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Samedi 10 novembre 6 10 /11 /Nov 17:01

Salut les queutards !

Enfin le week-end !!! L'heure est venue de vous installer confortablement devant votre ordi, de sortir votre queue bien daubante de votre slob et de vous astiquer un max devant les nouveaux articles de votre blog préféré ! Et je pense que vous n'allez pas être déçu les mecs ! ;-)
Pour commencer, une histoire et des pics perso super kiffantes de RASEBRUN, un bon p'tit rital sportif et odorant du zob sur Marseille... Franchement à voir les photos de sa teub bien crémeuse, ça donne grave envie de prendre un billet de TGV et de descendre direct lui décrasser le chibre dans un coin du vieux port ! Je vous laisse découvrir le récit d'un de ses plans odeurs dans une salle de muscu de Marseille... Jute garantie avant la fin !


Salut les mecs ! Je suis italien, marseillais, 31 ans, sportif viril, cheveux bruns courts, yeux verts,  1m70, 66 kg, pecs dessinés, cul musclé bombé, zobé 18 et panards 41. Je pratique la muscu, le squash et le VTT. Mon trip, c'est de sniffer bonne odeur de mec viril (le zob au from bien sûr, les cho7 et skets bien pourraves à la sueur et aussi les panards). Très souvent des hétéros, pas trop de gay... je les trouve pas assez naturels à mon goût.
Je vais vous raconter une véritable histoire qui s'est passée en septembre dernier dans la salle de sport (Marseille 8ème) où je m'entraîne tous les soirs. En ce début de rentrée, de nouveaux membres se sont inscrits ; et plus particulièrement des marins pompiers car pas très loin de la salle de sport se trouve une caserne. Dans le trip odeur, je suis plutôt passif et soumis par la vénération du bitos et panards fumants. Mais plan réciproque aussi.

J'ai repéré parmi les nouveaux inscrits une brochette de pompiers qui, ma foi, sont très sex et me font monter la tige direct. Cela a commencé dans les vestaires. J'en ai repéré un plus particulièrement : un  beau brun viril, sans doute pas plus de 24 ans, très beau corps musclé sec et dont les skets pourries et les cho7 blanches pourraves laissaient imaginer le reste.
Pendant plusieurs séances, on s'est retrouvés après l'entraînement dans les vestiaires et nos regards se sont croisés. Il s'est aperçu que je matais très souvent ses skets et cho7. Ce soir-là, nous avons échangé quelques mots de courtoisie pendant que nous nous changions. Il retire alors ses skets et cho7 et commence à me dire :
— Putain, je pue grave des panards ce soir ! ça craint trop !
Moi je lui réponds aussitôt qu'il n'y a pas mieux que des odeurs de mâles.
Très surpris, il me répond néanmoins avec un ptit sourire en coin :
— T'as raison ! Je me douche très rarement, uniquement quand je suis à la caserne. Je suis un mec et un mec ne doit pas être parfumé.
Lui aussi est italien (du sud de la Sicile) : un mec bien rustre, bon bourrin et même un peu porc.

Nous sortons de la salle, prenons la même direction du parking et nous échangeons de plus en plus d'allusions à propos des odeurs de transpiration. Nous arrivons devant l'ascenseur du parking de la salle de sport pour récupérer sa moto et moi ma Golf, et à ma grande surprise il me pose une question très directement sans voir l'air d'être gêné le moins du monde :
— Tu daubes aussi des panards et du zob ?
Un peu surpris tout de même, je réponds aussitôt que oui, ajoutant que je ne m'étais pas lavé le zob depuis 5 jours et idem pour les panards. Dès que nous sommes sortis de l'ascenseur, on s'est rapprochés de ma voiture. Il s'est appuyé dessus et a sorti immédiatement son morceau de viande : une très grosse pine en érection de 22 cm (déjà au repos quand je l'avais matée elle me paraissait énorme). Je me suis tout de suite mis à genoux et j'ai commencé tranquillement à sniffer ses couilles. Je lui ai alors décalotté le zob et une odeur de poisson pourri s'est dégagé de son gland, laissant découvrir une épaisse couche de mousse. Je n'en revenais pas !!!
Il me lance alors en me matant droit dans les yeux :
— On dirait que ça te déplait pas, mec ! Allez vas-y, entre potes bourrins et virils, y'a pas de honte à avoir ! Vas-y, régale-toi !!!
J'ai aussitôt sniffé grave. J'avais la bite très raide, je mouillais grave du cul et du zob. Dommage que je ne peux vous envoyer l'odeur dans l'histoire... j'en bande encore ! Je l'ai donc sniffé à donf et j'ai étalé le from sous mes naseaux. Nous sommes rentrés dans ma voiture et là il m'a demandé de me déchausser. Il a sniffé mes panards direct tout en se masturbant en même temps. J'avoue que j'en faisais autant et qu'au bout de quelques minutes, il me sniffait à son tour le zob (qui refoulait pas mal lui aussi).

Nous avons juté ensemble dans ma voiture, et le tableau de bord a été bien arrosé ! Nous sommes ensuite devenus très potes et depuis, nous nous entraînons ensemble. Parfois le soir après le sport, nous nous reniflons le bitos. En moyenne une fois par semaine, il me rejoint chez moi avant de retrouver sa meuf... Personne à la salle n'imagine ce que nous faisons, ni mes potes gays ni les siens.

A
bientôt au bitos les mecs ! Lâchez le jus ou venez à Marseille me faire sniffer vos grosses bites odorantes au from de préférence ! 
RASEBRUN   (
rasebrun@yahoo.fr)

Par RASEBRUN - Publié dans : Témoignages
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