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Témoignages

Vendredi 16 mars 5 16 /03 /Mars 20:57

Salut les queutards !

Et ouais, après plus de 2 mois d'absence me voilà enfin de retour sur le blog... J'avoue que j'ai longuement hésité avant de refaire un article, pour être franc avec vous j'ai même carrément failli supprimer définitivement le blog ! Heureusement, quelques fidèles du site ont réussi à m'en dissuader et à me remotiver un peu... pour l'instant !
Je tente donc à nouveaux quelques mises à jour du blog, mais il est clair que si dans les semaines qui viennent je ne constate pas davantage de participation (tant au niveau de vos mails que vos commentaires), je fermerai définitivement le blog (c'est-à-dire que même les précédents articles ne seront plus visibles). Je sais, ça s'apparente à du chantage mais c'est comme çà ! lol alors si vous voulez continuer encore longtemps à triquer un max en mattant les pics de zobs crémeux ou en lisant les histoires bien och de ce blog, vous savez ce qui vous reste à faire...

Pour vous permettre d'être tenu régulièrement informé des mises à jour du blog, je lance dès aujourd'hui une NEWSLETTER... N'hésitez pas à vous inscrire, vous serez ainsi immédiatement averti de la mise en ligne d'un nouvel article !


A part çà, pour vous faire triquer un peu et vous montrer que je suis toujours aussi cho, je vous raconter comment je me suis fait récurer le zgeg par Vince, une bonne ptite lopsa accro à mon blog. Faut dire que ce p'tit bâtard m'avait grave chauffé sur MSN pendant plusieurs jours et que j'étais bien décidé à profiter de quelques jours de vacances pour le larver grave ! Je me suis donc bien cradé la queue pendant 4 jours, prenant bien soin de ne pas changer de calbut et de ne surtout pas m'essuyer la queue chaque fois que je crachais mon yop. Résultat le jour J j'avais une putain de queue bien gluante avec un max de fromton, de quoi en foutre plein les narines de ma tépu ! J'avais prévu d'aller le chercher à la gare et de le ramener direct chez moi pour le larver sans ménagement... Bien sûr j'avais pas pris de douche depuis plusieurs jours afin qu'il puisse aussi profité de mes aisselles bien daubantes et de mes ieps bien pourraves ! Et pour bien arroser notre rencontre, j'avais bu une pleine bouteille de flotte juste avant le plan.

Je retrouve donc ma future lopsa sur le quai de la gare, visiblement un peu inquiet à l'idée de se qui l'attend... C'est clair qu'il va pas être déçu !!! lol
Sitôt la porte de l'appart franchie, je le choppe direct par la nuque et le jette violemment par terre. Il est visiblement surpris mais avant qu'il ne réagisse je lui écrase la gueule sur ma sket bien pourrave en lui ordonnant de la lécher !
Maintenant ta place c'est à mes pieds comme un clebs, t'as compris connard ?!!
Il me jette alors un regard un peu provocateur et pour bien lui faire comprendre que je ne laisante pas, je lui balance une bonne mandale dans la gueule, suivie de plusieurs mollards bien glaireux !!! Je vire alors mes skets et lui écrase l'une d'elle sur la gueule en le forçant à bien sniffer à fond...
Je lui ordonne alors de se foutre à oilpé pour vérifier si ce bâtard a bien suivi mes instructions, à savoir de pas prendre de douche pour bien sentir le mâle lui aussi. Il est assez poilu et transpire grave ce qui est plutôt prometteur... Mais en mettant le nez sous son aisselle, je constate que cette chienne sent encore le déo ! Un tel affront ne doit pas rester impuni, je saisis ma ceinture en cuir et je commence à bien lui frapper le cul avec.
—  Ca t'apprendra à obéir à ton maître, salope !!!
Il bredouille quelques excuses, disant qu'il n'avait pas mis de déo depuis la veille mais bien loin de ma calmer, ça me rend encore plus furieux ! Je lui saisis alors les poignets que j'attache avec ses chevilles dans son dos, afin d'empêcher le moindre mouvement de rebellion. Je lui plaque alors mon aisselle hyper daubante sur la gueule et le force à inspirer à fond !!! Et c'est qu'il kiffe çà le bâtard, ça le fait bander un max...
Vas-y salope, fais-toi plaisir ! Fous-toi en plein les narines, c'est pour çà que t'es venu !!! Lèche bien les poils salope !!!

Une fois mes aisselles bien récurées par ma lopsa, je décide de passer aux choses sérieuses... Je prends une cho7 dans laquelle je m'étais vidé des dizaines de fois depuis un mois et je lui colle dans la bouche pour le baillonner... Je lui plaque ensuite sur la gueule la Tn bien pourrave d'un de mes potes crados. Je vous dis pas comment il kiffe çà !!! En plus, il commence à bien baver sur ma cho7 hyper crade et le goût de mon jus séché doit maintenant bien lui remplir la bouche ! Je vous dis pas comment ça me fait kiffer de voir ce bâtard à mes pieds, les mains et les pieds attachés dans le dos, bailloné avec une cho7 hyper crade et en train de sniffer la sket dégueulasse d'un pote de baise !

Après quelques minutes de sniffage et de bouffage de ieps, je décide de lui donner ce pourquoi il est venu : mon from de bite !!! Je m'assois sur le pieu et décalotte mon glandos pourrave direct sous ses narines... Putain je vous dis pas l'odeur ! Il gémit de plaisir rien qu'à se coller le pif dessus, et si je ne lui avais pas laissé ma cho7 dans la gueule, il se serait sans aucun doute jeté dessus direct ! Je passe alors le doigt sur mon gland pour recueillir une bonne dose de fromton bien daubant et sans qu'il s'y attende je lui fourre direct le doigt dans le nez.
— Comme çà, tu vas garder ma putain d'odeur de teub pendant tout le plan salope !
Et ça n'a pas l'air de le gêner le moins du monde... lol Je retire alors son baillon et lui ordonne de commencer son travail de décrassage. Il ne se fait pas prier et me donne de bons coups de langue sur le zgeg, afin d'engouffrer totalement ma queue dans sa bouche de tépu pour bien me la faire reluire...

Une fois ma queue bien nettoyée, je me lance dans un pilonnage en règle de sa gueule, sur laquelle je balance régulièrement quelques mollards. Je le choppe alors par les cheveux et le traîne jusqu'à la baignoire. Il comprend vite ce qui va lui arriver et ça le fait d'ailleurs triqué un max ! Je commence alors à lui arroser sa p'tite gueule de pisse bien fumante, et à ma grande surprise il se met à ouvrir la bouche pour en avaler le plus possible !!! La bâtard, dire qu'il m'avait dit que pour qu'il avale il fallait absolument le forcer ! lol Je vous dis pas la douche de pisse qu'il s'est pris !

Reste maintenant à me défouler sur son cul de salope... En général je kiffe pas trop les culs poilus, mais là je dois dire que sa chatte me fait trop envie. Je lui fous la bouteille de poppers sous le pif, et avant qu'il est fini de sniffer, je m'engouffre direct dans son cul de pute !!! Hummmm ça rentre comme dans du beurre, et ça m'excite grave de l'entendre gueuler à chaque nouveau coup de bite dans son fion. Il a l'air d'aimer çà l'enfoiré !!! Il s'mpalle littéralement sur mon chibre et je sens mes couilles battre sur son fion poilu... Au bout de quelques minutes de limage en règle, je ne tiens plus. Je sors de son fion en feu et je vire la capote pour me placer juste au-dessus de sa gueule. Pas le temps de le prévenir que j'explose et lui balance de longues giclées de jus bien épais sur la face !!! Putain le pied !

Comme tout bon domi qui se respecte, je le laisse se terminer tout seul et il n'est d'ailleurs pas bien long à venir et à rajouter de bonnes giclées bien épaisses sur son torse en sueur. Je le regarde alors, le corps dégoulinant de jus, et je lui lance avec un p'tit sourire en coin :
— Alors salope, satisfait de ta baise avec Fromton Boy ?

Seul petit regret c'est de ne pas avoir pris de pics pendant le plan pour vous en faire profiter... Mais comme il y a de fortes chances que je le rebaise un de ces jours, on se rattrapera ! lol

Par FROMTON BOY - Publié dans : Témoignages
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Dimanche 14 janvier 7 14 /01 /Jan 00:01

Vous en rêviez depuis des semaines, voire des mois... TEUBIX fait son grand retour sur votre blog préféré pour vous raconter son dernier plan déprave dans les rues de Paname by night.
Putain franchement les mecs, ce keum a le don de vous foutre la gaule en moins de deux, et il a toujours un max d'imagination quand il s'agit de larver un bon p'tit bâtard soumis (et j'en sais d'ailleurs quelquechose ! lol). Et en plus pour illustrer son histoire, vous découvrirez plein de photos de ce super queutard aux ieps daubants et au gland toujours fromageux... Eh bogosse, c'est quand tu veux pour te suivre à l'odeur dans les rues de Paris !!!
Bonne sturbe à tous et si vous kiffez son plan et ses pics, n'hésitez pas à lui laisser un commentaire sous l'article et à aller faire un tour sur son blog toujours aussi och : www.teubix.com

Ça commence sur le net un samedi soir : petit dial trankil avec un kiffeur d'odeurs. Il veut un scénar och pour la soirée, bogosse et bon look. Je suis en survet cho7, la teub sortie du caleçon pisseux fumant, les odeurs des cho7 me remontent sous le nez... portées depuis huit jours dans mes skets mégadaubantes. Je lui décris l'état des odeurs et la grosse trique que j'ai rien qu'à renifler ça... il voudrait déjà y être mais a envie d'un scénar particulier qui dure. Du coup on va se faire un plan en bougeant dans Paname by night…

Je lui file mes instructions par texto au fur et a mesure. Première étape : on va commencer par aller bouffer. Rdv en tête de métro, ligne 1, en gare de Lyon à 22 heures. On ne s'aborde pas directement : il va m'accompagner à distance en suivant mes indications. Je le repère à l'heure indiquée avec ses rekins aux pieds et son jean qui lui moule un cul d'enfer. Il me remarque aussi et je vois ses yeux baver en matant mes shoes et mon paquet. Le métro arrive très rempli. Je le laisse monter et profite de la foule très serrée pour me coller derrière lui. J'ai la bite dure mais il ne peut s'en rendre compte... A chaque station, il se demande si je descends ou pas.

Arrivé à Châtelet, je sors de la rame. Il me suit aussitôt. Là je prépare un nouveau texto : on va commander nos menus au Mac Do, il s'installera à la même table mais on discute pas, on se connaît pas. Il s'exécute. Une fois installé, je lui écrase les pieds par moments... Je sens que ça l'excite. Je fais exprès de me tromper de boisson, j'ouvre son couvercle et en faisant semblant de boire et je lâche un bon mollard dedans. Je lui rends sans la refermer : il comprend qu'il doit boire ça direct sans discuter !  
Je lui écris un nouveau SMS et je rejoins les chiottes ("rdv urinoirs te mets à coté de oim après me suis au ciné prends même séance  t'installes avec oim là aussi"). Je suis en train de pisser quand il arrive. Je lui montre comment je pisse en partie sur le caleçon déjà bien coloré et pendant qu'il pisse, je décalotte un peu pour qu'il goûte au from avec ses beaux yeux. Il finit de pisser et se branle. Je vois de longs filets de mouille sur ses doigts. Aussitôt je mets la main  dans son paquet pour ranger ça, en récupérant sa mouille sur ma peau. Il est temps de quitter le lieu, un groupe de mecs vient d’ouvrir la porte et de rentrer dans les chiottes. Il me suit comme prévu. J'entre dans la salle de ciné, je repère les places libres... quelques rangs encore libres sur le côté dans le fond. Je me mets à l'aise comme d'hab. J'enlève mon sweat et je déchausse : ça renifle encore pas mal !   Une fois installé, en attendant le début du film, je passe ma main sous le nez pour sniffer sa mouille et ça me fout grave la trique. Putain lui aussi fouette a l’air de fouetter grave du paquet ! D'autres personnes se pointent mais ne se mettent pas trop près de nous... Faut dire que l'odeur des cho7 doit dissuader ! Une fois que le film commence, j'attends quelques minutes avant de lui mettre une sket dans les mains. Il se la met direct sur la gueule et je l'entends renifler comme un iench. Je lui fais desserrer sa ceinture pour glisser ma main sur son cul... Il kiffe ça et renifle encore plus fort. Il me touche le paquet et tente de baisser le survet... Un geste pour le retenir et lui faire comprendre qu'il faudra encore attendre pour ça... J'enlève alors une cho7 et l'enfile sur sa main et je lui fais sucer ses doigts à travers. Je lui roule ensuite une pelle baveuse et retrouve le goût de huit jours de transpi dans mes rekins.

Je lui fais ensuite sortir sa teub, lui mets la cho7 en bouche et lui donne la sket pour qu’il jute dedans. Excité comme il est, il largue son jus illico et je renfile la sket foutreuse pied nu direct... Hummm bonne sensation pour la fin de la séance ! Il me file alors ses shoes à renifler aussi, je passe la main dans mon calebute et crache ma jute dedans... 

A la sortie du ciné, il me suit toujours à distance... Je lui envoie un texto avec mes coordonnées et lui dis de se pointer devant chez oim et de monter quand je lui ferai signe pour me lécher partout et me faire juter sans décrasser le gland. Je veux être réveillé le lendemain avec sa bouche affamée qui s'en occupe enfin...

Il est déjà bien servi avant de dormir avec mes panards à lécher, mes aisselles humides, mes couilles, mon cul... Je prends grave mon pied et le renifle aussi. Commence alors un vrai plan gouinage : on transpire un max tous les deux et je le fais juter sur mes pieds qu'il lèche avec application pendant que je me finis aussi en larguant mon yop sur mon torse. Il n’est pas bien long à venir récolter mon nectar avec sa langue et me rouler une bonne pelle foutreuse !

On s'endort dans nos odeurs collantes avec des caresses et de bonnes pelles. C'est tellement bon que l'on jute une fois encore et on finit par s'endormir avec nos cho7 sur nos bites.  
Quelques heures plus tard, je sens la cho7 glisser sur ma teub et me réveille un peu... je laisse son nez sniffer à fond ma teub bien crémeuse puis sa langue parcourir mon gland à récurer... Putain il a une bouche extra ce bon ptit  gars : il me récure la zgeg sans laisser la moindre trace de fromton, et pourtant après notre soirée de baise, y’en avait une sacrée dose ! Et je peux aussi vous dire que c’est un bon trou aussi !  Ehhh oui, j'allais quand même pas le laisser repartir sans ça ! ;-)

Par TEUBIX - Publié dans : Témoignages
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Samedi 13 janvier 6 13 /01 /Jan 14:17

Alors les mecs, visiblement vous avez largué un max de jus en lisant les exploits de Xav avec ses trois potes hétéros !! C'est clair que dans ces conditions, ça donne trop envie de matter de bons matches à la télé... Voilà une nouvelle histoire, bien plus courte mais tout aussi bandante, envoyée par YANIS, un p'tit batard bien och qui kiffe se faire dresser comme un clebs par un skin bien vicelard. Bonne sturbe à tous !

Salut les mecs ! Moi c'est Yanis... Récemment j'ai fait un plan avec un skin de 23 ans qui kiffait grave sur le batard crade que je suis ! Il est venu chez moi et dès qu'il m'a vu, il m'a lancé :
— Quelle tronche de chiotte !! Et en plus tu pues grave ! Oh putain que tu chlingues !!
Et il m'a alors attrapé par les cheveux et m'a traîné jusqu'aux chiottes. Là, il a sorti sa grosse bite et m'a fait décrasser sa grosse queue toute blanche d'ancien jus, puis il m'a uriné sur la gueule et m'a obligé à tout avaler comme une bonne tépu jusqu'à la dernière goutte.

Et comme c'était en soirée, il m'a dit de m'habiller (juste avec fut de treillis et bombers) puis il m'a traîné jusqu'à sa voiture et là il m'a foutu dans le coffre ! Comme un clebs!! On a roulé un quart d'heure et il m'a enfin sorti du coffre. Je me suis retrouvé dans un bois où il m'a mis un collier en cuir et une chaîne, m'a enlevé mon fut et laissé juste en bombers et rangeos.
Il m'a alors baladé comme un clebs, comme çà le cul à l'air et là il m'a fait faire le batard en me forçant à bouffer les bites des mecs que l'on croisait et à boire leur pisse. Au cours de la soirée, j'ai dû décrasser 8 queues mais sur les 8, il n'y en a au que 4 qui m'ont niqué comme une réelle pute !

Avant de sortir du bois, mon skin m'a fait faire mes besoins comme un clebs en levant la jambe pour me faire pisser contre un arbre ! Et il m'a aussi fait chier et m'a ordonné d'ensevellir ma merde avec de la terre toujours comme un clebs bien obéiassant. Puis il m'a claqué le fion en disant d'un ton visiblement satisfait :
— C'est bien Tobby, t'es un bon clebs !!!

Par YANIS - Publié dans : Témoignages
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Jeudi 11 janvier 4 11 /01 /Jan 15:19

Pour bien commencer l'année, rien de tel qu'une bonne histoire de larvage bien och ! Cette semaine c'est XAV (alias HARDHAIRY) qui s'y colle et qui nous raconte en détails comment il a servi de défouloir à ses trois potes hétéros lors du match de rugby France/Nouvelle-Zélande. Et visiblement y'a pas que les Français qui se sont pris une bonne raclée ce jour-là ! Trop kiffant ce plan... Jute garantie avant la fin de l'histoire, parole de Fromton Boy !

 

Mon pote Yann sait à quel point j'aime les soirées devant la télé quand il y a un match. Il fait en sorte que sa femme soit loin de l'appart et il invite Jérémy et Nicolas avec qui nous nageons toutes les semaines. Samedi France/Nouvelle-Zélande, match rugueux qu'il faut suivre décontract devant une pizza. A chaque match je suis fébrile, parce que je sais que je vais passer à la casserole et que les trois gaillards entre deux actions, vont me niker sans retenue...

A l'interphone, la voix de Yann :
— Ouais ?
— C'est Xav !
— Ok monte, on t'attend salope !
Je bande déjà à entendre cette phrase et je me dis que le match risque d'etre difficile pour moi aussi. La porte de l'appart est ouverte et en entrant Jérémy me rejoint. Il a emprunté les escaliers et revient tout juste de son footing. Il me pousse dans l'appart en me claquant le cul.
— Prêt pour ce match Xav ? S'ils perdent, tu vas t' en prendre un max mon gars !
Jérémy, 35 piges, une gueule carrée, son maillot trempé de sueur lui colle aux pecs. Et bien entendu je ne peux m'empêcher de mater son short en devinant ce paquet que j'ai déjà gouté à l'occasion du dernier match de qualification de la France pour la coupe d'Europe de foot... 
 
Dans le salon, Yann et Nicolas sont déjà installés sur le canapé et matent la télé, les All Blacks sont en plein cri de guerre devant des Français bras-dessus bras-dessous. Yann assure que ça va être chaud. Les trois potes s'installent pour déguster leur pizza et Jérémy me fait signe :
— Eh la salope, viens donc me nettoyer la bite, faut éponger toute ma sueur !
Je m'exécute, à 4 pattes je me fourre le pif sur son paquet, je respire ce short bien odorant de mâle en rut. Il baisse son short et je me retrouve avec sa bite presque décalottée dans la gueule...

C'est une tige noyée dans les poils très bruns et luisants de sueur. Quand Jérémy fait du sport, c'est jamais à moitié, il participe régulièrement à des marathons ! Plus sa bite se décalotte et plus elle dégage cette odeur qui me rend dingue, une sorte d'odeur de vestiaires que ses potes perçoivent aussitôt.
— Putain Jerem, tu pourrais prendre une douche ! lui fait remarquer Yann. Tu vas pas imposer à Xav ta toilette intime !
Jérémy semblait assez fier de m'imposer ce petit supplice entre amis, il me prend la tête et me demande avec un air malicieux :
— T'aimes pourtant bien ça Xav ?
Je n'ai pas eu besoin de répondre, j'avais déjà son manche au fond de la gorge et je le nettoyais avec délice.

Yann commençait à s'exciter devant le match, quand les Français encaissaient leur premier essai, mais lui et le beau Nicolas faisaient encore peu de cas de ma présence !
A partir de cet instant, j'ai complètement perdu le fil du match, pour me concentrer sur ma mission : donner du plaisir à trois "hétéros" en rut. Jérémy appréciait mon petit nettoyage, il souleva son cul du canapé pour laisser apparaitre une tache de sueur sur le cuir.
— Xav faut me nettoyer ça avant que Yann m'engueule !
Je m'exécutais avec plaisir en passant ma langue sur cette sueur odorante pour ensuite remonter le long de la raie poilue de Jérémy. J'avais l'impression que mon gland allait éclater tellement j'étais excité, le pif en-dessous de ces couilles dégoulinantes.
Agacé par le jeu des Français, Nicolas se leva du canapé. Nico a une gueule d'ange avec un oeil noir super pétillant et un sourire à faire craquer toutes les femmes. Mais aujourd'hui c'est de moi qu'il va se charger. Pas content, il se place derrière moi alors que je reprennais mon travail de suce sur Jérémy
— Putain on va perdre encore ! et il se mit à me claquer le cul sans ménagement.
— Salope c'est de ta faute si on perd, tu vas le payer, viens me détendre !
Nicolas posa ses fesses sur la table du salon, et Jérémy me releva la tête pour me faire pivoter. Je me retrouvais sur l'entre-cuisses de Nicolas et je commençai à jouer avec sa bite à travers son survet. Il n'est pas encore tout à fait raide, mais y a de quoi faire tellement son paquet est lourd...

Je m'étouffais presque avec ce dard qui obstruait ma gorge, il fallait revenir sur le gland pour souffler un peu. Je m'appliquais à bien passer la pointe de la langue sur la base du gland, puis encore un peu plus haut je titillais le sommet de cette bite massive. Mais aux petites claques que Nicolas m'infligeait sans rien dire, j'ai compris qu'il fallait reprendre une suce ample et active, bien redescendre et remonter sans délai en pivotant la gueule et en lui tenant les couilles fermement.
— Ouais, ouais salope vas-y, suce moi bien ! T'es bonne, t'aimes ça la bite salope, tu vas en avoir !
Avant de comprendre pourquoi il disait cela, je me faisais transpercer violemment par Jérémy, sans préparation, je l'avais presque oublié celui-là ! Je voyais de chaque côté ses cuisses massives qui m'indiquaient qu'il était bien au fond de mon cul. Je me mis à gueuler, tellement mon trou ne s'y attendait pas. Mais mon cri était étouffé par la bite de Nico. Le coup de boutoir violent de Jerem m'a obligé à enfourner le manche de son pote jusqu'à la garde. Sans faire de cas de mon bien-être, les deux copains se mirent à me défoncer la gueule et le cul en suivant le match, comme si mon rôle consistait à compenser la mauvaise performance de l'équipe de France...
 
Yann qui n'avait pas bougé jusqu' à présent, commençait à s'exciter en me voyant défoncé par les deux bouts. J'étais content de me dire que très bientôt j'allais m'occuper de lui aussi. Il est plus petit que les deux autres, hyper musclé et très poilu, le type italien assez rablé, les cuisses très épaisses comme sa bite. Je miaulais de plaisir au moment où j'ai remarqué à côté de la bite de Nico celle de Yann, le gland complètement dégagé, turgescent, avec une goutte de mouille qui ne tardait pas à me filer sur le visage. Il se rapprocha de Nico, tous les deux à genoux me présentaient leurs deux bites et je savais qu'il me fallait les ingurgiter l'une après l'autre, puis toutes les deux en même temps. Leurs deux glands avaient du mal à rentrer dans ma bouche mais ils voulaient vraiment me voir écoeuré par leurs bites. J'avais les trois en moi, sans pouvoir toucher mon propre zob, au bord de l'explosion à chaque coup de bite administré par Jérémy, qui sortait de mon cul complètement, prenait son élan et y retournait d'un coup sec en gueulant de plaisir. Nicolas se dégagea et ne tardait pas à prendre la suite de Jérémy à l'arrière. Sa bite étant plus grosse, mon plaisir augmentait d'un cran, le rythme de Nico était différent, avec parfois des petits coups sur la rondelle pour me faire languir, suivis d'une enculade longue me permettant de profiter de toute la longueur de sa tige. J'avais alors tout le membre de Yann dans ma bouche. Il me prenait la tête pour imprimer sa cadence, puis se dégageait pour me faire gober ses grosses couilles poilues pendant qu'il se branlait en me regardant d'un air supérieur. Jérémy en profitait pour commenter le match, histoire d'énerver davantage ses potes...
 
Yann voulait rester le maître de la situation, il serrait ma tête entre ses deux mains et m'utilisait comme une machine à pomper. Parfois, il me bloquait sur son gland pour je puisse bien titiller son méat du bout de la langue afin de recueillir sa mouille et mieux faire reluire son manche. Nico ne ménageait pas ses efforts en poursuivant son limage intensif. Au bout de longues minutes, Yann voulait me défoncer le cul, mais il préfèra me voir assis sur sa bite. Elle est plutôt moins épaisse que celles de ses copains, mais vraiment plus longue. Après avoir poussé la table du salon, Yann s'allongea sur le sol, enfila une kpote et je ne tardais pas à m'assoir d'un seul coup sur ce piquet. J'entamais mes va-et-vient alors que Jérémy et Nicolas se présentaient devant moi pour se faire sucer l'un après l'autre. C'est alors que Yann me fit basculer d'un seul coup sur lui m'obligeant à écarter les cuisses en l'air. Sa longue bite était toujours en moi, et avant que je ne puisse réaliser ce qui m'arrivait, Nico s'approchait en pressant sa tige sur ma rondelle pourtant déjà bien occupée. Mon cul finit par céder et une deuxième bite entra en moi, comme un vrai déchirement.
Je pensais m'évanouir alors que Nico continuait lentement à me pénétrer. Yann gueulait de bonheur en me traitant de chienne en chaleur. Après quelques secondes de récupération, Nicolas se mit à limer et je ressentais un plaisir rare avec ces deux braquemarts dans ce cul qui se transformait en véritable chatte de salope que je suis. Jérémy nous regardait en se branlant légèrement, tellement la scène l'excitait... il ne voulait pas cracher trop tôt. Comme les Français sur le terrain, je me faisait déchirer, mais moi je prenais mon pied !
A chaque coup de bite que m'infligeait Nicolas, j'avais l'impression que j'allais jouir, la mi-temps arrivait à point ! Les trois potes décidèrent de faire une pose devant une bière bien fraîche. Il était temps pour moi de me reposer le cul, mais pas la gueule. Alors que Jérémy avait pris place sur le canapé, je devais reprendre ma suce active pour le maintenir raide, puis je descendais le long des cuisses dégoulinantes de sueur jusqu'aux panards qu'il me demanda de nettoyer.

Sans prêter attention à moi, chaque mâle m'appelait pour que je prenne sa queue en bouche, et je m'exécutais avec délice laissant du coup mon trou à un repos bien mérité !
A la reprise, chacun retrouva sa place : l'équipe de France allait essayer de limiter les dégâts sur le terrain, et moi à quatre pattes j'espèrais passer une difficile deuxième mi-temps. Jérémy qui n'avait pas pu participer à la double-pénétration, ne voulait pas être en reste face à ses deux copains. Il reprit son limage intensif direct me claquant encore plus fort la croupe comme pour se venger de ne pas avoir eu sa place dans la dernière action. Nicolas restait attentif au match alors que Yann de retour des toilettes voulait profiter du trou qui restait disponible pour y enfourner son chibre. Il n'était plus tout à fait raide, le prépuce avait recouvert le gland, je m'appliquais alors à passer la pointe de ma langue dans ce fourreau qui puait la sueur et la pisse. La bite ne tarda pas à gonfler et Yann, toujours aussi directif, imprimait le rythme avec toujours autant d'énergie en me tapotant sur la tête pour me signifier sa satisfaction...

La tournante s'est organisée sans relâche pendant toute la deuxième mi-temps, même si la France ne se voyait pas infliger la même raclée qu'à la première rencontre, la défaite ne réjouissait pas mes potes et ils m'enculaient à tour de rôle comme si j'étais un joueur de Nouvelle-Zélande. Je ne savais plus qui je suçais, qui m'enculait, mon cul ne savait plus reconnaître les bites tellement il jouissait à chaque coup de bite.
Allongé sur la table du salon en fin de match, je me régalais du spectacle de ces bites en branles au-dessus de moi. Yann fut le premier à cracher dans un râle qui fit trembler les murs et je récoltais ce foutre épais sur les poils de pectoraux. Jérémy ne tardait pas à suivre, un vrai feu d'artifice avec son sperme qui partait dans tous les sens, m'arrosant du cou jusqu'aux burnes. Nicolas, lui, préféra s'assoir sur ma gueule pour que je puisse lui bouffer le cul et lui lécher les couilles. Sans attendre plus longtemps, il se libéra en me traitant de salope. Une fois vidés, ils se dirigèrent vers la douche, Yann remettait en ordre le salon, ouvrait la fenêtre pour que l'odeur de foutre qui envahissait la pièce se dissipe, et moi je n'avais plus qu'à me branler seul avec le foutre des trois bourrins pour jouir enfin. En passant devant moi, Yann me travaillait les tétons avant que j'explose de plaisir.
Très vite Jérémy me lança mon tee-shirt pour que je l'enfile rapidement et que je dégage de l'appart avant que la femme de Yann ne rentre. Je m'exécutais en vitesse, super content d'avoir servi de vide-burnes à mes potes. Dans l'entrée de l'immeuble, je croisais Valérie, la femme de Yann qui me connaissait un peu :
— Tu es venu regarder le match avec les gars ? Alors la France a gagné ?
Je lui expliquais que le match avait été difficile, et que nous nous étions fait déchirer. En entrant dans l'ascenseur, Valérie me lança 
— Les gars, faudrait vous bouger un peu plus que ça, franchement y'a rien de mieux à faire que de passer ses soirées devant la télé ? Vous allez vous encroûter ! 
— On fait vachement de sport Valérie, ça permet de garder la forme !
Par HARDHAIRY - Publié dans : Témoignages
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Mercredi 13 décembre 3 13 /12 /Déc 14:18

Salut les queutards !
Petite mise à jour du blog avec cette semaine en exclusivité le témoignage de Sylvio, un p'tit tarba de Paris qui fantasme à donf sur les laskards de banlieue... Et à force de chercher à se faire baiser, il a fini par tomber sur une bande de kailleras de cité qui l'ont lopé grave dans les chiottes de la gare du Nord... Putain, j'ai grave kiffé son histoire et j'ai pas réussi à me retenir de juter avant la fin. J'en ai encore le slob tout gluant !!! Je vous laisse donc découvrir son histoire et n'hésitez pas à lui mettre des commentaires si vous avez pris votre pied en la lisant. Bonne sturbe à tous !!!

Salut les mecs, moi c'est Sylvio, bonne lopsa de 22 ans sur Paname grave branché skaters et jeunes lascards de téci en rut... Je rêvais depuis longtemps d'une rencontre hyper sexe où un ou plusieurs jeunes lascards bien virils et autoritaires me feraient subir tous les outrages. Et ce jour-là est enfin devenu réalité il y a un mois, alors que je trainais un soir dans les chiottes de la gare du Nord.

En effet, d'autres mecs branchés rebeux m'avaient dit que de bonnes kailleras de téci traînaient parfois les soirs dans les chiottes à la recherche d'un pédé pour les vider. Malgré une légère appréhension, je me suis décidé à aller y traîner un dimanche soir vers 22 heures, histoire de me rendre compte par moi-même. Arrivé sur place, pas grand monde dans la gare si ce n'est quelques voyageurs, l'air sinistre, revenant de leur week-end en province... Je me décide à aller traîner dans les chiottes pour voir si le lieu est à la hauteur de ce qu'on m'en a dit. Là encore, c'est la déception !
Je traîne pendant presqu'un quart d'heure sans voir le moindre coup potentiel passer par les chiottes... J'ai grave les boules car j'étais vraiment chaud ce soir et l'idée de devoir repartir avec les couilles pleines pour me vider tout seul devant un film de boules ne me réjouit pas le moins du monde !
Ne voyant toujours personne apparaître dans cet univers un peu glauque, je décide d'aller pisser avant de repartir chez moi. J'étais en train de pisser face à un urinoir quand un rebeu d'une trentaine d'années à l'air vicelard est entré dans le petit local vétuste. Une ambiance crade y régnait et mon sang ne fit qu'un tour lorsqu'il s'installa à côté de moi. Son regard cherchait le mien et lorsqu'il le trouva, il me sourit d'un air entendu. Il siffla un bon coup et trois autres rebeux dans son genre
rappliquèrent illico. Ils portaient tous des survets de marques, des casquettes lacoste et des skets Tn bien pourraves... Putain j'en croyais pas mes yeux !!! L'un d'eux s'est placé de l'autre côté, s'appuyant contre le mur à coté de l'urinoir où je me vidais. Il s'est penché pour mater mon sexe.

— Pas très grosse cette queue! Il a pas l'air de s'en servir souvent !
— C'est pas comme toi, Kader !
— Kader, il se sert si souvent de la sienne qu'elle est énorme. Les meufs en prennent plein les trous...
— Pas que les meufs...

Il m'a attrapé par le col et m'a poussé vers un de ses copains qui me repoussa vers un autre et ainsi de suite. Ils se sont amusés à me pousser de l'un à l'autre tandis que j'avais toujours la bite à l'air. Une main me claqua le cul avec force tandis qu'une autre m'attrapa les couilles. Ma bite fut tirée avec force, malaxée et pelotée. J'étais vraiment très excité et j'ai commencé à bander comme un ouf. Ces mecs étaient assez effrayants et je sentais le danger... si ça se trouve, je me retrouvais au milieu d'une bande de mecs venus de leur cité pour casser du pédé. Malgré tout, la situation m'excitait grave et ma bite trahissait de plus en plus mon envie de me faire baiser...

— Regardez cette salope qui bande!
— Mais t'es une petite salope...
— Même une grosse ! ai-je alors osé ajouter en regardant le mec droit dans les yeux.
— Et elle le reconnaît, la sale chienne. Elle va être servie... Hein, les gars ?

Le plus baraqué m'a alors jeté sur le sol où l'odeur de pisse m'emplit les narines. Il m'a collé sa sket bien daubante sur la bite et a appuyé sans ménagement. Sous le coup de la douleur, j'ai gueulé très fort mais j'ai vite compris mon erreur : il m'a foutu direct une baffe magistrale, suivie d'une pluie de molards bien glaireux !

— Maintenant tu vas la fermer, sale pute !

Pendant ce temps, les autres mecs avaient tous sorti leur bite. Je les découvrais avec plaisir. Toutes longues et charnues, avec de bonnes couilles lourdes de bon jus. Et le plus kiffant de tout, une putain d'odeur de transpi et de fromton qui me prennait direct aux narines.

— Suce, salope ! Décrasse bien nos zgegs de rebeu bien daubants ! Un par un, et jusqu'à la dernière goutte !

Comme je me relevais pour en pomper un en me servant de mes mains, le plus jeune du lot (je lui donnais pas plus d'une vingtaine d'années) me saisit par les cheveux et me cracha sur la gueule. Un autre tira une paire de menottes de sa poche et, m'emprisonna le poignet gauche derrière le dos. Il ferma les menottes sur le poignet et passa la chaîne dans une canalisation, il referma l'autre sur mon poignet droit. Il me poussa alors son sexe gluant en bouche. Il était d'une taille assez impressionnante, peut-être le plus large des quatre et malgré le fait qu'il était circoncis, il avait pas mal de dépôt sur le gland.

— Elle va adorer ça, la salope ! Du bon jus de rebeu !
— Allez suce mieux que ça... Montre-nous que tu es vraiment une bonne lopette.

Encouragé par les quatre mecs, j'ai commencé à lécher la hampe très dure puis tout autour du gland. L'engin sentait vraiment la pisse et une odeur d'homme très forte. Je passais la langue avec application sur la tige veinée et bien dure. J'étais comme un clebs qui profite à fond de son os. — Mais elle en redemanderait cette salope, dis que tu aimes la bite de rebeu !
— J'adore mec...
— On ne parle pas la bouche pleine connard !

Et je me suis pris la torgnole du siècle. Une baffe retentissante qui résonna dans mon oreille. Dès cet instant, je crois n'avoir plus émis le moindre mot. Mes seuls bruits étaient des gémissements, des plaintes de plaisir...

— Et on suce bien à fond. Mieux que çà ! Les vraies bonnes chiennes sucent les bites à fond. Je dois sentir mon gland buter au fond de ta gorge, sale pute de céfran !
— Ça prétend être une grosse salope et ça suce comme une meuf qui prend son premier coup de bite !
— On va lui apprendre, nous...

D'un coup, il enfonça violemment sa tige d'au moins 22 cm dans ma bouche. J'en ai eu un haut le coeur et puis j'ai essayé de le satisfaire en le pompant bien. Je voulais que mon fantasme se réalise complètement et être 100% à la merci de ces mâles excités. Le fait de me trouver dans des toilettes où quelqu'un pouvait entrer à tout moment y était pour beaucoup. Aspirant ce membre, faisant tourner ma langue autour, j'ai réussi à lui tirer des râles de plaisir. Il a joui en s'enfonçant bien dans ma gorge et j'ai senti son jus épais et chaud qui coulait en moi. Il a sorti son sexe poisseux et s'est essuyé sur ma gueule et dans mes cheveux. Je savais que ce n'était qu'un début... Il m'a retiré les menottes et craché à la gueule en m'insultant en arabe. Les autres m'ont retiré les godasses et le jeans puis m'ont poussé dans un WC dont ils ont laissé la porte ouverte.
— À poil bâtard !
— Enlève toutes tes fringues et jette-les dans la cabines d'à-côté...
— Petite pute ! Ça l'excite tellement qu'elle trique à mort cette salope !
— Il mérite d'être puni, Djamel. Baise-le ! Baise cette pute !

Le Djamel en question - qui était d'ailleurs mon préféré avec ses airs de kaillera viril et poilu - a commencé à me claquer le cul à mort tout en m'insultant en arabe. Il a continué sur la bite. Il voulait me faire débander mais ça m'excitait encore plus fort. Le plus jeune passa derrière moi et m'attrapa fermement les bras pour m'empêcher de bouger. J'étais livré à ces fous excités. Ses copains m'ont alors soulevé pour me mettre en appui sur les bords de la cuvette et le salaud s'est acharné à me rougir les cuisses et les fesses. Des mains m'ont ensuite redescendu sur le sol et m'ont fait plier l'échine. Je frissonnais ! On m'a craché dans la raie du cul et, après avoir entendu un bruit de papier déchiré, j'ai senti un gros gland qui poussait sur mon petit trou. Une queue s'est enfoncée d'un coup sec et j'ai gueulé. J'ai alors eu le droit à une claque sur la tête. Mon enculeur m'a attrapé par les cheveux et m'a plaqué, sans me ménager, la gueule sur la cuvette odorante. Il me limait comme une chienne sous les cris de ses copains qui l'excitaient.

— Baise cette chienne, Djamel ! Enfonce ton dard jusqu'à sa glotte...

L'image quoiqu'exagérée m'excitait très fort et j'écartais un maximum les cuisses comme pour mieux l'accueillir dans mon cul offert. Ma tête fut tirée en arrière pour mieux recevoir les crachats et les injures. Un des mecs - polo lacoste avec de belles auréoles de transpi sous les aisselles - m'a contourné et s'est installé face à moi sur les bords de la cuvette. Celui-ci m'imposa son sexe un peu mou mais aux dimensions prometteuses. Il me l'enfonça dans la bouche pendant que l'autre, derrière, me limait toujours avec autant de fureur.

— Prends ça, putain d'enculé !
— Voilà une bonne pute qui se fait tirer par tous les trous. C'est pas génial, les mecs?!
— Allez...allez... pompe mieux que ça sale céfran !

La bite que j'avais dans la bouche gonflait de plus en plus et je la suçais avec application. Dans mon cul, le mec libéra son jus. Il gueulait comme un forcené en claquant mon cul cuisant. Il s'est fait remplacer par un autre qui voulait aussi se vider les couilles et qui profita de mon cul déjà dilaté. L'engin entra avec plus de facilité et trouva rapidement sa cadence dans mes entrailles. Je sentais les couilles de mon violeur qui venaient battre contre mon cul. Je continuais ma séance de pompage et je caressais les couilles de celui que j'avais devant moi. J'entendis une porte s'ouvrir et claquer contre le mur. On venait d'entrer dans les toilettes. Ma bite gonfla d'un coup et une goutte de sperme perla. Il aurait suffit que je me touche pour larguer ma purée. Un bruit de zip et un écoulement de pisse dans l'urinoir m'indiquèrent qu'un nouveau venu devait profiter du tableau...

— On se tape une pute ! ça te dit, mec ?
— Pourquoi pas, répondit l'inconnu.
— Laisse ta place, Rachid ! Le monsieur veut goûter à notre bâtard...

La troisième bite à me ramoner entra comme une lettre à la poste.

— Mmmm... bon cul, dit le gars!
— Wesh ! Du vrai cul de salope...

La bite que je suçais sortit brutalement de ma gorge pour me jouir sur la gueule. Je sentis le sperme qui dégoulinait sur mes joues. Une main étala le jus chaud sur mon visage, sur mon torse et termina sa course dans ma bouche. L'ambiance était à son apogée ! Mes baiseurs ont tous joui à tour de rôle sur ma gueule, en continuant à m'insulter un max. J'en avais partout et visiblement mon enculeur mystère n'a pas résisté très longtemps à un tel spectacle puisqu'en moins de deux je sentis sa queue se raidir et déverser en moi de puissantes giclées.
J'ai ensuite été obligé de récurer leurs 5 queues foutreuses à la chaîne, avant de devoir me branler devant eux, le cul béant et le corps ruisselant de foutre de rebeu... Situation hyper humiliante mais qui m'excite tellement que je balançais très vite une dizaine de giclées de foutre bien épais sur le sol crasseux des chiottes.


— Ça t'a plu, hein, salope ?
— T'aimerais remettre ça, non ? Avec plus de mecs encore ?

J'ai agité la tête. L'un deux m'a alors écrit son tel sur le cul à l'aide d'un feutre, comme un tatouage, me disant que si j'avais les couilles de le contacter, il pourrait m'organiser un trip abattage dans sa cave où je pourrais sucer une bonne vingtaine de ces potes de cité.

Cela fait maintenant un mois et j'hésite toujours à y aller. Mais qui sait, peut-être qu'un jour que je serais grave en manque, j'oserai franchir le pas... Et si jamais je me lance, comptez sur moi pour tout vous raconter sur ce blog, il est vraiment trop bandant !!!

Par SYLVIO - Publié dans : Témoignages
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Lundi 4 décembre 1 04 /12 /Déc 13:26

Hummm décidément vous êtes gâtés en ce moment... Pour ceux qui n'auraient pas encore juté avec les deux précédents articles, voilà le témoignage hyper kiffant de Marc, un bogosse bien cho de 27 ans sur Paname, et visiblement bien accro aux odeurs de mecs en rut, qui nous raconte son dernier plan décrassage hard  sur les quais de Seine. Ejac garantie avant la fin du texte !


Salut les mecs ! Je me présente : je m’appelle Marc, j’habite paris, j’ai 27 ans et forcément je suis très branché odeurs. Malheureusement, mon prépuce n’est pas à la hauteur de mes espérances, il est beaucoup trop court à mon goût. Certes, il recouvre mon gland mais il se décalote trop facilement, résultats : c’est un peu galère pour qu’il soit fromageux à souhait. Cela ne m’empêche pas d’aller renifler la bite des autres !

La dernière fois, je suis allé draguer sur les bords de Seine, assez tard dans la nuit. Les regards se croisent, on se toise. Cela fait dix minutes que je me promène, quand je passe à côté d’un mec qui  laisse derrière lui une forte odeur de transpiration et de cheveux gras. Ca fait tilt dans ma tête direct ! Je me retourne et il se retourne aussi en me faisant un sourire. Je vais m’asseoir sur un banc et je continue à le mater. Il vient à côté de moi. Le mec a une trentaine d’années, barbe de trois jours, jean crasseux et baskets pourraves.

On ne dit rien, on se regarde uniquement. Il commence à se tâter le paquet et il me prend pas l’épaule en me dirigeant vers sa braguette. Je m’exécute, je pose mon nez sur son entre-jambes, WAOOH ! Je sens déjà une forte odeur de pisse alors que son jean n’est pas encore ouvert. Je trique un max, je sens que je vais me régaler ! Il déboutonne son pantalon et j’aperçois son slip qui devait être blanc à l’origine. Il est couvert de petits médaillons de pisse séchées. Je pose mon nez dessus et je renifle comme un fou. Le mec regarde à droite puis à gauche pour vérifier qu’il n’y a personne sur le quai et il baisse son pantalon aux genoux.


Lentement, il sort sa bite de son slip, elle est à moitié en érection, avec un long prépuce. Je renifle cette peau qui daube l’urinoir d’autoroute !  Au fur et à mesure qu’il décalote, mon nez suit le mouvement, qu’est-ce qu’elle pue ! Son gland est recouvert de petites boules de fromton et à la base du gland ça fait comme des croutes blanchâtres. Le mec mouille et ça exhale encore plus les odeurs. Je le branle, j’ai toujours le nez collé sur son gland. Je commence à donner des coups de langue sur sa bite bien grasse, je racle le from avec ma langue, je passe bien autour du gland. Avec sa main gauche, il m’appuie sur le cou pour que je le suce bien à fond. Je salive un max, je lui caresse les couilles en même temps, je descend pour les lécher, ça sent le fauve !

Il me plaque la gueule contre ses couilles tout en se branlant.
— Passe bien ta langue salope ! me dit-il avec sa voix rauque.
J’ai le nez dans ses poils, ça sent la pisse et la transpiration, je me branle en même temps.
— Putain, je vais jouir !
Et il m’envoie sa sauce sur la joue. L’odeur de son foutre se mêle aux odeurs de pisse et de transpiration. Trop excité, je jouis par terre, toujours avec mon nez dans sa touffe. Sans s’essuyer, il se rhabille. Moi je m’essuie un peu le visage. Il me demande alors comment je m’appelle.
— Je m’appelle Marc.
Enchanté, moi c’est Sylvain. Bon il se fait tard, faut qu’je rentre !
— Ok, rentre bien, à plus !
Et chacun est parti de son  côté.

Ce fut un plan assez rapide mais trop excitant. Je rentre chez moi et j’ai cette odeur de bite dans la bouche. C’est trop bon. Avant de me coucher, je me branle une dernière fois en pensant à ce crasseux et je jouis dans mon slip. Morphée arrive à grands pas et je m’endors le sourire aux lèvres.

Par MARC - Publié dans : Témoignages
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Lundi 4 décembre 1 04 /12 /Déc 11:41

Salut les queutards !

De retour sur le blog pour une petite mise à jour, histoire de vous purger les couilles en ce début de semaine. Moi j'avoue que ce matin, j'ai les burnes bien sèches car je me suis tapé une p'tite lopsa de 19 ans bien och pendant tout le week-end... Ce p'tit bâtard a flashé sur mon blog : il voulait que je le dresse et que je l'initie aux trips odeurs pendant 2 jours non-stop ! Putain, je peux vous dire qu'il n'a pas été déçu et vu comme il a kiffé, je crois que désormais il va plus pouvoir se passer de bonnes teubs fromageuses !!! Allez, si vous êtes sages je vous raconterai peut-être un de ces jours comment je l'ai larvé dans son p'tit studio d'étudiant.

J'en profite également pour remercier tous les mecs qui m'ont envoyé la suite de la vidéo de décrassage que j'ai publiée sur ce blog la semaine dernière... Je vais essayer de la mettre en ligne dès aujourd'hui pour que vous puissiez vous branlez en enchaînant les 2 vidéos ! lol

En attendant, je vous propose de découvrir le témoignage hyper bandant de Cyber.S, un keum super cool branché odeurs de zobs et calbuts cartonnés, qui a trouvé le truc pour rendre ses journées de travail beaucoup plus agréables... Hummm, un vrai ptit pervers ce mec ! Et vous les mecs, vous avez des anecdotes de baise ou de trips sniffage au boulot ? Si c'est le cas, n'hésitez pas à nous en faire profiter vous aussi comme Cyber.S !


Salut les branleurs ! Trop vicieux ce blog. Vous m'avez bien fait gicler avec vos histoires les mecs. Comme vous, je kiffe les odeurs de mâles en rut. Un mec qui sent le savon c'est pas un mec. J'aime renifler la bonne odeur d'une bite qu'a transpiré toute la journée dans le calbute et qui sent le fauve. Avec les années (j'en ai 32 derrière mois), je cherche de plus en plus des plans crades où çà schlingue un max. J'aime jouer le macho en me faisant nettoyer par une petite salope assoiffée par tout ce que ma queue pourra lui donner. Mais j'aime aussi renifler, lécher, nettoyer une bonne teub fumante. Suis un fétichiste des calbutes de mecs à 200%. J'ai commencé aussi très jeune, avec les calbutes de mon cousin qui dormait souvent à la maison. J'ai même parfois sniffé ceux de mon frère, à peine plus âgé que moi.
En attendant d'avoir l'âge de sucer des bites, faut bien avoir quelquechose à se mettre sous la dent ou plutôt sous le nez. Je choure un maximum de calbutes pour me branler avec. Par exemple, ceux de mes voisins qui font la lessive et qui laissent leur panier à linge rempli dans la buanderie. Y'a qu'a repérer le jour de lessive du mec qui te fait bander un max, par exemple le voisin du dessous, un hétéro poilu avec un gros cul, et que vous entendez baiser sa copine, le soir. Ensuite vous n'avez plus qu'à faire votre marché. Le dernier que je lui ai piqué c'est un boxer noir. Je vous dis pas comme çà fouette là-dedans. Bonne odeur de queue sur le devant, de pisse aussi, quand la queue est rentrée dans le calbute mal essorée. L'avantage du noir c'est que les traces de mouille et de sperme sont plus visibles. Et puis il a aussi une bonne odeur de cul. J'imagine que sa raie devait être bien grasse. Je sniffe comme un ouf et me branle avec. Je l'ai même utilisé pour jouer avec un mec la dernière fois que j'ai baisé.

Suis un vrai taré de branle aussi. Je m'astique la queue plusieurs fois par jour. Même au taf. Dans les chiottes. Ben quoi, suis sûr que vous vous astiquez aussi au bureau les mecs. Quand on est dépendant de la branle, on résiste pas. Chez nous, au bureau y'a des dizaines de mecs bandants. Tous hétéros, bien évidemment. Ca va du p'tit skater ultra salope qui porte son fute sur les hanches avec le caleçon à moitié dehors, au costard-cravate au cul moulé derrière et méga gros paquet devant. Indécent d'aller au bureau comme çà ! Le pire c'est qu'ils se rendent même pas compte de l'effet qu'ils font sur les salopes comme nous.

Quand je suis trop och, que ma queue pleure et qu'elle a envie de gicler, je m'enferme dans une cabine et je m'astique en pesant à toutes les bites de mes collègues que j'aimerais bien sniffer et sucer. Des fois, j'entend le bruit de certains types qui pissent à côté. Cà m'excite à fond.
J'imagine la pisse qui gicle de la teub et qui reprend sa place dans le calbute qui servira à absorber les dernières gouttes.

Y'a pas longtemps çà m'a donné une idée. Attention, vous allez trouver çà super pervers. Au bureau, Le pissoir des toilettes pour mecs se trouve aussi dans une cabine où l'on peut se fermer. Mais la plupart des mecs pissent la cabine ouverte. Cà permet de mâter le mec, de dos, en train de se soulager. Quand je suis au lavabo et que j'en vois un bien bandant qui arrive pour pisser je m'attarde toujours un peu et j'attends qu'il ait fini. Je vais alors dans la cabine et je m'enferme dedans. Là, je soulève la grille au fond du pissoir et j'éponge le bon demi-centimètre de pisse qui reste au fond avec mon calbute, que je porte blanc de préférence. Vous me croirez ou pas, mais je trouve pratiquement à chaque fois un mollard coincé dans la grille. Ces gros machos hétéros aiment bien marquer leur territoire. Imaginez, vous passez après le p'tit latino du service technique et vous trouvez çà. Je kiffe. C'est comme çà.

Ensuite, le soir, quand je suis rentré chez moi, je me branle en sniffant la bonne odeur de pisse séchée dans mon boxer. Je suis un gros pervers, çà c'est clair. J'aime le cul, la bite, les odeurs d'une queue bien fromageuse et d'un cul poilu .

Si mon histoire vous a fait kiffer, laissez-moi des commentaires. Allez, maintenant que vous avez bien giclé, interdiction de s'essuyer la queue, on recalote la bête et on range l'engin dans son fute. L'odeur sera encore meilleure demain matin. Salut et à une prochaine fois pour d'autres aventures cochonnes.
Votre dévoué, Cyber-S
.

Par CYBER.S - Publié dans : Témoignages
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Mardi 14 novembre 2 14 /11 /Nov 10:46

Vous vous souvenez tous de XAVIER, un bogosse de 26 ans bien och sur Paname qui vous a déjà fait cracher un max de yop en vous racontant ses trips hards les plus kiffants ("Le décrasseur décrassé" et "Confession pur jus"). Et bien il revient cette semaine vous raconter en détails le larvage du nouveau mec de son pote. Et c'est encore plus chaud !!!! Préparez-vous à larguer la sauce avant la fin... Merci encore pour ce super témoignage Xav !!!


Ce soir la, suis invité chez un pote de sexe qui veut me presenter son nouveau mec. Voyez le genre de soirée amusante ? BEURK. Il s'est trouvé un p'tit mec pas mal, mais très con. Il me cherche pendant tout l'apéro. La conversation dérive un peu.  Je lui fais comprendre que mon caractère calme n'est qu'une façade, et qu'il vaut mieux éviter de me chauffer trop ardemment, parce que quand je me réveille, je fais pas dans la dentellle à minet. Il comprend pas, et continue a me chauffer du genre " Toi j'suis sûr que t'es pas cap de ... "

Une de trop, je lui laisse pas finir sa phrase. Je lui ai détalé une mandale pour lui faire fermer sa p'tite gueule de tepu. Sans lui laisser le temps de comprendre ce qui s'est passé, je l'ai attrapé par le colback et plaqué la tête contre le mur. Là, il bougeait plus. Je fais voler une de mes skets, je choppe une de mes cho7, je sors une bouteille de popp de ma poche, je dose et je lui applique  direct sous le pif : il devient tout rouge mais déjà il la ramène plus. Je lui baisse direct le fut et le slip sur les genoux. J'adore çà, voir un mec plié à 90°, le slip sur les mollets : c'est toujours bien avilisant. Dans un même mouvement spontané, je lui fous aussi sec un doigt dans le cul . Et là je l'entends, la femelle,  qui se réveille,  respirer comme un boeuf à travers la cho7 et commencer à geindre comme une bonne gouine.

J'observe que le slibard a été blanc dans une vie passée. Je susurre à son oreille mon étonnement :
— Et bah pour un tit gars bien réglo, t'as des taches jaunasses qui laissent à penser que tu te négliges p'tit bâtard ! Ta maman t'a pas appris à être propre !

 Je lui choppe alors les couilles à ce bâtard, et je commence à lui travailler le pacson. Il geint encore plus. Alors j'enfonce le doigt un peu plus loin dans son intérieur, et là je découvre que je suis en compagnie. La crevure est pleine !
Pendant ce temps-là, son mec a commencé à se toucher devant le spectacle, mi-amusé mi-excité. Putain en plus d'être un bon coup, son mec est un voyeur...

Je décide de pousser le vice plus loin. Je sors le doigt et lui applique aussi sec en lieu et place du popp, direct sous le pif. Il a un mouvement de recul, alors avec la deuxième main, je pousse sa tête. Mais il ouvre la bouche et me le suce. La grognasse devient de plus en plus chaude en bavant et en grognant comme une bonne chienne. Là, je le fous par terre, je lui arrache son slibard, le roule en boule dans le creux de ma paume et l'étouffe avec. Son mec est toujours vautré dans le canapé, rigole et se paluche le zgeg sorti par la braguette.

Le bâtard devient violet. Je lui accorde une trêve. Je me relève au-dessus de lui, je le fous debout relève son fut. Il se croit sauvé le con. C'est mal me connaître ! Je choppe une serviette, lui fous sur la tête pour qu'il voit plus ce qui se passe. Je le laisse mariner 5 minutes, lui ordonnant au creux de l'oreille :
— P
as bougé clébard !


Je persuade son mec de lui tenir fermement les mains dans le dos. Il se bouge. Ca me laisse mes deux mains pour m'occuper de la pute. Il s'aperçoit que je lui travaille les tétons.

D'un coup, il sent ma queue rentrer dans sa braguette ouverte. Une minute de silence en mémoire de son 501 bien moulé. Et la chaleur du précieux liquide doré mouille alors ses poils, son zgeg, descend le long de ses couilles et commence à auréoler ses cuisses. Il pleurniche :
— Non pitié, pas le jean, pas le jean !
Trop tard ! ça lui coule gentiment jusqu'aux pieds. Là, je fais sauter son bouton de ceinture et je le paluche jusqu'à ce qu'il fasse monter la mayo dans son joli jean déjà bien mouillé. Soudain, le bâtard est pris de soubressauts et râle. Il finit de crader son joli jean. Après quoi son mec lui largue à son tour la purée sur les fesses. Hummm, un voyeur actif !!! lol

Comme d'habitude toute ressemblance avec des personnages ayant réellement existé ne serait pas purement fortuite ! lol
J'espère que tout le monde prendra bien son panard (dans la bouche) avec cette histoire. Bonne sturbe. N'hésitez pas à me contacter si ce genre de plan vous tente...
@pluche et bonnes bises bien baveuses !  Xav'

Par XAVIER - Publié dans : Témoignages
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Lundi 23 octobre 1 23 /10 /Oct 18:31

Salut les sniffeurs !

J'espère que vous vous en êtes foutus plein les narines ce week-end et que vous avez eu la chance de récurer de bons gros zgeg bien fromageux... Moi j'ai profité d'une petite escapade londonienne chez des amis pour faire une dégustation de fromton british !!! Et putain je peux vous dire que j'ai pas été déçu du voyage !

Je vous plante vite fait le décor : une boîte à cul bien och près de Soho dont m'avait déjà parlé un pote... A peine je suis rentré dans le bordel qu'une putain d'odeur de keums en rut m'a pris les narines pour ne plus me lâcher jusqu'à la fin ! Vous vous en doutez, j'ai eu aussitôt le zgeg au garde à vous et j'étais bien décidé à trouver un jeune mec bien och pour un échange gastronomique de fromages de bite ! lol A première vue, il y avait pas mal de minets imberbes qui se la pétaient un max mais qui à mon avis n'attendaient qu'une chose : qu'on les foute à 4 pattes et qu'on les dresse comme de vrais tarbas...

Mais je n'ai pas mis longtemps à trouver la perle rare : un pur bogosse d'une trentaine d'années, skin rouquin (le pur keum anglais quoi !), le genre de p'tit laskard vulgos qui me fait kiffer direct ! Je suis passé à quelques centimètres de lui et là une putain d'odeur de sueur m'a fait bander encore plus raide... Avant que j'ai le temps de penser à une technique d'approche, il m'a choppé solidement par la nuque et m'a plaqué direct la gueule sur ses aisselles humides. Putain je vous dis pas l'odeur !!!!!!!!!! Je peux vous dire que la réputation des rouquins niveau odeurs de transpi n'est pas une légende... J'avais rarement sniffé une aisselle aussi dégueu, à croire que le keum n'avait pas pris une douche depuis des semaines ! En plus, avec la chaleur du bordel, il transpirait un max et la sueur dégoulinait littéralement le long de son corps. Il a pas mis longtemps à me calculer et à voir que j'avais un bon potentiel de tarba. Et quand en plus il s'est rendu compte que j'étais céfran, ça a décuplé son envie de me larver ! Quoi de plus bandant pour un pur laskard british que de loper un céfran et de l'humilier un max devant ses potes.

Après m'avoir bien fait sniffé ses aisselles, il m'a choppé par les cheveux et collé le pif sur ses boules bien pendantes... Ouahhhhh l'enfoiré, visiblement ça devait faire aussi plusieurs jours que ses burnes macéraient dans son calbut ! J'ai pas pu m'empêcher de les sniffer de façon très sonore en gémissant un max comme une vraie chienne. Et à en croire les grognements qu'il a alors poussés, ça a dû l'exciter grave ! Malheureusement mes quelques notions d'anglais ne m'ont pas permis de comprendre toutes les insultes qu'il m'a balancées mais rien que son ton vraiment autoritaire suffisait à me faire kiffer à mort !

Côté zob, j'avoue qu'il était bien doté... une belle teub de 20 cm facile, assez large, et surtout avec un prépuce très long qui recouvrait quasiment toute la surface de son gland ! Quelques morceaux blanchâtres sur le bout de son prépuce me donnait néanmoins un aperçu plus que prometteur du véritable festin qui m'attendait !

Il a décalotté son gros zob petit à petit, en prenant bien soin de le coller sur mes narines pour que je m'imprègne au max de son odeur ! J'ai déjà vu pas mal de queues fromageuses, mais là franchement je dois reconnaître qu'il arrive facilement dans le peloton de tête des zgegs les plus fromageux que j'ai pu récurer !!! Une fois décalotté, son gland restait presque entièrement recouvert de from bien gluant, et je ne me suis bien évidemment pas fait prier pour passer la langue sur ce divin dépôt afin d'en recueillir le maximum ! Le truc de ouf, je vous dis même pas !!!

Je lui ai récuré patiemment le zob, léchant chaque centimètre carré de son gland afin d'en faire réapparaître sa couleur rose originelle... Franchement j'étais sur une autre planète tellement je kiffais et je suis incapable de vous dire combien de temps je suis resté à lui décrasser son zgeg pourrave ! Tout ce que je peux vous dire c'est qu'il kiffait un max et qu'il ponctuait chacun de mes coups de langue sur son zboub crémeux par une insulte ou un mollard sur ma tronche de tepu... Et j'étais tellement obsédé par ma mission de décrasseur de teub que je n'avais même pas remarqué que 3-4 mecs s'étaient approché de nous et mattaient la scène en s'astiquant la bite (ce qui rajoutait encore à l'odeur de sexe qui emplissait la pièce).

Une fois sa queue bien récurée, il a commencé un limage intensif de ma bouche en enfonçant son braquemard jusqu'au fond de ma gorge comme pour tester mes capacités de pompeur ! Même si parfois je manquais carrément d'étouffer sous ses coups de bite, je me suis grave appliqué : il en allait de l'image de la France et des gays français ! lol

Après un bon quart d'heure de biberonage, il m'a choppé par les cheveux et tiré la gueule en arrière... Là, il a dit quelques mots aux autres mecs qui s'astiquaient autour de nous et qui du coup se sont rapprochés. Hummmmmm, j'ai tout de suite compris que j'allais avoir droit à une bonne douche... de yop !!! Et franchement j'ai pas été déçu... le mec que je vais de récurer pendant de longues minutes a été le premier à balancer de longues giclées hyper épaisses sur ma gueule (au moins une bonne dizaine) en grogant littéralement de plaisir ! Et à la vue de ce spectacle, tous les autres mecs n'ont pas mis bien longtemps à m'asperger eux-aussi de leur foutre brûlant ! Ouahhhhh le pied, ils n'en finissaient pas de m'arroser et je crois qu'une fois qu'ils eurent tous fini de se purger les couilles, il n'y avait plus un centimère carré de ma peau qui ne soit recouverte de leur nectar gluant de mâle en rut !
Evidemment une fois vidés, ils se sont tous rapidement cassés, me laissant couvert de jus avec une trique d'enfer. Je me voyais déjà me finir tout seul quand à ma grande surprise je sentis me caresser le dos...             
A suivre...

Promis, si ça vous tente je vous raconterai la suite un de ces jours.

Par FROMTON BOY - Publié dans : Témoignages
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Jeudi 19 octobre 4 19 /10 /Oct 19:37

Pour rattraper le temps perdu et faire juter ceux que les deux précédents articles n'auraient pas encore suffisamment excité, voilà un témoignage hyper bandant envoyé par LASKARDVCX, un mec de 35 ans près de Besançon, qui de son propre aveu adore décrasser les slips bien pourraves, nettoyer les bites bien puantes et fromageuses et lécher les culs cradingues...
Je vous laisse découvrir son récit, illustré de quelques pics perso de sa teub bien fromageuse. Jute garantie avant la fin du texte !!!


Je suis un mec de 35a, habitant près de Besançon, adorant décrasser les slips très pourraves, nettoyer le bites bien puantes et fromageuses et lécher les culs cradingues. J'ai été initié assez jeune à ces pratiques là, puisque lorsque j'avais 18 ans, je suis allé dans un ciné porno à Dijon (le Grangier pour les connaisseurs, même s'il est actuellement fermé) pour parfaire un peu mon éduc sexuelle. Hé oui, il y a 17 ans, Internet n'existait pas.
A peine installé sur mon fauteuil, au fond du 1er étage, je me suis mis à sortir ma bite et à me branler en voyant les beaux sexes d'hommes sur l'écran. Au début, mes yeux étaient fixés sur l'écran et je ne faisais pas attention à ce qui se passait autour de moi. Progressivement, quand mes yeux se sont habitués à l'obscurité, je me suis aperçu qu'un mec était placé à 2 sièges de moi, et me mattait entrain de me branler. Il me fixait du regard et me faisait des signes de la tête et de la main pour que je vienne près de lui. L'excitation étant de plus en plus grande, je me décidais à aller m'assoir à ses côtés.

Là, il prit ma main et la dirigea vers sa braguette qui était tout enflée par une queue qui m'apparut énorme. Ceci accentua mon excitation. Le mec mit alors sa main derrière ma tête et avec insistance me força à me pencher sur lui. Je me retrouvais donc le pif collé à sa braguette, et là, de effluves de pisse séchée, de transpi, de jean pas lavé, envahirent mes narines. Je n'avais jamais connu ça, même si j'avais déjà sucé quelques bites dans un chiotte public de Besançon.
Il fit descendre sa braguette et déboutonna son pantalon. Je me trouvais alors face à son slip, qui puait encore bcp plus que le jean. Il me sussura de lécher son slip et de bien le sniffer; ce que je fis avec application malgré mon impatience à découvrir sa bite, responsable de tant de bonnes odeurs.
Alors que je m'activais toujours à bien renifler ce slip imonde, la lumière du cinéma se ralluma, le film était fini, sans que je m'en apperçoive. J'aperçus alors la gueule du mec, qui devait avoir une quarantaine d'années, assez baraqué, et habillé avec des vêtements crades de chantier. Il me demanda si je voulais continuer ailleurs de le sniffer. Je lui répondis immédiatement par l'affirmative, et le suivis.

Il m'emmena dans le parking souterrain près du ciné, et me fit monter dans sa camionnette de travail. Il se mit à l'arrière et alluma la lumière, pour dit-il que je vois mieux sa queue. Il s'allongea sur des vieux tapis qui étaient posés à l'arrière de la camionnette, et se mit sur le dos, jambes relevées. Il m'ordonna de m'accroupir devant lui. Là, j'ai pu voir l'état de son slip, et je compris pourquoi il puait tant. Je me jetais à nouveau sur ce calbute crade et le sniffais et le léchais à fond. Il me le fit enlever et me fit lécher les traces marrons qui étaient derrière. Puis il me demanda si j'aimais lécher les culs des mecs. Je n'avais encore jamais fait ça. Il me força de ses deux mains et je me trouvai face à un trou puant, poilu, qu'il me força à lécher. C'était délicieusement crade.
Il me demanda alors d'arrêter et me présenta sa belle bite devant le nez. Elle puait grave. Tout doucement il la décalotta, et montra fièrement son gland recouvert d'un enduit blanchâtre nauséabond. Là encore, il me dit de le sniffer tranquillement puis de donner des coups de langues. C'était l'extase pour moi. Après quelques minutes je pus enfin introduire son sexe dans ma bouche et très vite il éjacula. Il me demanda si j'avais aimé et me dit que je pouvais maintenant me branler.
Je revis plusieurs fois ce mec, toujours dans sa camionnette, avec laquelle nous nous isolions dans la nature pour pratiquer nos jeux crades. Il me pissa dans la bouche et une fois il me fit lécher son cul plein de merde juste après qu'il ait chié.

Les années ont passé, et on s'est progressivement perdu de vue.

Par LARKARDVCX - Publié dans : Témoignages
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