Présentation

  • : TEUBCRADE
  • TEUBCRADE
  • : lope Gay
  • : Bienvenue sur le seul blog entièrement consacré aux amateurs de teubs crades et d'odeurs de mâle en rut ! Photos, vidéos, témoignages, anecdotes... de pures odeurs de queutards à toutes les pages ! Alors ouvrez grand vos narines les mecs !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Participez au blog !

Si vous souhaitez participer à ce blog et ajouter un article ou des photos, il vous suffit de les envoyer par mail à :  teubcrade@yahoo.fr 

Votre article et vos photos seront ensuite mis en ligne et vous pourrez ainsi recevoir les commentaires de tous les autres sniffeurs du site et échanger directement avec eux !

Catégories

Rechercher

Samedi 3 août 6 03 /08 /Août 01:00

Il semblerait que la dernière histoire de larvage dans les vestiaires laissée sur le blog par mon pote CRADYON ne vous ait pas laissés indifférents, loin de là ! Je ne résiste donc pas à la tentation de vous faire partager une autre témoignage traduit de l'anglais par lui pour votre plus grand plaisir... C'est de loin la meilleure description d'un décrassage de bite fromageuse que j'aie jamais lu ! Preuve qu'outre-Manche aussi les p'tits hétéros machos kiffent se faire récurer leur zob bien daubant par leur pote pédé ! Et vous verrez que même si l'Angleterre n'est pas spécialement connu comme un grand pays producteur de fromages, certains mecs n'hésitent pas à nous faire concurrence ;-)
Allez trêve de bavardage, je sens que vous avez déjà la queue raide alors sortez vos teubs les mecs, c'est parti pour un pur témoignage qui vous fera cracher à coup sûr !

 

A 21 ans, j'ai vécu avec 5 autres gars dans une maison à Waterloo, où nous allions tous à l’Université. Je les connaissais tous depuis quelques années, avant de décider de déménager du campus et de partager une maison. J'avais tout le sous-sol pour moi en chambre à coucher, il y avait une chambre au premier étage, trois autres au second et un grenier pour finir. Ian était dans le grenier.

C'était l'été. Le grenier était chaud et humide, presque trop chaud. Je me demandais comment Ian pouvait le supporter car c'était sa chambre et il dormait là, la plupart des nuits. J'avais déménagé un lit grande taille dans le sous-sol la semaine précédente et poussé l'ancien lit jumeau contre le mur opposé. La journée avait été chaude et nous avions tous senti la chaleur : une bande de gars dans leur job d'été, en sueur, musqués et détendus. Rien que des mecs, la plupart d'entre nous portions des shorts.
canicule 01La peau de ces hommes était brillante et parfois ruisselante de sueur. Nous n’avions aucun climatiseur. Le salon sentit bientôt comme un vestiaire. Certains d'entre eux, un par un, se levèrent pour aller prendre un bain. La seule baignoire était au deuxième étage et il n'y avait pas de douche. Ian n’était pas parmi les gars qui se nettoyaient. Neil s’était effectivement éloigné de lui sur le canapé après avoir commenté l’odeur corporelle de Ian.

canicule 03 Nous étions tous à fumer des 420, boire des bières et je pense que Ian avait même un peu de drogue. À environ une heure, nous nous sommes tous couchés. Je suis allé à la cave fraîche et Ian est allé au grenier. Environ une demi-heure plus tard, la maison était silencieuse. J'étais à l'aise dans mon nouveau lit, dans la fraîcheur du sous-sol et je somnolais. Puis j'ai entendu des pas dans l'escalier, sur le sol de l'étage principal, puis descendre les escaliers jusqu'au sous-sol. J'ai allumé ma lumière et Ian se tenait devant ma porte, seulement vêtu de son caleçon blanc totalement moite. Sa peau était de nouveau brillante de sueur et son calbut en coton collait à ses cuisses épaisses et musclées. Ses couilles sortaient sur un côté et son impressionnante bite non circoncise sur l'autre. Sa braguette était ouverte et je pouvais voir la touffe luxuriante juste au-dessus de sa queue.

-- Mec, je supporte plus chaleur là-haut. Je crève. Je peux squatter ici ?
-- Bien sûr. Je sais pas comment tu endures cet été.
Je pensais que Ian aurait jeté les vêtements qui étaient sur mon vieux lit jumeau au sol et se serait couché là, mais il traversa la pièce et s’écroula sur l'autre côté de mon nouveau lit. Il leva les bras au-dessus de sa tête sur l'oreiller et je pus immédiatement le sentir. C’était une puanteur intense. Il passait son été à repeindre des maisons et il portait toujours la même combinaison, alors, qu’il se baigne tous les jours ou pas, tous les jours après le travail, il puait. C'est pas comme si je vérifiais si les gars se lavaient ou pas, mais je profitais des odeurs virils quand ils ne le faisaient pas. Je me doutais bien que Ian est l'un de ces gars qui ne prennent pas vraiment un bain tous les jours. Peut-être juste laver son visage et ses aisselles avec un gant de toilette le matin. Pas de méprise, il aurait bien pu se laver pour un rendez-vous en fin de semaine, mais c'était jeudi soir.

-- Merci mec. J’arriverai pas à survivre là-haut ce soir
-- Pas de problème, ai-je dit, me retournant pour le regarder, mon nez si près de ce paradis poilu puant.

canicule 05 Ian était un mec qui travaillait dur et s’endormit assez rapidement. Il était allongé sur le dos avec les bras au-dessus de la tête et les jambes écartés prenant plus que sa part du lit. Nous étions tous les deux sur les draps. Même si le sous-sol était plus frais que partout ailleurs dans la maison, il faisait encore trop chaud pour être couverts. Lorsque sa respiration se ralentit et devint plus régulière, je me suis rapproché. Ma bite était raide comme un roc et passait au-dessus de la ceinture de mon caleçon. J'ai approché mon visage des aisselles de Ian et je pris une profonde bouffée.
canicule 04 Son odeur corporelle était forte et épaisse dans mes narines. J'ai collé ma langue pour goûter sa sueur salée et j'ai doucement sucé les poils que je trouvais ici. J’ai dû chatouiller Ian parce qu'il se tortillait un peu et je me suis arrêté un instant. J'ai éloigné ma tête de son aisselle mais mon visage était encore humide de sa sueur et je pouvais le sentir encore. Il se remit en place. J'ai regardé son short. Sa bite se trouvait de mon côté. Il aurait pu ne rien porter du tout parce que son boxer était complètement trempé et transparent. Je pouvais voir le bout de son gland dont je savais qu’il était recouvert d’un prépuce épais. Je m’appuyai sur un coude et avec ma main libre, je traçai d’un doigt la longueur de sa virilité de la racine aux lèvres boudeuses de son prépuce. Je portai ce doigt à mon nez pour sniffer, pas beaucoup d’odeur.

 

canicule 04b Je vérifiai qu'il était bien endormi avant de glisser ma main dans la braguette ouverte de son boxer et lentement, avec précaution, extraire sa bite humide. Je la laissais étendue dans la chaleur et la regardais attentivement. J'étais heureux de ne pas avoir enlevé ma lampe de chevet après que Ian soit venu dans mon lit. Elle ne donnait pas beaucoup de lumière mais ça suffisait pour voir que son pénis était sombre et son prépuce long. J'ai caressé légèrement les bords de son prépuce. J'ai léché mon doigt et recommencé. La bite de Ian a commencé à réagir. Ian a recommencé à se tortiller le haut du corps et j'ai retiré ma main et jeté ma tête en arrière où j'étais prisonnier de son odeur rance d’aisselle.

Au bout d’un moment, je me suis déplacé vers le bas du lit pour que mon visage soit à quelques centimètres de sa bite. Maintenant je pouvais la sentir. C’était différent de l’odeur de mes jocks en sueur. Ma sueur de bite et de couilles était musquée. La sueur de bite de Ian était carrément piquante, presque une odeur aigre. Sentir le prépuce non lavé en sueur de Ian me faisait mouiller du gland. J'ai tendu une main et saisi la peau avec mon pouce et l'index pour la tirer vers le bas de sa tige.


J'avais juste commencé à faire ça lorsque Ian leva soudain la tête en haletant et souleva ses bras de l'oreiller.
-- Putain ! Putain mec, qu’est-ce que tu fais ? Dégage de ma bite putain !
-- Désolé, ai-je murmuré avant de me redresser et de me rallonger sur l’oreiller, regardant le plafond, incapable de regarder Ian.
-- Qu’est-ce que tu faisais, putain ? dit-il à voix basse tout en me regardant.
Il s’était détendu mais n’avait pas remis sa bite dans son boxer. Ses mains ne protégeaient pas sa queue. Elle était toujours exposée.

-- Pourquoi tu touchais ma bite, mec ? Eh, regarde-moi quand je te parle !
J'ai tourné ma tête pour regarder Ian. Son visage n'était pas en colère. Il était perplexe. Comme s’il ne pouvait pas comprendre ce qui était arrivé. Je pouvais aussi voir du coin de l’œil que son pénis gonflait.
-- Je... euh... tout simplement j’ai jamais touché un mec avec un prépuce avant, ai-je répondu faiblement.

-- Tu joues avec les bites des mecs ? C’est ce que tu me dis ?
-- Eh bien, ok, oui, c’est ce que je fais.
-- T’aimes les tenir ? Ou les caresser en cercle ? Ou quoi ?
-- Tenir, presser. Parfois caresser, mais juste en duo, pas comme un tas de gars.
-- T’as aussi sucé un mec à fond, hein ? Dis-moi la vérité.

 Puis, quand il s'est tourné pour me regarder et qu'il a senti l'odeur émanant de ses aisselles, je crois qu'il a lancé un truc du genre : "Putain, je pue vraiment là !".

-- Ouais, ai-je répondu timidement.
-- Ouais quoi ? Ouais tu suces la queue ou ouais je pue ?

 Je pouvais voir que la bite de Ian était entièrement dressée maintenant. Le bout de sa bite était à environ deux centimètres de ses abdos durs, comme si elle était en lévitation dans l'air. Je me tournai et regardai droit sur sa bite.
-- Les deux. Oui tu sens comme un homme pas lavé et oui j'ai déjà sucé de la bite.

 
canicule 18 Ian prit une profonde inspiration. Ses pectoraux se sont élargis et ses abdos se sont levés et sont retombés et il laissa échapper un long soupir.
-- Alors t’es un pédé ! Je suis au lit avec un pédé et tu as touché ma bite pendant que je dormais !
-- Ouais, je pense que oui...
-- Regarde ce que t’as fait, mec. Elle est toute raide. Et mes couilles sont pleines aussi. J’ai pas vu ma meuf depuis deux semaines. Regarde. C’est ce que tu as fait. T’aimes ça ?
Il a pressé ses fesses et les a fait tressauter. Le prépuce recouvrait encore complètement son gland mais un peu de jus coulait à l'extrémité de sa peau.

-- Putain, mec. Ouais j'aime çà !.
-- Touche-la encore !
Et j'ai tendu ma main aplatie pour la poser sur le dessus de son engin.
-- Non, sens-la ! dit-il avec plus d’empressement.

J'ai alors fermé mon poing autour de sa bite raidie. Elle était dure comme de la pierre et elle tressaillait dans ma main. Il prit une profonde inspiration et soupira...
-- Je pue, mec. J'ai travaillé toute la journée avec cette chaleur atroce et j'ai pas pris un bain depuis des jours. J'aime ma propre odeur quand j'ai travaillé mais là, c'est assez extrême. Tu disais que t’avais jamais touché le prépuce d'un mec avant. Tu sais ce qui se passe quand on ne le lave pas ?
-- Je sais qu’il y a un truc qui apparait, mais je sais pas...

-- Descends ton visage vers ma bite ! dit-il avec autorité, ne me laissant pas d'autre choix que d'obéir.
-- Maintenant tire mon prépuce vers le bas, doucement, lentement...

canicule 11Putain, je pensais qu'il reprenait le plan là où je l’avais laissé. Je me suis vraiment rapproché de sa bite et puis j’ai commencé à tirer la peau en arrière. La première chose à se produire lorsque la peau a été bien dégagée fut qu'une grande quantité de liquide séminal clair a coulé sur ses abdos et est restée suspendue à sa bite comme un épais sirop. J'ai continué à tirer vers le bas et j’ai vu le gland pourpre tout brillant avec son jus et puis il est allé du violet à blanc à environ un tiers de la hauteur du gland.

-- T’as vu ça ? C'est le fromton. Du fromage de bite. C'est ce qui arrive quand je la lave pas tout le temps. J’en ai tous les jours mais j’ai la flemme. C’est la production de 5 jours. Elle pue, hein ?
fromextra1.jpg J'ai pris une grosse bouffée. Ça sentait l’odeur de bite la plus intense que j'ai jamais sentie. J'ai pris une autre grosse sniffée de la bite de Ian et j’ai continué à retrousser sa peau. Au sommet du gland, la peau se dégagea subitement et là, juste face à moi, il y avait une énorme accumulation de gros morceaux de from accompagné d’une substance crémeuse, et tout ça sentait extrêmement fort la bite crade.

 J'ai approché la bite de Ian de mon nez et j’ai frotté de son from sur le bout de mon nez.
-- Putain, mec. C’est pas dégoûtant ? Je veux dire, t’es pas écœuré ?
-- Non Ian, ai-je dit avant de me retourner pour regarder son visage
-- Je dois dire que j'aime l'odeur de ta bite crade. Je peux la sentir et je peux sentir l’odeur de tes couilles dans ce vieux jockstrap et... eh bien, j'aime beaucoup.
 
-- T’aimes mes couilles ? Sniffe-les alors !

Sur ce, il a levé ses jambes et a enlevé son boxer une fois pour toutes avant de se rallonger, complètement nu. J'ai aussi chopé une bonne odeur de pieds quand ils ont volé près de mon nez. Incroyable. Ma bite me faisait mal tellement je bandais. J'ai jeté un dernier regard à son beau visage puis j’ai plongé mon visage dans son entrejambe poilue, odorante. Le paradis !!! Le paradis de la puanteur masculine ! Mieux que n'importe quel jockstrap en sueur que j'aie jamais reniflé secrètement dans un vestiaire. Mieux que n'importe quel sous-vêtement crade de mec avec lequel j’ai pu me branler quand personne n'était à la maison. J'ai léché et sucé ses couilles poilues alors qu'il gémissait un peu et murmurait des choses comme "putain de malade" et "sale pédé".

canicule 06 Sa respiration devenait irrégulière et plus rapide. J'ai léché sa peau jusqu’à ses pieds et reniflé l'odeur complètement dingue de ses pompes et l'odeur aigre de ses chaussettes et léché le fromage entre ses orteils rances et sucé sur les orteils (ce qui le faisait sursauter). Il s'assit alors. Je me suis donc assis moi aussi. Sa bite se tenait droit vers le haut et le prépuce recouvrait le gland à nouveau.
-- Si t’aimes mes pieds, mon pote, tu vas adorer le goût de ma bite au from. Suce-moi à fond !

Il a saisi ma tête d'une main et m'a forcé à descendre vers sa bite. Je l'ai arrêté avant qu'il force ma bouche.
-- Laisse-moi faire à ma façon, mec. Je veux te tailler la meilleure pipe que t’aie jamais eue !

 
Ian se détendit, s’allongea et je suis allé m’occuper de lui. J'ai tiré le prépuce vers le bas lentement à nouveau, complètement cette fois et mes narines se remplirent de cette odeur de saleté caractéristique. J'ai léché l'extrémité de la queue de Ian où le liquide séminal suintait et savouré le goût sucré et l'odeur aigre de sa bite. J'ai tendu ma langue et j’ai commencé à récolter l'amas de fromton sous la crête du gland et je l'ai amené dans ma bouche et mâché. Je pouvais sentir les secousses de la bite de Ian dans ma main, chaque fois que je léchais son pieu fromageux.

canicule 17 Je laissais ma langue envelopper doucement et tourbillonner sur son gland couvert de blanc pendant qu'il se raidissait et gémissait et que la croûte blanche devenait crémeuse avec ma salive. J'ai frotté sa grosse queue sur ma lèvre supérieure pour pouvoir sentir tout le fromton que j'avais laissé là. Puis j'ai pincé mes lèvres et les ai tartinées de son liquide séminal jusqu'à ce qu'elles soient couvertes de liquide visqueux et glissant, puis j’ai glissé sa bite entre mes lèvres glissantes, plus profond et plus profond. Le goût épais de son from de bite emplissait ma bouche. Il se tortillait d'un côté à l'autre et poussait ma tête de plus en plus bas, jusqu'à ce que je puisse goûter son from dans ma gorge, épais et corsé, avec mon nez enfoncé dans sa toison pubienne piquante de sueur. Il a commencé à grogner et à m'appeler "suceur de bite", " sale porc" et "Pédépédépédépédépédé".


Quand il a joui dans ma bouche, c'était comme si c’était solide. Coup après coup, du jus avec la consistance de la gomme. Mais pas le goût de la gomme. C'était incroyable de déguster ça, peut-être parce qu'il n'avait pas éjaculé depuis si longtemps, peut-être parce qu'il était mélangé à de la saleté qui s'accrochait encore à sa bite, c'était doux et épicé, salé et âcre. Et il y en avait tant. J'ai continué à sucer et ça continuait à sortir et à gicler à l'arrière de ma bouche et à descendre vers ma langue et mes lèvres et j'ai avalé et avalé et avalé.

canicule 14J'avais fini d’avaler, mais je gardais sa bite dans ma bouche tandis qu'elle ramollissait, léchant doucement, suçant doucement, sentant encore plus les couilles de Ian. Je ne voulais pas que ça s'arrête. Il a mis ses mains sur ma tête et m’a dit d'un ton sec :
-- Enlève-toi de ma bite !
Je me suis étendu à côté de lui à nouveau avec son odeur d’aisselle dans mon nez à nouveau et je l’ai regardé. Il m’a regardé droit dans les yeux et m'a alors lancé :
-- C’était un putain de plan, sale baiseur ! Putain, va te laver le visage mec ! Je peux sentir la puanteur de ma bite crade sur ton visage.
Mais cette fois, je n’obéis pas. Je me suis retourné et j’ai gardé son odeur là où je pourrais l’apprécier toute la nuit. Plusieurs fois, je me suis réveillé dans la nuit pour trouver mon visage enfoui dans son aisselle impressionnante encore une fois, ou sentir sa bite dure, pressée contre mon dos ou frottant contre mes fesses. Ian était un baiseur tellement excité.

D’autres rendez-vous après cela ? A chaque vague de chaleur au cours de cet été...

Par Cradyon - Publié dans : Témoignages
Ecrire un commentaire - Voir les 13 commentaires
Retour à l'accueil

Commentaires

Wooooow putain d'histoir, bien bandant, le kiff de la lire des le matin avec la gaule encore bien dure !!!

rien de mieux qu'un zob uncut pas laver !!!

commentaire n° :1 posté par : Hairylegs94 le: 03/08/2013 à 05h57

Je savais qu'elle te ferait kiffer grave cette histoire mec ! ;-)

C'est clair qu'il n'y a rien de meilleur qu'un mec uncut qui te décqlotte sa queue pourrave juste sous le pif avnt de te saisir par la nuque pour te forcer à la récurer à donf !!!

réponse de : Teubcrade le: 03/08/2013 à 09h28

Ah putain, vraiment génial !

L'hétéro viril, les odeurs d'aisselles, la bite qui sent super fort (je trouve que ça pue pas)

commentaire n° :2 posté par : PatLope le: 03/08/2013 à 13h11

Très bonne cette histoire. Surtout avec cette chaleur. Bravo mec ;-)

commentaire n° :3 posté par : Jared le: 07/08/2013 à 00h12

Ho putaim jaimerai servire un gas comme sa jute listoir me fais kifé aux max

commentaire n° :4 posté par : Thodul le: 07/08/2013 à 17h57

HA mais grave qu'elle me plait, je m'imaginais à la place du mec, voir son pote arriver, son odeur embaumant la pièce et me forçant a le sniffer, lui lécher les aisselles, les ieps, la raie, lui récurer le zboub a font hummm

 

 

commentaire n° :5 posté par : Hairylegs le: 08/08/2013 à 23h08

J'adoooooore d'autant plus que je suis étudiant juste à côté de Waterloo! ^^ Il y est tjs ce gars???? ^^

commentaire n° :6 posté par : Rom1 le: 11/08/2013 à 12h45

joli récit bien bandant 

commentaire n° :7 posté par : ethan le: 13/08/2013 à 17h08

putain de plan de fous qu'estce que j'aimerrais trouver une bite comme ça à sucer et nettoyer

 

si y'a des mecs vers bourgoin jallieu faites moi signe ( je suis lope fromtom et uro )

msn  : moi_julien34hotmail.fr

commentaire n° :8 posté par : lope uro le: 18/08/2013 à 18h16

Putain mec, les photos de glands bien crémeux et fromageux plus le récit hyper bandant et crados, on peut à peine aller au bout sans se faire juter...

commentaire n° :9 posté par : zobodorant le: 21/08/2013 à 15h25

Putain que c'est bon de lire des histoires de baise avec des bites crades et odorantes. Merci et continue à nous régaler mec!

commentaire n° :10 posté par : rudeguyz le: 22/08/2013 à 15h50

Putain trop bon et j'kiffe les pics ke tu choisis pour illustrer ça elles sont bien bandantes! Merci man de continuer à nous faire triker & cracher régulièrement avec toutes ces histoires & pics plus bandantes les unes ke les autres! Au fait si keum intéressé dans mon coin (59/62/BE) par se faire crader & larver faire signe sur: pisseurchovcx@yahoo.fr

commentaire n° :11 posté par : pisseurchovcx le: 27/08/2013 à 00h47

j'adore un bon bite bie puante

commentaire n° :12 posté par : nolis le: 23/10/2013 à 14h48

Humm trop bon cette histoire et bien imagée.....aimerais bien trouver ça sur Arles!

demianito@hotmail.com Vincent, pisseur pro Arlésien 42 180 73

commentaire n° :13 posté par : Vincent le: 18/12/2013 à 10h41
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés