. Ma bite bavait de liquide séminal. Il avait couru partout sur la touche pendant le match, criant des encouragements et des instructions à l'équipe, et il avait travaillé jusqu'à être en sueur. Il était près de moi et je pouvais entendre sa pisse frapper l'urinoir et l'odeur de ses aisselles et sentir l'air chaud et humide venant de son corps si proche du mien. Je pouvais sentir cette odeur de bite pas lavée. Je ne pouvais pas m’empêcher de respirer profondément pour capter plus de puanteur du coach dans mon nez. J'étais trop raide pour pisser et je me demandais s’il pouvait entendre que je ne pissais pas, juste là près de lui avec ma bite dure dans mes mains, essayant de ne pas la caresser, essayant de ne pas être trop explicite quant à son pénis.


coach--10-.jpg

Sa main bougea un peu et révéla plus de son gland épais. Il révélait plus de from, un from plus épais à mesure qu’il tirait son prépuce. Il semblait qu’il n'avait pas eu la possibilité de se laver la bite depuis un certain temps, ou peut-être fait-il du from très vite. Je savais que certains gars arrivaient à faire du from très rapidement, surtout s'ils ont beaucoup sué. Le coach Pascoe était bien sûr en sueur. Il finissait de pisser, il pressait sa bite avec son prépuce pour sortir les dernières gouttes de pisse. Il rendait son gland humide de pisse et pâteux de from humide. L'extrémité du gland et le prépuce avaient encore une dernière goutte de sa pisse. Je me demandais quelle odeur ça pouvait avoir. Quel goût. Puis j'ai réalisé qu'il me regardait maintenant pendant que ses doigts couraient sur sa queue. Il devenait plus gros, aussi.


 

Je me trouvais à côté du coach Pascoe à le regarder se caresser la bite et déplacer son prépuce et sentir ses odeurs au point que ma bouche bavait et mes genoux tremblaient et il me regardait faire en souriant de son sourire encourageant. Il me lança alors :

-- Je t’ai vu.


Et sa bite se faisait plus longue dans sa main. Elle semblait vraiment gluante et humide sous le prépuce quand il le tirait en arrière. Et j'ai caressé ma bite doucement et secrètement à côté de lui, encore très proche de l'urinoir afin qu'il ne puisse pas voir mon érection et je dis innocemment :

-- Coach ?

-- Je t'ai vu sentir ce T-shirt en sueur et ce jock. Tu semblais vraiment parti. T’aimes ce genre de choses ? T’aimes l'odeur de couilles en sueur d'un mec ?
Et puis il a fait un pas en arrière de l'urinoir et se tourna vers moi, avec sa grosse bite pointant vers moi. Et j'ai trouvé le courage de faire la même chose.

-- J'aime vraiment ça, entraîneur. Je ne sais pas pourquoi. Je sais que c'est mal. Je ne peux rien y faire.
Je ne pouvais pas le regarder dans les yeux. J'ai pensé à son beau visage et son corps solide, mes genoux étaient faibles et puis je tombais lentement à genoux devant lui.
-- Je veux vous sentir, coach. J'ai besoin du goût et de l'odeur  et vous semblez en avoir envie aussi...

Je louchais sur sa bite et elle bavait un épais jus qu’il trayait avant de l'étendre en un glissement collant partout sur son gland et le bord de son prépuce épais. Sous ce prépuce se cachait un puant paradis épais et je le voulais.

-- Ouais, je pense que tu le veux vraiment, Jim. T’as déjà sucé une bite ?

-- Bien sûr, entraîneur. Je suis assez bon à ça. Permettez-moi de le faire. Il n’y a personne autour et personne ne le saura.


coach (7)J'ai tendu la main vers son pantalon de survêtement gris et je l’ai baissé révélant la sueur du jock malodorant qu'il portait et que je baissais sous ses couilles. On voyait à peine le scrotum sous l’épaisse toison noire. Son odeur de sexe flottait au-dessus de mon visage en vagues chaudes. Je m’approchai de sa bite crade et puis je lui lançai un regard cherchant silencieusement sa permission.

 

Il a mis sa main charnue derrière mon cou et m'attira près de son engin. Son trou à pisse suintait de jus et je sortis ma langue et en léchai un peu. Il trouvait que c'était chaud. Sa bite balançait de haut en bas alors que ma langue caressait sa fente de pisse. Une chaîne de jus resta accrochée entre mes lèvres et son gland. Je pouvais sentir le musc de sa sueur de bite et l'odeur plus profonde de son jock et de son entrejambe.

J'en ai pris plus et il a dit :
-- Ouais, je sais que tu aimes cette odeur. La sueur de mon entrejambe et ma pisse et ma bite gluante. Je t’ai vu avec ce jock ! Je savais que tu me sucerais.

 

coach (8)Il souriait de ce sourire encourageant et j'ai pris tout ce que je pouvais de sa bite chaude, épaisse, musquée dans ma bouche. Je savourais le goût de sel, de peau, de musc et de from et je le laissais presque glisser hors de ma bouche et ensuite revenir pour plus. La lubrifiant avec une combinaison de ma salive et de son jus, ma langue œuvrait dans des zones sensibles sous le prépuce, dégustant la pisse qui restait et la pâte piquante que j'avais vue.


Le coach Pascoe respirait bruyamment et de sa voix basse et sombre il m’exhortait à prendre plus, à sucer plus profond, à lui dire que j'aimais le goût, lécher son scrotum, lécher son entrejambe. Il enleva son sweat à capuche et me dit de lécher sa poitrine velue, sentir ses aisselles, sucer ses aisselles, le sentir, sentir cette putain d’odeur. Il se retourna et se pencha et me dit de bouffer son trou du cul putride et je l'ai fait. Pendant un très long moment parce qu'il aimait tellement ça. Je suppose qu'aucune fille n'aime mettre sa langue dans cette raie poilue, mais moi j’ai aimé bien sûr. J'ai aimé toutes les saveurs du coach Pascoe.


coach (6)Puis il se leva, se retourna et dit  :

-- Je dois encore pisser. Jim t’as soif ? Tu veux de ma pisse chaude dans la bouche ?
Je le voulais tellement, que je ne pouvais même pas sortir les mots. J'ai juste ouvert ma bouche et hoché la tête et l’ai regardé dans les yeux alors qu’il approchait sa grosse bite près de mon visage et de mes lèvres. Puis la pisse arriva. Dans une courte rafale d'abord. Elle a frappé mon menton et éclaboussé sa bite. Elle était très jaune. J'étais désolé qu'il ait manqué ma bouche, parce que je voulais vraiment boire la pisse du coach Pascoe. Je n'ai pas eu à attendre longtemps pour obtenir mon souhait, cependant. Dans les secondes qui suivirent, il a pissé un long flot ininterrompu de son jus dans ma bouche et je déglutissais pour avaler ce que je pouvais avant que ma bouche déborde, et chaque fois que j'avalais, un déluge de pisse de mon entraîneur volait de ma bouche, vers le bas de mon visage, sur ma poitrine et sur ma bite et faisait une énorme flaque de pisse dorée dans laquelle j'étais agenouillé sur le sol, réclamant plus de pisse. Plus de pisse salée du coach Pascoe.


J'ai adoré. J'aimais profondément le coach Pascoe à ce moment-là. Il était l'homme chaud le plus masculin, beau, musclé, poilu, avec qui j'avais eu des relations sexuelles jusqu'alors. Il s’était complètement abandonné dans le sexe jusqu’au moment où il s'est rendu compte que je ferais absolument tout ce qu'il me dirait de faire. Il aimait attraper ma tête à deux mains et baiser ma bouche avec sa grosse bite. Il transpirait comme un fou et baisait ma bouche et son parfum se faisait plus net avec la sueur de ses couilles et plus piquant avec la pisse qui était désormais partout et il grognait à chaque poussée et enfin il tira sa queue de ma bouche tout à coup et, serrant les dents dans une version bizarre de ce sourire bien-aimé, a joui de blanches giclées épaisses de sperme au goût fort sur mon visage et ma bouche, 6 ou 7 giclées. Il a retiré sa bite et la peau du prépuce a commencé à recouvrir le gland et j'ai englouti dans ma bouche et sucé la dernière goutte de sa bite. J'ai descendu et embrassé ces couilles poilues et des gouttes de sperme tombées là de mon visage, et j'ai léché, aussi.


coach (9)Je levai les yeux vers son visage rouge, ruisselant de sueur avec ces efforts, et il a dit :

-- Maintenant recule. Gicle ton sperme sur mes pieds !

Il m'a fallu peu de temps. Ses pieds étaient grands et décorés de poils foncés et étaient là sous mes genoux et j'ai écarté mes genoux pour approcher ma bite de ces pieds nus, couverts de pisse. J'ai fait gicler une charge énorme comme seulement un jeune homme excité peut le faire. Ça a éclaboussé les pieds du coach avec force et ça s’est étalé à l'impact en couvrant presque entièrement les deux pieds de blanc et en se prenant dans les poils. J'ai regardé à nouveau le coach, qui avait un sourire narquois sur son visage, maintenant, comme s’il m’avait a pris dans un piège...

-- Je dois pisser à nouveau maintenant. Lèche ce sperme et cette pisse sur mes pieds. Veille à tout récupérer entre les orteils !

 

Il m'a fait manger mon propre sperme sur ses pieds en sueur tandis que juste au dessus de moi sa pisse éclaboussait mon dos et mes cheveux et coulait sur mon visage et sur ma langue, où elle se mêlait avec le goût de mon propre sperme chaud et épais. Sa pisse est si chaude. Je voulais qu'elle dure éternellement. Je voulais que l'odeur et le goût et la sensation de léchage des pieds du Coach Pascoe nettoyés de sa sueur et du sperme et de la pisse durent éternellement. Quand il eut fini de pisser sur moi il se tenait là nu, poilu, viril, en sueur et dit :

 -- Tu ferais mieux de prendre le balai et nettoyer ce gâchis et puis nous irons sous les douches !


Plus tard, quand nous étions habillés et prêts à partir, il a mis ses bras autour de mon épaule, sentant le propre et le déodorant cette fois et dit :

-- Tu sais, nous ne pouvons jamais dire aux autres que nous avons fait ça, mais j’ai aimé ça bien sûr. Ta bouche est si bonne. Je ne veux pas dire que nous allons le refaire ou pas. Nous allons juste le jouer à l’oreille. Mais en attendant...
Et il a mis sa main dans sa poche de veste et a sorti son jock-strap, celui qu'il portait ce soir-là, il l’a approché de mon nez et tout évoquait la sueur de ses couilles et une odeur de pisse et sa crasse du prépuce et notre partie de sexe ensemble. Je l'ai aussitôt mis dans ma poche. Et nous n’avons jamais recommencé, même si nos yeux se rencontrèrent sciemment de nombreuses fois, jamais les circonstances ne sont revenues à nouveau. Je n’ai plus 18 ans, mais je me souviens de ce vendredi soir comme si c'était hier et j'ai encore le jock du coach Pascoe. (Oh, et celui de Vic aussi, mais c'est une autre histoire !)

Par Cradyon - Publié dans : Témoignages
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Mercredi 15 mai 3 15 /05 /Mai 11:30

Hummm, je vois que la bonne queue fromageuse de SVEN a fait couler pas mal de jus ce week-end ! Apparemment je ne suis pas le seul à avoir envie d'y passer la langue pour récolter tout ce from bien épais... Je pense que pour la prochaine élection de Mister Teubcrade, tu as toutes tes chances mec ! ;-) N'hésite pas à nous renvoyer d'autres photos de ton zob bien crémeux ou d'une bouche de salope en train de te la décrasser à fond !

Aujourd'hui, je vous propose le témoignage de MEULBY, un autre fidèle du blog depuis des années qui adore servir de chiottes et de vide-couilles à de bons mâles macho et odorants... Alors quand il est retombé sur ce mec poilu et viril en chattant sur un site, il n'a pas résisté bien longtemps à l'envie de se faire larver par ce pur queutard... Mais il était bien loin de se douter que ce mec serait aussi daubant ! Je vous laisse découvrir sans plus attendre le récit de ce plan hyper bandant, illustré par quelques photos prises sur le net. Merci encore pour ton témoignage mec, et continue à nous faire partager tes futures baises hard et odorantes !

 

meulby 1Salut à tous ! Ça fait quelques années que je suis ce blog en me paluchant devant les vidéos et tous les témoignages aussi bandant les uns que les autres ! Mon surnom est Meulby, j’ai 30 ans et je vis dans le sud-ouest. Je suis brun, 1m80, et je suis assez massif. Comme vous allez le remarquer d’ici peu, j’aime bien me faire lope, je kiffe toutes les odeurs de mâle (bite, chaussette, slob, aisselles), et plus c’est fort, plus je suis heureux !

C’était l’été dernier, il faisait une chaleur insupportable et j’avais le cul en feu. Un mec avec qui j’avais eu un plan quelques mois auparavant m’envoie un texto pas très développé : « Envie ? » La première fois qu’on s’était vus, le plan avait été assez quelconque, mais étant en rut, je lui réponds que oui. Dans les trois secondes, je reçois « T'aimerais quoi ? ».

 

 

Pour le coup, je me lâche un peu...

-- Je veux me faire traiter comme une chienne.

-- Tu vas avoir ce que tu veux... Mets un slip blanc. Je termine le taff à 17h30, je me douche, t’arrives et je te baise.

-- Ne te douche pas, je préfère.

-- Il fait 40°, j’ai transpiré toute la journée, tu vas pas apprécier...

-- Oooh si !


J’arrive donc à 17h30 chez lui, j’attends un peu en bas et je reçois un texto : « Arrive salope ! ». Je ne me fais pas prier et je rentre dans l’immeuble. Une porte s’ouvre, je ne vois rien, l’appart est dans le noir, je rentre... Je me fait aussitôt plaquer sur le mur et sa langue me rentre profondément dans la gueule. Il est massif et bien velu. J’ai un barreau d’enfer, d’autant plus qu’il pue gravement la sueur ! Il me bouffe littéralement la gueule, me déshabille en me laissant mon slip. Lui est déjà en caleçon. Il me descend au niveau de sa teub.

 

meulby 5 Là, même si je suis plus qu’excité, je prends mon temps, et je renifle. A dix centimètres, ça sent déjà la pisse et la sueur. Je colle donc mon nez dessus et renifle tout ce que je peux. Je comprends pourquoi il tenait tant à se doucher avant que j’arrive, ce mec est un porc ! En plus de la pisse, ça sent la sueur et le vieux sperme macéré. Je renifle, je le suce à travers le calbart. Ça sent l’homme comme j’aime ! Enfin, je lui sors la bite, la décalotte, et même s’il n’y a pas de fromton, ça sent très fort ! Je le suce doucement, en prenant bien son gland entre mes lèvres et en le léchant amoureusement.

-- T’es une vrai cochonne toi ! Va sur le lit ! Et à quatre pattes !

Il me fait monter sur le lit, le cul en l’air, dos à lui. Il commence à me cracher sur le slip, à me claquer les fesses. Il a l’air d’aimer ce qu’il voit. Il met mon slip en string, m’inonde la rondelle de crachats et commence à me doigter. Il y va franchement comme un bourrin, ce qui me fait couiner. Pour me faire taire, il me met les doigts qu’il vient de m’introduire dans la bouche et me demande de les lécher. Je m’exécute et il recommence à me doigter vigoureusement...

Un doigt, deux doigts, trois doigts, quatre doigts... Il s’excite de plus en plus, et tout d’un coup, il retire ses doigts et me dit :
-- Maintenant on va faire un tour dans la salle de bain...

Je ne sais pas trop ce qu’il va m’y arriver, mais j’ai une petite idée... Arrivé dans la salle de bain, il me met à genoux, se met dos à moi et me plaque la gueule dans sa raie !
-- Allez, je veux que ça brille !

meulby 3Je lui nettoie la rondelle comme il semble le vouloir et ça sent fort ! Il grogne de plaisir, me colle la tête à fond dans son cul. Au bout d’un moment, il me retire de là et m’envoie dans la cabine de douche. Le moment que j’espérais ! Je suis encore à genoux, il approche sa teub, et j’attends un petit moment en fixant avec envie son énorme gland. Tout d’un coup, un gros jet m’arrive en plein visage. Il m’arrose partout. Il a dû boire tout l’après-midi en pensant à moi tellement y’en a ! Il s’arrête un petit moment, mais comme il tient encore sa bite, je me dis qu’il a pas tout à fait fini. Pour l’encourager, je lui suce doucement le gland, et sans me prévenir, il recommence à pisser, mais dans ma bouche cette fois-ci.

 

Je bois tout le liquide doré. Il doit avoir une vessie de cinq litres ! J’ai l’impression que ça ne s’arrêtera jamais !


Une fois qu’il a eu fini, je le suce vigoureusement, et au bout de quelques minutes, il me prend la tête, me recule, et se masturbe. Je comprends bien ce qu’il va m’arriver... Il m’éjacule à la gueule en grognant, et franchement, j’ai rarement vu quelqu’un qui giclait autant !
meulby 4Une fois vidé, il me lance en sortant de la salle de bain :

-- Termine-toi salope, et tu peux t’en aller...

Je ne me fais évidemment pas prier ! Je me masturbe, le visage couvert de sperme et le corps ruisselant de pisse. J’arrive vite tellement il m’a excité. Je me rince à la douche, je me rhabille et m’en vais sans un mot. De temps en temps, il m’envoie un texto pour me demander si j’ai envie de remettre ça. En général, je ne me fais pas prier !

 

meulby@hotmail.com

Par Meulby - Publié dans : Témoignages
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Lundi 18 mars 1 18 /03 /Mars 14:40

Après le récit super bandant du lopage à domicile de JEFFREY par deux rebeux en rut, je vous propose aujourd'hui un nouveau témoignage envoyé par un pote, LOPEDU68, un footeux hyper sexe de 25 ans grave branché skets et ieps, que j'ai eu la chance de croiser il y a quelques mois... Et je peux vous dire que c'est une putain de salope et qu'il kiffe la bite ! ;-) Comme je savais qu'il fantasmait grave sur les rebeux sportifs, je lui ai filé les coordonnées de Karim, un pote bi marocain, musclé sec, footeux et excellent domi, pour qu'il aille se faire larver et lui récurer les crampons après un match ! Et c'est clair que ce bâtard de LOPEDU68 ne s'est pas fait prier pour aller décrasser les ieps de mon pote et lui servir de chiottes et de vide-couilles ! Comme son pseudo l'indique, cette petite tépu est désormais en Alsace alors si vous aussi vous êtes Alsacien, footeux et que son témoignage vous donne grave envie de le voir à vos pieds, n'hésitez surtout pas à la contacter pour lui proposer un plan réel (wesh.rekins@hotmail.fr) !



Salut les mecs ! Je me présente : j'ai 25 ans, cheveux châtains, yeux bleus, 1m65, 55 kg, passif. J’habite en Alsace et je connais depuis quelques temp ce site très bandant sur lequel je me branle assez souvent. J’ai rencontré Teubcrade il y a un an lorsque je faisais mes études, après avoir discuté avec lui sur msn de nos trips respectifs. Moi, ce qui me fait triper grave c’est d’être à dispo d’un mec domi, viril, actif et si possible poilu. Je kiffe comme beaucoup les odeurs et je bande rien qu’à l’idée de devoir sniffer et lécher des panards puants, des aisselles suantes, une bonne queue et un bon cul odorant.
lopedu68 (1) Teubcrade m’avait parlé d’un rebeu hétéro, footeux, bien domi, actif et bourrin qui kiffait rabaisser une bonne pute céfran comme moi. Il l’avait rencontré à plusieurs reprises et m’a donc filé son msn. Après avoir parlé de nos kiffs respectifs, rendez-vous est pris chez Karim en ce soir de mai, juste après son match de foot (j’avais envie de le décrasser après son match et lui avait envie de larver une bonne lopsa comme moi !).

Arrivé devant chez lui, il m’envoie un sms : « Salope, attends-moi devant le numéro 12. J’arrive ». Cinq minutes plus tard, arrive un grand rebeu musclé au regard bien macho :

-- C’est toi qui a envie de bien morfler ce soir ?

En entendant ces mots, je répondis positivement et le suivis en bandant grave, avec la chatte en feu rien qu’en pensant à ce qui allait m’arriver. A peine arrivé, il me lance :

-- Fous-toi en jockstrap et mets-toi à genoux devant moi salope !

Je m’exécute en recevant un bon mollard sur la gueule, raclé au fond de sa gorge.

 

-- Sale pute, tu vas voir ce que c’est que d’être bien larvé par un rebeu !

lopedu68 (4)J’étais venu avec mon jockstrap blanc et avec mon gode de 18cm de long sur 5 de large. Lui était avec sa tenue de footeux portée une heure avant, pendant son match : un maillot rouge, un short bleu foncé avec un boxer blanc dessous, des cho7 rouges, des protège-tibias et des chaussures noires et blanches à crampons vissés. Il avait bien transpiré et l’odeur embaumait toute la pièce, ce qui m’excitait grave. Ses cho7 et ses crampons étaient bien crades avec de la terre partout. Assis sur une chaise, il me lance :

-- A mes ieps salope, là où est ta place ! Et décrasse bien !

 

Rapidement, je lèche ses bonnes skets avec ma langue de pute bien pendue et essaie de ne rien oublier

-- Y'a encore de la terre sale pute, nettoie bien ! dit-il en me rebalançant un mollard et en m’insultant de sale kashba (pute en arabe).

Dix minutes après, il me fout les semelles sur la gueule et me fit lécher ses crampons bien crades.

 

-- Décrasse bien batard, je veux qu’ils brillent !

 

Il y avait de la terre et de l’herbe partout et ma gueule est vite devenue crade. Au bout de vingt minutes de décrassage, ses chaussures étaient propres et j’ai eu droit au fumet que toutes les lopes aiment recevoir.

-- Maintenant, prends-toi ça dans la gueule sale race !

 

Avec ses crampons dans la gueule, une bonne odeur de transpi m’envahit et je me mis à bander grave :
-- Hummm putain !

 

-- Hein, t’aimes ça quand ça pue ! » me dit-il en me mattant droit dans les yeux.

J’ai ensuite eu droit à ses panards dans la gueule (un bon 45) et ses cho7 puaient grave :

-- Sniffe-moi ça sale pute et tend bien ta langue !

 

Je vous dis pas les gars, ça puait de partout et cela ne s’est pas arrangé lorsqu’il a enlevé ses cho7 !

-- Nettoie et passe bien ta langue entre les doigts de pied, là où ca pue !
lopedu68 (3)Dix minutes plus tard, il me file ses protège-tibias à sniffer et commence à foutre un doigt, puis deux, puis trois dans ma chatte, après avoir bien mollardé dessus.

 

-- T’as un bon cul de lope ! Je vais te le défoncer tu vas voir !

Je mouillais de plus en plus, rien que d’imaginer sa queue pilonnant mon trou. Il prit ensuite mon gode qu’il fout direct et en entier dans mon cul, ce qui me fit gueuler direct.

-- Ta gueule salope ! T’as l’habitude non ? me dit-il alors en m’insultant.
  

Après quelques minutes de pilonnage intensif, il prend la ceinture d’un de ses pantalons, me la met autour du coup et me promène dans la pièce à 4 pattes, comme une bonne chienne. En tirant ensuite sur la ceinture, il prend ma gueule et me la fout direct sur son paquet.

 

-- Sniffe ça et vénère ma queue connasse !

 

lopedu68 (6)Elle était bien grosse et bien dure, et cela s’est confirmé lorsque je l’ai vu déballée devant ma gueule : une bonne queue circoncise de rebeu de 19 cm sur au moins 5 de large ! Direct, je commence à la sniffer : elle sentait bien la pisse et la transpi, elle avait bien macéré dans le boxer qui daubait bien lui aussi. Il me prit alors par la nuque et me lance :

 

-- Ouvre bien grand ta gueule de lope et prends-toi ça !

 

Il se mit alors à me baiser la gueule comme un ouf, m’étouffant presque lorsque sa queue arrivait en fond de gorge. Les va-et-vient durent un bon quart d'heure et la salive ne cesse de sortir de ma bouche.


-- Hummmm, c’est bon ça ! me dit-il plusieurs fois de suite.

Ensuite, en m’ordonnant de me mettre debout, il enlève son maillot et colle ma gueule sur une de ses aisselles.

-- Sniffe-moi et lèche-moi ça, je sais que tu kiffes ça, comme toutes les lopes de ton genre !

Je vous assure les gars, elles ruisselaient de partout et les poils étaient trempés de sueur. L’odeur me mettait bien en transe et je m’appliquais à bien les décrasser. J’ai ensuite pu lécher son torse dessiné bien poilu et bien suant. Ma gueule était pleine de sueur et la pièce embaumait tel un vestiaire de foot après un match. Après presque une heure passée à sniffer et lécher son corps de haut en bas, il m’ordonne de me foutre à genoux devant sa queue.

 

-- Maintenant ouvre bien grand ta bouche et prends-toi ça sale pute !

Il commença alors à pisser dans ma gueule et je m’appliquais à ne rien perdre. J’avalais un peu de sa pisse bien fumante et j’en étalais une partie sur ma gueule, sur mon corps et sur mes cheveux. Je vous dis pas les gars, ça fumait dans toute la pièce et ça puait grave !

 

-- T’aimes ça, hein batard, la bonne pisse de rebeu ?!! me fit-il en me claquant la gueule.

En même temps qu’il me pissait dessus, il me cracha sa bière dans la gueule et le mélange des deux m’excitait encore plus. Une fois vidé, il se retourna et me dit :

 

-- T’allais oublier de me récurer à un endroit ! J’ai chié une bonne merde avant que t'arrive...

lopedu68 (5)Je me retrouve alors la gueule contre son trou puant et pendant que je décrasse son cul,
il lâche sans complexe un énorme pet. Je bandais tellement que mes couilles me faisaient mal !

-- Fous-toi à 4 pattes comme une chienne et exhibe bien ton trou de pute devant moi ! me fit-il ensuite.

Après m’avoir bien doigté la chatte et mollardé sur mon trou et sur sa queue, il enfile une capote et entre d’un seul coup dans mon cul. J’ai alors laché un cri, vite étouffé par ses doigts dans ma bouche. Sa queue me défonçait bien le trou et je sentais ses couilles me claquer le cul violemment.

-- Hummmm ouais, baise-moi  mec ! Vas-y, c’est boooonnnn !!!


-- T’es qu’une pute à limer  ! Ouais c’est bon ça !

Après vingt minutes de bonne baise virile, il me fout à genoux devant lui et me crache son jus partout sur la gueule, en jets puissants et abondants.

 

-- Tiens prends ça salope ! Hummmm c’est bon putain !!!

 

Son jus me recouvre alors entièrement la gueule et je ne mets pas longtemps à juter moi aussi sur le sol trempé de pisse.

-- J’espère que t'as bien kiffé sale pute ! Teubcrade avait raison, t'es vraiment une bonne lopsa ! La prochaine fois, je ramènerai des potes footeux et on te larvera ensemble ! Ils sont aussi bien montés que moi et puent également beaucoup.

Mon cul s’en souviendra longtemps et j’ai eu du mal à m’asseoir pendant quelques jours après, mais ce fut tellement kiffant que ça me fait encore mouiller aujourd'hui rien que d’y repenser !
lopedu68 (2)

Par Teubcrade - Publié dans : Témoignages
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Lundi 11 mars 1 11 /03 /Mars 15:30

Salut les queutards !

Désolé pour ces quelques jours d'absence mais j'avoue que c'est un peu chaud côté taf en ce moment et que je n'ai malheureusement pas eu beaucoup de temps à consacrer au blog. Mais rassurez-vous, je ne vous oublie pas et dès que j'ai un peu de temps comme aujourd'hui, je reviens vous tirer le yop avec de nouveaux articles bien kiffants !

Aujourd'hui, c'est JEFFREY, un bonne lopsa de 30 ans sur Paname, qui se charge de vous faire monter le jus avec le récit d'un de ses plans Q hyper och avec 3 queutards en rut (dont 2 rebeux !). Putain mec, tu m'as foutu direct le barreau dès les premières lignes !! Comment t'as dû kiffer avec ces trois keumés bien odorants en mode domi macho. Je suis sûr que tu vas faire baver de jalousie un max de lopsas avec ce putain de témoignage ! Et pour ceux qui voudraient tester en réel les talents de tarba de JEFFREY, n'hésitez pas à le contacter par mail... Il n'attend que çà ! Allez les mecs, je vous laisse sortir vos teubs fumantes et déguster ce putain de larvage ! Ah oui j'oubliais... il ne s'agit évidemment pas de pics perso prises pendant le plan (ils avaient mieux à faire ! lol) mais de photos prises sur internet pour illustrer l'article et le rendre encore plus bandant. Bonne sturbe et encore merci à toi pour ta contribution au blog !

 

poiluJe m'étais récemment fait un nouveau profil sur un site hard. L'annonce disait "Jeune batard en collier et laisse à dresser et utiliser par domi et ses potes". Après des dizaines de réponses, un rebeu de 26 piges m'a contacté car il cherchait une bonne chienne à mettre à ses pieds. On échange nos photos et nos trips, et direct il m'a parlé comme si j'étais la pire sous-race de Paname. Il s'appelle Ahmed, il fait 1m82 pour 78 kg, poilu, bien teubé de 19 cm épaisse et des panards de 46. Je suis d'un plus petit gabarit, 30 ans, 1m75 72 kg et un cul qui plaît à tous les mecs.

On s'échange nos tels, on parle par sms et il m'appelle pour organiser mon larvage chez lui un samedi soir vers 22 heures. Je suis arrivé chez lui 10 minutes avant, avec mon sac où je garde mon collier et ma laisse, sans oublié d'avoir au préalable enfilé mon jockstrap. Je l'appelle pour lui dire que je suis devant son immeuble, sonne à son interphone et monte les deux étages en flippant de ce qu'il allait m'arriver,  même si j'étais très excité par la situation.

La porte est entrouverte, je rentre, ferme à clé. Il fait sombre, j'entends des bruits de discussion, de télé et j'entends alors sa voix venant du salon :
 

 

-- Sale bâtard, tu te fous à poil avec juste jocks collier laisse et tu bois le verre parterre ! Compris ?!

-- Oui Boss, mais c'est quoi ?

-- Ferme ta gueule et obéis salope ! C'est un mélange de sépi et de quoi te rendre bien larve !

Je me suis mis en tenue de lope et j'ai avalé le verre de pisse jaune et forte cul sec. Le goût était vraiment écoeurant. Puis j'ai attendu à genoux, tête baissée et il est venu, a pris la laisse et m'a emmené dans le salon. J'avais les yeux fixés sur ses Tn noir, bien dégueulasses avec de la terre, et le suivais à 4 pattes comme un bon clébard. Il ouvrit la porte du salon et je vis deux mecs assis sur le canapé, la pièce enfumée et la télé allumée sur un film de cul où une meuf se faisait démonter en gang bang violent.

-- Voila les gars de quoi bien s'amuser ce soir ! lança-t-il à ses potes.

Puis en tirant sur ma laisse :

-- Bâtard, voila mes 2 potos à qui tu dois obéir sans discuter, Mohammed et Christian.
skets (4)Ils étaient installés tranquillement sur le canapé et se branlaient devant le porno. J'ai rampé jusqu'à leurs skets, des pumas et des airmax et j'ai commencé à les lécher en guise de présentation. Je sentis alors leurs mains me carresser le dos, la tête et le cul. Comme un vrai objet à dispo, je léchais le dessus et les semelles en me faisant insulter. Ahmed me mit des coups de pieds dans le cul de plus en plus fort et s'arrêta pour me demander si je commencais à planner. En effet, j'avais une sensation bizarre et me sentait de plus en plus chienne. Mohammed leva alors ma tête et cracha un gros glavios dans ma bouche en me giflant bien fort, avant de lancer à ses potes :

-- Regardez sa gueule, il est bon à larver maintenant !

 

Ils se sont marrés ensemble, tous les trois vautrés dans le canapé et moi en face, à leurs skets.

-- Fils de pute, enlève nos pompes et sniffe à fond ! me lança Ahmed d'un ton sec.
sox Son pote Christian me plaqua alors violemment le pied sur la gueule, en ajoutant :

-- Ça pue batard, tu kiffes ? Hein, tu kiffes sale merde ?!!

 
skets (6)-- Oui ça pue le mâle, merci... répondis-je aussitôt en inspirant un grand coup.

Je reniflais leurs chaussettes, qui n'étaient plus très blanches dessous. L'odeur la plus forte était celle de Christian : c'était un footeux et il ne s'était pas douché après son match de l'aprèm. Il m'ordonna méchamment :

-- Enlève mes chaussettes, mais juste avec tes dents ! Bras dans le dos batard !


L'odeur était forte et ça les faisait marrer de me voir grimacer sous les odeurs puantes de leurs panards. Après un bon sniffage, j'ai léché leurs pieds en passant bien ma langue entre chaque orteil
pour enlever la crasse. J'ai commencé à masser les pieds tout en continuant à lécher, en servant en même temps de repose-pieds ou en me faisant savater...

Ahmed me tira ensuite par la laisse pour mettre ma gueule de bâtard au niveau de sa queue sentant la pisse. Il m'ordonna de le pomper, puis de passer sur la teub de ses potes. Dans le canapé, se dressaient fièrement des putains de calibre : Ahmed et ses 19 cm, queue épaisse et circonsise ; Mohammed, 18cm, circonsis et Christian, 21 cm avec un long prépuce. Trois véritables bites de domi bien macho qui cherchent à se purger avec une pute à leur dispo !

Christian avaient de grosses couilles un peu poilues, puant un mélange de jus, de pisse et de sueur. Il m'ordonna de lécher ses couilles pendant qu'il se branlait et décalotait de plus en plus. Son gland était un peu visqueux et blanc. Il se vanta auprès de ses potes de pas s'être nettoyé la queue depuis sa branle de la veille. Puis il m'attrapa par le collier, mais je résistais car l'odeur était vraiment immonde. Il m'a aussitôt foutu deux aller-retour dans la gueule et j'ai supplié d'avoir du poppers avant de décrasser sa queue. Aucun domi n'a voulu me gazer, à part Christian avec sa bite puante !
decrassageJ'ai sniffé et léché sous la menace et les coups, jusqu'au nettoyage complet de son chibre. Ensuite, ils se sont tous les trois mis debout debout devant moi et m'ont tourné la gueule en forcant à prendre gorge profonde. Gazé à mort au poppers, à me faire défoncer la gueule, à baver à fond, les yeux explosés à en pleurer, à essayer de me faire pomper deux teubs en même temps... Pluie de mollards et gifles, jusqu'à me recroqueviller dans un coin en les suppliant de faire une pause.

Ils se posèrent tranquillement dans le canapé en fumant leur clope avec leur bière. Ils parlaient de moi comme d'un déchet et se marraient d'avoir un trou à utiliser. Ils discutaient entre eux comme si je n'existais pas. Mohammed se leva, s'approcha, me foutit un coup de pied et me tira alors d'un coup sec par la laisse.


pisse-- Eh bâtard, suis-moi, tu vas servir de chiottes !


Il m'emmena dans la salle de bain et m'ordonna de me mettre dans la baignoire, à genoux, bouche ouverte en baissant les yeux. Mohammed lacha un gros jet de pisse dans ma gueule, suivi d'Ahmed. J'étais recouvertd'urine de mâle et j'attendais que Christian m'utilise de la même façon.

-- Lèche la pisse, cul en l'air et écarte ton trou de lope !

Je me mis sans plus attendre en position et sentis son doigt me forcer le trou et stopper. Quelques secondes plus tard, je sens sa pisse couler sur mon dos, mon cul, ma raie...



Sans doute chauffé par le spectacle, il me tripota à nouveau la rondelle, alternant pisse et doigtage de ma chatte
devant ses potes, qui l'encourageaient tout en s'astiquant énergiquement la queue.

Ahmed balança par terre une vieille serpillère pour m'essuyer et me dit de les rejoindre dans le salon.En bon clébard, je reviens rapidement à leurs pieds et Ahmed me tend un verre avec de la poudre dedans, prend sa bière, prend une gorgée, se rince la bouche et recrache dedans. Il allait m'ordonner de boire quand Christian attrapa le verre, se racla la gorge avec un bruit bien gras, et cracha un gros mollard qui flottait dans le verre. Il se marra et me dit de le boire.J'ai compris qu'ils me voulaient bâtard à mort, et que je devais encaisser un maximum leurs kiffs.Je me suis remis à les pomper et à lécher leurs pieds suivant les ordres.

Pendant que je pompais Mohammed, j'ai senti 4 mains qui me carressaient le cul, des doigts qui forcaient mon trou, une main qui serrait mes couilles de lope et des grosses claques sur mon boule. Ça y est, je sentais que je partais, j'avais super chaud et me sentais une bonne sous-merde à utiliser. Ahmed continuait à me doigter en me foutant un max de gel, et il devenait de plus en plus hard dans ses gestes, pendant que son pote m'étouffait la gueule avec sa grosse queue. Ahmed se tourna alors vers ses potes et leur lança :

lopsa-- Elle est prête à se faire démonter les mecs. Christian, attache-lui les mains avec les menottes sur la table ! Tiens Mohammed, gaze-le, il va prendre cher ce bâtard !

Il enfila une capote et mit son gland à l'entrée de mon trou. J'ai pris deux grandes inspirations de poppers et Mohammed m'a refoutu illico sa teub dans la gueule... Et là j'ai senti la grosse queue d'Ahmed rentrer d'un coup sec dans mon cul ! J'ai morflé grave car il bourrinait à fond et sans aucune pitié !

-- Sale pute, je vais te casser le cul ! T'es là pour nous vider les couilles, sale merde !!!

Il était déchaîné et me foutait de grosses claques sur le cul, parfois même des coups de poings dans le dos.
Il me baisa comme un bourrin pendant 10 bonnes minutes, avant de laisser la place à Christian puis à Mohammed.

Mohammed me lima assez fort, puis il s'allongea pour que je m'empale sur son chibre pendant que je pompais ses deux potes.
Christian sortit de ma gueule, enfila une capote et se mit derrière moi. Conscient du calibre que j'allais prendre dans le boule, Ahmed me gaza à nouveau au pop. Les mains toujours attachées, je pompais Ahmed qui me tenait la tête pour me baiser la gueule alors que j'étais empalé sur la queue de Mohammed. Je sentis alors le gland de Christian qui forçait ma chatte déjà occupée. Il força un peu et c'est rentré. Une douleur vive m'arracha les entrailles pour leur kiff. Ils m'ont tourné une bonne heure, en alternant pauses et baise virile.
sodo (1)Je pompais Christian dans le canapé quand d'un seul coup, il se lève, me défonce la gueule en me giflant et en m'insultant avec encore plus de vigueur.

-- Prend-la au fond salope ! Vas-y avale ! Argghhhhh ahhhhh !!!!!!

Il venait de tout larguer direct sur ma face ! Ahmed et Mohammed, visiblement excités par ma gueule recouverte de jus ont suivi leur pote et m'ont juté à leur tour sur la gueule, avant de tomber épuisés dans le canapé. J'en pouvais plus d'avoir été utilisé ainsi pendant des heures et je m'écroulai à leur pied comme un bon chien soumi, puant la pisse, l'odeur de leurs panards et le jus.
juteSi des mecs sont interéssés pour refaire ce genre de plan hard et planant, contactez-moi : petitmec82@live.fr

Par Jeffrey - Publié dans : Témoignages
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Dimanche 10 février 7 10 /02 /Fév 15:15

Après cette vidéo bien kiffante de lopage entre lascards, je vous propose aujourd'hui le récit d'un plan hyper chaud que vient de m'envoyer COÏNCIDENCE, un des fidèles du blog, dont vous aviez déjà pu découvrir plusieurs plans sur ce blog, notamment son larvage d'un agent immobilier, qu'il avait fermement initié à la dégustation de from et de pisse bien fumante. Ce pur queutard est de retour sur le blog, et aujourd'hui c'est son coiffeur qui va lui servir de chiotte et de vide-couilles ! Et pour que vous puissiez en plus bénéficier de photos du plan, il a demandé à un de ses potes de l'accompagner chez la lopsa pour immortaliser le plan ! Putain mec, je sais pas comment il a fait ton pote pour pas lacher l'appareil direct et se jeter avec toi sur cette pute ! En tout cas, merci à toi pour ce putain de témoignage qui ne manquera pas, j'en suis sûr, de faire couler un max de foutre !

 

Coincidence (2)Quelques temps après que mon agent immobilier soit parti vers d’autres bites (déménagement oblige, mais je lui ai laissé un bon souvenir avant son départ : un bon larvage en règle bien sûr !), j’ai eu une lope coiffeuse quelques temps. Le genre de lope qui ne dit jamais non, kiffant aussi bien le jus sur sa gueule que la pisse sur le cul et qui devient folle quand la bite sent le from. Je la baisais souvent dans l’arrière-boutique de son salon de coiffure, qui était à 5 minutes de chez moi.
Bien pratique pour se vider les couilles et la vessie !

 

Comme tout domi qui se respecte, je kiffe prendre en photo mes lopes en action au bout de ma teub. Mais faut bien reconnaître que c’est pas toujours évidement de défoncer la gueule ou le cul d’une lope tout en tenant un appareil photo dans les mains. Racontant régulièrement mes plans à mon pote Arno, fidèle du blog et aussi bon pilonneur que lope soumise au from (il avait participé au concours de skets foutreuses organisé par Teubcrade en 2010), il me proposa de venir un jour avec moi pour faire le photographe pendant que je larverais la lope. Bien sûr, j’étais partant pour me taper ma lope devant mon pote qui immortaliserait cela en photos.

 

Coincidence (1) Quelques jours plus tard, bien en rut et la vessie pleine, je discutais avec mon pote Arno sur msn, lui aussi bien excité derrière son ordi. Ni une, ni deux, j’envoie un message à la lope : ça tombe bien, elle est dispo. Je lui dis que dans 10 minutes, je serai au salon de coiffure (c’était jour de fermeture) accompagné d’un pote qui prendra photos du plan. Il dit ok... mais de toute façon il sait bien qu’il n’a pas le choix. Je retrouve Arno et nous voilà devant le salon de coiffure. La lope nous ouvre et je me dirige direct dans l’arrière-boutique. Faut dire que je commence à bien connaître les lieux, c’est pas la première fois que je viens. Arno me suit. La lope nous rejoint après avoir fermé la porte à clé.

 

Aussitôt dans l’arrière-boutique, elle se fout à poil. Je sors ma queue, et la lope vient direct la prendre en bouche et se met à sucer comme il se doit. J’entends les crépitements du flash de l’appareil photo de mon pote, ce qui m’excite encore plus. Après un bon pilonnage de bouche, je me recule un peu. Je vous rappelle que j’avais pas que les couilles de pleines, mais aussi la vessie.

 

Coincidence (5)  

Je pousse un peu et un jet de pisse bien jaune et chaud sort de ma teub, arrosant la lope à genoux dans son arrière-boutique. Après l’avoir bien arrosé, je le relève, le cambrant sur son bureau. Je lui tâte la rondelle qui s’ouvre sans problème. Et hop, capote enfilée et ma teub plonge dans sa rondelle dilatée. C’est parti pour des bons coups de reins bien profonds. Une dizaine de minutes plus tard, je décule, refous la salope à genoux, ma teub bien raide au-dessus de sa gueule. Quelques mouvements de branle sur ma teub et je lui largue mon foutre sur la gueule et la bouche


Coincidence (7)

 

 Coincidence (8)    

Coincidence (10)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je remballe ensuite le matos et quitte le salon de coiffure avec Arno, laissant la lope couverte de foutre et de pisse. En sortant, mon pote Arno m’a avoué que pendant tout le plan, il a mouillé son boxer et qu’à peine rentré chez lui, il s’est bien fait juter avec plein d’images en tête ;-)

Par Coïncidence - Publié dans : Témoignages
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