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Témoignages

Lundi 2 octobre 1 02 /10 /Oct 18:26

Certains d'entre vous se souviennent peut-être de l'histoire super bandante de Fabien (alias PAMPA), un bogosse hyper cho et grave accro aux teubs fromageuses qui nous avait raconté comment il avait récuré à fond un de ses potes de 21 ans, chauffeur poids lourds et visiblement fâché avec le savon ("Premier décrassage").

Et bien bonne nouvelle, PAMPA est de retour sur le blog avec une putain d'histoire qui va encore vous faire cracher direct. Ce p'tit bâtard n'a rien trouver de mieux que de se faire surprendre par son pote de chambre à l'internat en train de sniffer son calbut bien daubant. Inutile de dire que cet hétéro bien macho ne s'est alors pas fait prié pour ce faire récurer des pieds à la tête par cette petite pute en manque d'odeurs de mâle de rut ! Franchement les mecs, c'est la jute garantie avant la fin du texte !!!


Je vais vous raconter ce qui m’est arrivé durant mes études hôtelières où les stages pendant les grandes vacances étaient obligatoires. Je n’aurais jamais pensé prendre autant mon pied dans cet hôtel en banlieue de Strasbourg…

Jérémy, un bogosse de 17 ans, cuisinier stagiaire, me faisait grave bander avec sa gueule de petite frappe. Nous partagions tout les deux la même chambre réservée aux stagiaires où je pouvais profiter de la vue de son corps et surtout de ses odeurs de jeune mec un peu négligé.
Nous nous entendions bien et rapidement, pour l’arranger, je lui ai proposé de laver son linge avec le mien, pour lui éviter de descendre à la blanchisserie… J’en profitais en fait pour sniffer ses chaussettes humides de sueur après une bonne journée de travail et surtout ses boxers imprégnés de sa bonne odeur de queue en me paluchant comme un malade.
Mais ce qui devait arriver arriva, un jour il a fini le service en avance et m’a choppé dans la chambre, allongé sur mon lit, la bite à la main, un de ses slips dans la gueule…
— Enfin sur le fait ! J’étais sur que tu faisais autre chose que m’les laver mes fringues, j’men doutais tu sais. C’est vraiment dégueux putain ! Ça te plait çà ?
J’étais mort de honte, incapable de prononcer un mot, et je pensais tout de suite aux répercutions de mes actes, la tête de la directrice s'il allait se plaindre, la fin de mon stage…
— Ben continue, branle-toi là, fais voir c’que tu fais avec un slip sale !
Il s’assoit sur le bord du lit et me regarde avec un air pervers. Je branle timidement ma teub à moitié débandée sans trop oser continuer à bouffer son sous-vêtement.
— T’y mets pas de cœur là, applique-toi et nettoie-le partout...
Je m’applique à saliver là où sa teub était, en reniflant bien le tissu, mais ça ne semble pas le satisfaire et il m’arrache son boxer des mains.
— Putain ! J’savais pas qu’y avait des pédales aussi crades, ramène ta gueule à mes pieds !

Je descends au bord du lit, et je me retrouve à terre, le nez à quelques centimètres de ses pompes, qui au passage sont déjà bien odorantes. Sûr que ce salopard ne change pas de chaussettes en sortant de cuisine. Je garde les yeux baissés vers le sol en attendant la suite.
J’entends un fort raclement de gorge, et splatch !!! un gros glavio s’écrase par terre entre ses pieds. Jérémy ne dit rien, il attend apparemment.
Je finis par me rapprocher de ce molard qui tient plus de la grosse morve que du crachat. J’ai terriblement honte à l'idée de que je vais faire mais je continue à descendre et je tends les lèvres pour l’avaler. Aussitôt, il m’écarte énergiquement le visage :
— Tu lèches mais t’avales pas... Je veux te voir bouffer ma morve, bâtard !
Je mets ma gueule sur le côté et je lape. Putain y’a des morceaux gluants, et j'peux voir que ce porc vérifie bien que je les avale ! C’est la première fois que je fais çà et je bande au point d’en mouiller. Pendant que je lèche son glavio, il me salive sur la gueule, ça me coule doucement sur le nez. Puis un autre sur la joue. Je me sens vraiment rabaissé, je me sens mal mais j'suis trop excité par la situation.

— Tu te dessapes maintenant, j'vois pas de quel droit tu serais habillé, y’a qu’un clebs pour faire çà ! A poil salope !
Je me débarrasse de mes vêtements qui vont valser à l’autre bout de la pièce. A peine ai-je terminé d’enlever ma dernière chaussette qu'il me plaque la gueule entre ses skets, le nez en avant, me tartinant les restes de son molard dans le pif.
— J’ai une idée ! Puisque t’aimes sentir mes slips tu vas sûrement être heureux...
Jérémy va attraper une barre chocolatée qu’il commence à bouffer et dans un même temps prend une bouteille d’Evian à moitié pleine à côté de son lit. C’est la bouteille qui lui sert de pissotière quand il a la flemme de se lever pisser la nuit... Le liquide y est jaune foncé, trouble…
— Rien que pour toi, de la bonne pisse du matin, t’aimes çà non ? Y’a de l’odeur, çà doit te plaire !
Il me donne la bouteille, le salopard : un demi-litre de pisse froide ! J’ouvre et déjà c’est gerbant. Sans doute parce que je n’allais pas assez vite, il décide de "m’aider". Il prend la bouteille, coince ma tête entre ses genoux et commence  à me faire boire, ses yeux bruns plantés dans les miens. Le goût est infecte, si bien qu’à la troisième gorgée je suis pris d’une envie de vomir. Et je crache sa vieille pisse sur son futal.
— Putain ! Tu vas la boire c'te bouteille j'te dis !

Il retire ses skets et me colle le pif dans l'une d'elles. Ca schlingue le calendos à mort, c’est clair qu’il a fait exprès de bien transpirer dedans. Ses pieds ont dû macérer des heures pour que ça daube autant. Pendant ce temps, il vide le reste de la bouteille dans l’autre sket, et en me relevant la tête, me la colle sous le nez.
— Maintenant tu vas tout boire sinon tu vas beaucoup moins aimer ce que je vais te faire bouffer !
J’avale ce mélange gorgée après gorgée, putain que c’est crade !!! Mais j’aime le goût de ce mec, ses odeurs intimes, sa pisse... Ce petit jeu commence même à m’exciter à mort.
Il pose la sket à terre et m’ordonne de continuer à lécher l’intérieur pour bien la nettoyer… Comme si c’était possible. Je m’applique, même si mon estomac n’est pas d’accord tellement ça pue. A chaque coup de langue, j’ai ce goût âcre et salé dans la bouche. Malgré la pisse, le parfum de ses pieds est toujours plus fort.
Pour une fois qu’on se plaint pas que je pue des panards ! Maintenant tu vas bouffer mon calbut. Je garde toujours le même pour dormir, ça devrait être à ton goût !

Il descend son pantalon et je découvre son boxer noir tapissé d’auréoles blanchâtres, témoins de ses branlettes nocturnes. Les effluves de sa transpiration me rendent fou. Il l’a porté pendant plusieurs jours c’est sûr, je connais bien ce genre de tâches pour en avoir crader moi-même... Je m’approche instinctivement et j’me colle dessus pour profiter de cette senteur de mec, de vrai gars pas lavé du gland, de  son sperme et de sa pisse séchés. Putain, j’m'en fous plein les narines !!!
— T’es vraiment un bâtard, tu prends ton pied quand ça pue toi !
Avec ses deux mains, il me plaque contre son calbut humide. Je me contente de couiner pour approuver et je me mets à lécher le tissu salé. L’odeur de son entrejambe est forte, je m’en imprègne autant que je peux. Sa main me caresse le cul, il me câline même la rondelle. Ce mec me rend dingue. Il continue à me branler le trou et essaie d’enfoncer son doigt. Je ne me fais pas prendre mais ce qu’il fait est trop bon, surtout avec un bon calbut à lécher… Je salive à donf pour le mouiller et avaler le jus de son entrecuisse. Son doigt rentre et sort de mon cul, il le retire et me le colle direct sous le pif. J’essaye de me retirer mais il me serre.
— Allez ouvre ! T’as qu’à être propre tu nettoies...
J’ai pas le temps de m’expliquer, il me l’enfourne direct dans la gueule. Ce pervers me regarde bien droit dans les yeux pour apprécier la réaction. C’est pas mon truc et ça se voit mais il s’en tape.
T’es un bon chien, t’as bien mérité une boisson chaude !
Il fait glisser sa bite épaisse sous l’élastique détendu du boxer, et pose son gland recouvert d’un long prépuce sur ma langue. Rapidement, un jet fin coule et j’avale comme je peux cette pisse fortement salée et nauséabonde, mais c’est quand même meilleur directement à la source. Le jet s’accélère et je ne peux plus suivre. Sa pisse coule sur moi puis sur le sol.
— T'en fous partout, regarde par terre putain ! Nettoie bâtard !
Je m’exécute et essaye de laper comme un clebs le sol pisseux. Il ne manque pas d’appuyer ma gueule contre le carrelage et me trempe le visage de son urine.
— T
u finiras après. Tu fais que sucer des slips sales ou t’aimes aussi les bites crades ?
Ce qui ressemblait à une question n’en est pas une, il me remonte et direct il me présente sa queue sous le nez et commence à tirer sur son prépuce. C’est humide, je lèche sans réfléchir, mais déjà l’odeur me prend à la gorge, genre fruits de mers avariés. Il la décalotte complètement : une odeur de bite vraiment dégueulasse ! La base du gland est recouverte d’un genre de crème blanchâtre luisante de mouille. Il s’est pas lavé la teub depuis un bail, c’est clair ! Puis il essuie sa teub consciencieusement autour de ma bouche, comme pour voir si j’allais finir par craquer. D’instinct je lèche, et récupère un peu à chaque fois de son fromage de bite pour l’avaler. Il apprécie le salaud et me pine doucement le bord des lèvres, je peux me régaler de son odeur de bite de keum crade. Il finit par y aller franco et me pilonne la gueule comme une chatte.

Je peux sentir ses couilles chaudes et velues taper contre mon menton. Je salive comme un taré, sa bite est trop bonne, et l’odeur de ses poils pubiens un régal quand j’ai sa bonne queue au fond de la gorge ! Ses doigts récupèrent ma salive pour me la faire ravaler avec sa bite. Rapidement, il lâche de bons jets de foutre en grognant. J’avale de suite son jus salé. Puis il s’égoutte le gland sur ma gueule. Putain je pue méchamment ! Mais apparemment il aime bien çà aussi ce Jérémy...
— T’es vraiment taré pour aimer çà, et si tu veux pas que ça se sache à partir de maintenant tu me boufferas la queue dès que j’en aurais envie !
Et moi j’étais heureux d’avoir encore une semaine de stage à passer avec lui !

Par PAMPA - Publié dans : Témoignages
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Vendredi 29 septembre 5 29 /09 /Sep 16:39

Tout d'abord un grand merci à tous ceux qui ont déjà voté pour l'élection de Mister Fromton 2006. C'est vraiment cool de votre part de jouer le jeu et de désigner qui selon vous est le mec qui a la plus belle queue fromageuse... Des mecs se détachent déjà après ces premiers votes mais rien n'est fait, il reste encore 15 jours pour voter. Alors je compte sur vous pour vous lâcher grave sur les commentaires et faire exploser les compteurs !

En attendant le verdict, et comme beaucoup d'entre vous l'ont demandé, voici la fin du témoignage de MARC, notre p'tit Suisse de 31 ans qui nous raconte comment il s'est fait récuré pour la première fois de sa vie par une lopsa bien och de 25 ans... Pour ceux qui n'auraient pas lu le début (ou qui voudraient le relire ! lol), il suffit de cliquer sur ce
lien. Jute garantie avant la fin du texte !
Bonne lecture et bonne sturbe à tous...

Je l’ai pris alors par les cheveux et je l’ai tiré jusqu’à ce que son pif soit collé sur mon gland. Là je lui ai dit :
Tu vois p’tite pute, c’que t’as reniflé avant c’était encore rien à côté de çà. Mâte cette queue ! C’est ce genre de queue crade que t’aimes bouffer, hein pd ?

Le mec avait les yeux rivés sur ma bite avec la langue suppliante.
Ouais, j’suis qu’un décrasse-queues !
Là, j’ai rigolé et je lui ai refoutu une baffe pour le r’mercier du terme.
Alors maintenant tu vas sniffer, histoire de bien comprendre ce que tu vas bouffer. Et quand je te dirai bouffe, alors tu me récupéreras tout çà et tu le garderas sur ta langue, c’est clair ? 
Apparemment, il avait pigé. Je l’ai laissé sniffer ma teub une bonne dizaine de minutes et ensuite je lui ai ordonné de bouffer. Cette chienne a récolté tout le from et les dépôts en tous genres que j’avais accumulés depuis 10 jours autour de mon gland. Quand elle a eu fini son travail, elle me présenta sa gueule et sortant bien sa langue.
Mais c’est que t’as l’air d’être fier de toi en plus ? Allez, donne-moi çà !

J’ai récolté alors tout le paquet de from que ma tepu avait stocké sur sa langue avec deux doigts et je lui ai tartiné les narines avec.
Voilà, maintenant tu vas pouvoir te shooter non-stop tout en faisant ta pute. C’est mieux que du poppers, tu verras.

Je me suis alors allongé sur le lit et je lui ai dis d’approcher.
Maintenant tu vas te branler tout seul, le temps que je débande. Avec ta gueule en face, ça va pas être difficile.

 Le mec avait évidemment compris quelle allait être alors la prochaine étape. Cà l’a encore plus fait kiffer et il a recommencé à se palucher comme un ouf devant moi.

 Au bout de 5 minutes, je lui ai dit de revenir me sucer. Quand ma teub a bien été au fond de sa gorge, j’ai alors commencé à pisser. Cette pute n’a pas bronchée. Elle continuait à pomper tout en avalant les petits filés de pisse que je lui balançais. Je le repris par les cheveux et lui dit alors :
Et je veux pas en voir une goutte sur le lit, c’est clair ?

Soudain, le mec arrêta de me sucer pour me dire, en me regardant droit dans les yeux :
Maintenant je veux ton jus, je t’en supplie, donne-le moi, j’ai été une bonne pute, j’ai mérité ton foutre !  
J’ai décidé alors que j’allais lui faire plaisir à ce batârd et je l’ai laissé me pomper la teub comme un ouf pendant que je lui doigtais le boule avec deux doigts. Sans prévenir, je lui ai alors déchargé au fond du gosier. Il a tout avalé en lâchant son foutre sur mes draps.

Ensuite, on a pas vraiment parlé. On s’est embrassé et il est parti. Je ne l’ai jamais revu.

Par MARC - Publié dans : Témoignages
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Vendredi 22 septembre 5 22 /09 /Sep 16:26
Salut les queutards !

Alors toujours la trique et le gland poisseux après chaque passage sur mon blog. ?!! Hummm je mouille rien que d'imaginer les litres de jus qui sont déjà sortis de vos teubs daubantes depuis la mise ligne du blog fin juillet. Je vous rappelle que ce blog est le vôtre, et que c'est donc en grande partie grâce à vos témoignages, vos pics et vos commentaires qu'il continue à se développer...

Aujourd'hui vous êtes vraiment gâtés car vous avez droit à un témoignage hyper bandant et à des pics bien och d'un vrai bâtard accro aux odeurs de mecs en rut : NOXLOPE
J'ai déjà vu pas mal de bonnes lopsas bien och, mais ce mec là j'ai l'impression qu'on a tiré le gros lot ! lol Ce keum a l'air d'assurer grave et d'en vouloir un max. Côté description, il a 27 ans et habite sur Paris, 1m78, 62 kg, crâne rasé, musclé sec et corps de tépu pratiquement imberbe. Quant à son fion de tarba, rien que de le voir en pics, ça donne envie de le fourrer direct comme un clebs ! Il a commencé à kiffer les teubs crades à force de faire des plans en extérieur et désormais c'est devenu un vrai bâtard à queue fromageuse qui adore se faire larver par des mecs domi à la fois odorants et endurants ! lol

Alors si vous voulez vous taper une bonne tépu accro aux odeurs de mec, n'hésitez pas à prendre contact avec lui grâce à ce
lien... il n'attend que çà !
En attendant, je le laisse vous raconter en détails un de ses nombreux trips décrassage... Jute assurée en moins de deux minutes ! lol
 

Je suis NOXLOPE, un bâtard soumis hard. Je vais vous raconter le plan que j'ai fait il y a bientôt 6 mois. Je dial sur le net avec un mec qui avait envie d'un bâtard pour bien se vider. Au fil de ce dial, on a convenu d'un plan car j'étais trop cho pour rester chez moi, il ne donna rendez vous sur un chantier dans le 14e où il y avait des agécos. Il me dit de me rendre dans celui des sanitaires. Dès que je suis rentré dans ces chiottes, l'odeur était trop bonne ! Mon portable sonne : c'était lui !
Il me dit de me mettre à poil et en position de bâtard, ce que je fis aussitôt. Je sniff à donf car l'odeur de mecs était trop bonne. Il est rentré après quelques minutes, sans rien me dire, il m'a plaqué au sol, en me disant que j'étais sa pute ce soir et qu'il avait prévu de bien m'exploiter toute la nuit. Il me banda les yeux pour que je sois bien lopsa. Il me dit de lui décrasser ses skets ce que j'ai fait... Humm le pied !!! L'odeur était bien pourrie comme je kiffe. Après il a défait ses skets et m'a ordonné de bien les décrasser mais je ne pensais pas qu'il avait l'idée de me pisser dessus.
Il me dit que je suis réel pute et que je dois sentir sa pisse. Tout en m'insultant de tous les noms, je devenais encore plus chienne. Je mouillais de la chatte et je n'avais qu'une envie, c'était de décrasser sa teub car quand il me pissait dessus l'odeur de sa teub était encore plus hard que celle de ses skets. Une fois qu'il eut fini de pisser, il me dit de venir lui sniffer sa teub et ses couilles. Je ne vous dis pas quelle fut ma surprise quand j'ai sniffé çà...
Humm putain ce mec n'avait pas dû se laver pendant au moins une semaine. Rien que de le sniffer, je peux dire que je suis devenu encore plus chaude pour être sa chose. Il bandait grave : sa teub était de 20*4 et il me disait qu'il voulait que je lui décrasse bien sa teub et qu'après il allait me travailler ma chatte avec.

Il me mit alors sous le pif son calbut bien pourri, il l'attacha avec un lacet pour que je me gaze pendant que je commencais a passer ma langue de lopsa sur son gland pour récupérer sons fromton bien chaud. Je prenais tout ce fromage de mec, je jouais car je ne voulais pas ne plus en n avoir après, mais là il m'a dit d'un ton sec : "Avale ma teub sale pute !!!"
Il me prit la tête et me baisa la gueule à fond en m'insultant. Humm rien que de vous le raconter, je mouille à nouveau.
Après cette suce, il me travailla ma chatte et direct il me défonça. Il me disait que j'étais sa pute et que ma chatte était à lui et qu'il allait bien me la dilater. Mais là je sentis une odeur de teub bien pourrave sous le pif. Ce mec ne m'avait pas dit qu?il avait prévu une autre teub, mais comme je suis chienne je sniffe aussitôt l'autre mec pour bien lui faire voir que je suis une lopsa. Le mec me donna sa teub à décrasser : elle était plus petite mais belle aussi car elle devait bien faire 18cm. Le mec me mollardait la gueule en même temps. Humm le pied d'être utilisé comme tel par deux laskard en rut.

Après m'être bien fait larver par eux, j'ai reçu leur jus à avaler : le pied total pour moi comme pour eux ! Ce plan a duré presque toute la nuit car ils m'ont baisé plusieurs fois et une fois j'ai même pris leurs deux teubs en même temps dans la chatte ! Quel pied de se sentir lopsa pour des mecs bien hard !!!
Alors les mecs si vous cherchez une lopsa, je suis a dispo...
Noxlope

Par NOXLOPE - Publié dans : Témoignages
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Mardi 19 septembre 2 19 /09 /Sep 15:45

Pour terminer en apothéose cette mise à jour (on peut dire que vous êtes gâtés aujourd'hui ! lol), voici le grand retour sur votre blog préféré de FROMTIX, un p'tit minet de 20 ans bien lopsa qui kiffe grave les odeursde mâle en rut !!! Vous avez été très nombreux à gicler en lisant son témoignage "Larvé par deux bogosses en rut" (je vous invite d'ailleurs à cliquer sur le lien pour la relire) et à en croire les commentaires sous ses différents articles, beaucoup d'entre vous attendaient son retour pour pouvoir à nouveau lâcher un max de jus en lisant ses histoires bien och !
Je vous laisse donc découvrir son témoignage, accompagné de quelques pics perso hyper bandantes... Et si vous kiffez, laissez-lui un max de commentaires sous l'article pour qu'il nous en envoie plein d'autres !


Y'a des jours comme çà, où on se réveille avec une putain d'envie de baiser. On voudrait qu'apparaisse devant soi un beau mâle bien chaud, monté comme un taureau, et prêt à te faire subir les trucs les plus och qu'on puisse imaginer.

Ce matin fut un de ces matins. Comme d'hab', j'avais envie d'une bonne teub à sucer et de me faire péter le cul. Et comme d'hab, j'avais envie de me prendre plein de jus bien épais dans la gueule, et tout récupérer afin de me délecter de la moindre goutte de foutre.
Mais ce matin plus que les autres, j'avais envie de trucs bien hard, bien crades. Envie par exemple qu'on me crache à la gueule, afin (s'il en est besoin) qu'on me rappelle que je suis une vrai salope. Envie de sentir la chaleur tellement bandante de la pisse (que j'aime sentir la chaleur de la pisse ruisselant sur mon corps !). Envie également qu'on s'occupe longuement de mon cul. Ca c'est un truc que j'adore : qu'on prenne le temps de bien me le dilater. J'ai tendance à bien mouiller (pire qu'une gonzesse), alors on a vite fait de m'enfoncer des trucs bien épais, qui m'arrache des cris de
douleurs, mais qui me donne un plaisir immense.

Problème, le bel étalon de mes rêves n'était pas là. Bilan, il a fallu que j'en vienne à la bonne vieille méthode : la masturbation ! Inutile de dire que je pratique plus que régulièrement. Et comme beaucoup, j'aime bien pimenter un peu mes scéances de branle. Et ce matin, j'ai voulu que ce soit
bien humide.
J'ai commencé par sortir un vieux boxer, plutôt crade. Je me le suis foutu sous le nez et j'ai respiré à fond... putain que ce mélange de pisse, de jus et de merde m'a fait bander ! Et puis j'ai pas pu m'en empêcher, je me suis pissé dessus, rajoutant encore un peu de pisse sur ce bon vieux boxer, qu'avait pourtant pas besoin de ça pour bien sentir. Le corps trempé par ma pisse, je me suis branlé, tout en me doigtant. Je me suis mis un doigt, puis 2, puis 3, le plaisir augmentant à chaque fois.

Finalement, c'est toute la main qui a fini par dans mon trou ! Et là, j'en pouvais plus, j'ai senti que le jus allait bientôt couler. Alors pour pas en perdre une goutte, je me suis allongé sur le dos, et j'ai fait passé mon cul au-dessus de ma tête, afin de me retrouver face à ma queue. Je me suis alors fait jouir, et tout mon jus a pu me couler direct sur la gueule. Et j'ai rien laissé se perdre !!
Certes, ce genre de branle ne vaut pas de se faire larver par un bon mec. Il n'empêche que j'ai bien pris mon pied !
Fromtix

Par FROMTIX - Publié dans : Témoignages
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Mardi 19 septembre 2 19 /09 /Sep 13:05

Vous vous souvenez tous de MARC, notre p'tit Suisse de 31 ans bien och qui nous avait fait cracher un max de yop en vous racontant son premier plan sniffage avec les calbuts bien daubants qu'il piquait à son frangin. Et bien il revient cette semaine vous raconter en détails son premier plan décrassage. Et c'est encore plus chaud !!!! Préparez-vous à larguer la sauce avant la fin... Perso, j'en ai encore le calbut tout gluant !


Je vais vous tchatcher mon premier plan décrassage. Cà s'est passé il y a 4 ans environ. J'avais rencontré une bonne tépu sur le net avec qui j'échangeais depuis un moment de bons e-mails salaces. Je savais ce qu'elle voulait la chienne. Elle en avait après mon nectar de queue.

Un jour, on a finalement décidé de se rencontrer. Mais avant cela, on avait fixé une règle. Je ne devais pas me laver la queue au moins 10 jours avant notre rendez-vous. C'était pas un problème pour moi : j'ai toujours adoré laisser mariner ma teub plusieurs jours dans mon calbut, pour pouvoir ensuite le sniffer à donf. Et oui, même l'odeur de ma propre queue me fait bander.

Bref, j'avais filé rendez-vous au mec au petit matin. La veille, j'avais passé toute la nuit dans un club avec des potes. Une dernière occas pour ma teub de se crader encore un peu. La chaleur me faisait transpirer un max, et je mouillais en mâtant au pissoir les hétéros qui, tellement bourrés, remballaient parfois leur queue dans le fute avant même d'avoir complètement fini de pisser.
On est allé chez moi et, sans attendre, le mec s'est jeté au sol pour lécher mes pompes, une paire de KSWISS plus vraiment blanches à force de les avoir traînées partout. Les plans skets m'ont jamais vraiment branché mais de voir ce bâtard kiffer me lécher les pompes m'a tout de suite foutu la trique. Le mec en question avait rien d'exceptionnel, 25 ans, pas moche, avec un style bcbg qui contrastait vraiment avec sa position au sol.
Je l'ai regardé droit dans les yeux :
— Mais c'est que t'en veux toi,,,
— Ouais
— T'es une vraie tépu ?
— C'est clair !
Il arrivait pas à parler parce que sa bouche avait gobé le bout de mes sneaks jusqu'au lacet.
— Ben je crois pas non, parce que pour moi une vrai tépu, çà fait pas semblant de nettoyer, çà lèche tout, même la semelle.

Sur le moment, il a eu l'air un peu dégoûté mais çà n'a pas duré. J'ai vu dans ses yeux que je venais de lui faire monter l'adrénaline. Il s'est baissé encore un peu et a entrepris le nettoyage en bonne et due forme de mes semelles avec sa langue.
Je lui dis alors :
— C'est bon, c'est bon, tu m'as assez prouvé que t'étais une bonne chienne. Mais là je commence à m'emmerder grave.
Je me suis alors couché encore habillé sur le lit et je lui ai fait signe d'approcher tout en me mettant la main au paquet.
— Allez, viens. Approche. C'est pour çà que t'es venu non, tu veux d'la bite ? Tu vas en avoir. Fous-toi à poil avant, je veux plus rien voir sur ton dos.
Il s'est alors approché de moi, s'est déshabillé et à commencer à sniffer mon jeans à l'endroit de ma teub. L'odeur était déjà bien présente. J'ai déboutonné mon fute et là, il a direct voulu commencer à me lécher le calbute. Je lui ai dit :
— Attend, attend, pas si vite... tu me vas sniffer tout çà avant. Je portais un boxer qui, comme mes pompes, n'était plus vraiment blanc. Le mec a commencé à respirer mon entre-jambes en se paluchant la teub comme un malade. Il couinait de plaisir comme le p'tit cochon qu'il était.
C'est quand j'ai sorti ma queue de son étui que çà a vraiment commencé à schlinguer dans toute la pièce. Une odeur forte, comme celle du poisson. Imaginez, ma queue baignait depuis 10 jours dans son jus. Et il y en avait du jus. A raison de deux à trois branlettes par jour, ça débordait de crème, mieux qu'un Banana Split. Il avait toujours l'interdiction de me sucer. Je lui ai tendu mon calbute et lui ai dit :
— Allez, maintenant je veux te voir faire la salope avec mon calbute. Allez excite-toi, lâche-toi !
Il se le colla direct sur le pif et se branlant de plus en plus fort. Il était carrément en transe, j'avais jamais vu çà. Il sniffait, léchait, branlait sa queue avec puis le remettait à la bouche. Il se shootait sans retenue comme une vraie lope avec l'odeur de ma crasse. Là j'ai pensé, bingo ! T'as décroché le gros lot mec, çà c'est de la tépu 100% pur-jus !
Je lui ai alors repris le calbute et j'y ai balancé un gros mollard dans la poche de devant.
— Allez, bouffe sale pd ! T'aimes çà ?
— Oui
— T'es une tépu ?
— Oui
— Alors dis-le !
— Je suis une pute, je suis ta pute.
Là le mec il était bien och, moi aussi d'ailleurs.
— Allez, viens, t'as mérité ta récompense. Là, tu vas avoir l'odeur direct à la source.
J'avais pas encore décalotté mon gland, pour l'instant ce batârd devait se contenter de mon prépuce. Je lui ai collé direct le nez dedans en lui ordonnant de se shooter avec. Je lui ai filé une baffe quand il a essayé d'y introduire la langue.
— Est-ce que je t'ai dit de bouffer ?
— Non !
— T'inquiètes, t'auras tout le temps d'avoir ta dose.
— Mais j'ai trop envie de...
— Tu fermes ta gueule et tu sniffes. Sinon je me casse, c'est clair ?
J'ai commencé alors à me branler en découvrant toujours plus mon gland gluant.
Ma salope était comme un chien devant un os, il salivait un max en me remerciant de lui avoir préparer sa pâtée...

*** Fin de la transmission ***
Cà m'a trop chauffé de vous raconter çà, va falloir que je gicle un bon coup, ma queue me supplie, faut que j'y aille. C'est avec plaisir que je vous raconterai la suite, bientôt.
Marc

Par Marc - Publié dans : Témoignages
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Samedi 9 septembre 6 09 /09 /Sep 00:46

Salut les mecs !

Me revoilà après une petite absence que vous comprendrez aisément en lisant le suite. En effet, j'ai profité de quelques jours de vacances pour me faire un pur plan avec le bogosse le plus och de tout Paname, j'ai nommé TEUBIX en personne ! Putain j'ai déjà vraiment loin de m'attendre à un tel programme lorsque j'ai accepté son invitation à aller faire une rando entre potes à la campagne ! Franchement, je crois que je ne m'étais jamais fait larvé aussi hard auparavant, et pourtant j'ai déjà pas mal d'expérience en la matière !

Putain ce mec est trop génial, et il vit tous ses trips sans se poser de questions, c'est trop bon de baiser avec lui !!! Alors vous avez intérêt à aller en masse sur son nouveau blog (
http://teubix.com) et à l'inonder de commentaires pour qu'il continue à bien me larver pour votre plus grand plaisir... Je compte sur vous amis sniffeurs !
Allez, assez de bla-bla, je le laisse vous raconter notre dernier trip. Préparez-vous à larguer un max de jus ! lol


Fromton Boy et moi… On n’était certes pas des potes de toujours mais notre rencontre assez fraîche sur le net nous avait assez rapprochés pour prévoir une confrontation bien réelle pour se chauffer à fond sur nos trips le temps d’un week-end d'été...

Faut-il le préciser c’est lui qui allait jouer la lope et moi le maître dans cette aventure. Du coup, lui venait au rendez-vous sans savoir ce que je lui réservais… Je ne le savais pas vraiment moi-même. Je voulais que ce moment reste profondément encrassé dans sa mémoire de bâtard et bien placé aussi dans le catalogue de mes expériences hot entre potes. Potes jusqu’à un certain point… Car si les premiers échanges furent amicaux… très vite, j’ai changé de ton avec ma lope : il fallait qu’elle comprenne la pauvre petite place minable qu’elle allait occuper à mes côtés pendant deux jours qui allait lui paraître interminables, insupportables... et qui sait ? Peut-être sans billet de retour… Nous venions de nous retrouver devant la gare et sur le trajet qui nous menait à l’hôtel je le voyais déjà  inquiet de savoir ce que j’avais mis dans mon sac de randonnée  qui était plus gros que nécessaire pour deux jours seulement. Mais le bref scenar de séquestration à l’hôtel était pour moi déjà enterré depuis longtemps. Règle numéro un, il faut surprendre sa proie… la faire frémir dès les premiers instants… la déstabiliser, la dérouter…
Il devait vite perdre ses repères quand au lieu de rejoindre le centre-ville,  je l’ai entraîné à travers une foule de rues sinistres proches de bâtiments désaffectés pour finalement lui demander de me suivre sur un chemin à travers champs. Au loin : une forêt qui lui réservait certains des pires fantasmes de sa carrière de bâtard !

Après plusieurs heures pendant lesquelles je l’ai laissé me suivre sans lui prêter la moindre attention, je me suis arrêté et je l’ai fixé méchamment dans les yeux, il avait l’air épuisé… et assoiffé… J’ai posé mon sac, j’ai saisi le Fromton Boy par le col de son t-shirt et je l’ai traîné jusqu’à un arbre au tronc énorme que je venais de repérer. Je lui ai plaqué la tête contre l’écorce et lui ai ordonné de m’attendre sans bouger… Je suis revenu avec une corde de dix mètres de long et en quelques minutes, il se retrouvait attaché de la tête aux pieds le cul à l’air, le slob et le falzar en bas des jambes. Là, j’avais besoin de me soulager grave… la vessie pour commencer.

— Je vais devoir te déranger, vraiment navré pour toi mais t’es justement scotché sur l’arbre sur lequel j’ai envie de larguer ma pisse… ça te gêne pas au moins ?

Non maître, vous pouvez m’arroser… comme il vous plaît

— J'attendais pas ta permission ! Ferme ta gueule de petite pute !

J’ai baissé mon survet… Vas-y l’odeur qu’y avait déjà là… A faire fuir les moustiques à cent mètres à la ronde. J’avais mis un calbut qui avait déjà recueilli plusieurs doses d’urines de partenaires bien chauds et de bonnes  giclées de foutres dont pas mal du mien… Avec en prime la méga-transpiration depuis le départ en train avec une canicule à faire fondre un glaçon en cinq secondes. Autant dire ça que ça fouettait un max le vestiaire de fin de match ! Fromton avait capté, je l’entendais renifler dans l’air comme un ptit porc qui cherchait sa bouffe.

Contre toute attente il n’allait pas sentir  couler la moindre goutte de pisse sur lui, j’avais sorti une bouteille vide que j’ai alors rempli de moitié avec de gros jets dont le bruit frappant les parois en plastique rappelait celui d’un tuyau d’arrosage remplissant à fond un seau. Fromton a gémi rien qu’au bruit… Il était excité le mec et il aurait kiffé recevoir tout ça sur la rondelle, c’était clair… J’ai passé la main entre le tronc et sa bite… Raide comme une branche ! J’en profite pour passer un doigt pisseux sur le bout de son gland. Je récupère un peu de sa mouille mêlée de from qui arrivait jusqu’au bord du prépuce même sans décalotter…  C’est pas une légende ce « teubcrade.over-blog.com » ! J’ai foutu mon doigt sous ses narines, il a voulu lécher mais j’ai vite retiré la main pour moi-même devant son regard affamé sucer lentement ce doigt goûtu à souhait !

Je l’ai détaché, je le sentais frustré de n’avoir eu ni pisse ni jus. Alors qu’il remontait son slob et son jogg j’ai remarqué qu’il en profitait pour se mouiller un peu les doigts en touchant son gland.
Eh batârd ! T’as quelque chose pour moi là ! Amène-moi ça !
Il m’a avancé sa main, j’ai sniffé çà, léché puis lâché un gros mollard dans la paume que je lui ai ordonné d’avaler. J’avais grave la trique et lui aussi ne débandait pas.

On allait reprendre la marche quand il m’a dit qu’il avait lui aussi envie de pisser…
Qu’est-ce que t’attends, vas-y, pisse salope !
Alors comme il se dirigeait vers un arbre :
Oooooh toi là ! Reviens ici !
J’ai sorti un vieux lacet de ma poche et lui ai ligoté les poignets dans le dos.
Allez pisse et vite ! On a encore du chemin...

J’ai vu son survet blanc commencer à s’humidifier au niveau du zgueg puis la pisse a coulé le long de ses jambes jusqu’à ses skets.
Voilà du bon jus de chaussettes qui se prépare, c’est bon là ? Allez avance, tu peux finir en marchant !
Il continuait à pisser mouillant le bas de son t-shirt aussi et déambulait toujours attaché. Je lui tenait son sac à la main plus le mien sur le dos, il commençait à se faire tard… Je me suis mis derrière son dos et je l’ai bousculé pour qu’il avance plus vite.
Allez cours ! Plus vite, donne ton maximum ! Active-toi ! Cours mec je te dis !
Il a couru, je l’ai suivi des yeux jusqu’à le voir s’effondrer au sol. Il était essoufflé comme un bœuf  ! Je l’ai rejoint, j’ai largué les affaires à côté de lui…
Ben voilà t’as choisi notre lieu de campement ! Allez je t’enlève le lacet et tu montes la tente, et que ça saute !
Il sortait le matos du sac et pendant ce temps je m’ouvrais une bière plus très fraîche mais bienvenue malgré tout. Il se mit à installé le dortoir, je le voyais bien crevé le petit bâtard…
Garde des forces mon pote ! Ce soir tu m’appartiens et tu vas te donner à fond à moi… depuis le temps que t’attends ça ! J’ai du from à la bite pour un régiment !
Malgré la fatigue, j’ai vu que cette annonce lui avait ravivé le regard. Il avait même un léger sourire sur le visage...
Calme ta joie ! C’est que le début, tu vas encore en baver !
Je peux boire ?

Oh ! Je t’avais pas dit de fermer ta gueule toi !
Il a repris l’installation… Il avait presque fini quand je l’ai interrompu pour le plaquer au sol pour l’immobiliser. Là j’ai ouvert la bouteille avec la pisse encore chaude… Il a vite compris, il a ouvert la bouche et a reçu tout le contenu d’une traite… Il en avala plusieurs gorgées… j’ai passé la main sur son paquet… Putain de queue ! Il bandait grave encore !

La nuit tombait, on n’avait pas mangé mais lui comme moi à présent n’avions qu’une envie c’était de directement passer au choses sérieuses.
A peine les dernières gouttes vidées de la bouteille, je l’ai entraîné dans la tente à moitié bancale j’y ai rentré toutes les affaires… Et j’ai refermé les fermetures.
Tu sens cette odeur de renfermé ? Cette pisse fumante ? Tiens, sors le sachet plastique de la poche du haut de mon sac… ça manque d’odeurs de ieps non ?

Là, il étala plusieurs paires de chaussettes daubantes de chez daubantes et quelques autres slobs cartonnés au jus et à la pisse. Je lui ai plongé le nez dedans et je l’ai dessapé… encore plus d’odeurs ! Il dégageait pas mal de partout et ses panards fumaient gravement bon ! Je me suis allongé.
—  Vas-y Fromton ! Montre à Teubix ce que tu sais faire...

Il a assuré comme un dieu mais je ne lui ai pas dit… au contraire je l’engueulais et lui disais qu’on m’avait rarement aussi mal sucé et qu’il savait pas bien me lécher les pieds et les couilles alors que c’était l’un des trucs les plus forts pour moi… Une bonne langue pulpeuse et saliveuse qui se promène longtemps, longtemps sur mes arômes de fauve… du coup, il s’appliquait de plus en plus sous mes critiques et mes insultes. Je sentais le jus monter… La tente devait dégager de la vapeur dehors tellement dedans c’était bouillant et puant. Je lui ai demandé de me donner sa teub à nettoyer. Je n’oublierai jamais ! Le gland de Fromton Boy en bouche, je lui doigtais le cul en même temps, bonne dose de gel, pour s’offrir un passage glissant, une p’tite capote qui allait grandir de 20 cm bien épais...
Et son trou qui accueillait ma bite comme rarement cul l’a accueilli… Il était pourtant au bout du rouleau… Il était sur le point de me supplier d’arrêter le pilonnage mais en même temps il savait  que ses caprices ne serait pas entendu. Je me suis retiré pour lui cracher plusieurs jets de ma jute chaude sur le visage. Il était en larme le bâtard, il juta pourtant comme un éléphant, il en avait plein le torse. Il continuait de gémir aussi fort qu’un ours.

Dis-moi, toi, je t’avais pas dit de la fermer…
Je lui  ai enfin accordé un sourire qui se transforma en éclat de rire quand toute la tente s’écroula sur nous ! Il en aurait fallu plus pour nous en faire sortir. On s’est collés très fort, nos corps transpirants, pisseux, tout enspermés… les têtes posées sur le tas de fringues crades… Les nez en places VIP pour toute une nuit ! Pas besoin de sac ni de matelas… On était bien comme ça comme deux clébards sur leur tapis poisseux. On s’est léché les babines pendant de longues minutes qui m’ont d'ailleurs paru des heures… plus moyen de s’interrompre… de nouveau excités… les bites raides, les langues qui se remettent à décrasser, nouvelle suce, nouvelle nique… en salivant, en aspirant, en savourant le cocktail façon « Teubcrade » : mouille, from, pisse et jus ! Encore, encore !!! Je me suis arrêté.
Tu pleures toujours ?
De plaisir… oui.

Nous n’avons pas beaucoup dormi. Baignant dans cette ambiance d’essences de mâle intense. C’était trop bon pour ne pas remettre ça dès le moindre mouvement de l’autre. Petit coup de renifle dans le cou puis la langue qui s’active de plus belle… Epuisés de plénitude, on finit par s’effondrer vraiment pour très peu d’heures, la toile de tente sur nos corps comme un drap qui nous faisait suer encore plus… Nous étions trempés intégralement et nous aurions plus remplir quelques flacons d’un elixir rare avec toutes ces gouttes mélangées. Le jour nous réveilla tôt, on avait super faim. On a tout remballé. On s’est avalé quelques bananes avec des bières et on a repris notre route…

Avant de quitter la forêt, je lui ai fait poser son sac. J’ai déposé le mien aussi. Son visage est redevenu inquiet… Il y avait une flaque de boue qui paraissait assez profonde à environ vingt mètres de là. Son regard me recommandait d’arrêter là. Il me désignait de la main son survet blanc certes pisseux avec plein d’auréoles mais encore blanc… Et me montra mes rekins bien explosées déjà mais encore blanches aussi…
T’inkiettttt ! Tu vas kiffer man !
Je l’ai entraîné en courant vers la flaque et en arrivant devant, je me suis arrêté net. Surpris, il tenta de stopper sa course mais un petit coup dans le dos et hop il était dedans. Enfoncé dans la boue, il en avait partout le bâtard… Je me suis avancé, puis me suis plaqué sur lui, je lui ai roulé des pelles bien saliveuses, sa tête baignait dans la terre vaseuse.
Allez, relève toi ! 
On a fini de se branler contre un arbre en crachant nos jus dans nos skets. J’ai essuyé mes skets avec un bout de drap sorti du fond du sac… Je lui ai filé un short et un t-shirt pas trop crades et secs. Je me suis changé aussi…
Tu croyais pas rentrer comme ça dans le train quand-même… t’es vraiment un porc mec !
Une fois les fringues boueuses fourrées dans le sac qui dégueulait vraiment de tous les côtés, je lui ai pissé dans le short.

 Dans le train ça sentait grave sur lui, y’a un gars qui s’est installé dans notre compartiment… Il a vite capté :
Militaire ?
Oui je rentre sur Paris… Vincennes là… et vous ?
Paris 13, j’amène mon pote chez moi pour prolonger le week-end en éclate…
Ok, ok… Ben moi j’ai quelques heures à tuer avant demain matin… Y’a moyen de se boire quelques bières chez toi ?
C’est une affaire qui roule man ! C’est comment toi ?
Brian.
Teu… euh moi c’est Stéphane.
Julien ! Le mec nous a larvé jusqu’au bout de la nuit… J’ai dû subir autant sinon plus que ce que Fromton Boy avait dû endurer la veille. Voilà ce qui s’appelle prendre le revers de la médaille… aïe ! On était vidés de chez vidés quand il est reparti à l’aube en nous pissant une dernière fois dessus. On s’est endormi jusqu’à la fin de l’après-midi, c’est à peine si nous pouvions nous décoller l’un de l’autre… Tout avait séché, c’était trop bon à sniffer…
Quel putain de pied mon pote !
Tu l’as dit ! T’as pas un train à prendre toi ?
Demain y’en aura d’autres…
Fromton n’a pas eu le temps de refermer la bouche avant de recevoir un bon gros mollard à avaler…
Même après-demain !

Pendant la nuit, je me suis installé sur mon ordi pour taper cette histoire. Il dormait profondément quand j’ai mis le point final. Je me suis recouché… en lui mettant ma bite sous le nez. Il a reniflé à fond dans son sommeil… Et… véridique ! …l’a prise en bouche comme une tétine pour continuer sa nuit !!! Je me suis réveillé avec sa langue entre les orteils et son petit clin d’œil charmeur… Un phénomène ce mec… il a capté tous les bons trips qui vont triquer Teubix !

 

 

Par TEUBIX - Publié dans : Témoignages
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Samedi 2 septembre 6 02 /09 /Sep 09:46

Salut les sniffeurs !

Me voilà enfin de retour après quelques jours de vacances sur la Côte d'Azur... L'occasion de me faire pas mal de trips bien och et notamment avec un p'tit rouquin de 19 ans hyper odorant. Je vous raconterai tout çà très prochainement mais en attendant, je vous laisse découvrir la suite du premier trip odeurs de SNIFFEUR OCH.

Souvenez-vous, dans l'épisode précédent ("Décrassage au camping"), ce pur bogosse de 25 ans venu passé quelques jours tout seul dans un camping près de Marseille en pleine canicule s'était déjà fait lopé par deux de ses voisins de tente, occupée par une bande de laskards de téci bien hardos. Je vous laisse découvrir la suite... Franchement, préparez-vous à lâcher des litres de yop en lisant son trip (moi j'en ai encore le calbut tout gluant !!!). Et comme d'hab, n'oubliez pas de laisser vos impressions sous l'article...


Après une séance de larvage en règle, John et Michael rejoignent leurs potes sous la tente pour leur faire un compte-rendu détaillé du plan...
Alors ! Racontez ! Ça s'est passé comment ? demande Likou.
J'ai l'impression qu'il va pas tarder à craquer ! répond John.
C'est une vrai salope ce mec ! T'as bien fait de nous le repérer ! enchaîne Michael. Il avait une de ces gaules quand on est arrivés... A mon avis, tu lui as fait de l'effet !
Alors, vous lui avez fait quoi ? demande Hicham.
Oui racontez ! On l'a entendu gueuler comme une pute ! rétorque Abdel.
Michael lui a fait bouffer mon caleçon ! Il a tout léché !
—  J'ai dû le forcer au début mais après fallait voir les coup de langues qu'il donnait ce bâtard !
MMMMmmmmm une bonne salope gourmande, t'as chopé le gros lot cousin ! déclare N'Goma à Likou.
Mais tu lui as fait quoi pour le faire gueuler comme une truie ? questionne Hicham.
Je lui ai serré les couilles à donf !
Vous auriez vu çà ! Moi je le tenais entre mes jambes, les bras derrière le dos ! T'y as pas été doucement quand même Michael !
C'est clair, je voulais voir de quoi il étais capable ! Et surtout qu'il sache la couleur avant de pointer son nez !
Sur la fin il aimait ! Je ne le sentais plus se débattre...
Ou alors il était K.O. !!! répond N'Goma.
Moi je crois plutôt qu'il kiffait grave ! Putain les mecs vous m'avez donné la gaule ! dit Abdel en se touchant la queue.

L'excitation se fait sentir dans la tente. Visiblement cette bande de racailles raffole déjà de moi sans même me connaître ! De mon coté, je me réveille doucement de ma sieste. En repensant à ces odeurs, ce caleçon et ce broyage de couilles, je chope direct la gaule. Evidemment, je commence donc à me branler ! C'est clair que j'y prends goût... De l'autre main, je me masse les couilles encore sensibles puis me les presse. Mmmmmmmm !!!
Très rapidement, je me jute sur le torse et étale à nouveau ma semence crémeuse. Je vais pas pouvoir résister... Je sens que je vais craquer !

L'après-midi s'avance et la chaleur devient insupportable dans la tente. Je décide de sortir, un peu hésitant tout de même après le traitement que je viens de subir. J'enfile un petit short noir et décide d'aller courir. Je sors, tout en regardant discrètement du côté de la tente de mes joyeux baiseurs. Ils sont partis !
J'entame alors mon footing en me dirigeant vers la plage. La chaleur est très pesante. Je cours, transpirant copieusement, matant les mecs en maillot sur la plage. Au loin, j'aperçois trois mecs en train de faire un foot. Mais oui !!! Je reconnais tout de suite Likou, Michael et le deuxième black. J'hésite... Dois-je y aller ? Oh et puis après tout ça coûte rien de dire bonjour !
Je cours donc vers le trio. En plus, ils sont tout les trois torses nus, moi qui rêvais de voir les musclé de Likou !
Salut les gars !
Ah tiens, voilà David ! lance Likou.
Mmmm depuis le temps que j'entends parler de toi ! Moi c'est N'Goma...
Enchanté !
Comme l'avait décrit Likou, N'Goma est un Sénégalais de 26 ans. Une véritable armoire à glace ! Michael fait même carrément gringalet à côté ! Son torse est sculpté à merveille ! Des pectoraux bien développés, 99 % de muscles. Des tablettes de chocolat noir comme on en mangerait tous les jours ! Des biceps de la taille d'une cuisse ! Bref, un corps à faire bander un hétéro ! Et puis ce tatouage sur ce biceps ! Mmmmmmmm !!! Sans parler de son visage, crâne rasé et un petit bouc. Et pour couronner le tout, il porte un short rouge qui laisse deviner la longue forme de sa queue.
Likou ne s'était pas trompé en me parlant de toi ! T'es hyper musclé !
N'Goma s'approche de moi. Je ne peux m'empêcher de mater ce torse d'athlète. Il prend alors ma main et la pose direct sur son pec.
Vas-y mec, profites-en ! Tu peux toucher, c'est pas de la gonflette.
J'hésite, puis commence à caresser les pecs de N'Goma, ruisselant de transpiration. 
Alors, t'as vu David ? C'est impressionnant, non ? lance Likou. 
Likou et Michael se rapprochent et m'entourent. N'Goma reste quant à lui devant moi.

Allez mec ! Mets-y un peu plus de conviction ! dit Michael.
Michael commence à caresser le torse de N'Goma d'une manière très sensuelle ! Likou en fait autant. Et voilà N'Goma en train de se faire caresser par trois mains en même temps !
Je prends un max de plaisir à caresser cette peau. Michael rapproche sa tête et commence à lécher le biceps de N'Goma. Moi je descends naturellement ma main pour lui caresser les abdos. Je dessine avec ma main le contour de ces belles plaques en béton armé ! Je ne peux pas m'empêcher non plus de mater cette belle bosse qui se dessine sur le short de N'Goma. Putain, il doit être sacrement monté ce mec !
Michael lève le bras de N'Goma et lui lèche les aisselles, trempées de sueur. Quel régal ! N'Goma saisit alors fermement ma main.
Laisse-toi faire ! me lance-t-il d'un ton sec.
Sans problème mec !
Il guide ma main sur son torse, puis sur ses abdos, il descend petit à petit jusqu'à faire entrer ma main dans son short. Il me fait tâter ses poils. Je descends lentement, frôlant la base de sa queue. J'en frémis de désir tellement je suis excité. Je peux maintenant sentir la largeur de cette queue ! Putain c'est impressionnant !
A mon grand regret, N'Goma retire alors ma main de son short.

Si tu en veux plus mec ! Tu sais où venir ce soir !
Euh...
Je reste bouche bée. A vrai dire, je ne me suis toujours pas remis de la largeur de cette queue ! Inconsciemment, je ne peux m'empêcher de renifler mes doigts, imprégnés d'une forte odeur de pisse et de sperme.
Les trois mecs se resserrent alors, Michael et Likou caressant toujours N'Goma.
Alors à ce soir David ! lancent-ils avec un sourire plein de sous-entendus.

On verra !

Très excité, je retourne courir, je sais que ce soir je ne vais pas tenir ! Ce torse, cette odeur et cette queue c'est trop pour moi !


Fin d'après midi, je rentre dans ma tente, trempé de sueur. J'attends dans ma tente le début de la soirée, tout en entendant la musique rap dans la tente à côté ! C'est bon, visiblement ils sont au complet ! J'hésite, je ne sais pas quoi faire...
Et puis merde ! J'y vais !
Je me lève et pars en caleçon en direction de la tente des kailleras. Abdel est debout en train de fumer, torse nu, jeans large descendu. Abdel est musclé assez fin, genre pur bogosse de téci qui le sait et qui en profite. Je le mate grave en arrivant, Abdel en fait de même.


David je suppose ? Moi c'est Abdel !
Enchanté ! lui dis-je en lui serrant une poignée de main.
Alors ça y est, tu as décidé de venir ?
Oui ! Enfin on verra ce que ça fera !
Abdel s'approche alors de moi.
T'inquiète pas, on va prendre soin de toi, tu as un si beau corps...
Il commence alors à me caresser le torse. Déjà très excité, je me laisse faire. L'odeur qui se dégage de son torse luisant de rebeu ne fait qu'augmenter mon excitation. Abdel caresse ensuite ma nuque et m'approche la tête de ses pecs.
Allez David, régale-toi !
Je me penche et commence à lécher le torse d'Abdel, le goût est prenant. Je m'applique à lécher toute cette sueur d'arabe en rut... Hummmm, quel régal ! Je prends le bras d'Abdel et le soulève afin de pouvoir lécher ses aisselles. Je donne des grands coup de langue, bien lentement afin de profiter au max de cette odeur de mâle.
Parfait David ! Tu m'as tout l'air d'une belle salope !
J'essaye !
Je me recentre sur le torse pour recueillir sur ma langue le mince filet de sueur qui dégouline vers le nombril d'Abdel.
Putain Abdel, j'aime trop cette odeur !
Je lui lèche le nombril, et me mets à genoux tout en lui caressant les fesses. Ma langue continue de descendre. Je commence à lécher la base de ses poils. Il baisse légèrement le jean et je vois apparaître son boxer blanc. L'odeur de pisse remplace alors petit à petit l'odeur de sueur.

A ce moment-là, Likou sort de la tente.

Ah, je vois que tu es déjà au travail ! Applique-toi bien David, on a plein de surprises pour toi !
Je n'attends que çà !
Je me remets à lécher comme une salope. Je déboutonne le jean d'Abdel et commence à pomper ce tissu blanc, devinant peu à peu la forme de la queue. De plus en plus excité, j'aspire le tissu de son boxer : une forte odeur de pisse et de sperme s'en dégage. Likou me regarde faire en se tâtant le paquet. Abdel apprécie de plus en plus mon travail de salope.
Allez mec, aspire bien !
Vas-y David, décrasse lui le boxer ! lance Likou.
MMMMmmmmm

Je m'applique à lécher au niveau du gland afin de recueillir le max d'odeurs ! Abdel prend alors ma tête entre ses mains et l'écarte vivement de son paquet.

T'aimes toutes ces odeurs de mecs ?
A fond Abdel !
Putain quelle chienne ! Regarde moi ça alors ! me répond Abdel, avec un petit sourire bien pervers au coin des lèvres.

J'en crois pas mes yeux !!! Abdel commence à pisser direct dans son boxer. Une belle auréole humide apparaît et de la pisse commence à couler sur le jean et sur les cuisse d'Abdel. Il approche aussitôt ma tête de son paquet dégoulinant de pisse.

Vas-y salope, régale-toi !
Abdel me plaque la tête sur son zgeg et machinalement, j'ouvre grand la bouche et commence à aspirer la pisse bien odorante qui sort du boxer. Je bois et avale tout pour ne pas en perdre une goutte. Le flot de pisse s'arrête, je me déchaîne sur la bosse d'Abdel, je lui lèche les cuisses afin de récolter tout !
Abdel baisse alors son futal et son calbut.
Je me recule afin de mater cette belle queue d'arabe. Belle et super odorante en plus !
Allez bâtard maintenant lève-toi et rentre dans la tente !
Ok !

Abdel rentre à poil dans la tente, je le suis et Likou ferme la marche. Une odeur très forte règne dans la tente : sueur, pisse, merde et sperme ! Ça ce voit qu'il y a six mecs qui ont pas pris de douches depuis 3 semaines ! Le sol est humide, sperme et pisse s'y sont accumulés ! Il y en a vraiment partout !
Les six mecs sont là, en caleçon pour la plupart. Abdel est à poil bien sûr... mais Hicham aussi ! Le dernier de la bande ! Boule à Z, Hicham est le plus jeune, musclé et tatoué, Hicham n'aime visiblement pas les douches... sauf peut-être pour mater !

Salut David ! lancent les mecs.
Salut les mecs !
Ah c'est toi David ! la grande salope ! ajoute Hicham.
C'est moi !
C'est parfait çà ! On va pouvoir s'amuser !
J'espère !
Que la fête commence alors ! lance Likou.
Abdel me tire vers lui et s'assoit jambes écartées. Je me fous aussitôt à quatre pattes devant lui.
Allez décrasse-moi la teub bâtard !
Je m'approche, pendant que les autres mecs matent le spectacle. Je prends la queue d'Abdel en main et la décalotte délicatement.

Putain ! C'est hyper crade mec !!!
Vas-y lèche çà !
Une bonne couche de fromton couvre le gland d'Abdel. D'abord un peu répugné, j'approche lentement la tête, ouvre la bouche et commence à passer ma langue sur son fromton. Le goût est fort mais pas si désagréable que çà ! Je lui gobe alors tout le gland, ma langue amasse le fromton et lui décrasse totalement le zboub. J'avale et aspire à fond. Pendant que je pompe Abdel, Hicham me caresse le crâne tandis que les autres m'encerclent et me touchent le caleçon. La queue d'Abdel grossit de plus en plus dans ma bouche de décrasseur !
Et bien pour un débutant t'as l'air de bien te débrouiller ! lance Hicham. Viens t'occuper de la mienne !

Je me retire. Likou et N'Goma me retournent dos à terre. Me voilà encerclé par six racailles puantes. Hicham s'amène à quatre pattes au-dessus de moi.  Il baisse ses fesses, sa queue touche mes lèvres. J'ouvre la bouche et gobe le gland, lèchant l'intérieur de son prépuce afin de récolter un nouveau fromton encore bien puant. Pendant ce temps, Michael baisse mon short et je me retrouve complètement à poil !
Les autres matent en caressant mon torse ainsi que le cul d'Hicham.
Sans prévenir, Hicham se met alors à me pisser direct dans la bouche ! Surpris, je suis obligé d'avaler sa pisse chaude et puante. Hicham retire sa queue et asperge mon torse, avant de me recoller son zgeg dégoulinant dans la bouche. Les autres se régalent à lécher mon torse ruisselant de pisse.

Les queues se succèdent dans ma bouche, et enfin arrive celle de N'Goma. Ce dernier baisse lentement son short. Une queue terrible apparaît, un long prépuce qui doit certainement caché un max de fromton ! 

Mes yeux s'ouvrent en grand ainsi que ma bouche, et sans me poser de questions, je commence a le récurer direct.
Je vois que tu sais ce que tu dois faire salope ! me lance N'Goma.
Je l'imaginais pas si grosse...

T'inquiète pas, attends que je bande !
Mmmmmmmmm
L
a queue remplit peu à peu ma bouche de salope. N'Goma commence à bander sous mes coups de langue répétés.

La chaleur et l'odeur de mâle se font de plus en plus intenses dans la tente. Les autres mecs ne cessent de me caresser, tout le monde est désormais à poil, y compris Likou, bel étalon que je prends mon pied à décrasser intégralement.
Je suis plus en plus excité et je ne peux m'empêcher de pousser de petits gémissements.

Les mains de Michael et Abdel se dirigent alors vers mes fesses. Ils écartent mes cuisses pour me dégager le cul. Les mains caressent mes cuisses musclées en se rapprochant des fesses. Hicham passe ses doigts sur ma raie en sueur.
T'as un jolie cul de puceau on dirait ! lance-t-il avec un regard plein d'envie.

Oui les mecs, surtout faîtes gaffe !
T'inquiète pas, on sait s'y prendre avec les putes dans ton genre !

Pendant ce temps, je m'affaire toujours à sucer les deux étalons aux queues immenses et hyper épaisses, plus particulièrement celle de N'Goma, qui sans bander complètement avoisine déjà les 25 cm.

Hicham entre délicatement son doigt dans mon trou. Je me cambre alors en gémissant. Les autres mecs me plaquent aussitôt au sol.
Détend-toi ! répond Michael.
Hummmmmmmm, hummmmmmmmmmm...
Les gémissements accompagnent le doigt de Hicham. Je ne peux pas m'empêcher de toucher ma queue. Michael et John, de chaque coté, m'immobilisent les mains. Hicham me doigte de plus en plus rapidement.
Il mouille comme une vraie meuf ce bâtard !
Hicham se met alors entre mes cuisses, une belle queue, assez fine tout de même, l'idéal pour me préparer le trou aux assauts de ses potes.
A sec Hicham ! lance N'Goma d'un ton sec.

T'es sûr ? ça va être tendu ! répond Hicham.
A sec j'ai dit !
Hicham s'appuie de chaque coté mon torse et pointe sa queue sur mon trou. Je sursaute en gémissant. Hicham commence à avancer son bassin, les autres continuant à me caresser pour essayer de me détendre.

Le gland entre d'un seul coup, me faisant pousser un véritable hurlement. 
ARGHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!!!!!!!
Hicham s'enfonce de plus en plus. Il commence un va-et-vient lent, allongeant de plus en plus son mouvement. Malgré la douleur, j'apprécie grave de me faire défoncer le cul par un rebeu un rut, encouragés par ses potes à me faire gueuler encore plus !

— Oh oui, c’est bonnnnnnn !!!!

T’aimes ça la sodomie, hein salope ?! répond Hicham.
Oui vas-y mec, encule-moi à fond !
La queue d’Hicham me laboure littéralement le cul. Au bout de 10 minutes de pilonnage intensif, Hicham se retire et vient plonger sa queue direct dans ma bouche.
Allez suce-la ! Fais-moi jouir salope !
Je pompe à fond en massant les couilles d’Hicham, qui sentent grave l'odeur de mon cul. Hicham se branle frénétiquement dans ma bouche et au bout de quelques secondes, il sort sa queue et m'inonde littéralement la tronche de bon jus de mâle bien épais.
MMMMMMMmmmmmmmmm !!!!! Ohhhh oui !!!

Visiblement grave excités par le spectacle de leur pote en train de m'engluer la face, les autres mecs ne tardent pas à balancer eux-aussi des litres de yop bien épais sur moi. Mon corps est la cible de dizaines de giclées de foutre bien gluant qui me recouvrent littéralement ! Pas un seul centimètre carré de mon corps qui ne soit souillé de leurs foutres de kailleras !

PUTAIN LE PIED !!!!! Je n'ai d'ailleurs pas tardé à cracher moi aussi ma jute, rajoutant mon nectar à celui de tous mes baiseurs !
Je vous dis même pas comment j'ai kiffé décrasser toutes ces belles teubs foutreuses et encore odorantes les unes après les autres... Et maintenant qu'ils ont marqué leur territoire à la sépi et au yop, je leur appartiens totalement ! Et croyez-moi, les vacances ne font que commencer et je n'ai pas fini d'en baver.
                              A suivre...

Par SNIFFEUR OCH - Publié dans : Témoignages
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Vendredi 25 août 5 25 /08 /Août 01:44
Salut les queutards !

Alors, toujours grave la gaule en parcourant mon blog ? lol
Si j'en crois les commentaires et les mails que j'ai reçus, vous avez kiffé un max la vidéo de Franck en train de décalotter son gland bien fromageux... Hummm, j'espère que ça va donner plein d'idées à beaucoup d'entre vous et que vous m'enverrez d'autres vidéos aussi och dans les jours qui viennent...
Avouez quand même que c'est vachement excitant de se dire que des centaines de mecs se vident les couilles en mattant des photos ou une vidéo de sa propre queue couverte de fromton !
Alors, pas une seconde à perdre : tous à vos cam !!!

En attendant, voilà une anecdote envoyé par Xavier, un bogosse de 26 ans sur Paname. Souvenez-vous, c'est déjà lui qui vous avait fait kiffé avec son histoire "Le décrasseur décrassé". Visiblement, il a l'air toujours aussi cho ce p'tit mec ! A vous d'en juger...


Vous êtes vous déjà demandé ce qu'un hétéro — une bonne caillera de téci pur jus —pense des plans cho entre mecs ? Et bien je vous livre la discussion que j'ai eu avec un hétéro poussé à venir sur nos tchats pour assouvir ses fantasmes.
Soudain le téléphone sonne ! " Appel  inconnu "
 
— Wesh cousin c'est Farid, on a discuté sur smboy, tu m'as filé ton tel.
J'ai envie d'un plan chaud. Bah moi voila j'ai 26 1 83 76 bien dessinné, suis cho du zob, jkiff grave la chatte de meuf tu comprends... Tu kiffes quoi toi ?
 — Bah moi je kiff grave la teub de mec !
 
— C'est cool mais moi je kiff grave sur la meuf qu'a des gros seins mais elles sont super coincées du cul. Alors  tu comprends j'ai trop envie de te mettre à genoux et de te foutre mon zob à sniffer sous le pif et de te molarder ta gueule de batard.
 
— J'ai envie de me lacher dans mon calbut, un bon jet qui coule dans mes poils et sur mes jambes en te collant le pif sur mon paquet à travers mes bonnes odeurs de calbut. Et toi tu pisses où ?
 
— J'ai envie de te foutre le zob dans la bouche et de me vider à grandes giclées.
 
— Moi je me pisse dessus quand tu veux !
 
— J'ai envie de me lacher un bon jet sur le torse et que tu me lèches, tu comprends moi je kiffe les meufs — dit-il comme pour se rassurer — mais y'en a aucune qui accepte de faire çà !
 
— Hummm... Laisser couler ton jet de pisse dans ma touf !
 
— J'ai envie de te voir t'exhiber comme une pute dans ton jean moulant et voir une tache foncée apparaître à l'interieur de la cuisse et descendre en s'agrandissant. Je veux te voir te souiller devant moi dès que je le veux...
Et puis de te retourner et t'arroser le cul de ma sepi, de me frotter la teub sur la tache et te faire sniffer ma teub après... et j'ai envie de me branler sur ta gueule et de te gicler sur ta gueule de batard mon foutre de mec pasque les meufs elles font pas ces trucs-là avec les mecs.
 
— Quand tu veux man !
 
Toute ressemblance avec des conversations ayant eu lieu entre vrais adultes consentants ne serait pas complètement fortuite. lol
Par XAVIER - Publié dans : Témoignages
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Lundi 21 août 1 21 /08 /Août 15:22

Salut les sniffeurs !

Et oui, me revoilà après quelques jours d'absence... Le temps de recevoir plein de mails bien och de mecs accros aux odeurs de teubs fromageuses et de mâle en rut (et aussi de récurer quelques belles tiges bien odorantes je l'avoue ! lol).

Parmi les mails que j'ai reçus, voici le témoignage hyper bandant de Nathan, un mec hyper cho grave branché odeurs de keums et qui comme vous allez le constater, n'a pas froid aux yeux. Vraiment trop kiffants ses souvenirs d'auto-stop ! Je vous défie d'arriver jusqu'au bout de son hsitoire sans avoir largué tout votre foutre dans votre calbut... Perso, j'y suis pas arrivé et du coup là j'ai la queue qui baigne dans le yop ! Du bon fromton en perspective !!! lol

Bon assez de bla-bla, je vous laisse découvrir l'histoire. Si vous kiffez, n'oubliez pas de laisser plein de commentaires à Nathan sous l'article pour l'encourager à nous raconter la suite de ses aventures de décrasseur !

Je n’avais pas beaucoup d’argent mais je voulais quand même partir en vacances. Je décidais donc de partir en stop avec mon sac à dos, j’allais sur une plage naturiste dans le sud de la france. Ayant peu de place je pris un jean, un tee-shirt, un débardeur, un short, ma serviette de bain. J’avais en plus ce que j’avais sur moi soit un short un slip kangourou un débardeur et une paire de sandale.
Cela faisait quelques heures que j’attendais le pouce levé avec mon écriteau dans l’autre main. Soudain un camion mit son clignotant et se gara un peu plus loin, je partis jusqu’à lui, il avait la fenêtre ouverte il se pencha et je vis un beau mec, il me dit :
— Où vas-tu ?
— Au cap d’Agde.
— Tu peux monter, je vais au Portugal c’est ma route !
Je fis le tour et je montai dans le camion. Mes narines furent tout de suite assaillies par des odeurs fortes. Son débardeur arborait de belles auréoles au niveau des aisselles ainsi qu’entre ses pectoraux puissants. Il y en avait de plus larges et sèches qui montraient que ce n’était pas le premier jour qu’il le portait. En sniffant bien la cabine il n’y avait pas que de la transpi, ça daubait les ieps et j’en jurerai la teub. Il me dit :
— Je m’appelle Rachid et toi ?
— Nathan.
— Enchanté Nathan.
— Moi aussi et merci de m’avoir pris en stop.
— De rien, nous allons faire un bon bout de chemin ensemble.
Nous discutâmes longtemps et je ne pouvais m’empêcher de mater ses bras musclés, ses cuisses poilues, il portait des cho7 de sport en accordéon avec des skets qui avaient bien vécues. Il leva son bras pour se gratter la nuque et je vis son aisselle dont les poils étaient noirs et très abondants ; ils étaient humides et regroupés par paquets dessinant de petites virgules. Soudain un filet de transpiration coula le long de son corps et vint s’ajouter au débardeur déjà inondé de sueur.

— Il fait chaud n’est ce pas ?
— Oui.
— Putain, je transpire un max avec ses températures ! Apparemment toi aussi.
En effet, j’avais moi aussi de bonnes auréoles à mon débard, il mata cet endroit de mon corps en faisant mine d’approuver et me fit un sourire. Nous discutions de tout et de rien, au bout de deux heures je lui dis :
— J’ai envie de pisser grave, je tiens plus... Tu peux t’arrêter ?
— Ok pas de problème, d’ailleurs j’ai une putain d’envie moi aussi.
Il stoppa son camion dans un recoin d’où partait un petit chemin de terre longeant un bois. Je descendis et me dirigea dans cette direction. Arrivé là, je déboutonnais mon short et je glissais ma main dans l’ouverture de mon slip, j’en sortis ma teub et je commençai à uriner quand je m’aperçu qu’il venait de se mettre juste à côté de moi. Il baissa son short et je vis qu’il portait comme moi un slip kangourou. Comme son débardeur, ce n’était pas le premier jour qu’il le portait. Il avait sur la poche plusieurs auréoles jaunes et la rigidité du tissu laissait supposer qu’il y avait balancé plus d’une fois son foutre. Il passa la main dans l’ouverture de son slip et déballa sa bite sombre qui était munie d’un long prépuce, il sortit aussi ses grosses burnes bien poilues, puis il envoya une bonne giclée de sepi sans décalotter. Le salaud il s’exhibe. Sa teub sentait trop fort même calotter je pouvais en sniffer les effluves.

Il me dit comme si cela le gênait :
— Tu dois trouver que je schlingue grave de la bite, non ?
— Ouais elle dégage !
— C’est que je n’ai pas eu le temps de prendre de douche depuis huit jours. Je revenais d’un trajet en Allemagne qui m’avait pris 5 jours, et quand je suis arrivé à l’entrepôt mon boss m’a dit qu’il fallait repartir de suite pour le Portugal pour une cargaison urgente. Je n’ai même pas eu le temps de passer chez moi pour prendre des fringues de rechange, et comme je dors dans le camion je n’ai rien pour me laver.
— Je comprends, alors comme ça tu baignes dans ton jus et dans les mêmes fringues depuis 8 jours !
— Ouais ! Ça va, pas trop écoeuré de faire le trajet avec moi ?
— Non pas du tout. Cela ne me gêne pas, on a tous des odeurs.
— Ouais mais les miennes sont super fortes.
— C’est vrai, mais les mecs ont tous des odeurs plus ou moins soutenues.
— Moi c’est plutôt plus.
— T’inquiète pas Rachid, c’est pas les odeurs de mec qui vont me gêner. Puis finalement une bite ça se doit de sentir la bite non ?
— Je suis bien de ton avis Nathan, je ne trouve rien de plus écoeurant qu’un zboub qui sent le savon, la mienne a toujours un putain de fumet.
— Moi aussi je trouve que l’odeur du savon ou du gel douche au sexe c’est pas génial.
— Dis-moi Nathan, il me semble que tu me matais pendant que nous discutions sur la route je me trompe ?
Je me sentis rougir.
— Tu rougis ? J’ai donc raison ?
— Oui c’est vrai, je te trouve hyper beau.
— Cool mec. Si tu penses que je ne suis pas trop dégueux, on pourrait faire quelque chose ensemble. Quand penses-tu ?
Pendant qu’il prononçait ces derniers mots, il remit lentement sa bite dégoulinante de sépi dans la poche de son slip, le résultat ne se fit pas attendre. Un dernier écoulement d’urine s’échappa de sa verge et fut pompé par le tissu de son slip laissant apparaître une grande auréole humide supplémentaire. Il scruta son slob l’air satisfait puis remonta son short. La salive me monta à la bouche.
— Tu trouves ce que je viens de faire crade ?
— Non je ne trouve pas, je pense plutôt que t’es un mec hyper viril. En voyant de la manière dont tu t’y prends, je comprends mieux l’odeur que tu dégages et l’état de ton slob.
— Eh Nathan !
— Oui ?
— Je crois que tu as fini depuis un moment !
Je me retrouvais bête car j’avais fini de vidanger depuis un bon moment et j’étais resté à le mater comme un con ma teub à la main. Comme pour montrer que j’approuvais son geste, (finalement c’était moi qui étais encore le plus gêné d’avoir un slip presque immaculé, en effet j’avais deux minuscules auréoles de pisse de la veille et j’avais l’air ridicule), je remis donc ma bite dans la poche de mon slip sans la secouer. A mon tour, la poche de mon slibard se trouva souillée par une grande tâche d’urine qui une fois sec fera une large auréole jaune. Il mata mon slob et je vis dans son regard qu’il approuvait mon geste. Je me sentis mieux d’avoir à mon tour dégueulasser mon calbut et surtout je me sentais plus proche de ce mec hyper bandant.

— Dis Rachid, si tu avais eu la possibilité de te changer et de te laver, tu ne l’aurais pas fait ?
— Si, je me serais lavé au lavabo en prenant soin de ne pas me mouiller les couilles et la teub car j’aime la garder nature. Je ne me serais pas lavé les pieds non plus je kiffe grave quand je me déchausse.
— J’ai pu sentir ça aussi dans le camion.
— Je porte les mêmes skets depuis bientôt un an et elles sont bien odorantes. Pour tout te dire je ne me lave jamais les burnes et la teub et j’envoie ma sépi sans décalloter pour garder le max de from, car je trouve toujours des mectons accros odeurs de zgeg. Une fois, je n’ai trouvé personne pendant 14 jours. Je ne te dis pas comme ma gaule était daubé grave !!! J’avais du me branler une dizaine de fois et j’avais un from d’enfer bien épais et bien crémeux. Le bâtard que j’ai fini par rencontrer en a prit un max dans sa bouche de lope, il a tout avalé sans rechigner. Je trouve que l’odeur de la transpiration est excitante et que d’avoir un slibard foutreux et pisseux plus viril. Toi, tu viens de commencer de dauber ton slob ! T’as une méga auréole humide. T’aimerais qu’il soit comme le mien ?
— Ouais je crois que tu m’as convaincu, je trouve ça très excitant, ça me branche ton truc. Et puis je me suis senti ridicule avec ma poche qui avait deux ridicules taches de sépi, on aurait dit un slip de puceau.
— Que penses-tu de rajouter du bon foutre dans ta poche ?
— Ouais ce serait bien. Après une bonne branlette, je remettrai tout ça dans la poche du slip pour laisser macérer et sécher. Mais je n’aurais hélas jamais de from comme toi car tu as vu je suis circoncis. D’ailleurs Rachid vu ton prénom j’aurais cru que tu l’étais toi aussi...
— Mon père est algérien mais ma mère est espagnole, ils avaient décidé que seul l’ainé serait circoncis. C'est mon frère Aziz qui est cut, moi et mon petit frère Kamel on n’est pas circoncis. A l’âge de 17 ans dans un urinoir public, j’ai rencontré un mec qui sniffait grave du zob et du reste, ça m’avait trop fait kiffer. Du coup, j’ai commencé à travailler mon zboub, mes slob et mes cho7 grave. Kamel avait deux ans de moins et il dormait dans la même chambre que moi. Nous avions un lavabo pour nous laver et pisser, du coup il me voyait uriner sans décalotter et ranger le packson tout mouillé, puis j’avais l’habitude de me branler sur mon lit en calbut pour bien le dauber. Je ne me cachais pas, après tout c’est mon fréro.
— Et il ne t’a jamais rien dit ?
— Non. Il matait discrètement sans rien dire, puis un soir on pissait ensemble dans le lavabo et contrairement à son habitude, il ne s’est pas décalloté et il n’a pas secoué son zgeg, il avait daubé son calbut en soutenant mon regard. Je n’ai rien dit sur le coup, j’ai eu peur de sa réaction et puis qu’il stoppe en si bon chemin, je m’en serais voulu à mort si il avait arrêté de saloper son zgeg. Le soir, il se branlait comme un dingue et larguait tout dans son slob. C’est environ un mois après qu’il ait commencé que je lui ai demandé si ça lui plaisait de faire comme moi et il m’a répondu que s'il avait su que c’était aussi kiffant, il aurait commencé bien plus tôt. A partir de là, il ne se la lavait plus et on cherchait toujours un bon keum bien salope pour nous faire décrasser ensemble. Et crois moi à 15 ans son zgeg était hyper crade comme son kang il sniffait un max et les panards je t’en parle pas. On s’est bien marrés, on faisait des concours de celui qui aurait le zob le plus crade et le plus odorant... c’était hyper kiffant ! 
Un matin il m’a réveillé, il était comme un dingue il criait presque « Rachid, Rachid, mate mon zgeg Rachid  ! Réveille-toi putain, viens kiffe comme elle est daubé à mort putain, c’est cool ! ». Je me suis levé la tête dans le cul et suis allé m’asseoir sur le bord de son lit. Putain, j’en croyais pas mes yeux : son prépuce débordait de foutre sec et il était resté collé à son glandos tant il était rempli de fromton épais, on aurait dit qu’il était tuméfié. Il a été obliger de cracher sur son prépuce un paquet de fois avant de pouvoir dégager son gland et se branler pour en remettre une couche, un vrai pro. Il y allait fort tant il était excité et content d’avoir son zgeg crade un max, je lui ai conseillé d’y aller molo pour ne pas que le from qu’il avait déjà se décolle de son gland. J’ai maté la mienne, elle était bien daubée aussi alors on s’est dit que c’était le moment de chercher une lope sur le net pour se faire décrasser.
— Putain j’aurais voulu voir et sniffer la teub de ton frangin ! T’es un bon prof en la matière. Ton fréro t’a imité et moi maintenant ! Kamel continue-t-il toujours à se pouraver la teub et le reste ?
— Ouais tu parles, son zgeg c’est une usine à fromton ! Il en a toujours une bonne épaisseur, j’ai une de ces putains de fierté qu’il ait pris mon chemin et crois-moi pour ce qui est des odeurs de mâle en rut, c’est un champion, il sent le zboub à 10 lieues !
— Et vos parents, qu’est-ce qu’ils disaient ?
— Rien. Ils sont divorcés, ma mère vit à l’étranger. On est restés avec notre père, il n’a jamais dit quoi que ce soit à ce sujet. D’ailleurs il ne sentait pas la rose non plus, il est routier comme moi et quand il rentrait au bout de quelques jours, il puait grave et on ne peut pas dire qu’il se ruait à la salle de bain. D’ailleurs ses jours de repos, il restait souvent en kangourou à la maison et il avait un max d’auréoles de pisse et de traces de pneus. Aziz, lui, ce n’était pas un accro du gant et du savon non plus et crois-moi ses slobs et ses cho7 valaient bien les nôtres.
— Chez vous ça sentait toujours le mâle à donf alors ?
— Ça tu l’as dit, on aurait dit une cage de fauves.
— Votre père avec ses calbuts crades, ça a du vous influencer tout de même ?
— Ouais, c’était déjà un bon exemple à suivre, comme c’est moi qui était chargé de la lessive il me donnait ses fringues et il n’y avait pas souvent de slibards, j’ai pu constaté qu’il les gardait plus de 10 jours : ils étaient bien daubés.
— Tel père, tel fils !
— Ouais les matins c’était cool, on déjeunait tous en calbut dégueux avec l’auréole pisseuse humide. On porte tous des tailles hautes ouvert à poche comme mon père, je trouvais ça trop kiffant, je pense qu’il était content de nous voir comme lui avec un slip de macho. On avait la fringale, ça devait être dû aux odeurs de ieps et de teub qu’il y avait dans la cuisine.
Finalement tu vois, pour en revenir au prépuce, ça me permet d’avoir du fumet et du from. Je serais toi, je récupérerais mon dernier jet de sépi dans la main et je me masserais le pubis, le zboub et les boules avec pour leur donner une odeur et idem avec le yop, et surtout ne te la lave pas car sans prépuce cela sera plus dur d'avoir une bonne sniff. Si tu salopes vraiment bien ton kang, ta teub s’imprégnera un peu de son odeur.
— Cool ! Je vais suivre tes conseils, j’aimerais que tout ça soit bien daubé.
Nous remontâmes dans le camion il tira les rideaux laissant une légère fente de lumière afin que nous puissions tout de même nous voir et surtout, je crois, que je puisse profiter un max de sa bite.
— C’est cool mec ! Je ne suis pas déçu de t’avoir pris en stop. Tu m’as l’air d’un bon bâtard qui aime la teub bien pourave.

Pendant qu’il disait ces mots, il avait enlevé son short et s’était assis sur la banquette un pied à terre et l’autre jambe allongée. Je me mis à genoux entre ses cuisses, je pouvais voir alors de près la poche bien dégueulasse de son slob. Il portait comme moi un slip kangourou qui n’avait pas d’élastique au niveau des cuisses. C’était un vieux slip dont l’entrejambe était distendu un max, et je pouvais voir une couille poisseuse lourde et pendante qui en dépassait et dont les poils étaient collés par la sueur et très certainement des résidus de bon jus. L’ouverture était aussi gravement distendue car il le portait souvent et tirait dessus pour l’agrandir afin de faciliter les manœuvres pour sortir et rentrer son membre viril. (Je le sais par expérience car je fais pareil, je défonce aussi avec le poing la poche du kangourou pour avoir plus d’espace afin de laisser bien pendre ma teub et mes couilles).

Une odeur de mec en rut m’emplit les narines. Je pus admirer de près la poche de son slip. On ne pouvait compter les auréoles de pisse et de sperme tant il y en avait. Il ota ses skets laissant échapper des odeurs de panards hors du commun.
Puis il me dit :
— Ces cho7 ça fait trois semaines que je les porte, je les ai piquées à Aziz qui les avait déjà portées 15 jours ! Qu’en penses-tu ?
Sans un mot, je pris sa cheville et amena son iep vers mon visage. Sa cho7 était crade on ne peut mieux. Elle était trempée de transpiration, je sortis ma langue et commençais à léger le tissu daubé et humide, j’étais à la limite de gerber tant l’odeur et le goût était fort.
— Aziz c’est le meilleur daubeur de cho7, quand il se déchausse c’est un vestiaire à lui seul ! Tu vois, j’ai bien fait de les prendre.

Pendant de longues minutes, je pris mon pied c’est le cas de le dire. Puis je lui enlevai sa cho7 laissant apparaître son panard long et fin bien puant comme je les aime, j’écartais avec mes doigts ses orteils afin de profiter de chaque recoin où pouvait se cacher du dépôt bien odorant que je récupérai avec ma langue.
— Je crois que t’es bien och. Lève toi et retourne toi.
Je me levai et me retournai.
— Baisse ton calbut sale bâtard !
Je m’exécutai sans un mot. Il me poussa sur les reins fermement avec sa main pour me faire pencher et il m’écarta les jambes. Je m’appuyais avec les mains sur le tableau de bord. Il commença à me caresser les fesses puis d’un coup il me rentra plusieurs doigts dans l’cul. Il le ramona ainsi un long moment et je commençais à gémir de plaisir.
— Tu aimes ça hein sale lope ?!!
— Oui, continue !
— Putain tu mouilles comme une chienne sale bâtard !
Il continua enfonçant toujours plus profonds ses doigts. Puis il les retira.
Remets ton slob et fout toi à genoux. A peine en position, il me colla les doigts gluants sous le nez.
— Tiens bouffe, ça vient de ton fion.

Je me mis à sucer ses doigts et à avaler tous les glaires qu’il avait raclé au plus profond de mon cul. Puis je me mis à remonter avec la langue le long de sa jambe, dont le goût acre de la transpiration me donnait des sensations de bonheur, pour arriver le nez collé sur la poche de son slip bien daubé. J’avais une de ces triques !!!

La poche était par endroit durcie par des dépôts successifs de sperme abondants, je crachais dessus pour humidifier le sperme sec et à pleine bouche je me mis à aspirer tous les résidus de pisse et de purée. Puis je glissai ma main dans l’ouverture pour lui sortir la teub et les burnes. Son zgeg gluant était collé à la peau de ses boules et l’odeur était très intense. Je lui soulevai la bite qui se décolla lentement de ses balloches bien pleines qui retombèrent sur la banquette. Mes doigts étaient déjà poisseux et collants et ils avaient pris l’odeur de son zboub bien daubé. Je me mis à l’œuvre en le décallotant lentement pour profiter du spectacle. Petit à petit, son gros gland apparut rempli de bon fromton bien épais, crémeux et généreux. Ah, il avait du se branler un paquet de fois ces jours derniers. Il me dit alors :
— Ca te dit de me sucer et de bouffer mon from ? C’est du bon, il a 8 jours !

En disant cela, il se recalotta afin de ne pas perdre de from et il baissa son slibard et écarta à nouveau les jambes et je vis que ses poils pubiens étaient tout collés de transpi et de foutre. Je ne répondis pas. Je repris son beau zboub et le redécalottais lentement avec la bouche entre ouverte et je me mis à passer des coups de langue autour de son gland récupérant tout ce bon from qu’il avait gardé pour moi. Je n’en perdis pas une goutte en bon bâtard que j’étais. Puis goulûment je gobais sa verge à donf. Il fit plusieurs va et vient intenses pendant au moins 10 minutes, puis il se mit à gémir se retira de ma bouche gourmande m’envoyant plusieurs jets de foutre bien épais sur la gueule.
— Prends ça p’tite lope !!!
Quand il eut fini, son zboub se rétracta. N’étant pas encore rassasié, je la repris dans la bouche et la nettoya avec ardeur avalant jusqu’à la dernière goutte de son yop. Puis je m’assis sur la banquette, je sortis ma teub par l’ouverture de mon slob et me mis à me branler. Je ne tardai pas à jouir tant il m’avait chauffé. Je restais là un moment savourant chaque minute, puis je remis ma bite pleine de jus dans le fond de la poche de mon slip et je me mis à me tâter le paquet avec ma main dégoulinante de yop l’essuyant sur le slip afin de bien le dauber.

— Putain Nathan, c’était trop bon mais ça m’a donné une envie de pisser.
— Moi aussi, on va pouvoir continuer le boulot dans nos calbuts.
— Tu l’as dit !
— C’est trop top Nathan... ton slip va bientôt être bien pourave comme le mien. Ca te dirai de venir avec moi en Espagne ? Tu pourras profiter encore de mon from, je vais en repréparer pour toi.
— Combien de temps va durer ton voyage ?
— 10 jours. 10 jours pour dauber encore plus ton slob et tes cho7, et me faire un max de fromton.
— Ok mec pas de problème, je suis partant.
— Ok Nathan mais à condition que toi aussi tu daubes bien ton slob de sépi et de foutre.
— Je crois que j’en prends le chemin. Je n’ai que celui-ci et en 10 jours, crois-moi, il sera crade grave.
— Cool man ! On va bien s’éclater alors !

Par NATHAN - Publié dans : Témoignages
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Mercredi 16 août 3 16 /08 /Août 10:35

Salut les sniffeurs ! Si j'en crois les commentaires sous mon dernier article, vous avez grave kiffé matter ma teub bien raide avec 6 jours de fromton bien épais !!! Et je peux vous dire que le p'tit batard qui me l'a récuré hier soir n'a pas été déçu du trip lui non plus ! lol Putain les mecs, c'était vraiment le pur plan, och de chez och ! D'ailleurs je ne résiste pas à l'envie de vous raconter en détails comment ce bogosse m'a récuré le zgeg avec sa langue de tépu (petite précision : à part la 1ère, les autres photos sont des pics du net mais elles illustrent très bien mon plan d'hier !).

Pour ceux qui prennent le train en marche, il suffit de lire l'article précédent pour découvrir l'état de mon zob après seulement 6 jours de cradage intensif... Faut dire que ça faisait une bonne semaine que Yoann me chauffait grave sur MSN en me disant qu'il avait grave envie de me décrasser la tige avec le max de fromton possible ! Malgré ses 20 ans, il avait l'air d'avoir déjà pas mal de trips crades derrière lui, même si de son propre aveu il n'avait encore jamais récuré une tige aussi fromageuse que la mienne... Il ne pouvait pas mieux tomber pour son initiation !!! lol
Bref pendant toute la semaine, il n'a pas arrêté de me chauffer grave en me suppliant presque de ne pas du tout me laver le zob jusqu'à notre plan prévu ce 15 août ! On a donc eu tout le temps de mettre en place le plan... Je devais me pointer direct chez lui vers 23 heures, entrer et le baiser direct comme un bon tarba (si besoin en le larvant bien hard ! lol). Putain, je vous dis pas à quel point j'ai triqué pendant toute la journée d'hier en attendant de pouvoir m'occuper enfin en réel de cette petite salope !

A 23 heures précises, je débarque donc dans son appart (il avait laissé la porte entrouverte) et j
e vais me poser direct sur le canapé comme prévu. J'ai décidé de me la jouer caïd de banlieue ce soir. Yoann, un bogosse de 20 ans, cheveux blonds très courts et belle gueule de minet en manque de teub, est planté debout devant moi. Conformément à mes instructions, il est fringué en p'tite kaillera de téci  : survet blanc et casquette Lacoste, tee-shirt Airness et Tn bien pourraves. Vautré en caleçon torse nu sur son canapé, je le mate des pieds à la tête et je me la joue directif :
Vas-y déssape toi batard ! Fais moi un streap que je me chauffe et après tu vas dérouiller grave, je sais que c’est ça que tu cherches !

Yoann ne bronche pas et commence à enlever lentement son tee shirt pour me donner à voir son beau torse imberbe et musclé sec. Il retire ses skets et commence à faire glisser son jean le long de ses jambes de footeux puissantes. En moins de deux, le mec est en slip devant moi avec une belle bosse qui s’agite sous mon regard de racaille. Une putain d'odeur de mâle en rut commence à se dégager dans tout l'appart et je récupère une de ses skets pour me la coller direct sous le nez en guise de poppers ! Hummm putain l'enfoiré... on dirait que lui aussi daube grave !!!

— Bouge ton boule ma lopsa, montre que t’en veux !
Il se retourne et commence à se caresser doucement le cul en ondulant son bassin comme une lopsa. Il fait remonter son slip entre ses belles fesses rebondies et tire sur le slip pour bien se le faire rentrer dans le cul. Ses mains caressent son boule et j’ai une trique d’enfer dans mon calbut. Je sors mon zeub bien raide et commence à m’astiquer tranquille ! Aussitôt, une putain d'odeur de fromton se répand dans la pièce et je crois lire dans le regard de mon batard un peu de surprise mêlée de crainte... il ne s'attendait sans doute pas à ce que j'ai le zgeg aussi dégueu ! lol

Mais il ne se démonte pas et continue à faire son show pour moi. Il fait glisser son slip qui lui tombe sur les chevilles et met une bonne dose de gel dans sa main. Il l’étale sur ses pecs et sur tout son torse, m’offrant son corps luisant et frémissant de désir. Puis il reprend une bonne dose et fait couler une giclée de gel sur sa raie en se penchant en avant, me présentant son cul bien och !

D'un ton sec, je lui ordonne alors de s'agenouiller pour me lécher les skets. Cette petite pute s'éxécute et nettoie minitieusement mes pompes bien pourraves sans oublier les semelles. Je vire alors mes skets et lui plaque mes cho7 bien humides sur la tronche...

 Il se met aussitôt à gémir et à avaler goulument mes ieps dans sa gueule de batard !!! Visiblement il ne m'a pas menti, il est vraiment accro aux purs odeurs de male !


Après dix bonnes minutes de décrassage de mes panards, je le choppe par la nuque et lui plaque direct la gueule sur mes couilles hyper odorantes (qui avaitent bien macérés depuis des heures dans un calbut bien crade)... Visiblement l'odeur le surprend un peu et il a comme un mouvement de recul !

— Tu vas pas t'arrêter en si bon chemin batard !!! Après tout c'est ma queue que tu voulais décrasser chiennasse ! Alors maintenant va falloir obéir comme un bon clebs !
Je le choppe alors solidement par la nuque et le traîne jusqu'à la salle de bains... Il sait ce qui l'attend le batard, et il n'offre donc pas de grande résistance. En moins de deux, il se retrouve dans la cabine de douche, face à mon zob couvert de 6 jours de fromton !

Sans le prévenir, je lui balance alors la gueule ma pisse fumante. La petite salope gémit de plaisir. Mon pote Laurent se joint à moi pour lui arroser le visage. Il aime ca le salaud, il ouvre bien grand sa gueule de pute pour avaler ma pisse. La bonne salope est maintenant à quatre pattes dans une mare de pisse odorante, je lui ordonne de lapper cette flaque comme un bon ptit chien et bien sûr il obéit.


Hummmm putain t'es vraiment une bonne lopsa mec ! Maitenant que je t'ai bien rincé à la pisse, tu vas me nettoyer mon zgeg de laskard !
Je saisis ma queue déjà hyper raide et il vient coller cash sa langue sur mon gland pour têter comme une chienne. Visiblement surpris par le goût de mon fromton, il a un mouvement de recul mais une bonne claque et un molard bien glaireux sur sa face de pute ont vite fait de le ramener à la raison. Il enfourne à nouveau ma teub dans sa bouche de pute et commence à me la décrasser tout en grimaçant ! Putain, il me chauffe grave avec ses coups de langues baveuses et très vite, il engloutit la moitié de mon zboub en me fixant dans les yeux avec son regard de lopsa.
Putain salope, si t’en veux j’vais t’en donner jusqu’à ce que tu sois gavé comme une oie !!! T'as intérêt à me la rendre nickel sale batard !

Je le chope par la nuque et je lui burine la face à grands coups de reins. En deux minutes, il a ma teub toute entière qui vient lui racler le fond de la gorge et mes boules bien pleines rebondissent sur son menton. Il respire difficilement mais il ne me lâche pas des yeux pour autant. Je lui gave la bouche comme un ouf mais c’est clair que ce batard en veut encore plus. Il lâche mon zob désormais complètement décrassé et commence à me bouffer les couilles comme un affamé. Je me penche sur lui pour lui caresser le cul... un vrai cul de salope à défoncer direct !

D’un seul coup il s’effondre devant moi et se vautre à mes pieds sur le dos. Il s’agrippe à mes chevilles et se met à me lécher les panards baignant dans la mare de pisse, tout en se tortillant sur le sol comme une pure lopsa en manque de teub. Juste le temps d'enfiler une capote sur ma teub bien raide et Yoann vient s’appuyer contre le mur de la cabine de douche en me présentant son cul bien cambré. Je vais me caler derrière lui, la teub à la main, et je commence à le doigter en me branlant sur son cul. J’ai aucun mal à lui faire rentrer trois doigts et il mouille comme une vraie meuf. Il s’excite sur mes doigts en gémissant comme une pute et je viens poser mon gland décrassé sur son trou.

Prépare-toi à morfler grave batard ! Tu vas voir ce que c'est qu'une queue de laskard en rut !!!
Je lui enfonce ma queue direct dans le cul avec un bon coup de rein et il s’ouvre sans problème. J’attaque un limage hardos en règle en le tirant vers l'arrière et en l’insultant avec un bon vocabulaire de racaille. Putain j'en ai tiré des salopes, mais là franchement il arrive dans le peloton de tête ! ça m'excite grave de l'entendre gueuler un max chaque fois que mes couilles viennent lui taper sur le cul et qu’il sent toute ma teub lui déchirer les entrailles. La face écrasée contre la faïence de la salle de bain, on dirait que mon p'tit décrasseur du net est en train de prendre grave son pied en se faisant bourriner le cul bien à fond !

Je suis de plus en plus och et j'ai de plus en plus de mal à me contrôler pour pas balancer le jus direct au fond de la capote. Une chienne comme çà, ça mérite bien une petite éjac faciale. Je retire donc ma queue de son cul de chienne en chaleur et je le chope par l’épaule pour qu’il se colle à genoux devant moi. Je vire la capote et je me branle le zob sous ses yeux brillants de désir. Je sens mes burnes qui bouillonnent à l’intérieur et je lui balance de grands jets de sperme sur la gueule.

PUTAIN LE PIED !!!!!! Je l'ai grave englué de mon yop ce batard et sa face et son torse ruissellent littéralement de mon foutre encore chaud. En bon pro, il s'est fini à la main en gémissant et en nettoyant en même temps ma teub foutreuse avec sa langue désormais habituée à cet exercice.
Pour le remercier du kiff qu'il venait de m'offrir, je lui ai à mon tour nettoyé sa belle queue foutreuse avant de lui rouler un pelle d'enfer afin de mélanger nos deux jus de mâle... Et le reste de la nuit a été tout aussi cho croyez-moi !!! Mais bon, je peux pas tout vous raconter non plus !
Merci encore Yoann et quand tu veux pour la revanche ! ;-)

Par FROMTON BOY - Publié dans : Témoignages
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