Salut les queutards. Je sais pas vous mais moi avec la chaleur qu'il fait en ville depuis quelques jours, j'arrive plus à contrôler ma queue. Elle me demande des sturbs nuits et jours. Ce que je lui donne, bien-entendu ! En plus, avec ces températures, ma queue fouette un max. Quand je m'astique, l'odeur de queue et de pisse me monte direct jusque dans les narines. Le pied !!J'imagine qu'en ce moment ça doit être comme çà pour tous les mecs et quand je marche dans la rue, je peux pas arrêter d'imaginer toutes les queues odorantes se cachant sous les paquets que je mâte. Je voudrais être là le soir, quand tous ces mecs rentrent chez eux, pour leur sniffer et leur nettoyer le zgeg sous toutes les coutures.

Y'a un mec que je mâte spécialement. C'est le peintre en bâtiment que je vois tous les matins au bas de mon immeuble en allant au taf. Il est en train de repeindre l'entrée et la cage d'escalier. Une vraie bombe ce keum ! La première fois que je l'ai vu, c'est bien simple, j'ai failli râter la marche et me casser la gueule au fond de l'escalier. Il porte toujours le même froc, un pantalon de peintre blanc, qui lui fait un super paquet. Une fois que je passais, il était de profil et je peux vous dire que vu la taille de la bosse, l'engin doit être impressionnant. En haut rien. Elle bosse torse nu la salope ! Son corps est assez musclé mais un p'tit ventre super sexy se dessine déjà. Il doit être turc et avoir moins de trente ans je pense. Quand je le croise, je sais plus quoi regarder. Son torse poilu ou son big bulg. Un soir que je rentrais à la maison, il m'a précédé dans l'escalier. Je le suivais et j'avais mon visage à la hauteur de son cul, bien rond et bien moulé dans son fute. J'arrivais pas à décoller mon regard. Me suis mis à imaginer ma langue fouillant profond son gros cul bien transpirant.

Un plus tard, depuis mon balcon, je le vois quitter l'immeuble à pied, en jeans et T-shirt. Encore plus bandant qu'avant. Il n'avait pas de sac avec lui et je me suis dit qu'il devait laisser son froc de peintre ici. Avec un peu de chance, si je mettais sans plus attendre la main dessus, je pourrais encore sniffer la bonne odeur de sa queue et de sa transpi. Je suis aussitôt descendu et j'ai commencé à fouiller. Mais rien. Putain, j'étais hyper frustré. Ce froc devait être là, pas possible autrement. Soudain, je me suis souvenu d'une petite porte derrière la cage d'escalier, qui donnait sur la chaufferie. Je m'y suis dirigé, la porte n'était pas fermée. Là, à l'entrée, par terre, je vois un sac de sport. Je l'ouvre et là, bingo, j'aperçois le froc. Je fouille un peu et vois, entre des vieilles chaussettes noires puantes, un vieux T-shirt daubant la transpi et du produit de douche, un calbute, un boxer en maille blanc. Du coup le froc ne m'intéresse plus du tout. Je referme le sac et monte direct chez moi avec le boxer roulé au fond de ma poche.

Ensuite, j'ai eu tout loisir de l'examiner et de le sniffer : ça devait être le calbute qu'il avait porté toute la journée car il était encore chaud et humide de transpi. Hyper crade ! J'avais franchement jamais vu un slobard pareil. Je sais pas depuis combien de temps il le portait mais il était tout pisseux, plein de tâches, autant devant que derrière. Je l'ai enfilé et me suis astiqué des heures durant, le sniffant et le léchant. J'en ai pris quelques pics pour vous. Porté recto et verso ;-) Si y'en a un d'entre vous qui est volontaire pour se mettre à 4 pattes er venir le lécher sur moi, qu'il n'hésite surtout pas ! ;-)
Le lundi suivant, mon ouvrier a remballé ses affaires et s'est tiré. Heureusement que je ne l'ai pas
recroisé. Je suis sûr qu'il avait bien vu que je le mâtais et j'aurais été franchement mal à l'aise.

A bientôt pour de nouvelles aventures...
Votre dévoué, CyberS.  (marcsneak78@yahoo.fr)