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Témoignages

Jeudi 2 avril 4 02 /04 /Avr 14:19

Après cette petite douche de sperme hyper kiffante, rien de tel qu'une bonne dégustation de fromton bien daubant avec l'un des fidèles du blog, ALEXIS. Souvenez-vous, ce bogosse de 26 ans sur Dijon est un habitué du blog où vous aviez déjà pu découvrir quelques-uns de ses plans. Le voilà de retour avec des photos inédites de son zob bien crémeux et le récit de son dernier plan crade avec un mec rencontré sur le net... J'en connais plus d'un qui aurait kiffé être à sa place pour récurer une tige pareille ;-)
J'en profite pour le remercier de nous faire partager ce p'tit plan crade bien cool, et pour vous rappeler que vous pouvez vous aussi envoyer vos témoignages et/ou vos photos perso bien och à teubcrade@yahoo.fr afin de les voir publiés sur ce blog. Je vous rappelle que ce site est avant tout le vôtre, donc il vous appartient aussi de le faire vivre si vous voulez qu'il continue encore longtemps à vous faire cracher un max de yop ! Pour lors, je laisse la parole à Alexis qui, j'en suis sûr, va vous faire kiffer grave avec ce super plan... notamment les amateurs d'odeurs du cul. Merci à toi mec, et à très bientôt j'espère pour de nouvelles aventures encore plus daubantes ! ;-)


Salut à tous ! Je me présente, Alexis, 26 ans, 1m83, 73kg, de Dijon. J’ai déjà écrit quelques récits ici mais il y a pas mal de temps. Il y a même des photos de ma teub dans la rubrique « Amateurs ». Il y a quelque jours, je mattais un site crade quand je vois le profil d’un mec de 18 ans vers chez moi. J’avais déjà parlé avec lui mais il n’était pas beaucoup dispo. Et là, je lui envoie un message lui demandant quand on pourrait se voir. A ma grande surprise, il me répond alors :
— De suite, mec !
On convient donc de se retrouver dans un lieu connu par nous deux et qu'après, il me suive direct chez moi. Inutile de dire qu’il ne s’était pas lavé et qu’il avait remis un boxer crado. De mon coté, j’étais pas lavé non plus (autrement c'est pas drôle). On arrive chez moi, je ferme la porte à clé (on est dans mon entrée) et il me met direct la main sur ma teub. Alors je fais pareil et il me roule une pelle d'enfer. On se fout en boxer en deux secondes et là, je vois l’état de son boxer : le ti cochon, il était tout mouillé au niveau du gland et c’était pas nickel… On se renifle la teub, le boxer et on se pompe un peu. Il me lance alors un regard bien vicieux et me dit :
— Tu as envie de pisser ? Tu as le trou crade ? Tu es plein ?

Je lui réponds :

— J’ai envie de pisser, oui... Trou crade, non... mais pas lavé alors… Plein non. Et toi ?

— Pas envie de pisser, ni plein.

N'y tenant plus, il ajoute :
— Bon, on se met où pour pisser ?

Je le dirige vers la salle de bain et on se met tous les deux à poil dans la baignoire. On se suce un bon bout de temps, histoire de bien décrasser nos teubs.

Je le retourne pour voir son trou, et là putain le crado, il n’avait pas lavé son trou ! Je lui ai reniflé et je lui ai mis un doigt, il aimait ça vu comment il gémissait. Il m’a fait me retourner aussi et il a maté mon trou aussi. Par contre lui, il a mis sa langue bien profond pour me le lécher (à mon avis, le mien était bien mois crado que le sien). On a essayé de pisser mais on y arrivait pas, on s’est donc branlés accroupis dans la baignoire tout en doigtant nos trous pas nickel. On se relevait à tour de rôle pour se faire pomper. Au bout de quelques minutes, on n'arrivait plus à se retenir et on a juté grave.

On s'est douchés ensemble (il n'a d'ailleurs pas trop insisté sur son trou et sa teub pendant le lavage). Il est parti juste après en me disant qu’il avait bien aimé et qu’il aimerait que l’on se revoit mais qu’il ne serait pas libre pendant un ti temps. A suivre donc, s'il y  vraiment suite...
A
lexis
Par Alexis - Publié dans : Témoignages
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Mercredi 18 mars 3 18 /03 /Mars 14:00

Salut les queutards !

Alors les mecs, on profite du retour du soleil pour recommencer à bien transpirer et à s'en foutre plein les narines... Moi, je rentre tout juste de mon footing et j'ai croisé quelques beaux gosses en sueur que j'aurais volontiers sniffer ;-) Je sais pas vous mais moi le retour des beaux jours, ça me réveille grave les hormones et j'ai tout le temps envie de baiser ! Et d'ailleurs je ne m'en prive pas !
Comme ça fait un p'tit moment que je vous ai pas raconté un de mes plans Q bien cho, j'ai pris mon clavier histoire de vous faire partager la méga baise que j'ai faite avec quelques potes lors d'une soirée raclette bien arrosée. Putain rien que d'y repenser, ça me file la trique direct !!! Je précise que si l'histoire est bien réelle, les pics qui l'illustrent ont été prises sur le net (ben oui, m'en voulez pas mais j'étais un peu trop occupé ce soir-là pour jouer les photographes ! lol).
J'ai vraiment mis un max de détails dans le récit pour que vous avez vraiment l'impression d'être au coeur de l'action... J'espère que ça vous fera kiffer grave et que vous serez nombreux à me un commentaire. Bonne sturbe à tous et à très vite sur le blog !

C'était donc il y a quelques semaines... Mon pote Idriss, un superbe métisse martiniquais toujours chaud comme la braise, m’avait invité chez lui pour une petite soirée raclette. Et vous pensez bien qu’un amateur de from comme moi est toujours partant pour déguster une bonne raclette ! lol
Bref, a priori pas de baise de prévu, juste une petite soirée tranquille entre potes… Pourtant j’avoue que quand mon pote m’a donné la liste des autres invités au tél, ma queue a tout de suite frétillé de mon calbut… Tout d’abord Johan son nouveau mec, un p’tit keum de 24 ans (brun, yeux verts, mince et élancé), que j’avais déjà croisé 2 ou 3 fois en boîte par le passé sans pour autant parvenir à le pécho. Faut dire qu’à côté de mon pote Idriss, de sa gueule de lascard et de son calibre de ouf (un bon 23 cm, bien épaisse et dotée d’un super long prépuce), je ne faisais pas vraiment le poids. Bien que mon pote soit en général assez prêteur, je n’avais pas encore eu l’occasion de constater à quel point ce Johan assurait au pieu, mais mon pote m’avait mis plusieurs fois l’eau à la bouche en me racontant en détails leurs baises les plus torrides. Et nul doute que le p’tit Johan était déjà grave accro au calibre de mon pote et prêt à tout pour lui faire prendre son pied.

 

Parmi les invités de la fameuse soirée raclette, Greg, un collègue gay de mon pote avec qui j’avais sympathisé et que j’avais revu plusieurs fois pour de bons plans sniffes… Je dois même dire que c’est moi qui l’ai initié aux trips odeurs et depuis, il adore se faire récurer la tige par de bonnes lopsas bien accro au from. D’ailleurs avec son côté bad boy, je suppose qu’il ne doit pas peiner à se faire reluire le chibre. Je ne l’avais pas croisé depuis un bon moment sur msn, et donc je me réjouissais de le retrouver chez mon pote ce soir-là… Enfin, dernier invité à cette soirée raclette, David, un mec du Sentier qu’Idriss avait récemment croisé au sauna et avec lequel il avait sympathisé (faut dire que ça crée des liens de loper un mec à deux pendant plus de deux heures dans une cabine ! lol).     

 

Même si a priori mon pote avait bien précisé qu’il s’agissait juste d’une soirée raclette, je ne pouvais m’empêcher de penser à la méga touze que l’on pourrait se faire tous les cinq si toutefois l’occasion se présentait. Et j’étais d’ailleurs d’autant plus excité qu’Idriss avait cru bon d’ajouter que tout le monde kiffait le from et donc apprécierait forcément la raclette ! Putain, il n’en fallait pas plus pour me mettre direct les hormones en ébullition !!! Si comme il l’a dit, tous les invités kiffaient vraiment le fromton et les odeurs de teub, il était hors de question que la soirée se limite à une simple dégustation de reblochon fondu ! lol Il fallait absolument que je trouve un moyen de faire dévier à coup sûr la soirée… Après avoir réfléchi à toutes les techniques d’approche possibles, je me suis dit que le mieux était encore d’y aller cash et de filer la trique direct à tous les convives. Et pour cela, quoi de mieux que de débarquer avec une bonne p’tite lopsa prête à décrasser 5 mecs en rut et à leur servir de chiottes et de vide-couilles pendant toute la soirée !


Je me suis donc aussitôt connecté à plusieurs sites de cul et après un peu plus d’une heure de tchat sans grand intérêt, je suis enfin tombé sur Alan, un minet de 21 ans, visiblement bogosse d’après les photos de son profil, à la recherche d’une baise bien hard et de sensations nouvelles. Ben mon gars, avec 5 bitos bien fumants et plein de sève à purger, je peux t’assurer que tu vas en avoir des sensations ! lol Je lui ai donc présenté le plan en lui disant qu’il m’accompagnerait pour la soirée mais que sitôt arrivé chez mon pote, je le foutrai à oilpé et il devra nous servir de clebs pendant toute la soirée, jusqu’à ce que nous n’ayons plus un centilitre de jus dans les burnes. Visiblement le mec était grave excité à l’idée de se faire loper par 5 mecs en rut, et il m’avoue même que son principal fantasme depuis des mois c’est de faire le larbin pour un ou plusieurs mecs. Hummmm visiblement il n’a pas froid aux yeux le minet ! J’espère qu’il sera toujours aussi salope quand je lui décalotterai mon glandos pourrave sous le pif. Après un bon lopage à distance par webcam interposée histoire de m’assurer de la qualité de la marchandise (vous auriez vu le gode qu’il s’est rentré dans le fion, un truc de ouf !!!), je lui ai fixé rendez-vous le vendredi suivant à 20 heures pile en bas de chez lui, afin de le récupérer en caisse avant d'aller bouffer chez mon pote.

 

Comme prévu, ce p’tit batard m’attendait sur le trottoir, une clope à la main. Putain l’enfoiré, il était encore plus bandant en vrai ! 1m80, mince, cheveux bruns coupés très courts, petit collier de barbe et diamant à l’oreille. Côté fringues, une vrai p’tite kaillera de téci : pantalon de survet blanc, casquette Adidas, sweat Airness avec par-dessus un bombers noir entrouvert et aux ieps une paire de Tn noires et or visiblement déjà bien portées !
Putain, je peux vous dire qu’il m’a foutu direct le gourdin !!! J’ai arrêté ma caisse à son niveau, baissé la vitre côté passager et lui ai lancé avec un p’tit sourire en coin :

— Ouah, fringué comme çà, mes potes vont te sauter dessus direct !
Et sans se démonter, il m’a répondu illico :

— Ça tombe bien mec… Ce soir, je suis grave en mode tépu ! Je vais être la plus grosse chiennasse que vous ayez jamais vu !

— Ben j’espère bien mec ! C’est clair que t’as intérêt d’assurer grave, j’ai pas envie de me taper la honte devant mes potes… En attendant, grimpe dans la caisse ! 


Pendant tout le trajet (une dizaine de minutes environ), ce bâtard n’a pas arrêté de me chauffer grave en se tâtant le paquet à travers son fut ou en déchaussant à moitié ses Tn histoire qu’une bonne odeur de ieps envahisse la caisse… Putain, je sais pas comment j’ai fait pour résister car j’avais qu’une envie, c’était de m’arrêter dans un coin discret pour lui montrer à qui il avait à faire ! Mais bon, j’allais quand même pas arriver chez mon pote avec une lopsa déjà couverte de yop et de pisse ! C’est comme si j’avais déjà bu la moitié de la bouteille de vin avant d’arriver ! mdr

 

Dix minutes plus tard, nous voilà donc arrivés devant l’immeuble de mon pote Idriss. J’avoue que j’appréhendais un peu sa réaction en me voyant débarquer chez lui avec un mec à oilpé… Mais bon, le mec était super canon et je l’avais briefé grave pendant le trajet pour qu’il s’occupe direct de notre hôte en arrivant… Et puis bon, c’est quand même plus original d’arriver à une soirée raclette entre potes avec une bonne lopsa qu’avec une bouteille de vin blanc, non ?

 

Arrivés dans le couloir de l’appart, j’ai ordonné à Alan de se désaper afin d’être complètement à oilpé quand mon pote ouvrirait la porte.

Visiblement surpris, il m’a lancé d’un air hésitant :

— Ben je vais quand même pas me désaper ici mec, quelqu’un pourrait arriver…

Sans qu’il s’y attende, je lui balance une grosse mandale dans la gueule, aussitôt suivi d’une énorme mollard pile entre les deux yeux.

— Je t’ai pas demandé ton avis bâtard ! Je t’ai dit de te foutre à oilpé maintenant alors tu fermes ta gueule de tépu et t’obéis !!! N’oublie pas que ce soir, t’es notre pute alors crois-moi, t’as plutôt intérêt à obéir !!

A ces mots, sans doute un peu flippé, il retira son bombers et son sweat laissant apparaître un torse totalement imberbe et finement musclé, légèrement luisant de sueur (j'avais en effet poussé le chauffage de la caisse à fond histoire de bien transpirer !). Il a ensuite retiré ses Tn et l’odeur que j’avais déjà entraperçu dans la caisse m’a alors directement atteint les narines… Hummm ce p’tit bâtard avait déjà dû bien les imprégner ! Conscient de l’effet que ça produirait sans nul doute sur mes potes, je lui ai demandé de remettre ses skets une fois le futal enlevé… Le voilà donc à oilpé dans le couloir, portant simplement un jockstrap blanc mettant grave en valeur son boule et sa paire de Tn pourraves. Putain, c’est clair que comme çà il allait faire un effet bœuf l’enfoiré !

Je sonne à la porte et quelques secondes plus tard, celle-ci s’entrouve laissant apparaître mon pote Idriss en débardeur…

— Ben alors mec, on attendait plus que toi ! Qu’est-ce que tu foutais ?

— Désolé mon pote, c’est juste que je me suis arrêté en chemin pour prendre quelque chose pour la soirée…

J’ai alors choppé la lopsa par la nuque et lui ai foutu direct dans les pattes… Et avant même qu’il ait eu le temps de comprendre ce qui se passait, Alan avait déjà la gueule collée sur le paquet de mon pote et commençait à lui malaxer son beau p’tit boule de black bien ferme.

— Ben ouais, comme je savais pas quoi amener, je me suis dit qu’une lopsa, ça te ferait sans doute plaisir !

Idriss a alors éclaté de dire et m’a lancé en se marrant :

— Putain j’hallucine, mais t’es vraiment un ouf toi !!!

Et avant de continuer, il a choppé la mec par la nuque histoire de voir sa gueule de plus près…

Hummm en tout cas, excellent choix mon pote ! Je crois qu’on va pas s’emmerder ce soir… Eh les mecs, venez voir le cadeau qu’on vient de m’apporter !

 

Aussitôt les trois autres mecs, qui étaient restés dans le salon autour de l’apéro ont rappliqué et le p’tit Alan a dès lors fait l’objet de toute leur attention…

— Putain c’est pas vrai, il a osé ! a lancé Johan, le copain d’Idriss, l’air faussant choqué, tout en se remettant au passage la queue dans le calbut.

— Et ben, ça c’est du cadeau les mecs ! J’espère que tu te la joueras pas perso Idriss et qu’on pourra en profiter nous aussi… a ajouté Greg, que je reconnaissais bien là, toujours prêt à niquer !
Enfin, juste derrière lui, un mec assez baraqué arborait un large sourire en matant le boule déjà bien cambré de la lopsa. J’en déduis qu’il devait s’agir du fameux David, avec lequel mon pote Idriss avait niqué toute une après-midi au sauna, et à en croire la bosse qui se dessinait déjà sous son futal, il affichait un énorme potentiel.

 

— Profitez-en les mecs, ce bâtard ne rêve que d’une chose c’est de se faire larver comme une vraie chiennasse pendant toute une nuit.

— Ouahhh ben il va pas être déçu !!! On va grave lui ruiner le boule, hein les mecs ?!
Joignant le geste à la parole, Idriss claque alors d’un coup hyper sec le cul de la lopsa qui ne peut s’empêcher de pousser un petit gémissement.
— Mais en attendant les mecs, j’ai grave la dalle… Alors on va foutre le clebs à la niche en attendant de s’occuper de lui.
Puis, se tournant vers son mec…
— Johan, va chercher ton collier et ta laisse… Pour une fois, c’est pas toi qui le portera… J’ai trouvé un autre clebs pour ce soir !

Johan devint alors écarlate, provoquant l’hilarité des autres mecs. Quelques minutes après, voilà notre lopsa avec un collier de cuir noir tenu en laisse par mon pote Idriss, qui prend un malin plaisir à tirer des coups secs sur la laisse pour le ramener sur son paquet déjà bien gonflé.

Nous nous vautrons alors sur le canapé et, visiblement ravi de son nouveau joujou, Idriss le fait alors mettre à quatre pattes devant nous afin d’installer les chips et les olives sur son dos. Putain trop fort la table basse !!! A quand les mêmes chez Ikea ?!
La vodka a alors commencé à couler à flots et l’alcool aidant, les mecs se montrent de plus en plus entreprenants avec Alan. Certains lui tâtent le boule, lui glissant parfois un doigt dans sa rondelle en l’insultant… D’autres, à commencer par moi, préfèrent profiter de sa langue de tépu pour se faire décrasser les skets. Et apparemment, ça l’excite grave ce bâtard !  Greg est le premier à oser virer sa Tn pour en faire profiter notre lopsa… Putain je vous dis pas l’odeur de ouf quand il a retiré ses skets, laissant apparaître des cho7 qui n’avaient sans doute plus été blanches depuis bien longtemps. Il a alors pris une de ses skets et l’a plaqué direct sur la gueule de la lope.
— Alors salope, tu kiffes l’odeur de mes ieps, non ?
A en croire les gémissements qu’il poussait, aucun doute à ce sujet ! C’était vraiment trop kiffant de voir Greg le gazer avec sa Tn pourrave… Dire qu’il y quelques mois seulement, il ne connaissait rien aux trips crades ! lol
Tout le monde a alors voulu en profiter et les ieps ont alors défilé dans la gueule de notre tépu. Pendant ce temps, nous nous faisons tourner nos skets histoire de voir lequel de nous daubait le plus des ieps. Et là, sans surprise c’est mon pote Idriss qui a remporté la compétition haut la main ! En plus d’afficher un bon 45 fillette, il transpirait toujours un max des ieps et le simple fait de virer ses skets suffisait à embaumer une pièce entière ! D’ailleurs Alan a eu du mal à supporter l’odeur quand Idriss lui a coller sa skets fumante sur la gueule. Il a même essayé de détourner la tête pour se dégager des effluves de killer de mon pote. Lourde erreur !!! Sans crier gare, Idriss lui a balancé une putain de baffe dans la gueule qui a eu pour effet de le faire tomber sur le côté, renversant ainsi les plats de gâteaux apéro qu’il avait sur le dos. Ça a évidemment rendu mon pote furax…
Putain connard, t’as vu ce que t’as fait ?!!! Tu vas me nettoyer çà immédiatement !
Un coup de pied dans le bide a alors suivi et a fait comprendre à Alan qu’il valait mieux obéir sans attendre !
Pendant que ce bâtard jouait les ramasse-miettes, nous en avons profité pour passer à table. Ben ouais, à l’origine on était quand même là pour une raclette !

Une fois le tapis nettoyé, Idriss a donc attaché la laisse d’Alan au pied de la table, de manière à ce que chaque convive puisse en profiter à sa guise pendant le repas.

Et ça n’a d’ailleurs pas tardé, sitôt les premières tranches de reblochon avalées, j’ai lancé à la cantonade :
— Dîtes donc les mecs, peut-être que notre lope a elle aussi envie d’un peu de fromage, non ?

Tous n’ont pas immédiatement tilté mais Idriss, qui décidément me connaît très bien, a aussitôt éclaté de rire et m’a rétorqué :

— Te connaissant, je suis sûr que tu dois en avoir du bien affiné dans ta cave perso, n’est-ce pas mon pote ?

— C’est clair qu’en ce moment, ça produit pas mal… déjà 5 jours d’affinage, prêt à être dégusté…
J’ai alors choppé la laisse pour ramener la gueule de la lope au niveau de mon paquet, et sans plus attendre j’ai baissé mon futal et sorti ma queue. Quand j’ai commencé à décalotter mon gland pourrave juste sous son pif, il a eu un mouvement de recul et n’a pu s’empêcher de lâcher :

— Putain mais c’est immonde mec ! Tu m’avais pas dit que je devrais vous décrasser le chibre avec du fromton dessus !!! Je devais juste m’occuper de vos ieps, pas de vos zobs de porcos !
Autant vous dire que ça m’a grave énervé, et qu’avant même qu’il ait fini sa phrase, un énorme mollard s’écrasait sur sa face de lopsa, aussitôt suivie d’une grosse mandale.

— Putain tu vas la fermer maintenant ! Quand on veut se faire larver hard, on assume… C’est pas le tout de chauffer mec !
Afin de pallier toute tentative de rébellion, Idriss l’a alors chopé par derrière et lui a tenu fermement les mains dans le dos. Avec l’autre main, il l’a choppé par la nuque et l’a forcé à récurer ma crème de teub !

— Allez salope, maintenant fini de jouer… Tu vas récurer la tige de mon pote et lui faire reluire le glandos comme jamais. C’est quand même pas tous les jours qu’on a l’occasion de décrasser la queue de Fromton Boy en personne !
N’osant pas s’opposer à mon pote et à son mètre 95 de muscles, Alan a commencé à s’exécuter, faisant tourner sa langue de suceuse sur mon gland couvert de from. Peu à peu, le mouvement a pris de l’assurance et quelques minutes après, ce p’tit bâtard m’aspirait littéralement le gland et se délectait de tout mon from en gémissant…

Bien sûr, les autres mecs ne restèrent pas longtemps insensibles au spectacle. Greg fut le premier à sortir sa teub sans aucune pudeur, et à imposer aux autre convives une putain d’odeur de teub, recouvrant même les effluves du reblochon resté sur la table. Faut dire aussi qu’avec le prépuce qu’il a, c’est une vraie usine à fromton ce mec ! Voyant qu’il n’attendait que la langue de la tépu, je l’ai ramené d’un coup de laisse vers sa teub déjà dégoulinante de mouille. Cette fois-ci, Alan ne s’est pas fait prier et s’est précipité sur le zob de Greg pour l’engloutir direct en poussant des cris de salope en rut.
— Ouahhhh putain quelle chienne ce mec !!! Il va pas mettre longtemps à me faire monter le jus s’il continue comme çà !

A la vue du spectacle, nous étions tous en train de nous palucher le bitos sous la table, mélangeant ainsi nos odeurs de teub… Peut-être un peu jaloux de voir une autre lopsa en action, Johan se mit à genoux devant son mec et commença à lui titiller le gland du bout de la langue. Hummmm je vous dis pas comme c’est kiffant de voir une queue de black de 23cm se décalotter peu à peu (et ouais, contrairement à beaucoup de blacks, Idriss était total uncut), laissant apparaître une mousse blanchâtre composée de mouille et de fromton bien daubant. Le tout avec en plus une putain d’odeur de sueur qui m’a toujours fait craquer chez lui !

Il n’a d’ailleurs pas mis longtemps à lever le bras pour m’offrir son aisselle touffue bien humide. Je me suis évidemment collé direct la gueule dessus afin de bien me gazer avec l’odeur de queutard de mon pote.

Sans doute attiré lui aussi par l’odeur, Alan a abandonné la queue luisante de bave de Greg pour venir se coller au calibre d’Idriss, que son copain avait déjà commencé à décrasser… Et le beau métisse a alors eu droit à un vrai ballet de langues de lopsas sur son chibre. C’était à celui des deux qui arriverait à récupérer le plus de fromton ! De temps en temps, Alan et Johan faisaient une pause et se roulaient une pelle bien baveuse avec le from de teub et la mouille de mon pote, qui se délectait lui aussi du spectacle.

— Putain les mecs, je crois qu’on va avoir droit à deux lopsas au lieu d’une ce soir !

 

Resté en retrait jusqu’alors, David s’approcha alors de Johan et engouffra sa tige imposante dans sa bouche. Comme je l’avais pressenti tout à l’heure en matant la bosse à travers son futal, David était monté comme un taureau avec une queue hyper épaisse. Malheureusement ce superbe calibre était circoncis mais à ma grande surprise, ça ne l’empêchait pas de dégager une bonne odeur de sépi. Attiré par ces effluves épicées, je n’ai pas pu m’empêcher de me foutre à genoux moi aussi et de téter cette superbe queue bien large, tandis que Johan lui bouffait littéralement ses deux grosses couilles pendantes, pensant probablement à tout le jus qu’elle contenait et qu’il rêvait de se prendre sur la face.

 

Une fois toutes nos teubs récurées, Idriss proposa un concours de mollards. Il fit mettre la lopsa à genoux devant nous, lui tira la gueule en arrière et lui ordonna d’ouvrir bien grand la bouche pour recueillir nos crachats.

— Allez les mecs, le premier qui lui envoie un bon glaviot direct dans la gueule d’ici aura le privilège de lui démonter le cul en premier !   

Autant dire que cette récompense nous motiva un max et qu’en moins de 5 minutes, Alan avait la gueule et littéralement couverte de mollards, qui dégoulinaient le long de son torse. Et c’est finalement David qui remporta la compétition en lui balançant un mollard bien épais direct au fond de la gorge.

 

Idriss saisit alors la lopsa par la laisse et lui ordonna de s’allonger sur la table du salon, débarrassée à la hâte, afin que l’on puisse le niquer facilement à la chaîne. Il se tourna également vers son mec et lui lança :

Vas-y Johan, bouffe-lui un peu la chatte à ce bâtard car si David le fourre à sec, il va lui éclater la teuch !
Johan ne se fit pas prier et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il était à genoux en train de bouffer le cul de la lopsa et de bien lui baver sur la rondelle. Alan n’en demandait visiblement pas tant et cela eut pour effet de le faire gémir un max…
— Regardez-moi cette pute les mecs, comment il nous chauffe trop ! On va devoir le calmer à grands coups de queue… A toi l’honneur, David !
David écarta alors Johan du trou de la lopsa, balança un gros mollard dessus et y écrasa son gros gland écarlate. Il choppa alors fermement les chevilles d’Alan et d’un coup sec fit rentrer son gland dans sa chatte. Le résultat fut immédiat : Alan hurla et essaya de se dégager de l’énorme mandrin qui lui explosait l’anus. Mais David n’en fut que plus excité et il s’empala alors entièrement dans son cul.

— Arghhhhhhhhhhhhhhhh non !!!! Pitié mec, elle est trop grosse ta queue ! Tu m’exploses le fion là !!!
Mais ses plaintes eurent l’effet inverse et David se déchaîna alors dans le trou d’Alan, lui donnant de grands coups de butoir, trop content de voir cette lopsa morfler à chaque coup de teub.

— Tu la kiffes ma queue, hein salope ?!!! Tu t’en étais jamais pris une aussi grosse, non ?

Soucieux d’étouffer les cris de la lopsa, Idriss lui colla ses 23 cm de teub au fond de la gueule, manquant plusieurs fois de le faire dégueuler tellement il l’enfonçait profond.

— Tu kiffes ça te faire troncher par tous les trous, hein sale bâtard ?!!

Au bout de dix bonnes minutes d’enculage en règle, David stoppa son pilonnage, laissant une chatte béante qui semblait ne plus vouloir se refermer. J’en ai donc profité pour y rentrer à mon tour mon chibre et continuer à bien le défoncer.
— Hummmmm putain ce trou les mecs ! C’est un truc de ouf !!

Excité par les gémissements croissants de ce bâtard, je me suis mis en mode mitraillette et je lui ai pilonné la chatte pendant de longues minutes, en faisant taper mes couilles bien pleines sur son boule bien musclé… Comme j’avais sa Tn juste à côté de la gueule, je n’ai pas résisté à l'envie de la virer et de me coller le pif sur sa cho7 bien humide.

— Ouahhh mais c’est qu’il daube grave aussi cet enfoiré ! Et dire qu’il faisait sa mijorée tout à l’heure devant ma teub fromageuse.
Pas rancunier pour un sou, et hyper excité par le regard qu’il me lançait pendant que je lui démontais le boule, j’ai viré la cho7 et je lui ai léché le pied, en insistant longuement sur chaque orteil.

 

Pendant ce temps-là, Greg et David se relayait dans sa bouche de tépu, l’inondant à la fois d’insultes et de crachats. Quant à mon pote Idriss, n’y tenant plus, il était en train de fourrer son mec sur le canapé.
— Prépare-moi bien son trou, je calme un peu Johan et je viens lui péter la chatte après…

Hummm putain, apparemment il ne m’avait pas menti sur les talents de passif de son mec ! Y’avait qu’à le voir s’empaler sur les 23cm de mon pote pour deviner quelle grosse chiennasse il devait être au pieu. Et côté gémissements, il n’avait rien à envier à Alan : ça couinait grave dans tout le salon ! Entre Idriss et moi, c’était un peu à celui qui ferait le plus hurler sa lopsa…
Au bout de quelques minutes, j’ai passé ma place à Greg qui n’en pouvait plus de nous mater et qui est rentré sans ménagement dans le cul d’Alan, lui arrachant un hurlement mêlant à la fois plaisir et douleur. Faut dire que Greg, avec son côté kaillera de téci, c’est le prototype même du bourrin qui ne recherche que son propre plaisir. En le matant démonter le trou de notre lopsa, j’ai repensé au premier plan odeurs qu’on s’était fait tous les deux et pendant lequel il m’avait pété le cul comme jamais jusqu’à m’en faire limite chialer !

Mais alors que je me délectais du spectacle de ce queutard en rut en train de fourrer, un cri de jouissance retentit du côté du canapé et je vis mon pote Idriss en train de décharger sa sauce dans le fion de son mec…
— Putain le salaud, il m’a tellement excité qu’il m’a tiré le jus !

Visiblement content de lui, Johan affichait un sourire satisfait… et lança aussitôt à la cantonade :

— Qui vient me tasser le jus d’Idriss au fond du boule ?

Ni une, ni deux, David et moi rappliquons illico, découvrant une rondelle fraîchement épilée de laquelle coulait un mince filet de sperme.
Ne voulant pas faire de jaloux, Johan a alors demandé à David de s’allonger sur le canapé afin de venir s’empaler sur son chibre. Une fois sa queue bien au chaud dans son cul foutreux, il m’a ensuite fait signe d’approcher et rentrer à mon tour dans son cul ! Franchement vu le calibre de David, j’aurais jamais cru que nos deux queues pourraient rentrer ensemble mais après une bonne rasade de poppers, sa chatte s’élargit encore et ma queue rejoint sans problème la queue de David. Putain c’était trop bon de patauger ensemble dans le jus d’Idriss, que je sentais sortir du fion de Johan sous la pression de nos deux queues, et couler le long de mes couilles. Putain le pied !!!!!!!!

 

Inutile de vous dire qu’avec deux lopsas comme çà à dispo, nous n’avons pas eu le temps de nous ennuyer une seule seconde ! Nous avons fourré leur deux culs à tour de rôle pendant plus d’une heure en les faisant grave couiner à chaque coup de bite. Idriss n’a d’ailleurs pas mis longtemps à recharger ses batteries et à profiter lui aussi de la rondelle d’enfer d’Alan. C’était vraiment trop kiffant de voir sa chatte aspirer entièrement la tige d'ébène de mon pote jusqu’aux couilles ! Quelle salope ce mec !

 

Pour le final, sachant que tous les deux avaient amplement mérité leur douche de yop, Idriss les a fait allongé à même le sol, visage contre visage, et nous nous sommes placés debout au-dessus d’eux… Hummmm trop bon de voir ces deux lopsas la gueule grande ouverte prête à recevoir des litres de foutre ! Greg a été le premier à lâcher la purée : une bonne dizaine de giclées bien épaisses sont venues s’écraser direct sur la face d’Alan, puis de Johan qui se sont aussitôt roulé un méga pelle bien foutreuse. Le spectacle de ces deux lopes en train de se couiner dans le jus m’a fait larguer illico et ces deux p’tites putes ont eu droit à un véritable geyser de yop !!! Je n’en finissais plus de cracher, imité d’ailleurs aussitôt par David et Idriss qui rajoutèrent chacun de longues traînées de jus bien blanc sur la gueule et le torse des deux lopsas.
Baignant littéralement dans le sperme, Alan et Johan se sont alors foutus en position de 69 et ont giclé quasi-simultanément dans la bouche l’un de l’autre… tout en scrutant du coin de l’œil nos réactions.

— Putain j’hallucine ! Des vrais putes à jus !!! lâcha Greg devant ce spectacle hyper excitant.

— Et pas qu’à jus ! surenchérit aussitôt Idriss, qui avait visiblement son idée derrière la tête.

Il chopa alors la laisse d’Alan, l’arrachant à la bouche foutreuse de son mec pour le tirer jusqu’à la salle de bains et l’installer dans la baignoire.
— Maintenant les mecs, va falloir qu’on marque officiellement notre territoire sur cette pute afin d’en faire notre vide-couilles attitré !

Et avant qu’il ait eu le temps de finir, nous étions tous en train d’arroser ce bâtard avec des litres de pisse bien fumante. Hummm putain vous l’auriez vu en train d’ouvrir grand la bouche pour recueillir le plus de pisse possible, un truc de ouf ! Une fois vidés, on l’a laissé baigner dans la pisse le temps d’aller bouffer le dessert et de boire un verre… Et quand on l’a récupéré une heure plus tard, il nous a supplié de le larver à nouveau… Ce que, vous vous en doutez, nous avons fait avec grand plaisir jusqu’au bout de la nuit !

Alors les mecs lors de votre prochaine soirée raclette entre potes, n’oubliez pas d’amener votre lopsa ! Ambiance torride garantie !!! Parole de Fromton Boy ! ;-)

Par Fromton Boy - Publié dans : Témoignages
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Jeudi 26 février 4 26 /02 /Fév 14:15

Hummm ça donne envie de se mettre au foot, non ? Pour rester dans l'ambiance vestiaires et continuer à s'en mettre plein les narines, je ne résiste pas à l'envie de vous faire partager ce récit envoyé par VIVIAN, un jeune mec de 25 ans vivant du côté de la Bretagne, très porté sur le sexe un peu bestial (odeurs, pisse, soumission...) et qui kiffe grave l'idée que plein de mecs vont juter sur ses textes, inspirés d'expériences assez diverses et mêlant fantasmes et réalité. J'avoue que personnellement, j'ai largué mon jus avant même de finir le récit tellement ça m'a excité...
Et je pense d'ailleurs que je ne vais pas être le seul. Un conseil les mecs, sortez vos teubs dès maintenant, ça vous évitera de tout larguer dans le futal ! ;-) Et si vous kiffez ce texte, n'hésitez pas à laisser un p'tit commentaire à Vivian après avoir giclé... il n'attend que çà ! lol 


Je m’appelle Vivian et j’ai 25 ans. Je suis plutôt bogosse, blond clair aux yeux bleus. Je fais du sport depuis que je suis très jeune. Mais les sports qui m’intéressaient n’étaient pas du goût de mon père qui m’envoya faire du rugby ! J’ai tenu deux semaines et j'avoue que la seule chose qui m’intéressait dans se sport, c’était les vestiaires ! Cet endroit m’a toujours paru être sympa. Les odeurs de transpiration m’ont souvent excité, et ce depuis le plus jeune âge.

Voilà 10 ans que ce qui suit s’est déroulé. Lorsque j’ai débuté, je n’étais pas très musclé et mon corps fin et imberbe ne me plaisait pas. Tous les joueurs de mon âge semblaient être bien mieux bâti et plus développé que moi. Notamment Pierre, le fils de l’entraîneur. Il avait les cheveux bruns qui lui descendaient souvent sur le visage. Sa bouche était belle et pulpeuse. Sa peau était sublime. A chaque fois que l’entraînement était fini, j’étais le dernier à rentrer au vestiaire pour le plaisir de passer près de Pierre et sentir son odeur de transpiration. En général, il était rapidement à poil… je me rinçais l’œil ! Son sexe très développé balançait d’une cuisse à l’autre, m’hypnotisant complètement. Tout le monde sentait assez fort, mélange d’odeurs de pieds chauds et de transpiration... ça déclenchait chez moi une ivresse et des envies de sexe me montaient régulièrement à la tête. Et ailleurs !

Un jour, l’entraînement s’est terminé. Je rejoignais ma place alors que tout le monde se détendait en commentant le match. Mes fringues propres étaient suspendues au mur et au dessous, mon sac rempli de chaussettes et de vêtements crades traînait. Certains sont partis sous la douche et moi je restais là, le sexe bandé sous mon short en regardant les mecs autour de moi. Au fur et à mesure, le vestiaire se vidait. On était plus que 4 lorsque Pierre et ses 2 amis proches, Thomas et Leny, se sont décidés à aller prendre une douche. Je ne pouvais pas me résoudre à y aller, je bandais comme un fou. Je me retrouvais seul et m’approchai du sac de Pierre. Son caleçon était là, trempé de sueur et manifestement, il ne datait pas du jour même. Ca m’a excité au plus haut point ! Je me suis déshabillé et j’ai enfilé son caleçon, lui laissant le mien à la place.
L’entraîneur débarqua alors et me dit d'un ton sec :
Bon allez, on se presse ! 
Il rejoingit ensuite son fils et lui lança :
Je te laisse les clés, tu fermes les portes et tu rentres à la maison pas trop tard. A+ 

Je dus me résoudre à me déshabiller et à prendre ma douche. Pierre et ses potes vinrent dans le vestiaire et me dit :
Allez, magne toi, va prendre ta douche !
Thomas me regarda alors avec insistance, avant de s'exclamer tout haut :
Putain, mais il bande !
J’étais mal à l’aise et je partis aussitôt sous la douche, une main sur mon sexe. Je les entendais qui rigolaient à côté, j’étais excité et en même temps terrorisé.
Alors Pierre apparut dans la salle de douches et me dit :
Pourquoi mon caleçon est sur ton sac ?
Je ne sus pas quoi répondre. Leny lui, qui était roux, se mit à rire et lança à son pote :
Peut-être que ça l’excite ton fute !
Pierre me regarda alors comme un félin prêt à fendre sur sa proie.
C’est vrai ce que dit Leny ?
Je n’étais pas fier et je lui répondis honteusement :
Excuse-moi Pierre, je ne le ferai plus.

 

Pierre m’ordonna alors sèchement :
Enlève tes mains de là !
Devant mon refus, il m'attrapa le bras, découvrant mon sexe bandé.
Ben je vois que tu te fais du bien ! T'es un pd alors ?

 Je le regardais, il semblait tellement nerveux que je craignais un peu sa réaction. C’est alors que Leny me hurla dessus :
Répond bâtard !
Je fis un hochement de tête, approuvant, et suppliant de ne pas me faire de mal.

Pierre esquissa un sourire et dit aux autres :
Eh les gars, on a un pd sous la main, vous voulez vous faire sucer ?
Ils se regardèrent alors les uns les autres, un sourire de connivence au coin des lèvres...

Je me débattais mais ils m’attachèrent les bras et les pieds avec un maillot. J’étais nu sur le sol, la douche me coulait dessus et les trois mecs se faisaient un plaisir de me voir dans cet état. Je ressentais de la peur et pourtant l’excitation grandissait en moi.
Pierre lança alors aux deux autres :
Les mecs, vous avez pas envie de pisser ? Moi si !
Avant même que je puisse réagir, Pierre m'aspergea le corps et le visage avec sa pisse. Je sentais cette chaleur parcourir mon corps, je voyais la pisse jaune sur ma peau blanche, j’étais balancé entre le dégoût et l'ivresse... Je commençais à sentir du plaisir... Les deux autres s’y sont mis aussi, je baignais littéralement dans la pisse, c’était trop bon.
Pierre ma fit ensuite mettre à genoux. Je regardais sa grosse bite qui commençait à durcir. Il m’attrapa les cheveux et me dit :
Ta petite gueule d’ange, j’ai envie de lui cracher dessus.
Sans plus attendre, il me molarda sur les lèvres avant de passer sa langue sur mes yeux. J’étais vraiment excité. Il se tourna alors vers Thomas
Vas-y, fais toi sucer !
Le gland de Thomas était très impressionnant et lorsque je l’eus en bouche, je n’arrivais presque plus à bien saliver. Pierre me tenait toujours par les cheveux et m'empalait la tête sur la queue de son pote.  Je me sentais abandonné et vraiment à leur merci. Ce qui m’excitait encore plus !
Me tirant brusquement en arrière par les cheveux, Pierre me hurla dessus :
Vas-y, fais ta pute et suce-nous !

Chacun y est passé. Les odeurs de leur sexe étaient sublimes. Ils m’ont fait me retourner et alors que je suçais Leny, Pierre s’est approché de mon cul.
Je ne veux pas te faire mal, mais j’ai envie de tes fesses. Elles sont belles, de vraies fesses de meuf !
Il se mit à rire et à cracher sur mes fesses. Il me doigtait avec tant de vigueur que je prenais un plaisir fou, me cambrant même pour faciliter l’accès de ses doigts. C’est alors que je sentis un liquide chaud sur mes hanches. C’était Leny qui finissait de pisser sur moi. Il se marra et dit :
Ça glissera mieux comme çà !
Je sentis le liquide couler entre mes fesses, sur mes boules et le long de mon sexe. Je me dilatais probablement à vue d’œil au contact de sa pisse fumante. En même temps, j

e sentais Thomas qui allait et venait comme un bourrin dans ma bouche. Soudain son sexe se contracta et il déchargea tout son foutre dans ma bouche. Je fus surpris et je sentais que ça coulait le long de mes lèvres. Il lâcha un râle de plaisir, me prit par les cheveux et m’embrassa sur la bouche en me menaçant :
Cette liqueur-là, il va falloir que tu t’y habitues ! Je vais faire de toi une vraie salope...

Je sentis alors que le sexe de Pierre me pénétrer violemment. Ça me faisait mal, mais j’en voulais tellement ! Jusqu’au moment où je le sentis complètement en moi, à moi, rien qu’à moi dans mon cul. Il commençait à glisser en moi et je prenais un pied fou ! Je hurlais de plaisir si bien qu'il ne mit pas très longtemps à décharger à son tour, me faisant par la même occasion jouir sans même me toucher la queue.

Leny me retourna et me dit alors :
Attends, tu ne va pas  t’en tirer comme ça salope !
Il me retourna et vit mon corps ruisselant de pisse, mon sexe au haut duquel mon sperme coulait. Il rigola et me lança, l'air méprisant :
Une petite bite comme toi, ça peut jouir ?
Et avant même ma réponse, il me cracha sur la figure et me donna son cul à lécher, ajoutant d'un ton plein de sous-entendus :

Si tu refuses, c’est non seulement son cul mais aussi nos bites que tu vas nettoyer !
Alors je sortis ma langue et à ma grande surprise, je pris du plaisir à lécher ces fesses pleines de transpiration, ses boules qui sentaient le mâle, sa bite qui sentait encore la pisse. Et contre toute attente, je me suis même laissé aller à les supplir de me filer leur teubs foutreuses :
Oui, faîtes-moi encore sucer vos bites les mecs... Je crois que j’aime ça.
Ils ont rigolé et j’ai nettoyé chaque gland à coup de langue avalant jusqu'à la dernière goutte de sperme et de pisse. Ils m’ont ensuite détaché et on s’est caressé.

Pierre m’a alors dit qu’il voulait me sucer, je lui ai alors dit que ça me ferait très plaisir.
Ils se foutaient de la taille de ma bite (elle n’était pas poilue encore et le fait que j’étais blond n’arrangeait rien). Pierre a décalotté mon gland. Lui et Thomas se mirent ensemble à donner des coups de langue sur ma teub, ça me rendait électrique. J’ai basculé ma tête en arrière, contre le torse de Leny. Ce dernier a alors décidé de me pénétrer. Il a avait un sexe plus gros que celui des autres.
Je pense que tu es assez lubrifié maintenant ! me fit-il remarquer, en me claquant le cul.
Je me remis aussitôt à 4 pattes et il me pénétra sèchement. Ses grandes mains me tenaient les hanches et alors qu’il me pilonnait, je sentis des doigts de pied sur mes lèvres. Ouahhh, ça sentait vachement fort... mais c'était trop bon ! En ouvrant les yeux, je m'aperçus que c'était Pierre qui me collait ses pieds pleins de pisse sur le visage.
Vas-y, lèche salope !
Je m’exécutais avait plaisir et application, me sentant complètement défaillir. Après quelques aller-retour dans mon cul, Leny jouit en moi. Et je ne pus pas résister à l'envie de lui nettoyer ensuite la queue avec ma langue pour m'imprégner une dernière fois de ses odeurs de mâle.
On se roula ensuite une pelle tous ensemble, et me laissant par terre couvert de sperme et de pisse, ils me lancèrent :
Maintenant, tu vas être notre salope à tous les 3 !
J’étais aux anges.

Par Vivian - Publié dans : Témoignages
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Vendredi 6 février 5 06 /02 /Fév 14:18

Alors les mecs, pas mal cette vidéo, non ? Il ne manquait plus qu'une petite douche de pisse à la fin pour nettoyer tout ce jus sur sa face et c'était carrément l'extase ! lol Pour ce qui n'auraient pas encore largué tout leur jus (ou qui rechargent très vite), voilà le témoignage super cho de ROMAIN (alias CHOSKET), un jeune mec de 25 ans qui comme nous kiffent un max les odeurs de teub bien fumantes. Il nous raconte un plan qu'il a fait il y a quelques mois dans les chiottes d'une aire d'autoroute... Hummm déguster une bonne teub bien crémeuse avec les effluves de pisse tout autour, c'est clair que tu as dû grave kiffer mon pote ! Merci à toi de nous faire partager ce méga plan cul et à très bientôt j'espère pour de nouvelles aventures bien daubantes ! Et vous les mecs si vous avez kiffé son récit, n'oubliez pas de lui laisser un p'tit comm pour lui dire ;-)

Salut à tous les keums à la bite daubante. Je m'appelle Romain et j'ai 25 ans. Comme tous les keums qui lisent ce blog, j'ai un kif total pour les odeurs de sgeg et tout ce qui va souvent avec (skets, ieps, slob et bien sur la bonne pisse), le tout en réciproque et selon le keum. Je porte des slobs blancs sans poche pendant 4 à 5 jours. J'égoutte jamais ma teub et décalotte que quand jme branle ou à l'occasion du nettoyage. J'adore la sturb et j'aime juter dans mon slob. Je suis presque tout le temps en survet adidas ou en jean et en skets NB bien daubantes. Je finis mes études à Paris mais j'habite en réalité dans un p'tit bled entre Nîmes et Montpellier. Je prends souvent l'autoroute pour aller voir mes potes sur Montpellier ou Nîmes. Sur les aires de repos entre Nîmes et Montpellier, c'est sont souvent très cho. Comme partout, on trouve de tout et c'est ça qui est super excitant : "la surprise" ! Dès que je peux, je traîne sur les aires d'autoroute. C'est super sympa parce qu'en plus des odeurs du mec avec qui on fait le plan, y'a aussi le parfum d'ambiance des chiottes : la pisse. Moi j'y vais pour le tout : la surprise et les odeurs de jaune. Mais surtout parce que je sais qu'en semaine on y trouve facilement son bonheur en fin de journée. C'est fou le nombre de mecs qui s'arrêtent sur une aire de repos le soir en sortant du boulot.

Le plan que je vais vous raconter s'est passé cet automne pendant les vacances de la Toussaint. En vacances avant une série d'exams, j'avais envie de me détendre un peu pendant mes révisions. Un bon snif de pacson, y'a rien de mieux pour se détendre. J'ai donc eu envie de renifler de la queue. Quel meilleur moment qu'après 18 h ? Toutes ces queues restées au chaud à transpirer dans leur slob toute la journée (ou plus) dans l'humidité des dernières gouttes de pisse lachées par une queue rentrée trop vite dans le slob...
Il m'en fallait une de toute urgence. Je me suis pointé à 18 h sur l'aire d'autouroute (l'accès est sur un trajet gratuit, ce qui garantit la fréquentation). Fin de journée, j'arrive sur le parking de l'aire de repos : 3 camions et 5 voitures. Trois mecs tournent à pied autour des chiottes, ça tourne et retourne. Rien d'intéressant mais faut savoir attendre. Un peu plus tard, un mec s'arrête dans son Opel Astra et reste dans sa voiture à matter. Il sort de la bagnole et se met sous le lampadaire à côté des chiottes. Il se met à tripoter son portable et matte régulièrement l'entrée des chiottes. Le look est hyper classique, genre "je sors du boulot, j'suis cadre et j'ai besoin de déstresser le bitos". Je suis plutôt fan du look sportif mais son look hétéro genre VRP m'a donné envie de tater de son pacson. En plus, il avait une bonne gueule, super masculin, la trentaine passée et bien foutu.

Le mec me repère aussi. Après plusieurs regards insistants vers lui, je le vois ranger son portable et se diriger vers les chiottes. Sans traîner, je le suis de près histoire de pas me faire piquer mon tour de snif. Y'a de la place que pour deux dans les urinoirs. Il entre et direct première à gauche direction pissotière. Pour bien comprendre la scène, les pissotières sont à gauche de l'entrée et face de l'entrée 2 portes de chiottes turcs. Comme je le suis de très près, immédiatement je me place à sa droite. Ces pissotières sont comme je les aime : une mur de porcelaine sans séparation. On peut rien se cacher et rien ne peut nous gêner. Le plan commence. Classique, on sort notre queue et après quelques secondes, comme aucune pisse ne vient des deux côtés, alors les têtes se tournent pour se mater le calibre. Le mec a une queue comme je les aime : épaisse, avec un gros prépuce qui recouvre tout le gland que je devine bien gros. A ce stade, impossible de deviner s'il a de bonne odeur de queue et du fromton. Il n'a pas encore décalotté et ça embaume trop la pisse des chiottes aux alentours. Comme lui, je tripote ma queue sans décalotter et sors mes couilles par la braguette histoire de faire monter la pression. Des deux côtés ça marche ! On commence à bander. Mon gland commence à sortir naturellement (j'ai un prépuce assez court) mais lui c'est pas le cas. Il bande mais son prépuce reste toujours en place. Il ne cherche pas à décalotter, là je me dis c'est bon signe... il a quelque chose à planquer ! Ni une ni deux, avec ma main gauche j'attrape sa teub pour la toucher et je fourre mon index dans le trou du prépuce histoire de prendre la température de ce gland. Je tente un décalottage pour imprégner la paume de ma main de l'odeur de sa queue mais rapidement il me saisit la main et l'écarte. Soit il ose pas aller plus loin, soit y'a un bonne surprise pour moi sous ce prépuce.
J'insiste pas et réflexe, je me mets à sniffer franchement la paume de ma main. Putain, c'est le paradis !!! Une super odeur de queue me chatouille les naseaux. Le mec me regarde assez intimidé et semble gêné pour son odeur. Il est loin de se douter de la suite. Je kiffe à fond son odeur de bite et me mets à bander hyper dur. Pour lui monter que j'adore, je lèche la paume de ma main, ça le fait sourire et il commence à décalotter à moitié son gland en se tournant légèrement vers moi. Son gland était comme je l'imaginais : des petites traces de fromton bien visibles. Voyant ça, j'fais comme lui et décalotte complètement ma queue pour lui montrer mon gland pas très net. Aucun recul de sa part, il s'astique la queue. Tout est bien lancé, on va bien s'amuser ! Seul problème, les 3 mecs à l'extérieurs sont toujours là et régulièrement mattent à l'intérieur des pissotières. Impossible de se faire un plan snif avec eux autour. Je suis très égoïste, je ne partage jamais les odeurs de queue. Ce fromton est à moi ! Comme j'ai pas envie de speeder, je propose au keum qu'on s'isole dans les chiottes turcs qui sont juste à côté. Il me fait un signe de la tête pour accepter. On remballe vite notre marchandise et je fonce le premier dans un des deux chiottes turcs où je pousse simplement la porte. Il me rejoint quelques secondes plus tard et ferme à clé derrière lui.

Les chiottes sont crades avec une odeur de pisse mais pas trop forte. Elles sont étroites mais suffisamment larges pour qu'on puisse tenir à deux accroupis. Pour bien refaire monter la pression, je commence à lui malaxer son pacson au travers de son futal noir et lui fait pareil à travers mon survet. Très vite, nos queues se remettent à bien gonfler. Il essaye alors de prendre l'initiative pour vite se défroquer et sortir sa queue mais rapidement je bloque son poignet. Je reste le maître. C'est moi qui vais déballer sa marchandise. Je dégraffe sa ceinture et son fute, j'ouvre sa braguette et le futal descend immédiatement sur ses chevilles. Il a les jambes bien poilues comme je kiffe. Il continue à me masser le pacson. Son slob est noir, plutôt taille basse (dommage je préfère les slobs blancs pour les traces de yop et de jaune), y'a quelques taches de mouille ou de pisse sur son slob. Il me baisse mon survet. Mon slob est blanc avec de belles traces de pisse et de foutre. A prirori, ça le dérange pas parce qu'il continue à me malaxer le paquet. Après ces préliminaires, je me fous accroupi le pif sur son slob qui contient sa queue hyper dure qui n'a qu'une envie : sortir. Son slob noir était pas net du tout. J'ai commencé ma séance de snif. Il sentait super bon le mélange de pisse et de transpiration. J'avais ma main droite entre ses cuisses et j'ai pu constater que le keum transpirait vachement. Avec ma main gauche, je continuais à lui malaxer le pacson dans son slob. N'y tenant plus, fallait que je déballe sa marchandise ! J'ai baissé son slob à mi-cuisse. Première découverte : des super traces blanches à l'intérieur du slob. J'y plonge aussitôt mon nez et ma main : pisse, mouille et sûrement foutre. Impossible de me contrôler : j'ai tout sniffé et léché à donf pendant qu'il s'astiquait la queue au-dessus de ma joue. Je suis rapidement remonté vers ses couilles. Il transpirait comme un fou. Tout était bien humide et pour mon plus grand plaisir, ses couilles étaient bien poilues. C'est pas si fréquent les mecs qui ne se rasent pas les couilles ; moi je rase jamais, j'aime trop l'odeur. Y'avait une putain d'odeur de transpiration de couilles géniale entre ses jambes et j'ai continué mon nettoyage en insistant bien sur les burnes. Vu ses soupirs, il aimait bien visiblement ça ! Maintenant que j'avais décrassé les alentours de la queue, je me suis attaqué au principal : son sgeg. Il avait toujours pas décalotté et c'est moi qui allait le faire. Son prépuce dégageait une putain d'odeur de pisse au moins aussi forte que celle des chiottes. J'ai commencé à fourrer mon nez sur le prépuce en continuant à me malaxer le pacson. Puis, avec le bout de ma langue, j'ai commencé à attaquer le gland sans décalotter. Ca n'a pas duré longtemps... N'y tenant plus, j'ai décalotté le gland entièrement. Putain quel kiff !!!
Soit ce mec n'égoutte jamais sa teub, soit il ne s'est pas lavé depuis plusieurs jours. Trop bon ! J'ai collé mes narines dessus et j'ai bien sniffé son bout. Y'avait quelques traces légères de from sur le gland, très peu mais autour du gland, un vrai délice de crème ! Avec un doigt, j'ai récolté un peu de ce from que j'ai mis sur mes narines pour ne pas perdre l'odeur et ensuite j'ai attaqué mon nettoyage du bout de la langue. J'ai terminé mon nettoyage par une bonne pipe, en jouant avec son prépuce, en suçant et aspirant.

Comme il était très excité, je sentais que son jus n'allait pas tarder. J'ai donc tout stoppé et me suis relevé. Il était temps maintenant de voir s'il aimait autant que moi le fromton. J'ai baissé mon survet jusqu'aux chevilles. Toujours aucune réaction de sa part sur l'état de mon slob. Il me malaxait le pacson. On s'est roulé une super pelle, ma gueule devait puer le from. D'un coup de langue, il me nettoie les narines comme pour récupérer ses odeurs, revient vers ma bouche, me roule une pelle et j'en profite pour le pousser vers le bas pour qu'il s'occupe de mon paquet. A priori, c'est pas son habitude de sniffer. Il reste peu de temps sur mon slob et très vite le baisse jusqu'en bas sans sniffer l'intérieur. Il cherche à passer à ma queue mais je remonte l'intérieur de mon slob vers son nez pour qu'il sniffe mes bonnes odeurs. Il ne se débat pas et donne même un bon coup de langue sur le tissu. Je le laisse remonter à ma teub. Je redoute sa réaction quand il décalottera car j'ai toujours beaucoup de from autour du gland. Mais c'est dommage, il la prend intégralement en bouche et la décalotte dans sa bouche et ne prend pas le temps de sniffer. Je le repousse en arrière et lui fous ma teub sous les narines. Il ne dit rien et me branle contre son nez pour rapidement la reprendre en bouche. Je tiens plus. Trop excité, je sens que mon jus va monter. Je le repousse alors en arrière et balance plusieurs jets puissants de foutre contre les murs en céramique. Il se relève, matte ma queue qui dégouline de mon sperme et continue de se branler. Je lui demande de m'envoyer sa purée sur la queue car j'adore que mon pacson baigne dans le jus. Il m'envoie alors tout son jus sur la queue et le gland. Ma queue et mes couilles dégoulinent littéralement de son jus. Il avait une bonne réserve le salaud ! 
Je lui ai attrapé la tête et on s'est roulé de super galoches pendant quelques secondes le temps de débander. J'en ai profité pour lui dire qu'il avait une teub super odorante et que son from était un délice. Il a rougi et souri, puis m'a roulé une galoche. Je lui ai proposé d'échanger nos slobs mais il n'a pas voulu. Comme souvent, les plans autoroute se terminent très vite. On a remballé notre marchandise, moi ma queue pleine de jute en pensant à ma prochaine sturbe avec mon slob bien chargé, pourrave et mouillé par son foutre. On s'est quittés rapidos. Impossible de le brancher pour tenter d'aller plus loin à un aute moment. J'ai jamais su comment il s'appelait, ni ce qu'il faisait dans la vie car il a foncé droit vers sa bagnole. Mon grand regret, c'est de ne pas avoir pu jouer avec notre pisse pendant ce plan, mais le mec me semblait pas assez ouvert donc je n'ai pas osé...

Romain (alias Chosket)
 

Par Chosket - Publié dans : Témoignages
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Mardi 11 novembre 2 11 /11 /Nov 16:04

Visiblement le week-end a effectivement été bien och pour un certain nombre d'entre vous, notamment pour PISSHARD, un queutard bien och de Paname qui, comme son pseudo l'indique, adore se faire arroser à la sépi bien fumante... Son témoignage devrait ravir tous ceux qui m'ont demandé davantage de plans pisse sur le blog. Mais trêve de bavardage, je lui laisse la parole pour qu'il vous raconte sa soirée pisse au bordel vendredi dernier.


Salut mec ! Heureux de te voir à nouveau d’attaque pour reprendre le blog. Comme promis, voici le récit de ma soirée de vendredi. Malheureusement les mecs ne sont pas très chauds pour des pics en bocson, donc je te laisse trouver des pics bien kiffantes pour illustrer l'article. 

Arrivé au bordel, fringué tout en latex, je repère une baignoire libre avec une belle petite couche de pisse au fond, je me
fous dedans et commence à m’imprégner du bon liquide jaune. Aussitôt un mec me repère et s’approche teub à la main, bien gonflée. Il me la fourre direct dans la gorge : elle sentait le mec et la sueur, le lub, il venait certainement de fourrer une autre lope. Et d’un coup, un jet puissant d’urine me frappe le gosier ! J’en avale un peu, forte et dégueu, il sort et m’arrose le torse puis revient dans ma bouche avide de pisse. Ensuite, je me fais copieusement arroser par deux bears qui ont nettement contribué à faire monter le niveau de liquide. Pendant ce temps, je repérais un beau mâle en train de se faire limer la gorge et qui prenait le jus de son compagnon avec force râles de la part des deux mecs. Cette vision m’excitant pas mal, je décidais d’aller plonger ma pine dans cette gorge accueillante et tout en lui pilonnant le gosier, je décidais que plutôt de jouir si tôt, j’allais lui nettoyer la bouche à la pisse, ce qui ne lui a apparemment pas déplu puisqu’il est venu en redemander dans la soirée.

Cette situation m’excitait d’autant plus que je repensais à une autre dans un autre lieu. Je kiffe à fond sur un mec motard, toujours en combinaison et bottes de cross, super bandant, Dès que je le vois, je me fous à genoux et sympa, il vient me défoncer la gorge avec son prince-albert, jusqu'à m’étouffer. Il me fait rentre l’anneau bien à fond pour bien avoir envie de gerber. Parfois, je lui lèche bien les dessous de bras : comme il est en combi et transpire un max, c’est un vrai régal d’odeurs de mec en rut ! 

Mais la dernière fois que l’on jouait ensemble, une super lope trempée de pisse et cagoulée est venue lui gober le zob et l’a pompé jusqu'à ce qu’il lui envoie le jus bien au fond. Comme on se faisait les seins face à face, la lope bien coincée entre nous deux (qui parfois venait me sucer un peu), je l’ai bien vu jouir et prendre son pied tout en lachant son foutre. Et je n’ai alors eu qu’une envie : me servir de cette bouche pour prendre mon pied ! Tout en me branlant le zgeg entre ses dents et mon motard me maltraitant avec bonheur les seins, j’imaginais ma queue dans cette antre pleine de son jus. J’ai joui un max en imaginant nos jus se mêler bien au fond de cette gorge humide et déjà pleine de pisse.

Pour en revenir à la soirée de vendredi dernier, je me suis bien roulé dans la baignoire, trempant ma rondelle à l’air dans mon chaps en latex au fond. Après quoi un mec super sec, petite barbe, m’a attrapé la tête, coincé sa pine bien raide dans la gueule et m’a piné le gosier un bon moment tout en lâchant de longs jets de pisse bien chaude, que j’avalais goulûment. Pendant ce temps, un mec bien sexe, cuir et jean daubant la pisse rance à 5 mètres est venu se frotter à moi et a commencé à me doigter le fion. Ces coups répétés dans le cul et dans la gorge qui finissaient par aller en rythme, ont eu raison de ma résistance et j’ai largué un bon jet de foutre dans la mare où je pataugeais depuis un bon moment.


A la suite de quoi mon mec m’a attrapé, plongé la tête dans la pisse me laissant reprendre mon souffle par moment et il s’est mis à me pilonner le trou, jusqu'à larguer sa jute. Il m’a relevé, quelques pelles bien baveuses à la pisse pour se terminer la soirée, collé sa pine devant le nez et demandé de bien lui nettoyer avant de rentrer se pieuter.

Pisshard

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Mardi 4 novembre 2 04 /11 /Nov 11:51

Salut les queutards !

Et oui, me voilà déjà de retour ! Merci à tous ceux qui m'ont laissé des commentaires sous les derniers articles ou qui m'ont envoyé un p'tit mail d'encouragement suite à la reprise du blog. C'est motivant de voir que les articles du blog vous font toujours autant kiffer ! Un grand merci aussi à ceux qui m'ont envoyé le récit de leur dernier plan hard crade, à commencer par l'un des fidèles du blog, Xav (alias Hardhairy). Qui n'a pas juté au moins une fois en lisant un de ses articles, lorsqu'il se fait larver par trois potes hétéros devant un match de rugby ou par un ouvrier du BTP bien macho lors d'une virée à Marseille ?!! Il nous revient aujourd'hui plus chaud que jamais avec un putain de plan qui va rendre jaloux un max de lopsas ! Une mise à dispo pendant toute une nuit avec un groupe de queutards bien daubants... Préparez-vous à larguer votre jus direct en lisant cette histoire... Perso, j'en ai encore le calbut tout gluant ! lol


Salut gars ! Ton blog est à nouveau à jour c'est super !! Je ne résiste pas à l'envie de te raconter ma dernière aventure. C'était la semaine dernière et rien que d'y repenser, je bande comme un âne. J'avais espéré ce genre de plan depuis longtemps, sans jamais franchir le pas. Il fallait surtout que je trouve un mec assez vicelard pour me maintenir à mon rang de salope toute une nuit. Le mec en question c'est Fanck que j'ai déniché lors d'une de mes virée à Paris : 38 ans, très bien foutu, de bons pecs bien poilus toujours en marcel et survet mais surtout il adore baiser une salope en fin de journée sans prendre de douche... Et ça ca me rend dingue à chaque fois ! Il m'avait testé il y a deux mois, il m'a trouvé bon bâtard, bon décrasseur et il a bien vu que mon trou n'en avait jamais assez.

Lors de mon dernier passage à Paris, la semaine dernière, j'avais donc téléphoné à Franck pour lui demander s'il voulait bien me loper. Non seulement il m'a dit oui, mais il m'a demandé de me rendre dispo toute la nuit. Jeudi soir, comme convenu, je me pointe à son appart à 20 heures, il me fait monter. A peine j'avais passé la porte d'entrée qu'il me gueula du salon :
— Tu te mets à poil, tu enfiles le collier de clebs qui est dans l'entrée et tu viens dans le salon ! On t'attend sale pute !
Je m'exécutais et je bandais déjà en pensant à ce que Franck venait de me dire : "On t'attend !". Putain, je me suis dit qu'il avait  fait venir des potes. Je passe la porte du salon et là, ils étaient quatre, deux en survet et deux en short et tongues, ils sentaient déjà la sueur et j'avais la honte de me présenter avec mon collier à poils devant ces gaillards qui rigolaient en me voyant debout devant eux.
— A 4 pattes salope ! On prend l'apéro, tu vas venir nous décrasser nos bonnes teubs qu'on t'a préparé depuis trois jours... Faut tout nettoyer maintenant salope !

Ils discutaient et buvaient leur bière pendant que je m'exécutais en attaquant la bite de Franck. En baissant son survet, je découvrais un slob jaune de pisse qui dégageait une odeur de fauve comme jaime. Il me plaquait la tête contre son paquet déjà bien trempé de mouille. J'insistais avec ma langue sur cette tache de mouille qui s'agrandissait au fur et à mesure que je pressais le gland au travers du slob. Au moment où je tirais sur le slob pour découvrir la bite de Franck, une odeur de pisse et de foutre m'envahissait, et de grands filets de mouille tombèrent de sa bite.
— Allez sale pute, récupère ma mouille avec ta langue de lopsa ! Faut te mettre au boulot !
Après avoir aspiré toute la mouille, je la réutilisais pour commencer mon pompage. Son gland s'est alors complètement décalotté et j'ai pu m'enivrer de tout le from stocké à la base de son gland. Ca puait bien, surtout quand je me suis mis à nettoyer la base de ses couilles bien poilues. Ses potes qui continuaient leur conversation parlaient de moi comme si j'étais une machine à pomper. Franck leur décrivait ses sensations et il vantait mes mérites de bonne suceuse. Elie, en tongues et short me prit alors la tête et me la plaça sur son short. Il n'avait pas de slip, et le short blanc commençait à bien mouiller, surtout qu'il avait une bite énorme, très large et circoncise. Même s'il n'y avait pas de from, elle daubait bien et je n'ai pas manqué de la gober sans retenue, j'ai passé une bonne heure à décrasser ces quatre bonnes  bites bien odorantes, passant de l'une à l'autre, pendant que les quatre potes se prenaient leur apéro.

Je ne savais pas ce qu'ils pensaient faire de moi, c'est alors que Franck leur dit :
— Bon les mecs, on va manger un morceau !
Il me tira par le collier et m'amena dans sa piaule. Il m'ordonna de me coucher sur la descente de son lit et il m'apporta une gamelle avec de l'eau et une avec des chips.
— Tu restes là, je sais pas quand je rentrerai, tu verras bien, mais reste calme !
Il quitta la chambre en fermant la porte à clef. Je ne suis pas trouillard, mais j'ai quand même eu un petit moment de stress. Toutes mes affaires étaient dans l'entrée et je n'avais même pas mon téléphone portable avec moi. La porte s'est ouverte à nouveau, c'était Rudee, un des quatre potes que j'avais bien sucé. Très petit mais bien musclé, hyper poilu, avec une bonne bite bien juteuse.
— Je vais pas revenir ce soir moi, faut que j'essaye ta chatte quand même.
Et je me retrouvais à quatre pattes avec ce mâle en rut derrière moi qui se mit à me défoncer comme un vulgaire trou à bite en me claquant le cul. Au bout de cinq minutes, il s'est retiré et m'a demandé de me placer face à lui. Il s'est alors mis à me cracher tout son foutre sur le torse, de longues giclées bien blanches qui le faisaient gueuler de plaisir. Il me roula une pelle avant de se casser et de fermer la piaule. J'avais rien pour m'essuyer, je n'avais qu'à attendre que le foutre sèche sur mes poils.

L'attente était interminable et je me demandais si j'avais bien fait d'accepter ce plan. Au bout de longues minutes, j'ai décidé de dormir... A une heure du mat, j'ai entendu des gars qui parlaient dans la pièce d'à côté, et je ne tardai pas à voir Franck franchir le pas de la porte.
— Viens par là salope ! Tu vas encore servir de vide-couilles, et crois-moi tu vas t'en souvenir !
Dans le salon, je reconnaissais les deux potes que j'avais sucé à l'apéro et deux autres racailles qui m'ont tout de suite mis la main dessus pour me placer à 4 pattes sur le tapis du salon. Ils m'ont insulté sans que je comprenne tout ce qu'ils me disaient et le plus mignon des deux m'attrapait les cheveux pour m'enfiler direct sa bite dans la gueule. Avant que je ne puisse complètement découvrir sa bite qui puait la transpiration et la frite, je sentais le chibre de son pote qui s'enfonçait dans mon trou direct. Il faisait gicler du gel sur sa tige au fur et à mesure des va-et-viens. J'ai encaissé un défilé de bites pendant une bonne demie-heure.

Franck me demanda alors de m'asseoir sur son manche, pendant qu'Aziz m'enfilait par derrière sans ménagement. Superbe double sodo sans que je puisse gueuler, j'avais la gueule occupée par les deux autres bites par alternance. J'avais le trou en feu et je commençais à en avoir assez, mais je ne pouvais quand même pas déclarer forfait. Au bout d'une heure, mon cul était tellement chauffé que je prenais vraiment du plaisir à sentir ces quatre bites défiler en moi. Franck m'a fait asseoir et les quatre mecs se sont branlés au-dessus de moi, lâchant de bonnes giclées de foutre sur moi, en me barbouillant le corps de tout le jus récolté. Je puais le sperme à plein nez, et je pensais que j'allais prendre une douche mais Franck m'ordonna de retourner au pied de son pieu. Je me suis endormi très vite, couvert de jus, alors que les potes continuaient leur conversation dans le salon.

Vers 3 heures du matin, Franck décida de me tirer par le collier pour m'accueillir dans son pieu. Il était seul et il commençait à me faire des compliments sur mon comportement de bonne salope.
— Tu t'es bien occupé de mes potes. Ils dorment ici dans le salon. Demain au petit déj, il faudra bien s'occuper d'eux, d'accord ?
J'étais crevé mais déjà excité à l'idée de téter les bites au réveil sous la table. Franck me serra dans ses bras et se mit à me rouler des pelles langoureuses.
— Une bonne lopsa, il faut savoir la récompenser quand elle bosse bien. Tu vas bien t'occuper de moi maintenant... Regarde, je bande déjà !
Et je me glissais sous les draps pour accéder à cette bite qui sentait la baise de la veille. Il n'avait pas pris de douche et je commençai à bien nettoyer les restes de foutre qu'il avait gardé sur sa bite. Très vite, je  me suis retrouvé à 4 pattes et il m'encula pendant de longues minutes en me demandant de ne pas gueuler pour pas réveiller ses potes. A peine avait-il craché sur mon cul qu'il se retournait dans le pieu pour dormir. J'ai fini la nuit dans ses bras.

8 heures... Franck entre dans la chambre, je ne l'avais pas entendu se lever.
— Allez salope, on prend le petit dej... Viens nous sucer !
Je me suis retrouvé sous la table de la cuisine pendant que trois des mecs qui m'avaient baisé la veille buvaient leur café à poil et pieds nus. J'ai d'abord léché les panards, dont certains puaient la sueur, et je me suis mis à nettoyer les trois bites qui m'avaient bien défoncées. J'avais faim, mais la priorité c'était de satisfaire les invités. Une fois le petit déj terminé, Franck m'a installé dans le couloir devant la salle de bain à quatre pattes pour offrir mon trou à ses potes avant qu'ils prennent leur douche. Ils m'ont utilisé comme un vide-couilles les uns après les autres avant de se casser vers 9 heures 1/2. Franck devait aller bosser pour 10 heures, il me demanda d'aller me doucher, de m'habiller et je me suis retrouvé sur le palier devant chez lui le ventre vide, mais le cul et la gueule comblés.
Xav (alias Hardhairy)

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Jeudi 30 octobre 4 30 /10 /Oct 16:55

Histoire de marquer le coup et de vous montrer que je suis disposé à faire des mises à jour plus fréquentes si vous jouez le jeu, voilà le témoignage de TARBABRUN, un jeune keum bien och toujours grave och et prêt à se faire ken par ses potes... Et dans le plan qu'il nous raconte aujourd'hui, c'est son pote Karim qui en lui en met plein le cul dans une cave ! Je précise de suite que j'ai rajouté une pics du net pour illustrer le plan, histoire de vous faire monter le jus encore plus vite ! Mais franchement difficile de tenir longtemps en lisant ton récit mon pote ! lol
Merci à toi pour ce témoignage super kiffant, en espérant que tu lanceras le mouvement et que j'en aurai plein d'autres à publier dans les semaines à venir !!!
 

 


Salut mec ! Comme promis, mon dernier plan Q avec Karim, mon meilleur pote. On a tous les deux 23 ans et jpasse mon temps à le mater dans les vestiaires et partout où jpeux koi. Un aprem on sfaisait iech avec la pluie dehors, on s'est mater un film de boules. On trikait et jlachais aps son pacson du regard; il m'a capté et m'a dit direct :
— Vas-y, arrête de faire semblant, jvois bien que tu mates comme un dingue ma bosse mon pote !
Et cash, il me la sort.
— Vas-y, tu veux me palper le zguegue poto ?
Oueh, sûr que j'veux ! Jme penche et chope son bitos, jle tripote et il s'met à mouiller comme un ouf. Il me chope le cou et m'lâche :
— Vas-y, jsuis sûr tu meurs d'envie dme pepom, hein ? 
Jréponds aps et ouvre ma gueule. Il me fourre sa pine sous lpif et grave odeur de sepi et de sueur !!! Putain jtrike encore plus dans mon jog. Jlui gobe la teub, il tient la tête et pousse dans ma gueule,  jla prend de plus en plus loin... Ouahhh !!!!! Je râle dsentir son bitos dans mon gosier, jbave bien dessus comme un ouf.
Là, il me retire la pine de la gueule.
— Vas-y, tu vas mfaire cracher mon poto ! T'es trop gourmand là !
Il renfile sa teub dans le jog et se lève.
— Suis oim ! On va sfaire un ptit truc trankil dans la cave, on risque aps dse faire pecho.
J'le suis trankil, on descend et on entre dans une cave désaffectée : ça dabe la sueur, la sepi et le yop à donf !
— Tu vois ici ça ken un max ! ça sent grave le mâle en rut !
Je sniff et il me fout cash à genoux devant lui. Il sort sa pine et me la refout dans la gueule, pousse à donf et me largue la pisse.
— Vas-y, avale tout mon pote ! j'suis sur que t'as soif !
Putain, il m'a vidé la sepi à donf, j'ai avalé un max mais ça coulait aussi sur oim. Puis il m'a niqué le gosier, j'bavais comme une chienne sur son bitos.
— Fais ta chienne ! Avale bien mon zguegue poto ! Oueh comme aç ! Encore !!! Prends-la entière dans ta gueule de pute !
En même temps, il frottait son iep sur mon boule. Il m'a retiré sa queue d'la gueule, foutu sur le ventre sur une caisse, baissé le jog sous les seufs et d'un coup de rein, m'a enfilé sa pine dans le trou. J'ai gueulé comme un malade !
— Hummm oueh !!! jkiffe trop aç péter le rondelle de mes potos ! J'vais tfaire le trou en forme de teuch poto ! Vas-y, cambre-toi, offre oim ta rondelle que jte ken à donf comme une bonne lopsa !
J'me suis mis à couiner encore plus pendans qu'il me claquait le cul et j'ai senti son bitos gonfler encore plus dans mon boule. D'un coup, il a grogné et m'a dosé la teuch au yop.
— Oueh, c'est çà ma tepu, jt'engrosse un max là ! Tu kiffes çà poto, hein ?! Tu vas être ma lopsa regul,  t'es trop bonne toi ! 
Il est sorti de mon boule, m'a filé sa pine à nettoyer et a tout renfilé. On s'est cassé et devant l'immeuble, on a croisé des potes. Ils avaient tous le sourire aux lèvres...
Tarbabrun

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Mardi 17 juin 2 17 /06 /Juin 11:47

Salut les queutards !

Et oui, c'est encore moi !!! Comme visiblement vous avez kiffez la petite virée marseillaise de Xav, on reste dans le Sud avec le témoignage hyper och de RASEBRUN, un bon p'tit rital viril et bien daubant de 31 ans sur Marseille qui vous avait déjà fait cracher un max de jus avec son dernier plan "Décrassage à la muscu". Cette fois-ici, direction les Deux-Alpes avec le récit d'un de ses plans bien hard de l'hiver dernier. Putain quel queutard ce mec !!! Même les hétéros ne résistent pas à sa queue bien crémeuse ! Et pour agrémenter son texte, il vient de m'envoyer quelques pics perso de sa teub bien fromageuse prises ce matin-même ! Jute garantie avant la fin !

 


Salut les mecs ! Moi c'est RASEBRUN, marseillais, sportif, 1m70, 66kg, zob de 18cm jamais lavé sauf par une pute.
Je reviens sur le blog pour vous raconter le plan odeur de bitos et panards qui m’est arrivé l'hiver dernier au ski aux Deux-Alpes.

Après une bonne journée de snow, je rentre à mon hôtel. Je passe donc pour déposer mon surf au sous-sol de l’établissement où se trouvent les box à ski. J'ouvre mon casier et arrive alors un keum  d’une trentaine d’années que j’ai repéré depuis 4 jours déjà. Il me dit bonsoir, je lui réponds et nous engageons la conversation. Surfeur aussi, il habite Nice et moi Marseille.
La conversation dure 10 minutes sur l'état de la neige, les sorties nocturnes de la station. J'en profite pour le mater discrètement : beau brun viril, 1m80, cheveux  courts, barbe de 4 jours... Il commence à enlever ses chaussures de surf et là une fumée se dégage. Putain, çà m'a mis dans un état au niveau du zob ! Je n’arrêtais pas de le mater. Il s’assoit alors sur le banc face à son casier et retire une à une ses chaussettes noires de laines. Putain il a vraiment de bons panards : du 44 au moins ! Il me lance alors :
Ouah je pue grave le fauve moi !
J’ai alors sauté sur l’occasion pour amorcer la bombe en lui répondant direct :
T'inquiète gars ! On n’est pas des pd mais des mecs, et un mec ça pue le rustre !
Ouais, t'as raison ! qu’il me dit.
Je retire moi aussi mes chaussettes et là il me demande si moi aussi je daube des panards.
— Tu n’as qu’a venir sentir !
Et là, à ma grande surprise, il se relève d’un seul coup, me fait assoir sur le banc, se met à genoux et commence à me sniffer les panards. [ Pour info, au moment
où je vous écris mon histoire, je suis chez moi sur le divan, teub et cul à poil, en veste Adidas et cho7, et je bande en me paluchant la tige en repensant à la scène ]. Il me sniffe les pieds et me les bouffe entre les orteils. Moi, j’avais sorti ma teub et une odeur de pourri s'était aussi répandue dans le local car je ne me lave jamais la bite, attendant toujours qu’une pute me la décrasse ! En plus là après 5 jours de surf,  vous imaginez l'odeur  de bonne mousse autour du gland !
Lui aussi sort alors sa pine d’italien, 22 cm et grosses couilles de taureau bien poilues à la touffe. Je reprends la situation en mains et lui dit de me faire sentir ses panards. Hummm bons pieds larges et trapus : ça fouette grave le reblochon ! On a tous les deux nos pantalons de combinaison baissés et la teub à la main. Je lui ai à mon tour nettoyé les panards et l’odeur a failli me faire juter sans même que je me masturbe. Heureusement, j'ai réussi à me retenir.
Je constate alors qu'il est intrigué par la mousse jaunâtre qui est incrustée sous mon gland et me demande :
— T'as dû jouir plusieurs fois pour avoir du sperme dans ton prépuce ?
— T'inquiète, je t’expliquerai comment faire pour l'avoir aussi crade mec !

Sans pudeur ni peur de nous faire suspendre, on se met alors à terre en position 69 et comme des chiens, on se sniffe nos zobs en se décalottant bien. Il me sniffe grave les couilles, mon 18/6 cm et cul. Bien sûr, j'ai fait de même : il sentait la pisse et la sueur et je me suis grave amusé avec son prépuce en le décalottant et en lui mettant un doigt en même temps. Il a joué un moment  avec mon from, puis il a raclé sous le prépuce  et d'un grand coup de langue, il m'a nettoyé  tout çà.
Avant de se vider les couilles, on s'est remis assis sur le banc et on s'est branlés mutuellement afin de décharger ensemble la purée blanche. Il a eu un jet très puissant (et du sperme trés épais !). Moi, j'ai largué plusieurs jets de foutre bien épais sur les casiers en poussant des gémissements de ouf ! Putain, quel "après-ski" se fut ! Un moment inoubliable !!! Je pense que nous allons nous revoir très bientôt sur Nice car là, il repartait le lendemain avec sa meuf...
RASEBRUN   (rasebrun@yahoo.fr)

Par RASEBRUN - Publié dans : Témoignages
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Lundi 16 juin 1 16 /06 /Juin 14:07

Salut les queutards !

Et oui, me voilà de retour après un petit mois de silence... Mais bon, même en l'absence de mise à jour régulière, je pense que vous avez largement de quoi vous purger les burnes avec toutes les archives du blog (et oui, votre blog préféré fêtera le mois prochain ses 2 ans d'existence et déjà plus de 130 articles au compteur !). Par ailleurs, comme vous l'avez peut-être déjà remarqué, certaines vidéos ajoutées récemment sur le blog ne sont désormais plus visibles... Je n'y suis malheureusement pour rien : les serveurs qui hébergeaient ces vidéos ont malheureusement été supprimés la semaine dernière et donc, plus aucune vidéo en ligne. Je vais essayer de vous retrouver d'autres vidéos aussi och dans les prochains jours car je sais que beaucoup d'entre vous kiffaient grave voir tous ces mecs en rut baiser comme des oufs et se couvrir ensuite de yop et de pisse bien fumante !

En attendant, je vais publier quelques témoignages qui m'ont été envoyés ces dernières semaines par des fidèles du blog... Merci à eux pour leur soutien et leur aide précieuse. J'avoue qu'après ces quelques mises à jour, je n'aurai plus de récits à publier sur le blog donc je renouvelle une nouvelle fois mon appel à témoignages ! N'hésitez pas à m'envoyer le récit de vos plans hard crades bien och (avec ou sans photos) afin qu'ils soient publiés sur le site et qu'ils fassent cracher un max de queutards !!! Je sais que j'ai tendance à me répéter, mais bon j'ai toujours pas plus de contributions... Vous le savez, ce blog est avant tout le vôtre donc c'est aussi à vous de le faire vivre, faute de quoi il risque fort de disparaître lui aussi un jour...

Donc pour relancer le blog, je vous propose de découvrir le nouveau témoignage hyper och de Xav (alias Hardhairy). Souvenez-vous les mecs, il vous avait déjà fait kiffé il y a quelques mois en vous racontant comment il s'était fait larvé par trois potes hétéros devant un match de rugby, puis son initiation à l'aviron avec un couple de queutards bien hard !!! Aujourd'hui, rendez-vous à Marseille où il se fait larver par un ouvrier du BTP visiblement bien cho et bien macho !!! Franchement, préparez-vous à cracher un max de jus en lisant cette histoire... Perso, j'en ai encore le calbut tout gluant ! lol


De passage à Marseille, je me suis dit qu'il devait bien y avoir une bonne bite à décrasser... Et là je me suis trouvé le plan de rêve : Jeff, 1m90, très bien bâti, le crâne rasé, ouvrier dans le BTP, la petite trentaine. Restait à vérifier sur pièce, mais j'étais pas trop inquiet. Nous avions échangé quelques mails et je lui avais demandé de se garder la bite dans le même slob pendant plusieurs jours, d'éviter de se doucher et de se garder les panards en l'état.


Le jour J, je découvre le vrai bourrin comme je les aime : bonne tête de mâle pas rasé, regard vicieux, pecs bien développés, cul rebondi bien serré dans son jean et skets pourraves. Pas très bavard, il m'accueille chez lui et s'installe sur son canapé pour bien se délasser après sa journée de boulot. Sans avoir besoin de dire quoi que ce soit, je commence à le sentir sous les aisselles, à travers le jean et près des skets. Je savais déjà que j'allais me régaler, et Jeff ne tardait pas à me prendre par le cou pour m'obliger à lui lécher les aisselles. Je dégustais ses poils collés par la sueur et je triquais déjà à l'idée de devoir décrasser le bonhomme en entier. Dès que je levais la tête pour le regarder, il me crachait dans la gueule des mollards qu'il allait bien chercher en fond de gorge. J'étais sa lope et je sentais qu'il voulait bien prendre son temps.

Très vite, je me suis retrouvé à 4 pattes devant ce mâle qui daubait bien des panards et du paquet. Il fallait que je vérifie rapidement l'état de sa queue, mais déjà à travers son boxer j'avais l'odeur âcre de pisse et de sueur de couilles qui m'envahissait les narines. Il bandait comme un âne mais je devinais que le prépuce était suffisamment long pour qu'il ne décalotte pas tout de suite... C'est encore meilleur !

Il me traitait de pute en appuyant sur ma nuque afin que mon pif se retrouve écrasé contre son chibre puant. Je couinais comme une chienne en me branlant et j'aurais passé des heures entre ses cuisses qu'il serrait régulièrement pour que je ne puisse pas m'échapper. Avant de me laisser découvrir sa bite, il m'obligea à lui lécher les cuisses et les mollets, jusqu'aux skets. Il se dégageait l'odeur de ses panards qu'il avait eu la bonne idée de renfermer dans ses bottes de chantier pendant deux jours. Je l'ai vite déchaussé et il m'a tartiné la gueule avec ses sox de tennis cartonnées.
Ca fait une semaine que je les garde pour ta petite gueule de pute ! Maintenant tu vas bien me décrasser les panards !
Il retira une de ses cho7 qu'il se mit à la sniffer et je m'appliquais à sucer ses doigts de pieds un par un en insistant bien entre chacun d'entre eux.

Il regardait la télé comme si je n'étais qu'un chien tout en s'enfilant une bière pour bien se détendre. En levant les yeux pour croiser son regard, il me mollarda la gueule et dégagea sa bite de son slob. Son prépuce commençait à laisser apparaître son gland gluant et fromageux. Il puait tellement de la bite que je me suis d'abord attaqué aux couilles pour bien m'habituer à l'odeur. La base des couilles sentait bien la sueur, les poils autours étaient humides et j'étais attiré par sa raie qui semblait m'offrir une odeur encore inconnue. Quand mon bourrin s'est rendu compte que je cherchais plus loin, il empoigna ses deux cuisses pour bien m'offrir sa raie. Il s'était torché le cul mais il était resté en l'état depuis plusieurs jours.
Décrasse-moi le cul salope !
Je n'avais plus le choix et je m'exécutais en découvrant ce cul poisseux que je nettoyais avec délice jusqu'à la rondelle. Je ne pouvais m'empécher d'insister avec la pointe de ma langue pour pénétrer ce trou de mâle en rut. J'évitais de me branler à ce moment là car je crois que j'aurais tout déchargé.

Il me restait à m'attaquer au meilleur : cette grosse bite pas complètement décalottée me semblait prête à se faire soulager. Pour être certain que ma pipe soit de bonne qualité, Jeff me cracha bien dans la gueule et m'enfourna direct son zob... Je sentais bien sur la langue que le fromton ne manquait pas, mais j'ai pas eu le temps de le voir, je sentais les grumeaux qui s'accumulaient dans ma gueule et je les pressais avec ma langue sur son gland pour qu'ils se transforment en crème onctueuse. Je l'ai sucé comme ça une bonne demi-heure en alternant avec quelques allers-retours sur sa raie.

Jeff m'utilisait comme une machine à décrasser sans se soucier de mon confort. J'ai tellement bien bossé qu'il se mit à me juter sur les pecs pendant que je lui bouffais la rondelle... J'ai senti de grandes giclées m'envahir et mon mâle gueulait comme si je lui arrachais les couilles. Il utilisa ensuite son foutre pour me travailler les tétons jusqu'à ce que je lache à mon tour tout mon jus sur mon torse.

Je crois que je reviendrai à Marseille, c'est vraiment une belle ville !! ;-)
Xav (alias Hardhairy)

Publié dans : Témoignages
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Samedi 26 avril 6 26 /04 /Avr 05:23

Salut les queutards !
Et ouais, c'est encore moi... J'avoue que les nombreux commentaires et messages de soutien reçus depuis la reprise du blog m'ont grave motivé et c'est pourquoi à la veille de ce week-end ensoleillé (qui va enfin nous faire transpirer un max !!!), je vous propose une petite mise à jour dont vous me direz des nouvelles !
Vous vous souvenez sûrement de TEKNOMAN, un pur laskard domi de 21 ans, ex-militaire, fan de rekin et toujours partant pour larver une bonne petite lopsa. D'ailleurs, je suis certain qu'il a déjà fait gicler la plupart d'entre vous avec ses deux précédents témoignages 
"Plan déprave dans un entrepôt désaffecté" et "Larvé dans les vestiaires du foot"
). Ce super queutard nous revient plus cho que jamais avec le récit d'un plan kidnapping hyper hard...

Et comme dans ses précédents articles, toutes les pics illustrant son témoignage sont des pics perso prises lors de ses différents plans Q ! Franchement les mecs, je vous donne un conseil : sortez tout se suite vos queues si vous ne voulez pas balancer toute la sauce direct dans vos calbuts dès les premières lignes de son histoire ! Et n'hésitez pas à lui laisser un max de commentaires pour lui donner vos impressions... Bonne sturbe à tous !

Un soir, je me faisais iech devant la télé, je dial avec un pote master qui crèche dans une ville près de chez oim et je lui dit que j'ai grave envie d'infliger à un bon tarba un plan kidnapping, mais que c'était dur à trouver. Lui direct me répond :
— J'ai ce qu'il te faut mec !
Et il me donne le numéro de Julien, son batard.
Tu n'as qu'a lui envoyer un sms, et tu verras, il kiffe tellement la teub qu’il va débarquer direct !
Je lui envoie illico un sms bien och : « Wesh crevure ! moi laskard domi envie d'1 bon plan och, vi1 chez oim à 23h et je te démonte le boule ! » (le tout bien sûr avec mon adresse).

Il me répond aussitôt pour dire qu’il est ok et commence à me demander des détails sur le plan. Bien sûr tout ce que je lui raconte est bidon puisque je veux faire un plan kidnapping et que mon pote master m’a certifié qu'il kifferait ce genre de plan.

Donc, je le convoque à la porte de mon immeuble à 23h.
Seulement  je lui ai fais croire que j’étais à mon appart alors qu'en fait j'étais planqué derrière mon immeuble à l'attendre. Moi suis sapé sweat à capuche, bandana noire sur la gueule, fute de jogging avec mon gun dedans, casquette rabaissée un max et skets. Lui est fringué genre laskard : skets reebook rouges, fute de jogging noir, tee-shirt et sweat à capuche Airness et casquette Nike de côté.

De loin, je distingue une bonne gueule de lopsa, cheveux rasés et collier genre laskard. Je lui envoie un sms genre « Attends 2 min, je descends t'ouvrir ! ». Après qu’il ait reçu ce sms (parce que je le mattais en scred),
je me pointe et passe mine de rien près de lui. Dès que je me retrouve dans son dos, je le choppe et lui pointe le gun sur la gueule. Inutile de dire qu’il flippe grave. Je le traîne alors dans un local technique abandonné juste à côté de ma porte d'immeuble en lui disant :
— Maintenant sale batard, t’as intérêt à assurer si tu veux pas que je t'explose ta sale race de tepu !!!

Je le fais mettre à genoux et, toujours sous la menace de mon gun, je lui lance d’un ton sec :
— Wesh tepu, tu vas me téter le paquet et bien me cleaner mon zgeug pas lavé depuis plus d'une semaine !
Il a capté direct que ma teub était hyper crade et qu’elle daubait un max la pisse, le foutre et la transpi ! L’odeur de mon zgeug embaumait d'ailleurs tout le local. Il a hésité un instant mais je n’ai eu qu’à lui appuyer un peu plus le gun sur la tempe pour qu’il commence à me le décrasser avec sa langue de tepu !
Mais j’ai vite vu que même s’il flippait à mort, ce batard kiffait çà… Perso, j’ai trop kiffé de le voir pris au piège entre la peur et le plaisir qu’il prenait à me sniffer le zob et les couilles. Rien qu’à son regard, je me sentais grave puissant ! Il m’a bien décrassé la bite mais j’ai voulu passer à la vitesse  supérieure. Je le plaque alors contre le mur, lui bloque la tête et lui lime la gueule comme un ouf ! Putain cette pute kiffe trop çà, elle en redemande même ! Elle force pour avancer sa tête et me gober toute la pine. Oh putain le kiff, je suis tombé sur un vrai pute gorge profonde !!!

Je le laisse faire. En moins de 5 minutes de limage de gueule, je l’ai rendu réel accro à ma teub de laskard ! Je lui balance alors un putain de mollard sur sa face de tépu en lui disant :
Tu la kiffes ma teub, hein tarba ?!! Tu kiffes ça purger du bon zgeug de laskard sale pute !!!

Pour seul réponse, j’ai eu le droit à de vrais gémissements de tepu.

Soudain, alors qu’il me tétait grave le zgeug, je me suis aperçu qu'il avait sorti sa bite et se branlait comme un ouf. Grave venere, je le jette direct au sol et le menace avec mon gun en lui hurlant :
— Vas-y tarba ! Essaye encore de te toucher ta sale bite de sous-merde et je t'éclate !!!
Il est grave paniqué et alors qu’il est au sol, sur le dos avec la bite à l’air, je commence à lui fighter la bite à coups de skets.
— Je vais te faire passer l'envie de vouloir te purger sale pute !

Et je le fighte de plus en plus à coups de Tn : la bite, les couilles, les côtes, tout y passe ! Je rentre alors mon gun dans son fute et je le plaque contre son paquet qui débande à vue d’œil.
— Putain tu vas grave regretter de t'être touché sans l'accord de ton master, sale fils de pute !!!

 

Il a l’air vraiment terrifié. Malgré la pénombre, je vois qu’il commence limite à chialer. Je kiffe trop lire la peur dans le regard d'une lopsa donc je continue à bien le fighter à coups de skets pour lui faire comprendre le message.
Une fois qu’il a eu totalement débandé, j’ai pris la cage de chasteté que j’avais mis dans mon sac à dos et je lui ai posé sur le zgeug, tout en laissant la braguette ouverte afin que ça soit bien voyant. Je lui ai mis un collier et une chaîne autour du cou puis je lui ai foutu une cagoule où y’a juste une trou pour la bouche (c’est tout ce qui compte que son trou soit accessible, et c'est hyper flippant pour lui de rien voir).

Et là, je le traîne jusqu’au coffre de ma caisse garée juste à côté pour changer de lieu parce qu'à force de gémir et de couiner à chaque coup, ça commence  à devenir chelou. Je le fous donc sans ménagement dans le coffre en lui disant juste :
— Maintenant je vais te promener… Et t’as intérêt à fermer ta gueule pendant le trajet !
Je fais alors le tour de la ville avec ma caisse, accélère dans les virages, pile aux ronds-points, trace sur les dos d'âne, histoire de l'entendre gémir. Et ouais, je suis un véritable enfoiré !!!

Je le traîne ensuite dans les bois. J'ouvre le coffre et l'éjecte. Evidemment, comme il ne voit rien avec la cagoule, il tombe face contre terre devant moi. Je ne résiste pas à l’envie de lui écraser la gueule sous ma sket. Tout en m'allumant une clope, je lui balance :
— Ben maintenant crevure, tu vas t'occuper de mes Tn, et PARTOUT !!! Semelle comprise !
Putain la salope, elle kiffe ça de bien laper mes skets et tout en faisant çà, elle essaye même de foutre son nez dans la sket pour sniffer.
— Ah putain, tu sais où trouver les bonnes odeurs de laskard toi !
Tout en léchant, il fait un signe de la tête pour acquiescer.
— Ben pour l’instant continue de cleaner mes rekins, c'est moi qui déciderai de te gazer avec mes bonnes odeurs de ouf !

Trop bon d’avoir cette tepu à genoux en train de me lécher les skets pendant que moi  je suis adossé sur ma caisse en train de fumer une clope trankil. Je m'assois alors sur le siège conducteur (mais de côté afin d’avoir toujours les ieps au sol dehors) et je retire une sket pour qu’il sniffe bien l’intérieur. Putain un vrai clébard !!! Trop accro à mes odeurs, j'ai rien à faire ! Il plaque de lui même sa face dans la sket et je l’entends se faire de longs shoots en couinant un max à chaque bouffée !!! J’hallucine !
Pendant 5 à 10 minutes, je l’ai laissé s'extasier trankill dans mes odeurs de laskard. Après quoi j’ai tiré d’un coup sec sur la chaîne qu’il avait autour du cou.
— Maintenant clébard, tu vas t'occuper de mon zgeug !

Il m’a pompé à 4 pattes en dehors de le voiture pendant que je me fumais une autre clope. Il sentait que mon gun était pas loin et il a dû terminer sans protester ce qu’il avait commencé dans le local : me décrasser la teub. Vu qu’il ne l’avait pas décalottée à fond dans le local, il restait encore pas mal de fromton à récurer ! Après ce bon décrassage qui s’imposait, je l’ai mis debout et je l’ai plaqué violemment contre le capot de ma caisse. Je lui ai ensuite scotché une de mes skets bien fumante sur la gueule avec une sox bien pourrave que j’utilise de temps en temps pour enlever du from ! Il est devenu dingue, une vraie pute !!! Je l’ai forcé à bien cambrer son cul, j’ai enfilé vite fait une capote et j’ai commencé à la chauffer grave à grands coups de teub sur le cul, tout en frottant mon gland sur sa rondelle ! Visiblement, le fait de sentir ma teub sur sa rondelle l’excitait grave et malgré la douleur que lui affligeait la cage de chasteté, ce batard n’arrivait pas à se retenir de bander !

J’ai alors préparé mon masque à gaz et j’ai foutu du poppers dans la cartouche histoire de le rendre encore plus pute. Je lui ai ensuite retiré la sket et je l’ai aussitôt remplacée par le masque à gaz. Dès la  première bouffée, je l'ai entendu gémir comme jamais, un truc de ouf !!! Là direct, je l’encule à sec et il hurle sa race. Je lui ai aussitôt refoutu le flingue sur la nuque.
— Ta gueule crevure !
Je le pilonne à donf mais cette pute aime çà. Elle pousse des gémissements de plaisir du genre : « Encore, encore, continue ! Pète-moi le cul !!! ».
Au bout de quelques minutes de pilonnage, je retire le gun de sa tête et sors ma teub de son boule. Je mets une capote sur le gun et le pilonne avec. Hummm trop bon !!! Cette fois, il est complètement explosé, tiraillé entre le désir de continuer à s’empaler sur le calibre pour prendre son pied ou de s’arrêter pour ne pas risquer d’atteindre la gâchette et de se faire exploser la chatte !

Mais bon, c’est pas trop bon pour le gun non plus, donc je le retire et je rentre à nouveau dans son trou béant que je pilonne comme un vrai bourrin ! Je sens sa chatte s’élargir de plus en plus sous l’effet du poppers et j’en profite donc pour sortir de mon sac à dos un gode à peu près de la même taille que ma teub. Je le rentre dans son cul à la place de ma teub et ce batard ne sent même pas la différence. Pendant qu’il a le gode bien à fond, je lui enfonce d’un coup sec mon chibre dans son fion de pute ! Putain le kiff ! Je le gode et je le pilonne en même temps !!! Je vous dis pas comment il a gueulé ce batard alors j’ai dû lui foutre de bonnes baffes pour le faire taire. Mais à force de sentir sa chatte me compresser le zboub, j’ai senti que j’allais pas tarder à balancer la purée alors je lui ai enlevé le masque à gaz et la cagoule et je l’ai foutu à genoux en lui disant :
— Allez tepu, fais-moi  une bonne purge que je te repeigne ta face de merde avec mon yop !
Un peu groggy par le poppers, il s’est remis à me sucer, mais si mal que j’ai dû lui rebalancer une grande mandale dans la gueule.
— Pompe mieux que ça crevure ou je te fume !
Quand j’ai senti le jus monter, je lui ai bloqué fermement la tête et je l’ai yoppé à fond de gorge ! Putain vous auriez du voir comment il a kiffé ce batard !!!


Une fois purgé, je le refous dans le coffre de la caisse et j’ai quelques kilomètres jusqu’à des chiottes publics abandonnés. Là je lui enlève la cage de chasteté qui lui compresse le zob et je lui ordonne de se branler.
Branle-toi batard ! Je vais te pisser dessus et t’as intérêt à yoper avant que j'ai fini de pisser !
Il a fallu à peine 30 secondes à cette pute pour jouir ! Et il en a foutu vraiment partout. Seulement moi,  j’avais encore la vessie bien pleine donc une fois la lopsa vidée, je l’ai foutu à genoux et lui ai fait boire à nouveau ma pisse bien fumante !

Bon c'est pas tout çà mais il commence à se faire tard… Après quelques coups de skets dans le bide, je le refous dans mon coffre, ruiné de pisse, et le ramène au local près de chez moi. Je ne résiste pas à l’envie de le refoutre par terre et de finir de me vidanger toute ma pisse sur lui. Je l’arrose de tout son long, et il n’y a pas un centimètre carré de son corps qui échappe à mon jet fumant ! Putain c’est qu’il me chauffe grave ce fils de pute ! Je le choppe alors par la nuque et lui colle la gueule sur mon paquet encore daubant.
— Viens encore me purger salope !
Il m’a encore pompé et juste pour qu’il n’oublie pas qui est le master, je lui plaquais toujours mon gun sur la tempe. Il s’applique tellement que mon jus lui inonde à nouveau la face au bout de quelques minutes. Seulement entre temps, ce batard s’était touché la teub sans mon accord et avait encore yopé ! J’ai fait semblant de rien voir jusqu’à ce que je me vide mais sitôt la dernière giclée sortie de mon zgeug, je l’ai violemment saisi par le col.
Espèce de batard ! Tu oses te toucher et gicler pendant que tu me purges, crevure ?!!! Je te l'avais interdit !! Tu m’as grave vener sale tepu ! Tu vas le regretter !!!

Je lui ai fait lécher son foutre partout sur le sol et une fois le béton nettoyé, je l’ai foutu à genoux mains sur la tête, dos à moi, le gun plaqué sur sa tête.
— Maintenant, tu vas crever espèce de déchet !

Quand il m’a entendu armer le flingue, le mec a commencé à chialer et à me supplier. Il a même tellement flippé qu’il en a pissé dans son froc ! J’ai alors appuyé froidement sur la gachette mais bien sûr rien ne s’est produit. Pendant tout le plan, ce batard n’avait même pas tilté qu’il ne s’agissait en fait que d’un vulgaire pistolet à billes, tout à fait inoffensif ! Je lui ai alors balancé 2-3 mollards sur sa face de tepu et je me suis cassé sans un mot en le laissant baigner dans ma pisse…
TEKNOMAN

Par TEKNOMAN - Publié dans : Témoignages
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