Salut les queutards !
Alors les mecs, on profite du retour du soleil pour recommencer à bien transpirer et à s'en foutre plein les narines... Moi, je rentre tout juste de mon footing et j'ai croisé quelques beaux
gosses en sueur que j'aurais volontiers sniffer ;-) Je sais pas vous mais moi le retour des beaux jours, ça me réveille grave les hormones et j'ai tout le temps envie de baiser ! Et d'ailleurs je
ne m'en prive pas !
Comme ça fait un p'tit moment que je vous ai pas raconté un de mes plans Q bien cho, j'ai pris mon clavier histoire de vous faire partager la méga baise que j'ai faite avec quelques
potes lors d'une soirée raclette bien arrosée. Putain rien que d'y repenser, ça me file la trique direct !!! Je précise que si l'histoire est bien réelle, les pics qui l'illustrent ont été prises
sur le net (ben oui, m'en voulez pas mais j'étais un peu trop occupé ce soir-là pour jouer les photographes ! lol).
J'ai vraiment mis un max de détails dans le récit pour que vous avez vraiment l'impression d'être au coeur de l'action... J'espère que ça vous fera kiffer grave et que vous serez nombreux à me un
commentaire. Bonne sturbe à tous et à très vite sur le blog !
C'était donc il y a quelques
semaines... Mon pote Idriss, un superbe métisse martiniquais toujours chaud comme la braise, m’avait invité chez lui pour une petite soirée raclette. Et vous pensez bien qu’un amateur de from
comme moi est toujours partant pour déguster une bonne raclette ! lol
Bref, a priori pas de baise de prévu, juste une petite soirée tranquille entre potes… Pourtant j’avoue que quand mon pote m’a donné la liste des autres invités au tél, ma queue a tout de suite
frétillé de mon calbut… Tout d’abord Johan son nouveau mec, un p’tit keum de 24 ans (brun, yeux verts, mince et élancé), que j’avais déjà croisé 2 ou 3 fois en boîte par le passé sans pour autant
parvenir à le pécho. Faut dire qu’à côté de mon pote Idriss, de sa gueule de lascard et de son calibre de ouf (un bon 23 cm, bien épaisse et dotée d’un super long prépuce), je ne faisais pas
vraiment le poids. Bien que mon pote soit en général assez prêteur, je n’avais pas encore eu l’occasion de constater à quel point ce Johan assurait au pieu, mais mon pote m’avait mis
plusieurs fois l’eau à la bouche en me racontant en détails leurs baises les plus torrides. Et nul doute que le p’tit Johan était déjà grave accro au calibre de mon pote et prêt à tout pour lui
faire prendre son pied.
Parmi les invités de la fameuse soirée raclette, Greg, un collègue gay de mon pote avec qui j’avais sympathisé et que j’avais revu plusieurs fois pour de bons plans sniffes… Je dois même dire que c’est moi qui l’ai initié aux trips odeurs et depuis, il adore se faire récurer la tige par de bonnes lopsas bien accro au from. D’ailleurs avec son côté bad boy, je suppose qu’il ne doit pas peiner à se faire reluire le chibre. Je ne l’avais pas croisé depuis un bon moment sur msn, et donc je me réjouissais de le retrouver chez mon pote ce soir-là… Enfin, dernier invité à cette soirée raclette, David, un mec du Sentier qu’Idriss avait récemment croisé au sauna et avec lequel il avait sympathisé (faut dire que ça crée des liens de loper un mec à deux pendant plus de deux heures dans une cabine ! lol).
Même si a priori mon pote avait bien précisé qu’il s’agissait juste d’une soirée raclette, je ne pouvais
m’empêcher de penser à la méga touze que l’on pourrait se faire tous les cinq si toutefois l’occasion se présentait. Et j’étais d’ailleurs d’autant plus excité qu’Idriss avait cru bon d’ajouter
que tout le monde kiffait le from et donc apprécierait forcément la raclette ! Putain, il n’en fallait pas plus pour me mettre direct les hormones en ébullition !!! Si comme il l’a dit,
tous les invités kiffaient vraiment le fromton et les odeurs de teub, il était hors de question que la soirée se limite à une simple dégustation de reblochon fondu ! lol Il fallait
absolument que je trouve un moyen de faire dévier à coup sûr la soirée… Après avoir réfléchi à toutes les techniques d’approche possibles, je me suis dit que le mieux était encore d’y aller
cash et de filer la trique direct à tous les convives. Et pour cela, quoi de mieux que de débarquer avec une bonne p’tite lopsa prête à décrasser 5 mecs en rut et à leur servir de chiottes et de
vide-couilles pendant toute la soirée !
Je me suis donc
aussitôt connecté à plusieurs sites de cul et après un peu plus d’une heure de tchat sans grand intérêt, je suis enfin tombé sur Alan, un minet de 21 ans, visiblement bogosse d’après les photos
de son profil, à la recherche d’une baise bien hard et de sensations nouvelles. Ben mon gars, avec 5 bitos bien fumants et plein de sève à purger, je peux t’assurer que tu vas en avoir des
sensations ! lol Je lui ai donc présenté le plan en lui disant qu’il m’accompagnerait pour la soirée mais que sitôt arrivé chez mon pote, je le foutrai à oilpé et il devra nous servir de
clebs pendant toute la soirée, jusqu’à ce que nous n’ayons plus un centilitre de jus dans les burnes. Visiblement le mec était grave excité à l’idée de se faire loper par 5 mecs en rut, et il
m’avoue même que son principal fantasme depuis des mois c’est de faire le larbin pour un ou plusieurs mecs. Hummmm visiblement il n’a pas froid aux yeux le minet ! J’espère qu’il sera
toujours aussi salope quand je lui décalotterai mon glandos pourrave sous le pif. Après un bon lopage à distance par webcam interposée histoire de m’assurer de la qualité de la marchandise (vous
auriez vu le gode qu’il s’est rentré dans le fion, un truc de ouf !!!), je lui ai fixé rendez-vous le vendredi suivant à 20 heures pile en bas de chez lui, afin de le récupérer en caisse
avant d'aller bouffer chez mon pote.
Comme prévu, ce p’tit batard m’attendait sur le trottoir, une clope à la main. Putain l’enfoiré, il était
encore plus bandant en vrai ! 1m80, mince, cheveux bruns coupés très courts, petit collier de barbe et diamant à l’oreille. Côté fringues, une vrai p’tite kaillera de téci :
pantalon de survet blanc, casquette Adidas, sweat Airness avec par-dessus un bombers noir entrouvert et aux ieps une paire de Tn noires et or visiblement déjà bien portées !
Putain, je peux vous dire qu’il m’a foutu direct le gourdin !!! J’ai arrêté ma caisse à son niveau, baissé la vitre côté passager et lui ai lancé avec un p’tit sourire en coin :
— Ouah, fringué comme çà, mes potes vont te sauter dessus
direct !
Et sans se démonter, il m’a répondu illico :
— Ça tombe bien mec… Ce soir, je suis grave en mode tépu ! Je vais être la plus grosse chiennasse que vous ayez jamais vu !
— Ben j’espère bien mec ! C’est clair que t’as intérêt d’assurer grave, j’ai pas envie de me taper la honte devant mes potes… En attendant, grimpe dans la caisse !
Pendant tout le trajet (une dizaine de minutes environ), ce bâtard n’a pas arrêté de me chauffer grave en se tâtant le paquet à travers son fut ou en déchaussant à moitié ses Tn histoire qu’une
bonne odeur de ieps envahisse la caisse… Putain, je sais pas comment j’ai fait pour résister car j’avais qu’une envie, c’était de m’arrêter dans un coin discret pour lui montrer à qui il avait à
faire ! Mais bon, j’allais quand même pas arriver chez mon pote avec une lopsa déjà couverte de yop et de pisse ! C’est comme si j’avais déjà bu la moitié de la bouteille de vin avant
d’arriver ! mdr
Dix minutes plus tard, nous voilà donc arrivés devant l’immeuble de mon pote Idriss. J’avoue que j’appréhendais un peu sa réaction en me voyant débarquer chez lui avec un mec à oilpé… Mais bon, le mec était super canon et je l’avais briefé grave pendant le trajet pour qu’il s’occupe direct de notre hôte en arrivant… Et puis bon, c’est quand même plus original d’arriver à une soirée raclette entre potes avec une bonne lopsa qu’avec une bouteille de vin blanc, non ?
Arrivés dans le couloir de l’appart, j’ai ordonné à Alan de se désaper afin d’être complètement à oilpé quand mon pote ouvrirait la porte.
Visiblement surpris, il m’a lancé d’un air hésitant :
— Ben je vais quand même pas me désaper ici mec, quelqu’un pourrait arriver…
Sans qu’il s’y attende, je lui balance une grosse mandale dans la gueule, aussitôt suivi d’une énorme mollard pile entre les deux yeux.
— Je t’ai pas demandé ton avis bâtard ! Je t’ai dit de te foutre à oilpé maintenant alors tu fermes ta gueule de tépu et t’obéis !!! N’oublie pas que ce soir, t’es notre pute alors crois-moi, t’as plutôt intérêt à obéir !!
A ces mots, sans doute un peu flippé, il retira son bombers et son sweat laissant apparaître un torse totalement imberbe et finement musclé, légèrement luisant de sueur (j'avais en effet poussé le chauffage de la caisse à fond histoire de bien transpirer !). Il a ensuite retiré ses Tn et l’odeur que j’avais déjà entraperçu dans la caisse m’a alors directement atteint les narines… Hummm ce p’tit bâtard avait déjà dû bien les imprégner ! Conscient de l’effet que ça produirait sans nul doute sur mes potes, je lui ai demandé de remettre ses skets une fois le futal enlevé… Le voilà donc à oilpé dans le couloir, portant simplement un jockstrap blanc mettant grave en valeur son boule et sa paire de Tn pourraves. Putain, c’est clair que comme çà il allait faire un effet bœuf l’enfoiré !
Je sonne à la porte et quelques secondes plus tard, celle-ci s’entrouve laissant apparaître mon pote Idriss en débardeur…
— Ben alors mec, on attendait plus que toi ! Qu’est-ce que tu foutais ?
— Désolé mon pote, c’est juste que je me suis arrêté en chemin pour prendre quelque chose pour la soirée…
J’ai alors choppé la lopsa par la nuque et lui ai foutu direct dans les pattes… Et avant même qu’il ait eu le temps de comprendre ce qui se passait, Alan avait déjà la gueule collée sur le paquet de mon pote et commençait à lui malaxer son beau p’tit boule de black bien ferme.
— Ben ouais, comme je savais pas quoi amener, je me suis dit qu’une lopsa, ça te ferait sans doute plaisir !
Idriss a alors éclaté de dire et m’a lancé en se marrant :
— Putain j’hallucine, mais t’es vraiment un ouf toi !!!
Et avant de continuer, il a choppé la mec par la nuque histoire de voir sa gueule de plus près…
— Hummm en tout cas, excellent choix mon pote ! Je crois qu’on va pas s’emmerder ce soir… Eh les mecs, venez voir le cadeau qu’on vient de m’apporter !
Aussitôt les trois autres mecs, qui étaient restés dans le salon autour de l’apéro ont rappliqué et le p’tit Alan a dès lors
fait l’objet de toute leur attention…
— Putain c’est pas vrai, il a osé ! a lancé Johan, le copain d’Idriss, l’air faussant choqué, tout en se remettant au passage la queue dans le calbut.
— Et ben, ça c’est du cadeau les mecs ! J’espère que tu te la
joueras pas perso Idriss et qu’on pourra en profiter nous aussi… a ajouté Greg, que je
reconnaissais bien là, toujours prêt à niquer !
Enfin, juste derrière lui, un mec assez baraqué arborait un large sourire en matant le boule déjà bien cambré de la lopsa. J’en déduis qu’il devait s’agir du fameux David, avec lequel mon pote
Idriss avait niqué toute une après-midi au sauna, et à en croire la bosse qui se dessinait déjà sous son futal, il affichait un énorme potentiel.
— Profitez-en les mecs, ce bâtard ne rêve que d’une chose c’est de se faire larver comme une vraie chiennasse pendant toute une nuit.
— Ouahhh ben il va pas être déçu !!! On va grave lui ruiner le
boule, hein les mecs ?!
Joignant le geste à la parole, Idriss claque alors d’un coup
hyper sec le cul de la lopsa qui ne peut s’empêcher de pousser un petit gémissement.
— Mais en attendant les mecs, j’ai grave la dalle… Alors on va foutre le clebs à la niche en attendant de s’occuper de lui.
Puis, se tournant vers
son mec…
— Johan, va chercher ton collier et ta laisse… Pour une fois, c’est pas toi qui le portera… J’ai trouvé un autre clebs pour ce soir !
Johan devint alors écarlate, provoquant l’hilarité des autres mecs. Quelques minutes après, voilà notre lopsa
avec un collier de cuir noir tenu en laisse par mon pote Idriss, qui prend un malin plaisir à tirer des coups secs sur la laisse pour le ramener sur son paquet déjà bien gonflé.
Nous nous vautrons alors sur le canapé et, visiblement ravi de son nouveau joujou, Idriss le fait alors mettre à quatre pattes devant nous afin d’installer les chips et les olives sur son dos.
Putain trop fort la table basse !!! A quand les mêmes chez Ikea ?!
La vodka a alors
commencé à couler à flots et l’alcool aidant, les mecs se montrent de plus en plus entreprenants avec Alan. Certains lui tâtent le boule, lui glissant parfois un doigt dans sa rondelle en
l’insultant… D’autres, à commencer par moi, préfèrent profiter de sa langue de tépu pour se faire décrasser les skets. Et apparemment, ça l’excite grave ce bâtard !
Greg est le premier à oser virer sa Tn pour en faire profiter notre lopsa… Putain je vous dis pas l’odeur de ouf quand il a retiré
ses skets, laissant apparaître des cho7 qui n’avaient sans doute plus été blanches depuis bien longtemps. Il a alors pris une de ses skets et l’a plaqué direct sur la gueule de la lope.
— Alors salope, tu kiffes l’odeur de mes ieps, non ?
A en croire les gémissements qu’il poussait, aucun doute à ce sujet ! C’était
vraiment trop kiffant de voir Greg le gazer avec sa Tn pourrave… Dire qu’il y quelques mois seulement, il ne connaissait rien aux trips crades ! lol
Tout le monde a alors voulu en profiter et les ieps ont alors défilé dans la gueule de notre tépu. Pendant ce temps, nous nous
faisons tourner nos skets histoire de voir lequel de nous daubait le plus des ieps. Et là, sans surprise c’est mon pote Idriss qui a remporté la compétition haut la main ! En plus d’afficher
un bon 45 fillette, il transpirait toujours un max des ieps et le simple fait de virer ses skets suffisait à embaumer une pièce entière ! D’ailleurs Alan a eu du mal à supporter l’odeur
quand Idriss lui a coller sa skets fumante sur la gueule. Il a même essayé de détourner la tête pour se dégager des effluves de killer de mon pote. Lourde erreur !!! Sans crier gare, Idriss
lui a balancé une putain de baffe dans la gueule qui a eu pour effet de le faire tomber sur le côté, renversant ainsi les plats de gâteaux apéro qu’il avait sur le dos. Ça a évidemment rendu mon
pote furax…
— Putain connard, t’as vu ce que t’as fait ?!!! Tu vas me nettoyer çà immédiatement !
Un coup de pied dans le bide a alors suivi et a fait comprendre à Alan qu’il valait
mieux obéir sans attendre !
Pendant que ce bâtard jouait les ramasse-miettes, nous en avons profité pour passer à table. Ben ouais, à l’origine on était quand même là pour une raclette !
Une fois le tapis nettoyé, Idriss a donc attaché la laisse d’Alan au pied de la table, de manière à ce que
chaque convive puisse en profiter à sa guise pendant le repas.
Et ça n’a
d’ailleurs pas tardé, sitôt les premières tranches de reblochon avalées, j’ai lancé à la cantonade :
— Dîtes donc les mecs, peut-être que notre lope a elle aussi envie d’un peu de fromage, non ?
Tous n’ont pas immédiatement tilté mais Idriss, qui décidément me connaît très bien, a aussitôt éclaté de rire et m’a rétorqué :
— Te connaissant, je suis sûr que tu dois en avoir du bien affiné dans ta cave perso, n’est-ce pas mon pote ?
— C’est clair qu’en ce moment, ça produit pas mal… déjà 5 jours
d’affinage, prêt à être dégusté…
J’ai alors choppé la laisse pour ramener la gueule de la lope
au niveau de mon paquet, et sans plus attendre j’ai baissé mon futal et sorti ma queue. Quand j’ai commencé à décalotter mon gland pourrave juste sous son pif, il a eu un mouvement de recul et
n’a pu s’empêcher de lâcher :
— Putain mais c’est immonde mec ! Tu m’avais pas dit que je
devrais vous décrasser le chibre avec du fromton dessus !!! Je devais juste m’occuper de vos ieps, pas de vos zobs de porcos !
Autant vous dire que ça m’a grave énervé, et qu’avant même qu’il ait fini sa phrase, un énorme mollard s’écrasait sur sa
face de lopsa, aussitôt suivie d’une grosse mandale.
— Putain tu vas la fermer maintenant ! Quand on veut se faire
larver hard, on assume… C’est pas le tout de chauffer mec !
Afin de pallier toute
tentative de rébellion, Idriss l’a alors chopé par derrière et lui a tenu fermement les mains dans le dos. Avec l’autre main, il l’a choppé par la nuque et l’a forcé à récurer ma crème de
teub !
— Allez salope, maintenant fini de jouer… Tu vas récurer la tige de
mon pote et lui faire reluire le glandos comme jamais. C’est quand même pas tous les jours qu’on a l’occasion de décrasser la queue de Fromton Boy en personne !
N’osant pas s’opposer à mon pote et à son mètre 95 de muscles, Alan a commencé à s’exécuter, faisant tourner sa
langue de suceuse sur mon gland couvert de from. Peu à peu, le mouvement a pris de l’assurance et quelques minutes après, ce p’tit bâtard m’aspirait littéralement le gland et se délectait de tout
mon from en gémissant…
Bien sûr, les autres
mecs ne restèrent pas longtemps insensibles au spectacle. Greg fut le premier à sortir sa teub sans aucune pudeur, et à imposer aux autre convives une putain d’odeur de teub, recouvrant même
les effluves du reblochon resté sur la table. Faut dire aussi qu’avec le prépuce qu’il a, c’est une vraie usine à fromton ce mec ! Voyant qu’il n’attendait que la langue de la tépu, je l’ai
ramené d’un coup de laisse vers sa teub déjà dégoulinante de mouille. Cette fois-ci, Alan ne s’est pas fait prier et s’est précipité sur le zob de Greg pour l’engloutir direct en poussant des
cris de salope en rut.
— Ouahhhh putain quelle chienne ce mec !!! Il va pas mettre longtemps à me faire monter le jus s’il continue comme çà !
A la vue du spectacle, nous étions tous en train de nous palucher le bitos sous la table, mélangeant ainsi nos odeurs de teub… Peut-être un peu jaloux de voir une autre lopsa en action, Johan se
mit à genoux devant son mec et commença à lui titiller le gland du bout de la langue. Hummmm je vous dis pas comme c’est kiffant de voir une queue de black de 23cm se décalotter peu à peu (et
ouais, contrairement à beaucoup de blacks, Idriss était total uncut), laissant apparaître une mousse blanchâtre composée de mouille et de fromton bien daubant. Le tout avec en plus une putain
d’odeur de sueur qui m’a toujours fait craquer chez lui !
Il n’a d’ailleurs pas mis longtemps à lever le bras pour m’offrir son aisselle touffue bien humide. Je me
suis évidemment collé direct la gueule dessus afin de bien me gazer avec l’odeur de queutard de mon pote.
Sans doute attiré lui
aussi par l’odeur, Alan a abandonné la queue luisante de bave de Greg pour venir se coller au calibre d’Idriss, que son copain avait déjà commencé à décrasser… Et le beau métisse a alors eu droit
à un vrai ballet de langues de lopsas sur son chibre. C’était à celui des deux qui arriverait à récupérer le plus de fromton ! De temps en temps, Alan et Johan faisaient une pause et se
roulaient une pelle bien baveuse avec le from de teub et la mouille de mon pote, qui se délectait lui aussi du spectacle.
— Putain les mecs, je crois qu’on va avoir droit à deux lopsas au lieu d’une ce soir !
Resté en retrait jusqu’alors, David s’approcha alors de Johan et engouffra sa tige imposante dans sa bouche. Comme je l’avais pressenti tout à l’heure en matant la bosse à travers son futal, David était monté comme un taureau avec une queue hyper épaisse. Malheureusement ce superbe calibre était circoncis mais à ma grande surprise, ça ne l’empêchait pas de dégager une bonne odeur de sépi. Attiré par ces effluves épicées, je n’ai pas pu m’empêcher de me foutre à genoux moi aussi et de téter cette superbe queue bien large, tandis que Johan lui bouffait littéralement ses deux grosses couilles pendantes, pensant probablement à tout le jus qu’elle contenait et qu’il rêvait de se prendre sur la face.
Une fois toutes nos teubs récurées, Idriss proposa un concours de mollards. Il fit mettre la lopsa à genoux devant nous, lui tira la gueule en arrière et lui ordonna d’ouvrir bien grand la bouche pour recueillir nos crachats.
— Allez les mecs, le premier qui lui envoie un bon glaviot direct dans la gueule d’ici aura le privilège de lui démonter le cul en premier !
Autant dire que cette récompense nous motiva un max et qu’en moins de 5 minutes, Alan avait la gueule et littéralement couverte de mollards, qui dégoulinaient le long de son torse. Et c’est finalement David qui remporta la compétition en lui balançant un mollard bien épais direct au fond de la gorge.
Idriss saisit alors la lopsa par la laisse et lui ordonna de s’allonger sur la table du salon, débarrassée à la hâte, afin que l’on
puisse le niquer facilement à la chaîne. Il se tourna également vers son mec et lui lança :
— Vas-y Johan, bouffe-lui un peu la chatte à ce bâtard car si David le fourre à sec, il va lui éclater la
teuch !
Johan ne se fit pas prier et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il était à genoux en train de bouffer le cul de la lopsa et de bien lui baver sur la rondelle. Alan n’en demandait
visiblement pas tant et cela eut pour effet de le faire gémir un max…
— Regardez-moi cette pute les mecs, comment il nous chauffe trop ! On va devoir le calmer à grands coups de queue… A toi l’honneur,
David !
David écarta alors Johan du trou de la lopsa, balança un gros mollard dessus et y
écrasa son gros gland écarlate. Il choppa alors fermement les chevilles d’Alan et d’un coup sec fit rentrer son gland dans sa chatte. Le résultat fut immédiat : Alan hurla et essaya de se
dégager de l’énorme mandrin qui lui explosait l’anus. Mais David n’en fut que plus excité et il s’empala alors entièrement dans son cul.
— Arghhhhhhhhhhhhhhhh non !!!! Pitié mec, elle est trop grosse
ta queue ! Tu m’exploses le fion là !!!
Mais ses plaintes eurent l’effet inverse et
David se déchaîna alors dans le trou d’Alan, lui donnant de grands coups de butoir, trop content de voir cette lopsa morfler à chaque coup de teub.
— Tu la kiffes ma queue, hein salope ?!!! Tu t’en étais jamais pris une aussi grosse, non ?
Soucieux d’étouffer les cris de la lopsa, Idriss lui colla ses 23 cm de teub au fond de la gueule, manquant plusieurs fois de le faire dégueuler tellement il l’enfonçait profond.
— Tu kiffes ça te faire troncher par tous les trous, hein sale
bâtard ?!!
Au bout de dix bonnes minutes d’enculage en règle, David stoppa son pilonnage, laissant une chatte béante qui
semblait ne plus vouloir se refermer. J’en ai donc profité pour y rentrer à mon tour mon chibre et continuer à bien le défoncer.
— Hummmmm putain ce trou les mecs ! C’est un truc de ouf !!
Excité par les gémissements croissants de ce bâtard, je me suis mis en mode mitraillette et je lui ai pilonné la chatte pendant de
longues minutes, en faisant taper mes couilles bien pleines sur son boule bien musclé… Comme j’avais sa Tn juste à côté de la gueule, je n’ai pas résisté à l'envie de la virer et de me coller le
pif sur sa cho7 bien humide.
— Ouahhh mais c’est qu’il daube grave aussi cet enfoiré ! Et
dire qu’il faisait sa mijorée tout à l’heure devant ma teub fromageuse.
Pas rancunier pour un
sou, et hyper excité par le regard qu’il me lançait pendant que je lui démontais le boule, j’ai viré la cho7 et je lui ai léché le pied, en insistant longuement sur chaque orteil.
Pendant ce temps-là, Greg et David se relayait dans sa bouche de tépu, l’inondant à la fois d’insultes et de
crachats. Quant à mon pote Idriss, n’y tenant plus, il était en train de fourrer son mec sur le canapé.
— Prépare-moi bien son trou, je calme un peu Johan et je viens lui péter la chatte après…
Hummm putain, apparemment il ne m’avait pas menti sur les talents de passif de son mec ! Y’avait qu’à le
voir s’empaler sur les 23cm de mon pote pour deviner quelle grosse chiennasse il devait être au pieu. Et côté gémissements, il n’avait rien à envier à Alan : ça couinait grave dans tout le
salon ! Entre Idriss et moi, c’était un peu à celui qui ferait le plus hurler sa lopsa…
Au bout de quelques minutes, j’ai
passé ma place à Greg qui n’en pouvait plus de nous mater et qui est rentré sans ménagement dans le cul d’Alan, lui arrachant un hurlement mêlant à la fois plaisir et douleur. Faut dire que Greg,
avec son côté kaillera de téci, c’est le prototype même du bourrin qui ne recherche que son propre plaisir. En le matant démonter le trou de notre lopsa, j’ai repensé au premier plan odeurs qu’on
s’était fait tous les deux et pendant lequel il m’avait pété le cul comme jamais jusqu’à m’en faire limite chialer !
Mais alors que je me délectais du spectacle de ce queutard en rut en train de fourrer, un cri de jouissance retentit du côté du canapé et je vis mon pote Idriss en train de décharger sa sauce
dans le fion de son mec…
— Putain le salaud, il m’a tellement excité qu’il m’a tiré le jus !
Visiblement content de lui, Johan affichait un sourire satisfait… et lança aussitôt à la cantonade :
— Qui vient me tasser le jus d’Idriss au fond du boule ?
Ni une, ni deux, David et moi rappliquons illico, découvrant une rondelle fraîchement épilée de laquelle
coulait un mince filet de sperme.
Ne voulant pas faire de jaloux, Johan a alors demandé à David de s’allonger sur le canapé afin de venir s’empaler sur son chibre. Une fois sa queue bien au chaud dans son cul foutreux, il m’a
ensuite fait signe d’approcher et rentrer à mon tour dans son cul ! Franchement vu le calibre de David, j’aurais jamais cru que nos deux queues pourraient rentrer ensemble mais après une
bonne rasade de poppers, sa chatte s’élargit encore et ma queue rejoint sans problème la queue de David. Putain c’était trop bon de patauger ensemble dans le jus d’Idriss, que je sentais sortir
du fion de Johan sous la pression de nos deux queues, et couler le long de mes couilles. Putain le pied !!!!!!!!
Inutile de vous dire qu’avec deux lopsas comme çà à dispo, nous n’avons pas eu le temps de nous ennuyer une seule seconde ! Nous avons fourré leur deux culs à tour de rôle pendant plus d’une heure en les faisant grave couiner à chaque coup de bite. Idriss n’a d’ailleurs pas mis longtemps à recharger ses batteries et à profiter lui aussi de la rondelle d’enfer d’Alan. C’était vraiment trop kiffant de voir sa chatte aspirer entièrement la tige d'ébène de mon pote jusqu’aux couilles ! Quelle salope ce mec !
Pour le final, sachant que tous les deux avaient amplement mérité leur douche de yop, Idriss les a fait
allongé à même le sol, visage contre visage, et nous nous sommes placés debout au-dessus d’eux… Hummmm trop bon de voir ces deux lopsas la gueule grande ouverte prête à recevoir des litres de
foutre ! Greg a été le premier à lâcher la purée : une bonne dizaine de giclées bien
épaisses sont venues s’écraser direct sur la face d’Alan, puis de Johan qui se sont aussitôt roulé un méga pelle bien foutreuse. Le spectacle de ces deux lopes en train de se couiner dans le jus
m’a fait larguer illico et ces deux p’tites putes ont eu droit à un véritable geyser de yop !!! Je n’en finissais plus de cracher, imité d’ailleurs aussitôt par David et Idriss qui
rajoutèrent chacun de longues traînées de jus bien blanc sur la gueule et le torse des deux lopsas.
Baignant littéralement dans le sperme, Alan et Johan se sont alors foutus en position de 69 et ont giclé quasi-simultanément dans
la bouche l’un de l’autre… tout en scrutant du coin de l’œil nos réactions.
— Putain j’hallucine ! Des vrais putes à jus !!! lâcha Greg devant ce spectacle hyper excitant.
— Et pas qu’à jus ! surenchérit aussitôt Idriss, qui avait visiblement son idée derrière la tête.
Il chopa alors la laisse d’Alan, l’arrachant à la bouche foutreuse de son mec pour le tirer jusqu’à la salle
de bains et l’installer dans la baignoire.
— Maintenant les mecs, va falloir qu’on marque officiellement notre territoire sur cette pute afin d’en faire notre vide-couilles
attitré !
Et avant qu’il ait eu le temps de finir, nous étions tous en train d’arroser ce bâtard avec des litres de
pisse bien fumante. Hummm putain vous l’auriez vu en train d’ouvrir grand la bouche pour recueillir le plus de pisse possible, un truc de ouf ! Une fois vidés, on l’a laissé baigner dans la
pisse le temps d’aller bouffer le dessert et de boire un verre… Et quand on l’a récupéré une heure plus tard, il nous a supplié de le larver à nouveau… Ce que, vous vous en doutez, nous avons
fait avec grand plaisir jusqu’au bout de la nuit !
Alors les mecs lors de votre prochaine soirée raclette entre potes, n’oubliez pas d’amener votre lopsa ! Ambiance torride garantie !!! Parole de Fromton Boy ! ;-)
Je me
remis aussitôt à 4 pattes et il me pénétra sèchement. Ses grandes mains me tenaient les hanches et alors qu’il me pilonnait, je sentis des doigts de pied sur mes lèvres. Ouahhh, ça sentait
vachement fort... mais c'était trop bon ! En ouvrant les yeux, je m'aperçus que c'était Pierre qui me collait ses pieds pleins de pisse sur le visage.
Salut à tous les keums à la bite daubante. Je m'appelle Romain et j'ai 25 ans. Comme tous les keums qui lisent ce blog, j'ai un kif
total pour les odeurs de sgeg et tout ce qui va souvent avec (skets, ieps, slob et bien sur la bonne pisse), le tout en réciproque et selon le keum. Je porte des slobs blancs sans poche pendant 4
à 5 jours. J'égoutte jamais ma teub et décalotte que quand jme branle ou à l'occasion du nettoyage. J'adore la sturb et j'aime juter dans mon slob. Je suis presque tout le temps en survet adidas
ou en jean et en skets NB bien daubantes. Je finis mes études à Paris mais j'habite en réalité dans un p'tit bled entre Nîmes et Montpellier. Je prends souvent l'autoroute pour aller voir mes
potes sur Montpellier ou Nîmes. Sur les aires de repos entre Nîmes et Montpellier, c'est sont souvent très cho. Comme partout, on trouve de tout et c'est ça qui est super excitant : "la
surprise" ! Dès que je peux, je traîne sur les aires d'autoroute. C'est super sympa parce qu'en plus des odeurs du mec avec qui on fait le plan, y'a aussi le parfum d'ambiance des chiottes :
la pisse. Moi j'y vais pour le tout : la surprise et les odeurs de jaune. Mais surtout parce que je sais qu'en semaine on y trouve facilement son bonheur en fin de journée. C'est fou le nombre de
mecs qui s'arrêtent sur une aire de repos le soir en sortant du boulot.
Il m'en fallait une de toute
urgence. Je me suis pointé à 18 h sur l'aire d'autouroute (l'accès est sur un trajet gratuit, ce qui garantit la fréquentation). Fin de journée, j'arrive sur le parking de l'aire de repos
: 3 camions et 5 voitures. Trois mecs tournent à pied autour des chiottes, ça tourne et retourne. Rien d'intéressant mais faut savoir attendre. Un peu plus tard, un mec s'arrête
dans son Opel Astra et reste dans sa voiture à matter. Il sort de la bagnole et se met sous le lampadaire à côté des chiottes. Il se met à tripoter son portable et matte régulièrement l'entrée
des chiottes. Le look est hyper classique, genre "je sors du boulot, j'suis cadre et j'ai besoin de déstresser le bitos". Je suis plutôt fan du look sportif mais son look hétéro genre VRP
m'a donné envie de tater de son pacson. En plus, il avait une bonne gueule, super masculin, la trentaine passée et bien foutu.
Le mec me repère aussi. Après
plusieurs regards insistants vers lui, je le vois ranger son portable et se diriger vers les chiottes. Sans traîner, je le suis de près histoire de pas me faire piquer mon tour de snif. Y'a de la
place que pour deux dans les urinoirs. Il entre et direct première à gauche direction pissotière. Pour bien comprendre la scène, les pissotières sont à gauche de l'entrée et face de l'entrée
2 portes de chiottes turcs. Comme je le suis de très près, immédiatement je me place à sa droite. Ces pissotières sont comme je les aime : une mur de porcelaine sans séparation. On peut rien se
cacher et rien ne peut nous gêner. Le plan commence. Classique, on sort notre queue et après quelques secondes, comme aucune pisse ne vient des deux côtés, alors les têtes se tournent pour se
mater le calibre. Le mec a une queue comme je les aime : épaisse, avec un gros prépuce qui recouvre tout le gland que je devine bien gros. A ce stade, impossible de deviner s'il a de bonne
odeur de queue et du fromton. Il n'a pas encore décalotté et ça embaume trop la pisse des chiottes aux alentours. Comme lui, je tripote ma queue sans décalotter et sors mes couilles par la
braguette histoire de faire monter la pression. Des deux côtés ça marche ! On commence à bander. Mon gland commence à sortir naturellement (j'ai un prépuce assez court) mais lui c'est pas le
cas. Il bande mais son prépuce reste toujours en place. Il ne cherche pas à décalotter, là je me dis c'est bon signe... il a quelque chose à planquer ! Ni une ni deux, avec ma main gauche
j'attrape sa teub pour la toucher et je fourre mon index dans le trou du prépuce histoire de prendre la température de ce gland. Je tente un décalottage pour imprégner la paume de ma main de
l'odeur de sa queue mais rapidement il me saisit la main et l'écarte. Soit il ose pas aller plus loin, soit y'a un bonne surprise pour moi sous ce prépuce.
J'insiste pas et réflexe, je me
mets à sniffer franchement la paume de ma main. Putain, c'est le paradis !!! Une super odeur de queue me chatouille les naseaux. Le mec me regarde assez intimidé et semble gêné pour son
odeur. Il est loin de se douter de la suite. Je kiffe à fond son odeur de bite et me mets à bander hyper dur. Pour lui monter que j'adore, je lèche la paume de ma main, ça le fait sourire et il
commence à décalotter à moitié son gland en se tournant légèrement vers moi. Son gland était comme je l'imaginais : des petites traces de fromton bien visibles. Voyant ça, j'fais comme lui et
décalotte complètement ma queue pour lui montrer mon gland pas très net. Aucun recul de sa part, il s'astique la queue. Tout est bien lancé, on va bien s'amuser ! Seul problème, les 3
mecs à l'extérieurs sont toujours là et régulièrement mattent à l'intérieur des pissotières. Impossible de se faire un plan snif avec eux autour. Je suis très égoïste, je ne partage jamais les
odeurs de queue. Ce fromton est à moi ! Comme j'ai pas envie de speeder, je propose au keum qu'on s'isole dans les chiottes turcs qui sont juste à côté. Il me fait un signe de la tête
pour accepter. On remballe vite notre marchandise et je fonce le premier dans un des deux chiottes turcs où je pousse simplement la porte. Il me rejoint quelques secondes plus tard et
ferme à clé derrière lui.
Les chiottes sont crades avec
une odeur de pisse mais pas trop forte. Elles sont étroites mais suffisamment larges pour qu'on puisse tenir à deux accroupis. Pour bien refaire monter la pression, je commence à lui malaxer
son pacson au travers de son futal noir et lui fait pareil à travers mon survet. Très vite, nos queues se remettent à bien gonfler. Il essaye alors de prendre l'initiative pour vite se défroquer
et sortir sa queue mais rapidement je bloque son poignet. Je reste le maître. C'est moi qui vais déballer sa marchandise. Je dégraffe sa ceinture et son fute, j'ouvre sa braguette et le futal
descend immédiatement sur ses chevilles. Il a les jambes bien poilues comme je kiffe. Il continue à me masser le pacson. Son slob est noir, plutôt taille basse (dommage je préfère les slobs
blancs pour les traces de yop et de jaune), y'a quelques taches de mouille ou de pisse sur son slob. Il me baisse mon survet. Mon slob est blanc avec de belles traces de pisse et de foutre. A
prirori, ça le dérange pas parce qu'il continue à me malaxer le paquet. Après ces préliminaires, je me fous accroupi le pif sur son slob qui contient sa queue hyper dure qui n'a qu'une envie :
sortir.
Son slob noir était
pas net du tout. J'ai commencé ma séance de snif. Il sentait super bon le mélange de pisse et de transpiration. J'avais ma main droite entre ses cuisses et j'ai pu constater que le keum
transpirait vachement. Avec ma main gauche, je continuais à lui malaxer le pacson dans son slob. N'y tenant plus, fallait que je déballe sa marchandise ! J'ai baissé son slob à
mi-cuisse. Première découverte : des super traces blanches à l'intérieur du slob. J'y plonge aussitôt mon nez et ma main : pisse, mouille et sûrement foutre. Impossible de me contrôler
: j'ai tout sniffé et léché à donf pendant qu'il s'astiquait la queue au-dessus de ma joue. Je suis rapidement remonté vers ses couilles. Il transpirait comme un fou. Tout était bien humide
et pour mon plus grand plaisir, ses couilles étaient bien poilues. C'est pas si fréquent les mecs qui ne se rasent pas les couilles ; moi je rase jamais, j'aime trop l'odeur. Y'avait une
putain d'odeur de transpiration de couilles géniale entre ses jambes et j'ai continué mon nettoyage en insistant bien sur les burnes. Vu ses soupirs, il aimait bien visiblement ça
! Maintenant que j'avais décrassé les alentours de la queue, je me suis attaqué au principal : son sgeg. Il avait toujours pas décalotté et c'est moi qui allait le faire. Son
prépuce dégageait une putain d'odeur de pisse au moins aussi forte que celle des chiottes. J'ai commencé à fourrer mon nez sur le prépuce en continuant à me malaxer le pacson. Puis, avec le bout
de ma langue, j'ai commencé à attaquer le gland sans décalotter. Ca n'a pas duré longtemps... N'y tenant plus, j'ai décalotté le gland entièrement. Putain quel kiff !!!
Soit ce mec n'égoutte jamais
sa teub, soit il ne s'est pas lavé depuis plusieurs jours. Trop bon ! J'ai collé mes narines dessus et j'ai bien sniffé son bout. Y'avait quelques traces légères de from sur le
gland, très peu mais autour du gland, un vrai délice de crème ! Avec un doigt, j'ai récolté un peu de ce from que j'ai mis sur mes narines pour ne pas perdre l'odeur et ensuite j'ai attaqué
mon nettoyage du bout de la langue. J'ai terminé mon nettoyage par une bonne pipe, en jouant avec son prépuce, en suçant et aspirant.
Je lui ai attrapé
la tête et on s'est roulé de super galoches pendant quelques secondes le temps de débander. J'en ai profité pour lui dire qu'il avait une teub super odorante et que son from était un délice. Il a
rougi et souri, puis m'a roulé une galoche. Je lui ai proposé d'échanger nos slobs mais il n'a pas voulu. Comme souvent, les plans autoroute se terminent très vite. On a remballé notre
marchandise, moi ma queue pleine de jute en pensant à ma prochaine sturbe avec mon slob bien chargé, pourrave et mouillé par son foutre. On s'est quittés rapidos. Impossible de le brancher
pour tenter d'aller plus loin à un aute moment. J'ai jamais su comment il s'appelait, ni ce qu'il faisait dans la vie car il a foncé droit vers sa bagnole. Mon grand regret, c'est de ne pas avoir
pu jouer avec notre pisse pendant ce plan, mais le mec me semblait pas assez ouvert donc je n'ai pas osé...
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