Salut les queutards !
Et ouais, après plus de 2 mois d'absence me voilà enfin de retour sur le blog... J'avoue que j'ai longuement hésité avant de refaire un article, pour être franc avec vous j'ai même carrément failli supprimer définitivement le blog ! Heureusement, quelques fidèles du site ont réussi à m'en dissuader et à me remotiver un peu... pour l'instant !
Je tente donc à nouveaux quelques mises à jour du blog, mais il est clair que si dans les semaines qui viennent je ne constate pas davantage de participation (tant au niveau de vos mails que vos commentaires), je fermerai définitivement le blog (c'est-à-dire que même les précédents articles ne seront plus visibles). Je sais, ça s'apparente à du chantage mais c'est comme çà ! lol alors si vous voulez continuer encore longtemps à triquer un max en mattant les pics de zobs crémeux ou en lisant les histoires bien och de ce blog, vous savez ce qui vous reste à faire...
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A part çà, pour vous faire triquer un peu et vous montrer que je suis toujours aussi cho, je vous raconter comment je me suis fait récurer le zgeg par Vince, une bonne ptite lopsa accro à mon blog. Faut dire que ce p'tit bâtard m'avait grave chauffé sur MSN pendant plusieurs jours et que j'étais bien décidé à profiter de quelques jours de vacances pour le larver grave ! Je me suis donc bien cradé la queue pendant 4 jours, prenant bien soin de ne pas changer de calbut et de ne surtout pas m'essuyer la queue chaque fois que je crachais mon yop. Résultat le jour J j'avais une putain de queue bien gluante avec un max de fromton, de quoi en foutre plein les narines de ma tépu !
J'avais prévu d'aller le chercher à la gare et de le ramener direct chez moi pour le larver sans ménagement... Bien sûr j'avais pas pris de douche depuis plusieurs jours afin qu'il puisse aussi profité de mes aisselles bien daubantes et de mes ieps bien pourraves ! Et pour bien arroser notre rencontre, j'avais bu une pleine bouteille de flotte juste avant le plan.
Je retrouve donc ma future lopsa sur le quai de la gare, visiblement un peu inquiet à l'idée de se qui l'attend... C'est clair qu'il va pas être déçu !!! lol
Sitôt la porte de l'appart franchie, je le choppe direct par la nuque et le jette violemment par terre. Il est visiblement surpris mais avant qu'il ne réagisse je lui écrase la gueule sur ma sket bien pourrave en lui ordonnant de la lécher !
— Maintenant ta place c'est à mes pieds comme un clebs, t'as compris connard ?!!
Il me jette alors un regard un peu provocateur et pour bien lui faire comprendre que je ne laisante pas, je lui balance une bonne mandale dans la gueule, suivie de plusieurs mollards bien glaireux !!! Je vire alors mes skets et lui écrase l'une d'elle sur la gueule en le forçant à bien sniffer à fond...
Je lui ordonne alors de se foutre à oilpé pour vérifier si ce bâtard a bien suivi mes instructions, à savoir de pas prendre de douche pour bien sentir le mâle lui aussi. Il est assez poilu et transpire grave ce qui est plutôt prometteur... Mais en mettant le nez sous son aisselle, je constate que cette chienne sent encore le déo ! Un tel affront ne doit pas rester impuni, je saisis ma ceinture en cuir et je commence à bien lui frapper le cul avec.
— Ca t'apprendra à obéir à ton maître, salope !!!
Il bredouille quelques excuses, disant qu'il n'avait pas mis de déo depuis la veille mais bien loin de ma calmer, ça me rend encore plus furieux ! Je lui saisis alors les poignets que j'attache avec ses chevilles dans son dos, afin d'empêcher le moindre mouvement de rebellion. Je lui plaque alors mon aisselle hyper daubante sur la gueule et le force à inspirer à fond !!! Et c'est qu'il kiffe çà le bâtard, ça le fait bander un max...
— Vas-y salope, fais-toi plaisir ! Fous-toi en plein les narines, c'est pour çà que t'es venu !!! Lèche bien les poils salope !!!
Une fois mes aisselles bien récurées par ma lopsa, je décide de passer aux choses sérieuses... Je prends une cho7 dans laquelle je m'étais vidé des dizaines de fois depuis un mois et je lui colle dans la bouche pour le baillonner... Je lui plaque ensuite sur la gueule la Tn bien pourrave d'un de mes potes crados. Je vous dis pas comment il kiffe çà !!! En plus, il commence à bien baver sur ma cho7 hyper crade et le goût de mon jus séché doit maintenant bien lui remplir la bouche ! Je vous dis pas comment ça me fait kiffer de voir ce bâtard à mes pieds, les mains et les pieds attachés dans le dos, bailloné avec une cho7 hyper crade et en train de sniffer la sket dégueulasse d'un pote de baise !
Après quelques minutes de sniffage et de bouffage de ieps, je décide de lui donner ce pourquoi il est venu : mon from de bite !!! Je m'assois sur le pieu et décalotte mon glandos pourrave direct sous ses narines... Putain je vous dis pas l'odeur ! Il gémit de plaisir rien qu'à se coller le pif dessus, et si je ne lui avais pas laissé ma cho7 dans la gueule, il se serait sans aucun doute jeté dessus direct ! Je passe alors le doigt sur mon gland pour recueillir une bonne dose de fromton bien daubant et sans qu'il s'y attende je lui fourre direct le doigt dans le nez.
— Comme çà, tu vas garder ma putain d'odeur de teub pendant tout le plan salope !
Et ça n'a pas l'air de le gêner le moins du monde... lol Je retire alors son baillon et lui ordonne de commencer son travail de décrassage. Il ne se fait pas prier et me donne de bons coups de langue sur le zgeg, afin d'engouffrer totalement ma queue dans sa bouche de tépu pour bien me la faire reluire...
Une fois ma queue bien nettoyée, je me lance dans un pilonnage en règle de sa gueule, sur laquelle je balance régulièrement quelques mollards. Je le choppe alors par les cheveux et le traîne jusqu'à la baignoire. Il comprend vite ce qui va lui arriver et ça le fait d'ailleurs triqué un max ! Je commence alors à lui arroser sa p'tite gueule de pisse bien fumante, et à ma grande surprise il se met à ouvrir la bouche pour en avaler le plus possible !!! La bâtard, dire qu'il m'avait dit que pour qu'il avale il fallait absolument le forcer ! lol Je vous dis pas la douche de pisse qu'il s'est pris !
Reste maintenant à me défouler sur son cul de salope... En général je kiffe pas trop les culs poilus, mais là je dois dire que sa chatte me fait trop envie. Je lui fous la bouteille de poppers sous le pif, et avant qu'il est fini de sniffer, je m'engouffre direct dans son cul de pute !!! Hummmm ça rentre comme dans du beurre, et ça m'excite grave de l'entendre gueuler à chaque nouveau coup de bite dans son fion. Il a l'air d'aimer çà l'enfoiré !!! Il s'mpalle littéralement sur mon chibre et je sens mes couilles battre sur son fion poilu... Au bout de quelques minutes de limage en règle, je ne tiens plus. Je sors de son fion en feu et je vire la capote pour me placer juste au-dessus de sa gueule. Pas le temps de le prévenir que j'explose et lui balance de longues giclées de jus bien épais sur la face !!! Putain le pied !
Comme tout bon domi qui se respecte, je le laisse se terminer tout seul et il n'est d'ailleurs pas bien long à venir et à rajouter de bonnes giclées bien épaisses sur son torse en sueur. Je le regarde alors, le corps dégoulinant de jus, et je lui lance avec un p'tit sourire en coin :
— Alors salope, satisfait de ta baise avec Fromton Boy ?
Seul petit regret c'est de ne pas avoir pris de pics pendant le plan pour vous en faire profiter... Mais comme il y a de fortes chances que je le rebaise un de ces jours, on se rattrapera ! lol
Je lui écris un nouveau SMS et je rejoins les chiottes ("rdv urinoirs te mets à coté de oim après me suis au ciné prends même séance
Une fois installé, en attendant le début du film, je passe ma main sous le nez pour sniffer sa mouille et ça me fout grave la trique. Putain lui aussi fouette a l’air de fouetter grave du paquet ! D'autres personnes se pointent mais ne se mettent pas trop près de nous... Faut dire que l'odeur des cho7 doit dissuader ! Une fois que le film commence, j'attends quelques minutes avant de lui mettre une sket dans les mains. Il se la met direct sur la gueule et je l'entends renifler comme un iench. Je lui fais desserrer sa ceinture pour glisser ma main sur son cul... Il kiffe ça et renifle encore plus fort.
Je lui fais ensuite sortir sa teub, lui mets la cho7 en bouche et lui donne la sket pour qu’il jute dedans. Excité comme il est, il largue son jus illico et je renfile la sket foutreuse pied nu direct... Hummm bonne sensation pour la fin de la séance ! Il me file alors ses shoes à renifler aussi, je passe la main dans mon calebute et crache ma jute dedans...
Salut les mecs ! Moi c'est Yanis... Récemment j'ai fait un plan avec un skin de 23 ans qui kiffait grave sur le batard crade que je suis ! Il est venu chez moi et dès qu'il m'a vu, il m'a lancé :
C'est une tige noyée dans les poils très bruns et luisants de sueur. Quand Jérémy fait du sport, c'est jamais à moitié, il participe régulièrement à des marathons ! Plus sa bite se décalotte et plus elle dégage cette odeur qui me rend dingue, une sorte d'odeur de vestiaires que ses potes perçoivent aussitôt.
Agacé par le jeu des Français, Nicolas se leva du canapé. Nico a une gueule d'ange avec un oeil noir super pétillant et un sourire à faire craquer toutes les femmes. Mais aujourd'hui c'est de moi qu'il va se charger. Pas content, il se place derrière moi alors que je reprennais mon travail de suce sur Jérémy
Yann qui n'avait pas bougé jusqu' à présent, commençait à s'exciter en me voyant défoncé par les deux bouts. J'étais content de me dire que très bientôt j'allais m'occuper de lui aussi. Il est plus petit que les deux autres, hyper musclé et très poilu, le type italien assez rablé, les cuisses très épaisses comme sa bite. Je miaulais de plaisir au moment où j'ai remarqué à côté de la bite de Nico celle de Yann, le gland complètement dégagé, turgescent, avec une goutte de mouille qui ne tardait pas à me filer sur le visage. Il se rapprocha de Nico, tous les deux à genoux me présentaient leurs deux bites et je savais qu'il me fallait les ingurgiter l'une après l'autre, puis toutes les deux en même temps. Leurs deux glands avaient du mal à rentrer dans ma bouche mais ils voulaient vraiment me voir écoeuré par leurs bites. J'avais les trois en moi, sans pouvoir toucher mon propre zob, au bord de l'explosion à chaque coup de bite administré par Jérémy, qui sortait de mon cul complètement, prenait son élan et y retournait d'un coup sec en gueulant de plaisir. Nicolas se dégagea et ne tardait pas à prendre la suite de Jérémy à l'arrière. Sa bite étant plus grosse, mon plaisir augmentait d'un cran, le rythme de Nico était différent, avec parfois des petits coups sur la rondelle pour me faire languir, suivis d'une enculade longue me permettant de profiter de toute la longueur de sa tige. J'avais alors tout le membre de Yann dans ma bouche. Il me prenait la tête pour imprimer sa cadence, puis se dégageait pour me faire gober ses grosses couilles poilues pendant qu'il se branlait en me regardant d'un air supérieur. Jérémy en profitait pour commenter le match, histoire d'énerver davantage ses potes...
A la reprise, chacun retrouva sa place : l'équipe de France allait essayer de limiter les dégâts sur le terrain, et moi à quatre pattes j'espèrais passer une difficile deuxième mi-temps. Jérémy qui n'avait pas pu participer à la double-pénétration, ne voulait pas être en reste face à ses deux copains. Il reprit son limage intensif direct me claquant encore plus fort la croupe comme pour se venger de ne pas avoir eu sa place dans la dernière action. Nicolas restait attentif au match alors que Yann de retour des toilettes voulait profiter du trou qui restait disponible pour y enfourner son chibre. Il n'était plus tout à fait raide, le prépuce avait recouvert le gland, je m'appliquais alors à passer la pointe de ma langue dans ce fourreau qui puait la sueur et la pisse. La bite ne tarda pas à gonfler et Yann, toujours aussi directif, imprimait le rythme avec toujours autant d'énergie en me tapotant sur la tête pour me signifier sa satisfaction...
Allongé sur la table du salon en fin de match, je me régalais du spectacle de ces bites en branles au-dessus de moi. Yann fut le premier à cracher dans un râle qui fit trembler les murs et je récoltais ce foutre épais sur les poils de pectoraux. Jérémy ne tardait pas à suivre, un vrai feu d'artifice avec son sperme qui partait dans tous les sens, m'arrosant du cou jusqu'aux burnes. Nicolas, lui, préféra s'assoir sur ma gueule pour que je puisse lui bouffer le cul et lui lécher les couilles. Sans attendre plus longtemps, il se libéra en me traitant de salope. Une fois vidés, ils se dirigèrent vers la douche, Yann remettait en ordre le salon, ouvrait la fenêtre pour que l'odeur de foutre qui envahissait la pièce se dissipe, et moi je n'avais plus qu'à me branler seul avec le foutre des trois bourrins pour jouir enfin. En passant devant moi, Yann me travaillait les tétons avant que j'explose de plaisir.
Très vite Jérémy me lança mon tee-shirt pour que je l'enfile rapidement et que je dégage de l'appart avant que la femme de Yann ne rentre. Je m'exécutais en vitesse, super content d'avoir servi de vide-burnes à mes potes. Dans l'entrée de l'immeuble, je croisais Valérie, la femme de Yann qui me connaissait un peu :
Ne voyant toujours personne apparaître dans cet univers un peu glauque, je décide d'aller pisser avant de repartir chez moi. J'étais en train de pisser face à un urinoir quand un rebeu d'une trentaine d'années à l'air vicelard est entré dans le petit local vétuste. Une ambiance crade y régnait et mon sang ne fit qu'un tour lorsqu'il s'installa à côté de moi. Son regard cherchait le mien et lorsqu'il le trouva, il me sourit d'un air entendu. Il siffla un bon coup et trois autres rebeux dans son genre
Il m'a attrapé par le col et m'a poussé vers un de ses copains qui me repoussa vers un autre et ainsi de suite. Ils se sont amusés à me pousser de l'un à l'autre tandis que j'avais toujours la bite à l'air. Une main me claqua le cul avec force tandis qu'une autre m'attrapa les couilles. Ma bite fut tirée avec force, malaxée et pelotée. J'étais vraiment très excité et j'ai commencé à bander comme un ouf. Ces mecs étaient assez effrayants et je sentais le danger... si ça se trouve, je me retrouvais au milieu d'une bande de mecs venus de leur cité pour casser du pédé. Malgré tout, la situation m'excitait grave et ma bite trahissait de plus en plus mon envie de me faire baiser...
Pendant ce temps, les autres mecs avaient tous sorti leur bite. Je les découvrais avec plaisir. Toutes longues et charnues, avec de bonnes couilles lourdes de bon jus. Et le plus kiffant de tout, une putain d'odeur de transpi et de fromton qui me prennait direct aux narines.
— Mais elle en redemanderait cette salope, dis que tu aimes la bite de rebeu !
— À poil bâtard !
Le Djamel en question - qui était d'ailleurs mon préféré avec ses airs de kaillera viril et poilu - a commencé à me claquer le cul à mort tout en m'insultant en arabe. Il a continué sur la bite. Il voulait me faire débander mais ça m'excitait encore plus fort. Le plus jeune passa derrière moi et m'attrapa fermement les bras pour m'empêcher de bouger. J'étais livré à ces fous excités. Ses copains m'ont alors soulevé pour me mettre en appui sur les bords de la cuvette et le salaud s'est acharné à me rougir les cuisses et les fesses. Des mains m'ont ensuite redescendu sur le sol et m'ont fait plier l'échine. Je frissonnais ! On m'a craché dans la raie du cul et, après avoir entendu un bruit de papier déchiré, j'ai senti un gros gland qui poussait sur mon petit trou. Une queue s'est enfoncée d'un coup sec et j'ai gueulé. J'ai alors eu le droit à une claque sur la tête. Mon enculeur m'a attrapé par les cheveux et m'a plaqué, sans me ménager, la gueule sur la cuvette odorante. Il me limait comme une chienne sous les cris de ses copains qui l'excitaient.
J'ai ensuite été obligé de récurer leurs 5 queues foutreuses à la chaîne, avant de devoir me branler devant eux, le cul béant et le corps ruisselant de foutre de rebeu... Situation hyper humiliante mais qui m'excite tellement que je balançais très vite une dizaine de giclées de foutre bien épais sur le sol crasseux des chiottes.
La dernière fois, je suis allé draguer sur les bords de Seine, assez tard dans la nuit. Les regards se croisent, on se toise. Cela fait dix minutes que je me promène, quand je passe à côté d’un mec qui
En attendant d'avoir l'âge de sucer des bites, faut bien avoir quelquechose à se mettre sous la dent ou plutôt sous le nez. Je choure un maximum de calbutes pour me branler avec. Par exemple, ceux de mes voisins qui font la lessive et qui laissent leur panier à linge rempli dans la buanderie. Y'a qu'a repérer le jour de lessive du mec qui te fait bander un max, par exemple le voisin du dessous, un hétéro poilu avec un gros cul, et que vous entendez baiser sa copine, le soir. Ensuite vous n'avez plus qu'à faire votre marché. Le dernier que je lui ai piqué c'est un boxer noir. Je vous dis pas comme çà fouette là-dedans. Bonne odeur de queue sur le devant, de pisse aussi, quand la queue est rentrée dans le calbute mal essorée. L'avantage du noir c'est que les traces de mouille et de sperme sont plus visibles. Et puis il a aussi une bonne odeur de cul. J'imagine que sa raie devait être bien grasse. Je sniffe comme un ouf et me branle avec. Je l'ai même utilisé pour jouer avec un mec la dernière fois que j'ai baisé.
Quand je suis trop och, que ma queue pleure et qu'elle a envie de gicler, je m'enferme dans une cabine et je m'astique en pesant à toutes les bites de mes collègues que j'aimerais bien sniffer et sucer. Des fois, j'entend le bruit de certains types qui pissent à côté. Cà m'excite à fond.
Y'a pas longtemps çà m'a donné une idée. Attention, vous allez trouver çà super pervers. Au bureau, Le pissoir des toilettes pour mecs se trouve aussi dans une cabine où l'on peut se fermer. Mais la plupart des mecs pissent la cabine ouverte. Cà permet de mâter le mec, de dos, en train de se soulager. Quand je suis au lavabo et que j'en vois un bien bandant qui arrive pour pisser je m'attarde toujours un peu et j'attends qu'il ait fini. Je vais alors dans la cabine et je m'enferme dedans. Là, je soulève la grille au fond du pissoir et j'éponge le bon demi-centimètre de pisse qui reste au fond avec mon calbute, que je porte blanc de préférence. Vous me croirez ou pas, mais je trouve pratiquement à chaque fois un mollard coincé dans la grille. Ces gros machos hétéros aiment bien marquer leur territoire. Imaginez, vous passez après le p'tit latino du service technique et vous trouvez çà. Je kiffe. C'est comme çà.
Une de trop, je lui laisse pas finir sa phrase. Je lui ai détalé une mandale pour lui faire fermer sa p'tite gueule de tepu. Sans lui laisser le temps de comprendre ce qui s'est passé, je l'ai attrapé par le colback et plaqué la tête contre le mur. Là, il bougeait plus. Je fais voler une de mes skets, je choppe une de mes cho7, je sors une bouteille de popp de ma poche, je dose et je lui applique direct sous le pif : il devient tout rouge mais déjà il la ramène plus. Je lui baisse direct le fut et le slip sur les genoux. J'adore çà, voir un mec plié à 90°, le slip sur les mollets : c'est toujours bien avilisant. Dans un même mouvement spontané, je lui fous aussi sec un doigt dans le cul . Et là je l'entends, la femelle, qui se réveille, respirer comme un boeuf à travers la cho7 et commencer à geindre comme une bonne gouine.
Je lui choppe alors les couilles à ce bâtard, et je commence à lui travailler le pacson. Il geint encore plus. Alors j'enfonce le doigt un peu plus loin dans son intérieur, et là je découvre que je suis en compagnie. La crevure est pleine !
Je décide de pousser le vice plus loin. Je sors le doigt et lui applique aussi sec en lieu et place du popp, direct sous le pif. Il a un mouvement de recul, alors avec la deuxième main, je pousse sa tête. Mais il ouvre la bouche et me le suce. La grognasse devient de plus en plus chaude en bavant et en grognant comme une bonne chienne. Là, je le fous par terre, je lui arrache son slibard, le roule en boule dans le creux de ma paume et l'étouffe avec. Son mec est toujours vautré dans le canapé, rigole et se paluche le zgeg sorti par la braguette.
Mais je n'ai pas mis longtemps à trouver la perle rare : un pur bogosse d'une trentaine d'années, skin rouquin (le pur keum anglais quoi !), le genre de p'tit laskard vulgos qui me fait kiffer direct ! Je suis passé à quelques centimètres de lui et là une putain d'odeur de sueur m'a fait bander encore plus raide... Avant que j'ai le temps de penser à une technique d'approche, il m'a choppé solidement par la nuque et m'a plaqué direct la gueule sur ses aisselles humides. Putain je vous dis pas l'odeur !!!!!!!!!! Je peux vous dire que la réputation des rouquins niveau odeurs de transpi n'est pas une légende... J'avais rarement sniffé une aisselle aussi dégueu, à croire que le keum n'avait pas pris une douche depuis des semaines ! En plus, avec la chaleur du bordel, il transpirait un max et la sueur dégoulinait littéralement le long de son corps. Il a pas mis longtemps à me calculer et à voir que j'avais un bon potentiel de tarba. Et quand en plus il s'est rendu compte que j'étais céfran, ça a décuplé son envie de me larver ! Quoi de plus bandant pour un pur laskard british que de loper un céfran et de l'humilier un max devant ses potes.
Après m'avoir bien fait sniffé ses aisselles, il m'a choppé par les cheveux et collé le pif sur ses boules bien pendantes... Ouahhhhh l'enfoiré, visiblement ça devait faire aussi plusieurs jours que ses burnes macéraient dans son calbut ! J'ai pas pu m'empêcher de les sniffer de façon très sonore en gémissant un max comme une vraie chienne. Et à en croire les grognements qu'il a alors poussés, ça a dû l'exciter grave ! Malheureusement mes quelques notions d'anglais ne m'ont pas permis de comprendre toutes les insultes qu'il m'a balancées mais rien que son ton vraiment autoritaire suffisait à me faire kiffer à mort !
Il a décalotté son gros zob petit à petit, en prenant bien soin de le coller sur mes narines pour que je m'imprègne au max de son odeur ! J'ai déjà vu pas mal de queues fromageuses, mais là franchement je dois reconnaître qu'il arrive facilement dans le peloton de tête des zgegs les plus fromageux que j'ai pu récurer !!! Une fois décalotté, son gland restait presque entièrement recouvert de from bien gluant, et je ne me suis bien évidemment pas fait prier pour passer la langue sur ce divin dépôt afin d'en recueillir le maximum ! Le truc de ouf, je vous dis même pas !!!
Evidemment une fois vidés, ils se sont tous rapidement cassés, me laissant couvert de jus avec une trique d'enfer. Je me voyais déjà me finir tout seul quand à ma grande surprise je sentis me caresser le dos...
A peine installé sur mon fauteuil, au fond du 1er étage, je me suis mis à sortir ma bite et à me branler en voyant les beaux sexes d'hommes sur l'écran. Au début, mes yeux étaient fixés sur l'écran et je ne faisais pas attention à ce qui se passait autour de moi. Progressivement, quand mes yeux se sont habitués à l'obscurité, je me suis aperçu qu'un mec était placé à 2 sièges de moi, et me mattait entrain de me branler. Il me fixait du regard et me faisait des signes de la tête et de la main pour que je vienne près de lui. L'excitation étant de plus en plus grande, je me décidais à aller m'assoir à ses côtés.
Il fit descendre sa braguette et déboutonna son pantalon. Je me trouvais alors face à son slip, qui puait encore bcp plus que le jean. Il me sussura de lécher son slip et de bien le sniffer; ce que je fis avec application malgré mon impatience à découvrir sa bite, responsable de tant de bonnes odeurs.
Il me demanda alors d'arrêter et me présenta sa belle bite devant le nez. Elle puait grave. Tout doucement il la décalotta, et montra fièrement son gland recouvert d'un enduit blanchâtre nauséabond. Là encore, il me dit de le sniffer tranquillement puis de donner des coups de langues. C'était l'extase pour moi. Après quelques minutes je pus enfin introduire son sexe dans ma bouche et très vite il éjacula. Il me demanda si j'avais aimé et me dit que je pouvais maintenant me branler.
Je revis plusieurs fois ce mec, toujours dans sa camionnette, avec laquelle nous nous isolions dans la nature pour pratiquer nos jeux crades. Il me pissa dans la bouche et une fois il me fit lécher son cul plein de merde juste après qu'il ait chié.
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