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Lundi 21 août 1 21 /08 /Août 15:22

Salut les sniffeurs !

Et oui, me revoilà après quelques jours d'absence... Le temps de recevoir plein de mails bien och de mecs accros aux odeurs de teubs fromageuses et de mâle en rut (et aussi de récurer quelques belles tiges bien odorantes je l'avoue ! lol).

Parmi les mails que j'ai reçus, voici le témoignage hyper bandant de Nathan, un mec hyper cho grave branché odeurs de keums et qui comme vous allez le constater, n'a pas froid aux yeux. Vraiment trop kiffants ses souvenirs d'auto-stop ! Je vous défie d'arriver jusqu'au bout de son hsitoire sans avoir largué tout votre foutre dans votre calbut... Perso, j'y suis pas arrivé et du coup là j'ai la queue qui baigne dans le yop ! Du bon fromton en perspective !!! lol

Bon assez de bla-bla, je vous laisse découvrir l'histoire. Si vous kiffez, n'oubliez pas de laisser plein de commentaires à Nathan sous l'article pour l'encourager à nous raconter la suite de ses aventures de décrasseur !

Je n’avais pas beaucoup d’argent mais je voulais quand même partir en vacances. Je décidais donc de partir en stop avec mon sac à dos, j’allais sur une plage naturiste dans le sud de la france. Ayant peu de place je pris un jean, un tee-shirt, un débardeur, un short, ma serviette de bain. J’avais en plus ce que j’avais sur moi soit un short un slip kangourou un débardeur et une paire de sandale.
Cela faisait quelques heures que j’attendais le pouce levé avec mon écriteau dans l’autre main. Soudain un camion mit son clignotant et se gara un peu plus loin, je partis jusqu’à lui, il avait la fenêtre ouverte il se pencha et je vis un beau mec, il me dit :
— Où vas-tu ?
— Au cap d’Agde.
— Tu peux monter, je vais au Portugal c’est ma route !
Je fis le tour et je montai dans le camion. Mes narines furent tout de suite assaillies par des odeurs fortes. Son débardeur arborait de belles auréoles au niveau des aisselles ainsi qu’entre ses pectoraux puissants. Il y en avait de plus larges et sèches qui montraient que ce n’était pas le premier jour qu’il le portait. En sniffant bien la cabine il n’y avait pas que de la transpi, ça daubait les ieps et j’en jurerai la teub. Il me dit :
— Je m’appelle Rachid et toi ?
— Nathan.
— Enchanté Nathan.
— Moi aussi et merci de m’avoir pris en stop.
— De rien, nous allons faire un bon bout de chemin ensemble.
Nous discutâmes longtemps et je ne pouvais m’empêcher de mater ses bras musclés, ses cuisses poilues, il portait des cho7 de sport en accordéon avec des skets qui avaient bien vécues. Il leva son bras pour se gratter la nuque et je vis son aisselle dont les poils étaient noirs et très abondants ; ils étaient humides et regroupés par paquets dessinant de petites virgules. Soudain un filet de transpiration coula le long de son corps et vint s’ajouter au débardeur déjà inondé de sueur.

— Il fait chaud n’est ce pas ?
— Oui.
— Putain, je transpire un max avec ses températures ! Apparemment toi aussi.
En effet, j’avais moi aussi de bonnes auréoles à mon débard, il mata cet endroit de mon corps en faisant mine d’approuver et me fit un sourire. Nous discutions de tout et de rien, au bout de deux heures je lui dis :
— J’ai envie de pisser grave, je tiens plus... Tu peux t’arrêter ?
— Ok pas de problème, d’ailleurs j’ai une putain d’envie moi aussi.
Il stoppa son camion dans un recoin d’où partait un petit chemin de terre longeant un bois. Je descendis et me dirigea dans cette direction. Arrivé là, je déboutonnais mon short et je glissais ma main dans l’ouverture de mon slip, j’en sortis ma teub et je commençai à uriner quand je m’aperçu qu’il venait de se mettre juste à côté de moi. Il baissa son short et je vis qu’il portait comme moi un slip kangourou. Comme son débardeur, ce n’était pas le premier jour qu’il le portait. Il avait sur la poche plusieurs auréoles jaunes et la rigidité du tissu laissait supposer qu’il y avait balancé plus d’une fois son foutre. Il passa la main dans l’ouverture de son slip et déballa sa bite sombre qui était munie d’un long prépuce, il sortit aussi ses grosses burnes bien poilues, puis il envoya une bonne giclée de sepi sans décalotter. Le salaud il s’exhibe. Sa teub sentait trop fort même calotter je pouvais en sniffer les effluves.

Il me dit comme si cela le gênait :
— Tu dois trouver que je schlingue grave de la bite, non ?
— Ouais elle dégage !
— C’est que je n’ai pas eu le temps de prendre de douche depuis huit jours. Je revenais d’un trajet en Allemagne qui m’avait pris 5 jours, et quand je suis arrivé à l’entrepôt mon boss m’a dit qu’il fallait repartir de suite pour le Portugal pour une cargaison urgente. Je n’ai même pas eu le temps de passer chez moi pour prendre des fringues de rechange, et comme je dors dans le camion je n’ai rien pour me laver.
— Je comprends, alors comme ça tu baignes dans ton jus et dans les mêmes fringues depuis 8 jours !
— Ouais ! Ça va, pas trop écoeuré de faire le trajet avec moi ?
— Non pas du tout. Cela ne me gêne pas, on a tous des odeurs.
— Ouais mais les miennes sont super fortes.
— C’est vrai, mais les mecs ont tous des odeurs plus ou moins soutenues.
— Moi c’est plutôt plus.
— T’inquiète pas Rachid, c’est pas les odeurs de mec qui vont me gêner. Puis finalement une bite ça se doit de sentir la bite non ?
— Je suis bien de ton avis Nathan, je ne trouve rien de plus écoeurant qu’un zboub qui sent le savon, la mienne a toujours un putain de fumet.
— Moi aussi je trouve que l’odeur du savon ou du gel douche au sexe c’est pas génial.
— Dis-moi Nathan, il me semble que tu me matais pendant que nous discutions sur la route je me trompe ?
Je me sentis rougir.
— Tu rougis ? J’ai donc raison ?
— Oui c’est vrai, je te trouve hyper beau.
— Cool mec. Si tu penses que je ne suis pas trop dégueux, on pourrait faire quelque chose ensemble. Quand penses-tu ?
Pendant qu’il prononçait ces derniers mots, il remit lentement sa bite dégoulinante de sépi dans la poche de son slip, le résultat ne se fit pas attendre. Un dernier écoulement d’urine s’échappa de sa verge et fut pompé par le tissu de son slip laissant apparaître une grande auréole humide supplémentaire. Il scruta son slob l’air satisfait puis remonta son short. La salive me monta à la bouche.
— Tu trouves ce que je viens de faire crade ?
— Non je ne trouve pas, je pense plutôt que t’es un mec hyper viril. En voyant de la manière dont tu t’y prends, je comprends mieux l’odeur que tu dégages et l’état de ton slob.
— Eh Nathan !
— Oui ?
— Je crois que tu as fini depuis un moment !
Je me retrouvais bête car j’avais fini de vidanger depuis un bon moment et j’étais resté à le mater comme un con ma teub à la main. Comme pour montrer que j’approuvais son geste, (finalement c’était moi qui étais encore le plus gêné d’avoir un slip presque immaculé, en effet j’avais deux minuscules auréoles de pisse de la veille et j’avais l’air ridicule), je remis donc ma bite dans la poche de mon slip sans la secouer. A mon tour, la poche de mon slibard se trouva souillée par une grande tâche d’urine qui une fois sec fera une large auréole jaune. Il mata mon slob et je vis dans son regard qu’il approuvait mon geste. Je me sentis mieux d’avoir à mon tour dégueulasser mon calbut et surtout je me sentais plus proche de ce mec hyper bandant.

— Dis Rachid, si tu avais eu la possibilité de te changer et de te laver, tu ne l’aurais pas fait ?
— Si, je me serais lavé au lavabo en prenant soin de ne pas me mouiller les couilles et la teub car j’aime la garder nature. Je ne me serais pas lavé les pieds non plus je kiffe grave quand je me déchausse.
— J’ai pu sentir ça aussi dans le camion.
— Je porte les mêmes skets depuis bientôt un an et elles sont bien odorantes. Pour tout te dire je ne me lave jamais les burnes et la teub et j’envoie ma sépi sans décalloter pour garder le max de from, car je trouve toujours des mectons accros odeurs de zgeg. Une fois, je n’ai trouvé personne pendant 14 jours. Je ne te dis pas comme ma gaule était daubé grave !!! J’avais du me branler une dizaine de fois et j’avais un from d’enfer bien épais et bien crémeux. Le bâtard que j’ai fini par rencontrer en a prit un max dans sa bouche de lope, il a tout avalé sans rechigner. Je trouve que l’odeur de la transpiration est excitante et que d’avoir un slibard foutreux et pisseux plus viril. Toi, tu viens de commencer de dauber ton slob ! T’as une méga auréole humide. T’aimerais qu’il soit comme le mien ?
— Ouais je crois que tu m’as convaincu, je trouve ça très excitant, ça me branche ton truc. Et puis je me suis senti ridicule avec ma poche qui avait deux ridicules taches de sépi, on aurait dit un slip de puceau.
— Que penses-tu de rajouter du bon foutre dans ta poche ?
— Ouais ce serait bien. Après une bonne branlette, je remettrai tout ça dans la poche du slip pour laisser macérer et sécher. Mais je n’aurais hélas jamais de from comme toi car tu as vu je suis circoncis. D’ailleurs Rachid vu ton prénom j’aurais cru que tu l’étais toi aussi...
— Mon père est algérien mais ma mère est espagnole, ils avaient décidé que seul l’ainé serait circoncis. C'est mon frère Aziz qui est cut, moi et mon petit frère Kamel on n’est pas circoncis. A l’âge de 17 ans dans un urinoir public, j’ai rencontré un mec qui sniffait grave du zob et du reste, ça m’avait trop fait kiffer. Du coup, j’ai commencé à travailler mon zboub, mes slob et mes cho7 grave. Kamel avait deux ans de moins et il dormait dans la même chambre que moi. Nous avions un lavabo pour nous laver et pisser, du coup il me voyait uriner sans décalotter et ranger le packson tout mouillé, puis j’avais l’habitude de me branler sur mon lit en calbut pour bien le dauber. Je ne me cachais pas, après tout c’est mon fréro.
— Et il ne t’a jamais rien dit ?
— Non. Il matait discrètement sans rien dire, puis un soir on pissait ensemble dans le lavabo et contrairement à son habitude, il ne s’est pas décalloté et il n’a pas secoué son zgeg, il avait daubé son calbut en soutenant mon regard. Je n’ai rien dit sur le coup, j’ai eu peur de sa réaction et puis qu’il stoppe en si bon chemin, je m’en serais voulu à mort si il avait arrêté de saloper son zgeg. Le soir, il se branlait comme un dingue et larguait tout dans son slob. C’est environ un mois après qu’il ait commencé que je lui ai demandé si ça lui plaisait de faire comme moi et il m’a répondu que s'il avait su que c’était aussi kiffant, il aurait commencé bien plus tôt. A partir de là, il ne se la lavait plus et on cherchait toujours un bon keum bien salope pour nous faire décrasser ensemble. Et crois moi à 15 ans son zgeg était hyper crade comme son kang il sniffait un max et les panards je t’en parle pas. On s’est bien marrés, on faisait des concours de celui qui aurait le zob le plus crade et le plus odorant... c’était hyper kiffant ! 
Un matin il m’a réveillé, il était comme un dingue il criait presque « Rachid, Rachid, mate mon zgeg Rachid  ! Réveille-toi putain, viens kiffe comme elle est daubé à mort putain, c’est cool ! ». Je me suis levé la tête dans le cul et suis allé m’asseoir sur le bord de son lit. Putain, j’en croyais pas mes yeux : son prépuce débordait de foutre sec et il était resté collé à son glandos tant il était rempli de fromton épais, on aurait dit qu’il était tuméfié. Il a été obliger de cracher sur son prépuce un paquet de fois avant de pouvoir dégager son gland et se branler pour en remettre une couche, un vrai pro. Il y allait fort tant il était excité et content d’avoir son zgeg crade un max, je lui ai conseillé d’y aller molo pour ne pas que le from qu’il avait déjà se décolle de son gland. J’ai maté la mienne, elle était bien daubée aussi alors on s’est dit que c’était le moment de chercher une lope sur le net pour se faire décrasser.
— Putain j’aurais voulu voir et sniffer la teub de ton frangin ! T’es un bon prof en la matière. Ton fréro t’a imité et moi maintenant ! Kamel continue-t-il toujours à se pouraver la teub et le reste ?
— Ouais tu parles, son zgeg c’est une usine à fromton ! Il en a toujours une bonne épaisseur, j’ai une de ces putains de fierté qu’il ait pris mon chemin et crois-moi pour ce qui est des odeurs de mâle en rut, c’est un champion, il sent le zboub à 10 lieues !
— Et vos parents, qu’est-ce qu’ils disaient ?
— Rien. Ils sont divorcés, ma mère vit à l’étranger. On est restés avec notre père, il n’a jamais dit quoi que ce soit à ce sujet. D’ailleurs il ne sentait pas la rose non plus, il est routier comme moi et quand il rentrait au bout de quelques jours, il puait grave et on ne peut pas dire qu’il se ruait à la salle de bain. D’ailleurs ses jours de repos, il restait souvent en kangourou à la maison et il avait un max d’auréoles de pisse et de traces de pneus. Aziz, lui, ce n’était pas un accro du gant et du savon non plus et crois-moi ses slobs et ses cho7 valaient bien les nôtres.
— Chez vous ça sentait toujours le mâle à donf alors ?
— Ça tu l’as dit, on aurait dit une cage de fauves.
— Votre père avec ses calbuts crades, ça a du vous influencer tout de même ?
— Ouais, c’était déjà un bon exemple à suivre, comme c’est moi qui était chargé de la lessive il me donnait ses fringues et il n’y avait pas souvent de slibards, j’ai pu constaté qu’il les gardait plus de 10 jours : ils étaient bien daubés.
— Tel père, tel fils !
— Ouais les matins c’était cool, on déjeunait tous en calbut dégueux avec l’auréole pisseuse humide. On porte tous des tailles hautes ouvert à poche comme mon père, je trouvais ça trop kiffant, je pense qu’il était content de nous voir comme lui avec un slip de macho. On avait la fringale, ça devait être dû aux odeurs de ieps et de teub qu’il y avait dans la cuisine.
Finalement tu vois, pour en revenir au prépuce, ça me permet d’avoir du fumet et du from. Je serais toi, je récupérerais mon dernier jet de sépi dans la main et je me masserais le pubis, le zboub et les boules avec pour leur donner une odeur et idem avec le yop, et surtout ne te la lave pas car sans prépuce cela sera plus dur d'avoir une bonne sniff. Si tu salopes vraiment bien ton kang, ta teub s’imprégnera un peu de son odeur.
— Cool ! Je vais suivre tes conseils, j’aimerais que tout ça soit bien daubé.
Nous remontâmes dans le camion il tira les rideaux laissant une légère fente de lumière afin que nous puissions tout de même nous voir et surtout, je crois, que je puisse profiter un max de sa bite.
— C’est cool mec ! Je ne suis pas déçu de t’avoir pris en stop. Tu m’as l’air d’un bon bâtard qui aime la teub bien pourave.

Pendant qu’il disait ces mots, il avait enlevé son short et s’était assis sur la banquette un pied à terre et l’autre jambe allongée. Je me mis à genoux entre ses cuisses, je pouvais voir alors de près la poche bien dégueulasse de son slob. Il portait comme moi un slip kangourou qui n’avait pas d’élastique au niveau des cuisses. C’était un vieux slip dont l’entrejambe était distendu un max, et je pouvais voir une couille poisseuse lourde et pendante qui en dépassait et dont les poils étaient collés par la sueur et très certainement des résidus de bon jus. L’ouverture était aussi gravement distendue car il le portait souvent et tirait dessus pour l’agrandir afin de faciliter les manœuvres pour sortir et rentrer son membre viril. (Je le sais par expérience car je fais pareil, je défonce aussi avec le poing la poche du kangourou pour avoir plus d’espace afin de laisser bien pendre ma teub et mes couilles).

Une odeur de mec en rut m’emplit les narines. Je pus admirer de près la poche de son slip. On ne pouvait compter les auréoles de pisse et de sperme tant il y en avait. Il ota ses skets laissant échapper des odeurs de panards hors du commun.
Puis il me dit :
— Ces cho7 ça fait trois semaines que je les porte, je les ai piquées à Aziz qui les avait déjà portées 15 jours ! Qu’en penses-tu ?
Sans un mot, je pris sa cheville et amena son iep vers mon visage. Sa cho7 était crade on ne peut mieux. Elle était trempée de transpiration, je sortis ma langue et commençais à léger le tissu daubé et humide, j’étais à la limite de gerber tant l’odeur et le goût était fort.
— Aziz c’est le meilleur daubeur de cho7, quand il se déchausse c’est un vestiaire à lui seul ! Tu vois, j’ai bien fait de les prendre.

Pendant de longues minutes, je pris mon pied c’est le cas de le dire. Puis je lui enlevai sa cho7 laissant apparaître son panard long et fin bien puant comme je les aime, j’écartais avec mes doigts ses orteils afin de profiter de chaque recoin où pouvait se cacher du dépôt bien odorant que je récupérai avec ma langue.
— Je crois que t’es bien och. Lève toi et retourne toi.
Je me levai et me retournai.
— Baisse ton calbut sale bâtard !
Je m’exécutai sans un mot. Il me poussa sur les reins fermement avec sa main pour me faire pencher et il m’écarta les jambes. Je m’appuyais avec les mains sur le tableau de bord. Il commença à me caresser les fesses puis d’un coup il me rentra plusieurs doigts dans l’cul. Il le ramona ainsi un long moment et je commençais à gémir de plaisir.
— Tu aimes ça hein sale lope ?!!
— Oui, continue !
— Putain tu mouilles comme une chienne sale bâtard !
Il continua enfonçant toujours plus profonds ses doigts. Puis il les retira.
Remets ton slob et fout toi à genoux. A peine en position, il me colla les doigts gluants sous le nez.
— Tiens bouffe, ça vient de ton fion.

Je me mis à sucer ses doigts et à avaler tous les glaires qu’il avait raclé au plus profond de mon cul. Puis je me mis à remonter avec la langue le long de sa jambe, dont le goût acre de la transpiration me donnait des sensations de bonheur, pour arriver le nez collé sur la poche de son slip bien daubé. J’avais une de ces triques !!!

La poche était par endroit durcie par des dépôts successifs de sperme abondants, je crachais dessus pour humidifier le sperme sec et à pleine bouche je me mis à aspirer tous les résidus de pisse et de purée. Puis je glissai ma main dans l’ouverture pour lui sortir la teub et les burnes. Son zgeg gluant était collé à la peau de ses boules et l’odeur était très intense. Je lui soulevai la bite qui se décolla lentement de ses balloches bien pleines qui retombèrent sur la banquette. Mes doigts étaient déjà poisseux et collants et ils avaient pris l’odeur de son zboub bien daubé. Je me mis à l’œuvre en le décallotant lentement pour profiter du spectacle. Petit à petit, son gros gland apparut rempli de bon fromton bien épais, crémeux et généreux. Ah, il avait du se branler un paquet de fois ces jours derniers. Il me dit alors :
— Ca te dit de me sucer et de bouffer mon from ? C’est du bon, il a 8 jours !

En disant cela, il se recalotta afin de ne pas perdre de from et il baissa son slibard et écarta à nouveau les jambes et je vis que ses poils pubiens étaient tout collés de transpi et de foutre. Je ne répondis pas. Je repris son beau zboub et le redécalottais lentement avec la bouche entre ouverte et je me mis à passer des coups de langue autour de son gland récupérant tout ce bon from qu’il avait gardé pour moi. Je n’en perdis pas une goutte en bon bâtard que j’étais. Puis goulûment je gobais sa verge à donf. Il fit plusieurs va et vient intenses pendant au moins 10 minutes, puis il se mit à gémir se retira de ma bouche gourmande m’envoyant plusieurs jets de foutre bien épais sur la gueule.
— Prends ça p’tite lope !!!
Quand il eut fini, son zboub se rétracta. N’étant pas encore rassasié, je la repris dans la bouche et la nettoya avec ardeur avalant jusqu’à la dernière goutte de son yop. Puis je m’assis sur la banquette, je sortis ma teub par l’ouverture de mon slob et me mis à me branler. Je ne tardai pas à jouir tant il m’avait chauffé. Je restais là un moment savourant chaque minute, puis je remis ma bite pleine de jus dans le fond de la poche de mon slip et je me mis à me tâter le paquet avec ma main dégoulinante de yop l’essuyant sur le slip afin de bien le dauber.

— Putain Nathan, c’était trop bon mais ça m’a donné une envie de pisser.
— Moi aussi, on va pouvoir continuer le boulot dans nos calbuts.
— Tu l’as dit !
— C’est trop top Nathan... ton slip va bientôt être bien pourave comme le mien. Ca te dirai de venir avec moi en Espagne ? Tu pourras profiter encore de mon from, je vais en repréparer pour toi.
— Combien de temps va durer ton voyage ?
— 10 jours. 10 jours pour dauber encore plus ton slob et tes cho7, et me faire un max de fromton.
— Ok mec pas de problème, je suis partant.
— Ok Nathan mais à condition que toi aussi tu daubes bien ton slob de sépi et de foutre.
— Je crois que j’en prends le chemin. Je n’ai que celui-ci et en 10 jours, crois-moi, il sera crade grave.
— Cool man ! On va bien s’éclater alors !

Par NATHAN - Publié dans : Témoignages
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