Salut les queutards ! Tout d'abord, un grand merci à tous les mecs qui ont pris le temps de laisser un commentaire sous les derniers articles suite à mon petit coup de gueule (et à tous ceux qui s'apprêtent à le faire). C'est vraiment motivant de constater que vous êtes nombreux à kiffer ce blog et à attendre impatiemment les mises à jour ! Donc pour vous remercier comme il se doit d'avoir rempli cette "règle" des 10 commentaires pour un nouvel article, je vous propose aujourd'hui un article qui vous fera larguer à coup sûr un max de foutre, foi de Teubcrade ! C'est le témoignage d'un de mes potes de longue date, TONIO, bon lascard bi, macho, viril et toujours prêt à gazer une salope avec ses odeurs de mâle... et aussi bien les meufs que les mecs ! Suite à l'article sur les nanas et les odeurs de mecs, mon pote m'a d'ailleurs confirmé que pas mal de meufs kiffaient s'occuper d'un bon bitos odorant, voire même fromageux, sans pour autant oser l'avouer... Et je peux vous dire que Tonio ne s'est d'ailleurs pas privé de se faire lustrer le chibre par de bonnes chiennasses en manque de vrais mâles domi macho.
Son témoignage hyper bandant raconte d'ailleurs en détails son décrassage par une beurette bien nympho qui
le chauffait un max depuis un bon bout de temps... Et visiblement, quand il a enfin réussi à la pécho, cette salope n'a pas eu chagrin de sa course ! Mais comme vous le verrez, tout bon domi
macho qu'il est, mon pote Tonio ne rechigne pas non plus à faire la tépu quand un pote hétéro lui déballe son bitos bien fumant sous le pif ! C'est fou ce que l'odeur de bite a tendance à
transformer les plus gros domis en décrasseurs hyper salopes ! lol
Allez trêve de blabla, je vous laisse découvrir le témoignage et les pics de mon pote... Il m'a dit qu'il avait grave hâte
de lire vos commentaires alors je compte sur vous pour faire péter les compteurs les mecs !!! Et un conseil, sortez vos queues tout de suite si
vous ne voulez pas courir le risque de tout larguer dans votre froc en lisant l'article ! ;-)
Salut poto ! Comme promis, voilà un de mes plans que je souhaite te faire partager à toi et à nos frangins lecteurs
du blog ! C'était en mai dernier, environ un mois avant mon départ du 93 pour rentrer en Normandie, dans ma région natale. À l'époque où j'avais emménagé dans mon immeuble en 2010, j'avais fait
la rencontre de mon voisin de palier Steven, que j'avais trouvé attirant avec son visage de taulard et son regard perçant.
Bien qu'il était un peu enrobé, il était beau mec. Moi j'étais en couple avec mon mec. Très vite on est devenus amis avec lui et sa femme. On se faisait des soirées dvd entre voisins, des
barbecues, etc... Steven était devenu un vrai pote avec qui je bougeais et passais du temps au grand dam de mon mec bien sûr... La belle-sœur de Steven était logé chez lui avec son mec Walid... sauf que celle-ci très attirante et sexy me faisait constamment du rentre-
dedans dès que son mec Walid n'était pas là ! Pendant plus d'un an, j'ai résisté aux avances de la belle-sœur de
Steven, voulant rester fidèle à mon mec.
On faisait souvent des soirées où l'on restait dormir les uns chez les autres et j'avais remarqué depuis le début que
Steven n'avait pas l'air d'être très fan de douche. J'avais même soupçonné des odeurs douteuses plusieurs fois quand on était en voiture ensemble... Arriva le jour où je me suis séparé de mon
mec. Steven et sa femme avaient déménagés dans une ville limitrophe à la mienne, et Sonia aussi s'était séparée de Walid !
J'avoue que bien des fois je me suis paluché en m'imaginant loper Sonia comme une vrai chienne, la souiller comme j'aime le faire quand je sors avec une meuf ! Et oui, je suis bi !
;-)
Mon fantasme devint enfin réalité le weekend du 14 juillet 2011 ! Steven m'avait invité à venir taper le week-end chez lui,
ce qu'on avait l'habitude de faire en bons amis ! On avait convenu qu'avant d'arriver chez lui, je devais récupérer Sonia, sa belle-sœur à son taf. Inutile de vous dire que cette idée me chauffait bien : elle était célib et moi aussi donc le terrain était libre ! Et ça
faisait plus d'une pige qu'elle voulait mon bitos de céfran cette magnifique beurette et qu'elle ne s'en cachait d'ailleurs pas, donc j'étais remonté comme un vrai porc en rut ! C'était le moment
! Je ne m'étais pas douché et avais enfilé mes airmax cuir ce qui me chauffait encore plus, surtout qu'en plein mois de juillet la chaleur et le soleil étaient au rdv !!!
Sonia monta dans ma caisse, se brûlant legèrement les cuisses sur le siège en cuir de ma caisse et on fila vers
Sarcelles chez Steven. Il ne fallut pas plus de trois minutes dans la voiture pour que tous deux cochons que nous étions, la conversation tourne déjà sur le sexe !
− Alors Sonia, ça fait un moment qu'on se tourne autour toi et moi et que je ne cède pas !
− Oui, c'est vrai Tonio, je te trouve super attirant, je me souviens encore le jour où t'as emménagé, on se chamaillait ma
sœur et moi pour être la première à te croiser. On te trouvait super beau, et tu m'attires toujours ! Et tu sais
Tonio, je suis une meuf qui assume ses désirs !
− Ha ouais Sonia ??! (rires) J'ai bien remarqué ça, t'inquiète ! Et dis-moi alors, tu kiffes quoi sexuellement
?
− Honnêtement Tonio, j'adore qu'on me domine bien ! Mais les mecs n'osent pas trop en général...
− Bah tu veux que je t'avoue un truc Sonia ? Moi, c'est l'inverse... je kiffe trop dominer les meufs, truc de
ouf !!!
Autant vous dire que j'avais mon paquet qui allait exploser dans mon jean !
− T'es sérieux Tonio ?! Et bien je crois qu'on va bien s'entendre alors !
− Oui, là c'est clair Sonia ! Si t'aimes te prendre des baffes, te faire insulter et humilier, on va grave s'entendre,
j'te l'assure ma belle !
On arriva chez Steven et la soirée se passa tranquillement, malgré que Sonia et moi n'arrêtions pas de
nous jeter des regards qui en disaient long ! Sachant ce qu'elle aimait, je n'arrêtais pas de lui lancer des regards vicieux pour bien lui faire comprendre que sa chatte allait bientôt
m'appartenir et je voyais bien qu'elle aimait ça ! J'avais trop hâte qu'on aille tous se coucher pour enfin me faire décrasser ma bite enfermée pendant toute cette chaude journée dans mon jean et
lui labourer sa chatte humide de tous mes doigts et de mon bitos ! Sauf que coup de théatre, Sonia alla se coucher dans la chambre de sa petite-nièce, seule !!! Rien ne se passa ! Et hors
de question d'éveiller les soupçons chez Steven et sa femme !
Le lendemain matin, on se leva tous. J'avais dormi tout habillé et je prétextai à Steven que je devais allez vite fait chez moi prendre une douche, n'ayant pas de quoi me changer. Sonia comprit
de suite le message et devant Steven elle me dit :
− Attends-moi, je me prépare et je viens avec toi, j'ai
besoin d'acheter des cigarettes !
Elle sortit de la salle de bain plus sexy que jamais avec son jean moulant et ses talons hauts qui lui faisaient une silhouette d'enfer ! J'étais fier !
Ni une ni deux, une fois arrivés chez moi, on se sauta l'un sur l'autre ! J'étais crade de la veille, pas lavé, pas
changé, et au bout de 30 secondes de galochage, je l'attrappe par la nuque et la fais descendre jusqu'au niveau de ma bite sale. Il ne fallut pas plus de temps pour qu'elle se mette à me nettoyer
le chibre bien comme il faut !
Mon rêve, mes branles secrètes, mon fantasme devenaient realité : Sonia était en train de me décrasser la bite et elle aimait ça, en bonne femme soumise et cochonne qu'elle était !!!
S'ensuit une bonne série de pilonnage de sa gueule et sa chatte, en passant par les insultes et les gifles
! Je lui pilonnais sa chatte alors qu'elle portait encore son petit string blanc en coton qui allait vite devenir jaune de mouille et de jus...
On prit ensuite notre douche ensemble, où je lui offris ses premiers jets de pisse sur sa gueule, avant de retourner ensuite chez Steven. Ça y est, elle était à moi !
− Sonia, tu sais que tu es ma pute maintenant, hein ? Ta chatte est à moi et je compte bien l'utiliser à ma guise ! lui dis-je dans la voiture au retour.
Elle abdiqua d'un sourire. Arrivée au pied de l'immeuble de Steven, on attendait l'ascenseur avec
plusieurs personnes. Moi encore bien remonté, pour montrer à Sonia mon titre de propriété, j'en profitai pour me coller à elle et doucement je passai ma main par le derrière de son entrejambe
afin de titiller cette chatte qui était désormais mienne, par dessus son jean et son string. Elle me suppliait d'arrêter en chuchotant, mais son liquide séminal coulait à travers son jean ! Elle
était trempée, elle dégoulinait. Arrivés devant la porte de Steven, je lui fis sucer mes doigts plein de sa mouille super odorante avant d'entrer chez lui comme si de rien n'était.
La nuit qui suivit, je la baisai encore plus violemment que le matin (dans le lit de Steven cette fois-ci, ainsi que le
surlendemain à nouveau chez moi). Autant vous dire que la capote n'était pas au rdv... C'était ma seule et unique fois sans capote, on se connaissait bien donc la confiance était là, on pouvait
tout se permettre !
On s'est revus par la suite un dimanche après-midi où elle était passé me voir à ma demande, mais elle n'était pas chaude. Je ne lui laissa toutefois pas le choix de bouffer mon bitos une dernière fois ! Après ce jour, nous reprîmes chacun notre vie respective en restant bon amis. Nous avions chacun réalisé nos fantasmes respectifs. La vie continua et mon pote Steven se sépara de sa femme quelques mois plus tard.
C'est là qu'intervient la seconde partie de l'histoire les amis ! ;-)
Steven et moi sommes restés potes malgré nos déboires de couple respectifs et nous somme toujours amis aujourd'hui. Mais
c'est en mai 2013 que notre amitié devient plus intime ! Il savait que j'étais bi et il l'acceptait bien, je le taquinais régulièrement sur le sexe (il avait du mal à trouver des meufs pour se
soulager). Je lui avais déjà proposé mes services en plaisantant, bien que de mon côté un peu pervers il y avait de la vérité. Et j'avais toujours ce doute qui me rongeait concernant l'hygiène
intime de mon pote...
Un soir de mai dernier donc, on se parle sur Facebook comme souvent, lui hébergé chez sa
sœur et moi seul chez moi. Ce soir-là, je ne sais pas ce qui lui a pris mais je n'ai pas eu besoin de sortir mes
vieilles plaisanteries de branleur à deux balles. Il a été cash !
− Salut Tonio, bien ou bien poto
?
− Hey tranquille, et toi Steven ?
− La loose, y'a rien à faire et surtout rien à graille (graille = pecho sexuellement parlant). Vas-y, on va au BdB ?
(Bois de Boulogne)
− Steven, je t'ai dit l'autre soir que je kiffe pas le BdB et comme je t'ai déjà dit, va pas te payer une pute alors
que t'as ton pote qui peut te rendre service gratos...
− Ouais, c'est clair Tonio... En plus, à ce qu'il parait, les mecs sucent mieux que les meufs !
− Je confirme Steven !
− Bon alors on fait quoi Tonio, je viens chez toi ?
− Ok Steven, tu veux qu'on essaie ?
− Bah en fait je sais pas trop... Bon je viens, on se matte le film "Les Cailleras" et on laisse les choses se faire
naturellement.
− Ok Steven, à tout de suite. Je t'attends.
Et là ça y est, j'étais certain que j'allais enfin goûter à la pine de céfran de mon pote !
Steven arriva quelques minutes plus tard. Comme d'habitude, il paraissait détendu comme si la conversation qu'on venait
d'avoir sur Facebook n'avait jamais eu lieu. Il était naturel, comme chaque fois qu'on se tapait des soirées poto entre "hétéros"... D'ailleurs, ça faisait un moment qu'on ne s'était pas
retrouvés que tous les deux car habituellement lors de nos soirées, il y avait toujours un pote à nous, Hakim, hétéro et pas au courant pour moi. Lui, c'est un vrai queutard, toujours à essayer
de ramener des meufs quand on est ensemble ce Hakim...
Bref, on se posa Steven et moi devant le film "Les Cailleras" récemment sorti, tout en buvant du coca. En fait,
j'y suis allé progressivement. Au bout de dix minutes de film, j'ai éteint la lumière du salon pour qu'il soit plus à l'aise. On a continué à matter un peu le film tous les deux, assis l'un à
côté de l'autre dans le canapé. Au bout d'un moment, j'ai pris mon courage à deux mains et lui ai sorti doucement :
− Alors Steven, t'es chaud ?
− Putain grave Tonio !
Aussitôt, je posai donc ma main entre ses cuisses et commençai à le caresser doucement.
Je retirai sa ceinture et enlevai les boutons de son jean. Je mis ma main dans son calbut et commencai à presser sa bite
entre mes doigts en la caressant doucement et en titillant son très long prépuce du bout de mon pouce... Lui se laissait faire Je sortis ensuite sa queue, en baissant doucement la tête vers
son prépuce. Et là, une odeur âcre m'arriva en plein dans la face ! Putain, je le savais ! Mon pote est un vrai porc !!! Un bon Français négligé comme je kiffe !
Direct, je pris son chibre en bouche pour le sucer et c'est là que j'ai senti des morceaux durs sur ma langue et mes
lèvres ! Putain le salaud avait la bite pleine de fromton ! Je sentai le goût du from sur ma langue et remplir ma bouche, et je l'entendais gémir de plaisir. Quand d'un coup il me lance
:
− Viens, on va dans ton lit !
Il bandait comme un porc en rut ! Arrivés sur le lit, on se déshabilla entièrement et il me dit qu'il aimerait goûter à ma
bite. Il veut tester. On se met donc en 69. On s'était mis sur le côté, lui légèrement par dessus moi. Il se mit à me sucer langoureusement, je fis de même quand tout à coup en continuant à me
sucer, il commenca à me pilonner la gueule. Du coup, j'avais ma tête coincée entre ses larges cuisses, le pif collé à son trou ! Putain le salopard daubait un max du fion !!! Une odeur aigre et
acide que je ne pouvais faire autrement que de respirer : à chaque coup de boutoir qu'il me foutait dans ma gorge, mon pif se collait à sa raie poisseuse ! C'était immonde, mais venant de lui ça
devenait un délice. Ensuite, il m'a proposé de me sodomiser. Moi étant habituellement actif, j'ai hésité une seconde puis j'ai finalement accepté de lui offrir mon cul.
Et du coup, il ne m'a pas baisé mais il m'a fait l'amour comme personne ne me l'avait fait auparavant, sans
aucune douleur. Steven m'a dévergé avec délicatesse et désir. Il me désirait. Mon pote hétéro me désirait comme moi je le désirais ! J'hallucinais, incapable de bander tellement je voulais
savourer ce moment intense. Je ne savais plus quoi ressentir, quoi penser. Mon pote et moi faisions l'amour et non la baise ! Il a joui dans la capote, en moi, avant de se retirer de mon cul, la
capote remplie de jus mais aussi recouverte de ma merde... Il m'avait bien ramoné le trou ce salaud ! Nous nous somme ensuite rhabillés sans prendre de douche (ce qui confirme que c'est un vrai
porcos mon pote) et on termina la soirée tranquille, avant de s'endormir ensemble dans mon pieu.
J'avais peur de sa réaction à froid mais à ma grande surprise, que ce soit juste après notre baise ou le lendemain, il resta naturel, égal à lui-même, sans aucune gêne. J'étais rassuré, notre
amitié ne volerait pas en éclat pour du cul ! Par la suite, je lui ai quand même demandé s'il regrettait et il m'a dit que non mais qu'on ne le referait plus car il kiffe trop les meufs... Ce
sont ses mots... Moi, maintenant, je sais qu'il kiffe mon cul et ma bouche aussi ! On s'est dit que ce sera notre secret à nous. Depuis, je le revois de temps en temps mais toujours en compagnie
de notre pote Hakim. Ils sont même venus me rendre visite en Normandie.
Alors, est-ce qu'un jour je regoûterai de son from à mon pote Steven ? Moi je l'espère, qui sait, un jour peut-être ! Ce jour-là, vous inquiétez pas les frangins porcos, je vous en ferai part !
;-)
Vous voyez, je ne vous avais pas menti... Trop kiffant ton récit mon pote !!! Putain vivement que je vienne te rendre
visite en Normandie ! Si vous voulez encore un max d'articles aussi trippants que celui-ci, vous savez ce qu'il vous reste à faire ! Vous
essuyez le foutre que vous venez de larguer sur le clavier et vous laissez un p'tit comm avec vos impressions ou vos remarques sous l'article...
Je vous rappelle la nouvelle règle de mise à jour du blog :
10 commentaires = 1 nouvel article, 20 commentaires = 2 articles...
Alors à vous de jouer les mecs ! ;-)
Cette histoire remonte à deux ans. J’étais alors en couple avec un mec en mode lascard même à son taf,
brun, yeux bleus, poilu. A chaque fois qu’on sortait, j’avais envie de baiser direct tellement il m’excitait. Un mec en survet costla avec de bonnes odeurs, ça me fait toujours triquer. Un jour,
bien cho au réveil, je le sextote, et lui dis que ce soir il doit être en total lascard costla, mais porter le plus odorant qu’il a. Il me répond qu'il est ok et que moi je devrai porter mon jock
cartonné (4 ans que je le yoppe sans le laver !).
Il s’assoit alors et s’ouvre une bière pendant que je m’occupe de son zob. Je prends une TN et ses cho7 pourraves pour sniffer en même temps que je pompe, le kiff total !!! Puis il me
retourne, mon cul lui fait face, boule bien cambré, la tête au sol dans ses skets, cho7 et ieps, pendant qu’il me doigte le fion et me le travaille longuement. Et oui, Monsieur est TBM ! 1… 2… 3
doigts y passent, presque 5 doigts ! Moi je suis toujours au paradis des kiffeurs avec ses odeurs. Je bouge mon cul pendant qu’il me travaille. Il kiffe ça et me claque les fesses vigoureusement
avant de me lancer qu’il a envie de pisser. Je me lève aussitôt et me dirige dans la salle de bain.
Il me pousse alors en arrière, crache sur son zeb, je me cambre bien, sur le sol, je sniffe ses cho7 et TN, bien mieux que
du poppers. Il présente son gland, le fait glisser sur ma raie pour étaler son mollard, et crache à nouveau sur ma chatte poilue. Il rentre direct dans mon trou ! Putain je le sens passer ! Il ne
bouge pas, m’attrape le jock et les hanches et d’un coup me rentre ses 18 cm bien larges. Je sers les dents avec unr cho7 en bouche pour étouffer mes cris. Il se calme deux secondes mais reprend
aussitôt le pilonnage intensif de mon boule. Il sait que je n’aime pas les « marteaux-piqueurs » mais je l’ai tellement excité qu’il veut absolument se vider en me bourrinant le fion. Il ne
s’arrête pas de baiser.
Par moment, il sort sa pine et admire mon trou élargi. Quand je me fais baiser comme çà, moi ce que je kiffe c’est de
toucher la bite qui rentre et sort de mon cul, d’y mettre un doigt. Il se retire alors sans prévenir, m’attrape les cheveux et crache un max de foutre épais sur mon visage, qu'il lèche ensuite à
grands coups de langue pour récolter son jus et me le donner en bouche.



La peau de ces hommes était brillante et parfois ruisselante de sueur. Nous n’avions aucun climatiseur. Le salon sentit bientôt comme un vestiaire. Certains d'entre eux, un par un, se
levèrent pour aller prendre un bain. La seule baignoire était au deuxième étage et il n'y avait pas de douche. Ian n’était pas parmi les gars qui se nettoyaient. Neil s’était effectivement
éloigné de lui sur le canapé après avoir commenté l’odeur corporelle de Ian.
Nous étions tous à fumer des 420, boire des bières et je pense que Ian avait même un peu de drogue. À environ une heure,
nous nous sommes tous couchés. Je suis allé à la cave fraîche et Ian est allé au grenier. Environ une demi-heure plus tard, la maison était silencieuse. J'étais à l'aise dans mon nouveau lit,
dans la fraîcheur du sous-sol et je somnolais. Puis j'ai entendu des pas dans l'escalier, sur le sol de l'étage principal, puis descendre les escaliers jusqu'au sous-sol. J'ai allumé ma lumière
et Ian se tenait devant ma porte, seulement vêtu de son caleçon blanc totalement moite. Sa peau était de nouveau brillante de sueur et son calbut en coton collait à ses cuisses épaisses et
musclées. Ses couilles sortaient sur un côté et son impressionnante bite non circoncise sur l'autre. Sa braguette était ouverte et je pouvais voir la touffe luxuriante juste au-dessus de sa
queue.
Ian
prit une profonde inspiration. Ses pectoraux se sont élargis et ses abdos se sont levés et sont retombés et il laissa échapper un long soupir.
J'ai pris une grosse bouffée. Ça sentait l’odeur de bite la plus intense que
j'ai jamais sentie. J'ai pris une autre grosse sniffée de la bite de Ian et j’ai continué à retrousser sa peau. Au sommet du gland, la peau se dégagea subitement et là, juste face à moi, il y
avait une énorme accumulation de gros morceaux de from accompagné d’une substance crémeuse, et tout ça sentait extrêmement fort la bite crade.
J'avais fini d’avaler, mais je gardais sa bite dans ma bouche tandis qu'elle ramollissait, léchant
doucement, suçant doucement, sentant encore plus les couilles de Ian. Je ne voulais pas que ça s'arrête. Il a mis ses mains sur ma tête et m’a dit d'un ton sec :
J'avais 18 ans et la pleine conscience de mon corps : je voulais être musclé, poilu et viril mais ça
n’en prenait pas le chemin. Je n’étais pas sportif, mais j'avais essayé plusieurs fois : généralement j’étais le gars chargé de m'occuper de l'équipement des équipes. Cette année, c'était le
football à l'automne et le baseball au printemps.
Ce vendredi soir, le dernier gars était parti et la salle était calme. Ma queue était raide, j'étais seul,
je l'ai donc sortie de mon Levis et je me retrouvais avec le fantasme des mecs en sueur qui étaient maintenant partis, mais dont le parfum restait comme un fantôme dans la pièce dans les T-shirts
et les jocks. Je savais à qui était lequel et je commençais à échantillonner. Je ramassais le T-shirt de Vic du banc en face de son casier. Je l'ai lavé une douzaine de fois au moins, mais jamais
sans prendre d'abord une grosse bouffée de son odeur personnelle. Ça me faisait décoller. Ma bite frétillait alors que je respirais l'odeur des aisselles humides de Vic. J'ouvris la porte de son
casier et en retirai son jock mystique. Il était encore en sueur et humide du match. Il était un peu jauni par la sueur et les gouttes de pisse qui s’étaient écoulées de sa bite et marron sur les
bords de la poche qui frottaient dur contre son entrejambe poilue.
Le coach Pascoe a rejoint l'université depuis seulement deux ans, il a environ 24 ou 25 ans je dirais. Une
éducation physique principalement, son corps est superbe. Il avait de la force et une solide présence. Son visage était viril, anguleux et ouvert et son sourire était blanc, joyeux et
encourageant. Son ombre était toujours là, même tôt le matin. La testostérone de ce mec faisait des heures supplémentaires. Il avait travaillé très étroitement avec moi lorsque nous cherchions un
sport où je pourrais être bon et il n’a jamais abandonné. J'ai finalement renoncé, mais il m'a encouragé pour essayer de nouveaux sports ou simplement travailler dehors. Il m’a donné beaucoup de
cours particuliers mais en fin de compte, j'ai arrêté d'essayer de nouvelles choses et, je suppose, je l’ai déçu. Il ne savait pas que la proximité avec lui au cours de son instruction ou
lorsqu’il me sécurisait aux haltères, mon regard braqué vers le haut, matant son paquet, m'excitait tellement que j'avais peur qu’il le remarque et sache que j'étais pédé. Je savais que je
n'étais pas supposé avoir ces pensées au sujet du coach.
J'ai entendu la chaise du bureau du coach grincer. J'ai remis le jock de Vic là où je l’avais trouvé et je
me suis précipité vers les douches. Si le coach venait dans le vestiaire, je ne voulais pas qu’il me voit avoir du mal à rentrer ma bite raide dans mon jeans. Je suis allé à un urinoir dans les
douches hors du vestiaire et me tenais immobile comme si je pissais. Quelques secondes plus tard, le coach Pascoe vint et se mit à l'urinoir d’à côté et tira sa queue hors de son pantalon de
survêtement et son jock en sueur.
J'ai tendu la main vers son pantalon de survêtement gris et je l’ai baissé révélant la sueur du jock
malodorant qu'il portait et que je baissais sous ses couilles. On voyait à peine le scrotum sous l’épaisse toison noire. Son odeur de sexe flottait au-dessus de mon visage en vagues chaudes. Je
m’approchai de sa bite crade et puis je lui lançai un regard cherchant silencieusement sa permission.
Il souriait de ce sourire encourageant et j'ai pris tout ce que je pouvais de sa bite chaude, épaisse,
musquée dans ma bouche. Je savourais le goût de sel, de peau, de musc et de from et je le laissais presque glisser hors de ma bouche et ensuite revenir pour plus. La lubrifiant avec une
combinaison de ma salive et de son jus, ma langue œuvrait dans des zones sensibles so
Je levai les yeux vers son visage rouge, ruisselant de sueur avec ces efforts, et il a dit :
Salut à tous !

Une fois vidé, il me lance en sortant de la salle de bain :
Teubcrade m’avait parlé d’un rebeu hétéro, footeux, bien domi, actif et bourrin qui kiffait rabaisser une bonne pute céfran comme moi. Il l’avait rencontré à plusieurs reprises et m’a donc
filé son msn. Après avoir parlé de nos kiffs respectifs, rendez-vous est pris chez Karim en ce soir de mai, juste après son match de foot (j’avais envie de le décrasser après son match et lui
avait envie de larver une bonne lopsa comme moi !).
Dix minutes plus tard, il me file ses protège-tibias à sniffer et commence à foutre un doigt, puis deux, puis trois dans ma chatte, après avoir bien mollardé dessus.

Ils étaient installés tranquillement sur le canapé et se branlaient devant le porno. J'ai rampé jusqu'à
leurs skets, des pumas et des airmax et j'ai commencé à les lécher en guise de présentation. Je senti
-- Oui ça pue le mâle, merci..
--
Eh bâtard, suis-moi, tu vas servir de chiottes !
-- Elle est prête à se faire démonter les mecs. Christian, attache-lui les mains avec les menottes sur la table ! Tiens
Mohammed, gaze-le, il va prendre cher ce bâtard !

Quelques temps après que mon agent immobilier soit parti vers d’autres bites (déménagement oblige, mais
je lui ai laissé un bon souvenir avant son départ : un bon larvage en règle bien sûr !), j’ai eu une lope coiffeuse quelques temps. Le genre de lope qui ne dit jamais non, kiffant aussi bien le
jus sur sa gueule que la pisse sur le cul et qui devient folle quand la bite sent le from. Je la baisais souvent dans l’arrière-boutique de son salon de coiffure, qui était à 5 minutes de chez
moi.

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