Après quelques jours de repos bien mérités, me voici de retour avec une gaule d'enfer grâce aux quelques mails envoyés par d'autres accros de teubs odorantes... à commencer par celui de FROMTIX, un fidèle du blog hyper cool qui visiblement ne rêve que d'une chose : qu'un laskard bien och lui fasse renifler et décrasser son zgeg crémeux... Il n'ose pas encore se lancer, mais je suis sûr que l'un d'entre vous se dévouera volontiers pour l'initier !!!
Je vous laisse découvrir le trip de ses rêves... Franchement les mecs, préparez-vous à juter un max en le lisant !

Je viens d'aller voir ton blog, et une fois n'est pas coutume, je me suis chopé une belle trique qu'il a fallu calmé ! Merci pour ce moment de bonheur ;-)

Perso, j'ai jamais vécu de plan décrassage, jamais rencontré de mec qui daubait, bref, j'ai aucun témoignage perso à apporter. Alors afin d'apporter ma pierre à l'édifice, et dans le but de faire bander un max de mecs, j'ai écrit une petite histoire. C'est pas grand chose, juste un récit où j'évoque des trucs qui me font triper, bander.

Ce qui suit n’est que fiction, fantasme. Je raconte des choses qui me font bander, qui me font rêver.
Je sors tout juste d’une soirée avec des potes, il est environ 4 heures du matin. Je me suis levé tôt ce matin, j’ai bossé toute la journée. La soirée, c’était surtout pour me vider la tête, voir du beau mâle. Et de ce côté-là, j’ai été servi. Je crois que si j’avais commencé à compter les beaux mecs que j’ai croisés là-dedans, j’aurais pas eu assez de mes dix doigts.

Tout ces corps bien dessinés, ces muscles longuement travaillés, un régal pour les yeux ! Et après plusieurs heures dans cette boite surchauffée, voir les corps s’humidifier, la sueur ruisseler sur la peau de ceux qui ne veulent lâcher la piste de danse, ça c’est du pur bonheur.

Je sors donc de cette soirée et me dirige vers le parking où est garée ma voiture. C’est alors que je les croise. Je les avais déjà repéré 2-3 fois, lors de soirées dans cette même boite. Ils sont tous les 2 plutôt mignons. A dire vrai, je leur trouve un petit quelque chose de terriblement bandant, le genre de truc à vous refiler une trique d’enfer.

Innocemment, ils me demandent l’heure, puis nous entamons un semblant de conversation. Finalement, ils me proposent de les accompagner chez eux pour finir cette nuit ensemble. Les 2 mecs m’inspirent plutôt confiance, et j’avoue que l’idée de pouvoir me retrouver au pieu avec ces deux-là me pousse à les suivre.

Arrivés chez eux, les 2 mecs me poussent dans la chambre. C’est alors qu’ils m’annoncent que ce soir, ils sont plus chauds que jamais. Ca faisait depuis quelque temps déjà qu’ils avaient envie de se taper une bonne salope, et ils ont bien l’intention de se lâcher avec moi ce soir.

L’un des mecs me demande de me foutre à poil. C’est ce que je commence à faire… mais pas suffisamment vite à son goût. Il me crache à la gueule, me gueule dessus, et me vire vite fait ce qui me reste comme fringue. Son copain m’attache alors les mains dans le dos, et me fout à genou devant eux.

Je me débats un peu, mais la poigne du mec est trop forte. Le premier baisse son fût, suivi par le 2ème. L’odeur qui atteint alors mes narines est à la limite du supportable. Ils avaient pas dû se laver la queue depuis des jours !

Ils foutent leurs 2 bonnes grosses queues sous mon nez, m’obligeant à respirer cette forte odeur. Puis lorsqu’ils découvrent leurs glands, je me rends compte à quel point leurs queues sont crades. Elles sont couvertes de fromton ; je pensais même pas qu’il était possible d’en avoir autant. Le premier m’en étale sur la joue, en plaquant mon visage contre sa bite. Le second préfère me la foutre direct dans le fond de la gorge : il me prend par la tête et enfonce sa grosse queue bien crade direct dans le fond de la bouche, ce qui me fait limite gerber, tellement son goût est écœurant. Il commence alors de longs et profonds va et vient. J’ai toujours les mains dans le dos, attachées, je ne peux que me laisser faire. Mais à vrai dire, plus ça va, et plus je trique.

L’un des mecs me pousse sur le lit. Il m’écarte les jambes, et sans ménagement, m’enfonce sa queue dans le cul. Je crois que jamais j’ai eu aussi mal. Mais la réponse à mes cris de douleur furent des insultes et des crachats. Je m’en prends plein le cul ce soir là.

Les 2 types m’enculent successivement, avant de se décider à me prendre tous les 2 en même temps. Je reçois donc, non sans douleur, leurs 2 grosses bites dans le cul. Je suis couvert de sueur, il fait une chaleur intenable, l’air est irrespirable et empeste  l’odeur de leurs bites dégueulasses. Je me fais limer comme jamais, avant que tous 2 ne se vident les couilles sur ma gueule, en me disant que je ne suis qu’une chienne, bonne pour sucer de la bite et se faire péter le cul. Je crois que je ne laisse pas une seule goutte de tout leur foutre.
Parce que oui, ce soir là, j’ai été une vraie chienne, et j’ai pris mon pied comme jamais.