Salut les queutards !

Et oui, les vacances se terminent déjà... Finis les mecs en débardeur dégoulinant de sueur et les bonnes odeurs de keum en rut se déhanchant sur la piste en boîte ! Il va maintenant falloir reprendre le chemin du boulot, mais cela ne signifie pas pour autant se priver de plans odeurs bien och. La preuve avec ACER87, un mec de 33 ans hyper cho sur Limoges, accro aux bites bien fromageuses et aux odeurs de mec, qui semble-t-il a déjà eu l'occasion de se faire pas mal de plans bien hard, et notamment au taf ! Putain, je kifferais trop avoir un collègue comme çà pour me décrasser le zgeg régulièrement... Allez, trêve de bla-bla, je le laisse vous raconter son dernier plan, illustré de quelques pics perso de son zob bien crémeux !

Ce plan s'est passé avec un collègue de travail qui travaille dans un autre service au même étage que moi, la trentaine, brun, un bouc, plutôt mignon selon mes critères. Je savais qu'il était homo car je l'avais croisé plusieurs fois dans des bars gay, mais je ne savais pas qu'il avait les mêmes goûts que moi pour le fromtom.
En fin de matinée, pris d'une grosse envie de pisser je suis donc allé aux chiottes. Au moment où j'entrais dans les toilettes hommes, ce fameux collègue arrive. Je lui tiens la porte. Il n'y a que deux urinoirs, on s'est donc retrouvés côte à côte. Je me pressais pas pour me débraguetter et sortir ma bite car ça faisait plus d'une semaine que je l'avais pas lavée et je ne voulais pas qu'il le remarque (ou plutôt qu'il sente l'odeur). Lui en revanche s'est dépêché de la sortir et a commencé à pisser. C'est alors que j'ai senti une odeur caractéristique que je connais bien. Une odeur de teub bien crade ! J'ai jeté un coup d'oeil et j'ai vu qu'il avait une bite bien crade, bien fromageuse. En voyant ça, j'ai pas hésité à sortir la mienne et à commencer à pisser. J'ai un peu
décalotté pour qu'il voit que moi aussi j'étais comme lui. On s'est mis à bander. Il m'a demandé à quelle heure je finissais.
— A tout à l'heure ! me lance-t-il avant de sortir des chiottes.

La journée se passe normalement et, vers 16h, il entre dans mon bureau.
— Tu viens dans mon bureau, il faut qu'on parle de certains dossiers...
Je le suis, il verrouille sa porte derrière moi et baisse son froc. Je ne disais rien. Je mourais d'envie de lui bouffer sa teub bien puante. Je me suis alors mis à genoux et je me suis approché de sa queue. Quelle odeur sublime ! Je l'ai décalotté et une odeur encore plus forte est venue jusqu'à mes narines.
J'étais excité à un point inimaginable. J'ai commencé à lécher son gland recouvert de from. Cette odeur, ce goût, j'en pouvais plus ! Je lui ai décrassé entièrement la bite. De temps en temps, je lui léchais sa touffe qui sentait bon la transpiration et la pisse. Il m'a ensuite dit de me relever et de lui montrer ma bite. J'ai baissé mon froc. Je bandais comme un malade. A son tour, il a léché le from sur ma teub. Il a bien pris son temps et me l'a rendue impeccable.

Il est ensuite passé derrière moi et j'ai senti qu'il essayait d'enfoncer sa teub dans mon cul sans gel, à sec. J'étais tellement excité qu'il n'a pas eu à trop forcer, mon cul s'est ouvert pour la laisser passer.
Il m'a alors limé et a très vite déchargé dans mon cul. Il m'a ensuite sucé jusqu'à ce que je lâche mon foutre dans sa bouche. Le goinfre a tout avalé direct. Depuis, on se parle un peu plus qu'avant mais on n'a jamais reparlé de ce plan. J'ai trop envie de recommencer avec lui donc il faudra que je me décide à lui en parler.