Si vous souhaitez participer à ce blog et
ajouter un article ou des photos, il vous suffit de les envoyer par mail à : teubcrade@yahoo.fr
Votre article et vos photos seront ensuite mis en ligne et vous pourrez ainsi recevoir les commentaires de tous les autres sniffeurs du site et échanger directement avec eux
!
Salut les queutards !
Depuis la création de ce blog voilà maintenant plus de trois ans, je reçois régulièrement des témoignages de mecs qui me disent que ce blog leur a permis de constater qu'ils n'étaient
pas les seuls à kiffer les odeurs de mec, et beaucoup ont du coup commencé à assumer leurs trips et à passer à l'acte. J'avoue que ça me fait super plaisir car c'était un peu un de
mes buts quand j'ai créé ce blog. En effet, je constatais sur les sites de rencontres et autres chats qu'il était souvent bien difficile de parler de ce genre de trips, de peur de tout de
suite passer pour un taré !
Mais visiblement les trips odeurs commencent désormais à rentrer dans les habitudes et je suis toujours agréablement surpris quand je vois des p'tits minets d'une vingtaine d'années aborder
aujourd'hui spontanément le sujet ;-)
C'est clair que pour beaucoup, ça reste encore très difficile ! Beaucoup de mecs en couple me confient qu'ils n'osent toujours pas avouer ce fanatsme à leur mec. C'est clair que c'est
loin d'être évident, mais je pense qu'il faut y aller en douceur et ne surtout pas brusquer les choses...
Pourquoi par exemple ne pas attendre votre mec à poil au retour de sa journée de taff ou de son footing, le désaper direct et lui montrer combien l'odeur de ses aisselles ou de son boxer
vous fait de l'effet ? S'il voit que le simple fait de vous voir le sniffer vous rend bien plus salope que d'habitude, nul doute qu'il ne sera plus trop pressé de prendre sa douche
dès son arrivée par la suite...
Le tout, c'est de ne surtout pas le brusquer et d'amorcer le truc en douceur... Y'a plein de moyens, et puis au pire vous vous prendrez un vent, y'a pas mort d'homme ! ;-)
J'ai connu des mecs qui ne pouvaient absolument pas baiser sans passer 20 minutes sous la douche avant et qui désormais sont les premiers à faire profiter de leurs effluves de mâle en rut ! Alors
lâchez-vous et n'hésitez pas à assumer vos trips ! Vous verrez, vous vous sentirez bien mieux après (ouais, je sais, le jeu de mots est nul mais j'ai pas pu m'en empêcher !).
Pour illustrer tout cela, je vous laisse justement découvrir le mail que m'a adressé MARC, un jeune mec de 25 ans du Nord, qui a commencé à assumer son goût
pour les odeurs de mec grâce à ce blog. Etant très timide, il n'a pas pour l'instant l'intention de passer à l'acte directement mais il a néanmoins tenu à vous faire partager sa technique de
branle pour prendre son pied en solo avec ses odeurs...
C'est assez difficile pour lui de témoigner alors je compte sur vous pour lui laisser plein de commentaires d'encouragement !
Merci encore pour ton témoignage Marc, dans lequel, je pense, beaucoup de visiteurs du blog vont se retrouver...
Bonjour. Je me présente Marc, 25 ans du nord. Je lis depuis longtemps ton blog avec plaisir, ma queue à la main, et je n'arrive jamais à finir un article sans juter. Incroyable l'effet que ton
blog, tes vidéos et témoignages ont sur moi. Avant de le connaître, je ne me lavais pas souvent par fainéantise, j'aimais l'odeur de ma queue qui se salissait de jour en jour et curieusement
j'adorais l'odeur des wc publics. Depuis que je t'ai lu, je me suis aperçu que je n'étais pas le seul à aimer les odeurs de teubs sales et de pisse. J'ai découvert de nouveaux trips.
Depuis, je ne me lave plus la queue et quand elle est trop chargée, j'ai mon rituel pour me décrasser...
Je vais faire
un long footing dans mes vêtements de sport que je n'ai pas lavé. Je fais bien sûr en sorte de beaucoup transpirer. En rentrant, je fais couler de l'eau bouillante dans le lavabo et la
douche pour faire en sorte que l'atmosphère soit très humide. Je ressors de la salle de bain en fermant hermétiquement la porte pour que l'humidité reste et aille en augmentant. Je me
déshabille dans la chambre et ne garde sur moi que mes chaussettes qui sont alors très très odorantes et mon caleçon (porté au moins une semaine, jour et nuit, travail et sport). J'entre à
nouveau dans la salle de bain qui est maintenant extrêmement humide et chaude en atmosphère. J'arrête les robinets. Je me met complètement nu, assis dans le bac de la douche.Je
prends tout d'abord les chaussettes que je sniffe doucement, sniffant l'une et caressant ma queue et mon torse avec l'autre. Une fois rassasié de ces deux pièces de tissus odorantes, je prends
le boxer que je sniffe d'abord sur l'endroit et surtout côté cul.
Je m'imprègne de son odeur étrange et portant si bandante. Ensuite je le mets sur l'envers et je plaque le tissu humide et poisseux (par les restes de sperme qui y sont encore imbibés dans le
tissu et par le sperme que j'ai juté en courant à l'idée de ma petite séance à venir) sur mon visage. Je le sniffe à plein poumon, gémissant de plaisir tel un petit minet.
Je prends alors mon god qui est de la taille d'un long tube de colle (mon petit cul est très serré) et je l'enfonce doucement "à sec" (l'humidité du lieu et la moiteur de mon anus suite à
mon état d'excitation faisant office de lubrifiant, et puis j'aime souffrir un peu !), le boxer toujours collé à mon visage.
Une fois en moi, je lui imprime un petit mouvement de ramonage tout en léchant consciencieusement le tissu pour bien tout déguster..
Une fois le tissu récuré, je profite encore de l'odeur de mon anus en sniffant l'arrière du boxer. Je suis alors en train de bander comme une fou transpirant et remuant du cul comme
une chatte en chaleur. J'abandonne ce repas de délices qu'était mon boxer pour passer au "dessert" : ma queue. Il faut toujours garder le meilleur pour la fin, n'est-ce pas?
Je prends ma queue dans ma main gauche. De ma main droite, je décalotte doucement et me penche au-dessus de ma queue. Je profite quelques instants de l'odeur qui remonte de mon gland et de la
vue de celui-ci recouvert d'une pellicule glaireuse blanche plus ou moins solide, lisse vers le bout et en charpie vers le col du gland.
Alors, de mon index, je récupère petite portion par petite portion la délicieuse et gluante pellicule que je renifle et suce sur mon doigt en remuant des fesses et faisant aller et
venir le god en moi. Je passe un très long moment à déguster ma propre production. Parfois, j'en laisse sur mes narines pour en garder l'odeur.
Une fois que mon gland est malheureusement propre, d'une main je commmence doucement à me branler tandis que de l'autre je me ramone doucement. Puis, peu à peu, j'accélère le rythme des deux
côtés de plus en plus vite, la branlette souvent plus rapide car mon cul est vraiment très serré. Transpirant à grosses gouttes, suant abondamment, je finis par juter vers mon corps, recevant
sur mon visage et mon torse mon sperme brûlant. Je reprends mon souffle doucement. De mes dernières forces, je contracte mon cul au maximum pour sentir le gode s'en aller quand je le retire. Je
le sens, le renifle, apprécie son odeur (je ne me lave que l'anus et de temps en temps l'intérieur de mon cul avec une poire, pas branché vraiment scato mais j'aime néanmoins l'odeur de mon
anus et de mon cul après avoir transpiré). Je récupère ensuite le sperme qui est sur moi, mon visage, mon torse... avec le gland du gode que je lèche avec application. Je déguste avidement mon
sperme parfois en me doigtant doucement, flattant mon anus de deux doigts. Je récupère tout le sperme, je nettoie tout entier le gode, je lèche mes doigts qui m'ont doigté et une fois que tout
est léché, récuré, nettoyé avec ma salive, je décide de prendre une bonne douche... dorée.
Je me cale alors bien dans le bac, le plus allongé possible et je me pisse dessus avec un grand râle de plaisir, je reçois l'urine sur mon visage, ma bouche, mon torse... je me caresse
avec, je patauge dedans. Je me retourne et en lape une partie, le cul bien relevé tel un petit chien lapant son bol, la queue pendante entre les cuisses. Si je dois sortir ou aller au
travail, je prends alors une rapide douche pour retirer l'odeur d'urine et laver la cabine de douche. Sinon je reste ainsi, gardant ces odeurs qui me font bander comme un dingue.
Voilà ma méthode quand je suis totalement seul chez moi et tranquille pour un long moment. Je ne le fais pas avec autant d'étapes à chaque fois mais quand je peux, je prends beaucoup de plaisir
à tout faire exactement comme je l'ai écrit. Je suis bi, très attiré par les queues et surtout par celles bien odorantes mais beaucoup trop timide voire un peu lâche pour tenter d'aller vers un
plan réel. Je ne recherche que discuter et réaliser des scénarios avec des mecs branchés là-dessus comme moi. Je sais que cela reste de l'ordre du fantasme et que le mieux c'est de passer à
l'action, mais je fais un blocage. Je préfère pour le moment m'auto-crader et m'auto-récurer.
Mais si vous avez des conseils pour améliorer ma méthode, n'hésitez pas ! Je suis une lope fort timide et je tente de passer une grande étape en vous écrivant. Merci de votre
attention...
Marc la lope (hindenburg@hotmail.fr)
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