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Mardi 16 juin 2 16 /06 /Juin 17:40

Comme promis, je continue à publier les quelques témoignages hyper bandants que vous m'avez envoyés ces deux derniers mois... Visiblement le plan pisse de HAIRYLEGS94 ne vous a pas laissé indifférent et je pense que beaucoup d'entre vous y repenseront lorsqu'ils s'arrêteront pisser dans les chiottes d'une aire d'autoroute cet été ! ;-)

Je pense que vous devriez également kiffer grave le nouveau témoignage de XAV (alias HARDHAIRY) qui, après avoir servi de vide-couilles à 3 potes de rugby puis s'être fait loper par un ouvrier du BTP bien macho sur Marseille, s'est maintenant trouvé un master bien hard pour le faire progresser. Et pour commencer ce dressage, une bonne mise à dispo de ce bâtard dans des chiottes désaffectés pendant toute une nuit... C'est clair que pour un début c'est carrément trash mais passée l'appréhension des premières heures, cette chiennasse a eu l'air d'apprécier d'être mise à dispo. D'autant plus que son master lui avait sélectionné de bons queutards bien och et hyper daubants ! De quoi lui en mettre plein les narines, et vous faire cracher un max de yop à la lecture de son récit...
Je vous laisse découvrir ce plan de ouf, illustré là-encore par des pics du net pour le rendre encore plus bandant ! Bonne sturbe à tous !!!

Salut les mecs ! Je ne résiste pas à l'envie de vous raconter ma dernière aventure. J'avais esperé ce genre de plan depuis longtemps, sans jamais fanchir le pas... C'est maintenant chose faite. 

Depuis quelques mois, je suis en relation avec Olivier, un master de 40 ans physiquement très différent de moi. Il est haut comme trois pommes, moi je mesure 1m96, il est imberbe moi je suis très poilu, il est très musclé, moi je suis longiligne. Ce qui nous a bien rapproché c'est le cul ! Il prend son pied à humilier, à utiliser un mec comme urinoir, comme nettoyeur de raie, de couilles, de gland fromageux, d'aisselles, de panards. Nous nous sommes rencontrés dans une boîte à cul et j'ai pu lui montrer que je pouvais être le bâtard idéal pour lui. Quand je lui ai raconté mes derniers exploits de clebs à dispo, il s’est senti dans l’obligation de faire mieux. A peine étions nous sortis de la boîte qu’il m’emmena sur une aire de repos désaffectée pour me montrer le lieu de ma prochaine humiliation. J’avais bien vu que cette aire de repos où rodaient habituellement des gays avait été supprimée, mais je ne savais pas qu’il était encore possible d’y accéder par un chemin. A l’origine, il devait y avoir trois pissotières, mais celle du milieu avait été retirée. Il restait donc deux pissotières puantes avec un bel espace entre elles, des graffitis porno sur les murs, bref le lieu idéal pour une lope en mal de baise bien crade !

Pour me mettre en appétit Olivier m’ordonna de me mettre à genoux entre deux urinoirs et il m’arrosa de sa pisse chaude avant de m’enfourner sa bite pour me limer la gueule pendant de longues minutes. Il était tellement excité qu’il juta sur mon tee-shirt avant de me ramener chez moi.
T’inquiète Xav, je te prépare un plan comme tu n’en as jamais fait, tiens-toi prêt dans un mois en jock et chaps, le cul nikel !
Le mois de septembre aura été le plus long de l’année pour moi, d’autant qu’Olivier me tenait informé de l’avancement de son organisation par texto chaque jour. Connaissant mon goût pour les décrassages, il s’appliquait à me trouver des mecs bien daubants. Le 26 septembre j’ai reçu le texto suivant : « mon pote maçon s’est toujours pas savonné la bite depuis le début du mois, ses collègues lui disent qu’il commence à puer ». En rentrant chez moi le soir-même, j’ai pu admirer le slob du pote en question, du jamais vu…je me touchais à peine la bite que je crachais toute ma sauce tellement j’étais excité de savoir que 4 jours après j’allais morfler, mais je ne savais toujours pas combien de bites allaient défiler en moi. La nuit du 29 au 30, j’ai eu beaucoup de mal à trouver le sommeil, je bandais comme un âne et dès que je m’endormais je rêvais aux chiottes de l’aire de repos. 

Le 30 septembre à 22 heures, Olivier s’est présenté chez moi : rangers, treillis, débardeur blanc. J’étais en tenue de combat moi aussi, mais le cul à l’air. Putain j’avais la gorge serrée et je ne voulais rien lui demander.
Alors ma salope, ta chatte est bien propre, on va bien t’utiliser, prépare-toi à une grande soirée !
Sans rien dire, je l’ai suivi dans sa bagnole. Il m’a demandé de retirer mes groles et il m’a enfilé une cagoule, et des bracelets en cuir aux bras et aux chevilles. Avant de démarrer, il me força à sniffer son paquet qui daubait un max à travers le treillis, je l’ai alors supplié de sortir sa bite pour bien en profiter.
T’inquiète, t’auras le temps de l’avoir dans la gueule celle-là et un maximum d’autres !
Je me suis redressé et nous avons roulé 20 bonnes minutes sans un mot. A peine arrivée à l’aire de repos, je me suis retrouvé attaché par les poignets entre deux pissotières assis le dos au mur. Olivier me retira la cagoule, pour m’enfourner direct son gland recouvert de fromton…
Lèche-moi ça sale pute !  Passe bien ta langue autour du gland que je sois bien propre du zob !
Je m’exécutais avec plaisir en me recevant ses mollards dans la gueule et je m’excitais un max à sentir de chaque côté de ma tête les pissotières. C’est alors que deux mecs se mirent à pisser dans les deux urinoirs. Celui de droite me montra son slob avant de sortir sa bite, ça ne pouvait être que le maçon tellement il puait du slob simplement en ouvrant son jean.

De l’autre côté, c’était un jeune beur en survêt et skets super mignon, qui bandait déjà avant même de pisser. Il ne tarda pas à pisser à côté de l’urinoir et à se diriger vers ma gueule pour me la remplir, comme si j’étais une simple pissotière, son fromton mélangé à sa pisse me dégoulinait sur la gueule et il en profitait pour me débarbouiller avec. Il me prit la tête avec ses deux mains pour me guider sous ses couilles : ça puait la transpiration et l’odeur de jeune mâle négligé. Voyant que ses couilles poilues m’excitaient bien, il décida de me les foutre toutes les deux dans la bouche. Elles avaient un goût âcre et je me délectais à les faire rouler sous ma langue pendant qu’il se branlait en crachant sur sa tige. Je récoltais du coup ses mollards qui glissaient sur ses couilles.

Il se retourna sans rien dire et me présenta sa raie poisseuse que j’ai dû lécher comme une chienne. A l’évidence, il n’avait pas pris de douche et il écartait bien sa raie pour que je pénètre sa rondelle avec la pointe de la langue. Olivier me félicitait et se mit à me pisser sur la raie du beur en me demandant de bien nettoyer jusqu’à la dernière goutte. Je ne me touchais pas la bite car j’aurais craché tout de suite. J’avais carrément oublié l’ouvrier qui finissait de pisser à côté, mais il retira ses rangers et se mit à essuyer la raie pisseuse du beur avant de m’enfourner ses panards puants. Il avait des cho7 en laine kaki bien cartonnées et je ne savais plus où donner du pif entre l’odeur de la raie, celle de la pisse d’Olivier et celle des panards du maçon. Les trois se sont relayés pour m’enfiler leur zob dans la gueule en m’insultant et en me crachant sur la gueule pendant 20 bonnes minutes... C’était déjà l’extase pour moi et j’allais me satisfaire de ce bon plan avec trois dominateurs. J’attendais plus que les enculades à la chaîne avec ces trois membres bien dimensionnés. 
Olivier décida alors de me détacher pour me retourner à 4 pattes et il replaça les menottes pour bien me fixer les deux mains aux urinoirs. J’avais le cul offert et je me suis dit que mes trois gaillards allaient en profiter un max. Le maçon se plaçait alors contre le mur, jambes écartées pour que je puisse gober son chibre qui puait et les deux autres m’ont limé en me claquant le cul. L’ouvrier s’est servi de son slob immonde pour me bâillonner, car je gueulais trop, j’avais quasiment envie de vomir tellement il était dégueulasse, et il m’encula direct comme un bourrin pendant que les deux autres buvaient une bière en me pissant dessus. J’étais trempé par la pisse, je commençais à avoir froid, et j’avais la gueule qui puait le fromton. J’avais mal au cul, mais je savais qu’au bout d’un moment je prendrai vraiment du plaisir à me faire défoncer.
Olivier tu nous as trouvé une bonne pute bien docile, faut en faire profiter les autres !
Le jeune qui n’avait rien dit jusque là me prit alors par les cheveux pour que je le suce et il se mit rapido à me juter sur le cou en me traîtant de salope, de tire-jus, de vide-couilles. Il me donna une baffe, m’essuya son foutre avec une de ses cho7, j’ai sniffé ses skets pouraves, et il s’est cassé. Olivier et son pote l’ont suivi jusqu’à sa bagnole et je les attendais pour m’occuper de leurs bites… Sauf que j’ai clairement entendu trois bagnoles repartir, et je me retrouvais menotté à deux urinoirs, sur une aire de repos abandonnée, trempé de pisse, le cul en l’air…

 

J’ai vraiment cru que des flics passeraient pour faire une ronde et qu’ils me trouveraient attaché, souillé, et j’ai vraiment paniqué. Comme dans les films, je me suis demandé comment me libérer les poignets des bracelets en cuir, j’ai essayé de forcer sur la tuyauterie des urinoirs qui ne risquait pas de bouger, et j’échafaudais une explication au cas où quelqu’un viendrait. Après de longues minutes, j’ai entendu une moto s’arrêter, j’ai vraiment cru que c’était les flics, j’avais une trouille d’enfer et je ne risquais plus de bander… C’était l’aventure de trop et j’allais être vacciné pour un moment ! Deux mecs se sont pointés avec leur casque et ils se mirent à se foutre de ma gueule à 4 pattes et attaché. Ils se sont tous les deux pointés devant chaque urinoir et ils ont sorti leur zob. Celui de droite m’a rassuré, en se décalottant pour pisser car j’ai vu du fromton tomber de son gland. Il le récupéra dans la pissotière et il me l’enfourna direct dans la gueule.
Olivier avait raison c’est cool de venir pisser ici ! Hein Eric, qu’est-ce que t’en penses ?
Je me suis retourné vers le deuxième mec qui avait une putain de grosse queue avec un long prépuce, tout ce que j’aime.
Ben ouais, on va l’essayer cette chienne !
Eric s’est tourné vers moi pour finir de me pisser dans la gueule en m’enfournant direct sa bite. Il ne bandait pas encore totalement et je sentais son prépuce au fond de la gorge qui ruisselait de pisse. Après avoir tout englouti, j’ai commencé à bien le sucer pour lui faire gonfler son chibre. Son gland s’est bien libéré, il avait aussi du from et il gémissait de plaisir en me voyant le sucer, l’autre semblait jaloux que je ne m’occupe que de la bite de son pote, il s’est mis à m’insulter :
Ben alors t’es une salope ou t’es pas une salope ?!! Si t’es là pour faire ta sucrée et choisir tes bites, je me casse !

Sans rien dire, je me suis approché de son paquet et je m’en suis bien occupé pendant quelques minutes alors qu’il me collait des baffes. C’est alors que l’autre est passé derrière, a enfilé une Kpote et m’a bourré comme une bête pendant que je suçais l’autre qui commençait maintenant à me complimenter. Ils se sont relayés entre mon cul et ma gueule et ils ont fini par me juter dessus. Sans rien dire, ils se sont cassés, et je n’étais pas plus avancé. J’avais bien dégusté, mais je ne savais toujours pas ce que j’allais devenir.

 

Deux minutes après, c’est Olivier qui s’est pointé avec son pote maçon et deux autres gars, genre portugais, poilus comme j’aime.
Pour finir ta soirée de lope, tu vas satisfaire mes deux collègues ! me lança le maçon. Ils ne s’étaient pas changés après leur taff, et ils puaient la transpi. Olivier me détacha et il m’ordonna de lécher les deux mecs en partant des aisselles jusqu’aux panards. J’aime les plans crades, mais là c’était cho pour moi, surtout les panards qui daubaient un max dans leurs bottes de chantier. Les quatre gaillards m’ont ensuite enfilé les uns après les autres pendant que la file d’attente se formait devant ma gueule pour que je suce, et je me faisais insulter dès que je montrais des signes de fatigue. J’ai fini assis entre les deux urinoirs avec le foutre que les quatre mecs ont carrément largué en même temps sur moi.

J’avais plus qu’à me branler avec tout ce foutre pour jouir comme rarement ça m’est arrivé… Un vrai régal !!! Mais heureux d’avoir pu rapidement me retrouver à la maison sous ma douche tellement j’étais souillé !

 

XAV (alias HARDHAIRY)

Par HARDHAIRY - Publié dans : Témoignages
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