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Lundi 27 mai 1 27 /05 /Mai 17:30

Après cette petite escapade dans les vestiaires d'une université américaine, retour en France avec la contribution d'un autre fidèle du blog, DECRASSEUR2KEU, un jeune Toulousain de 24 ans grave accro aux odeurs de mâle et aux teubs fromageuses ! Je vous laisse découvrir sa description, quelques photos perso de sa queue bien large et crémeuse et surtout une vidéo hyper bandante faite exclusiment pour le blog où il s'astique sa belle queue fumante, décalotte lentement son prépuce avant de jouer avec le from accumulé sur le gland... Putain ça donne trop envie de se foutre à genoux direct pour te la décrasser à grands coups de langue ! Je sais pas pour vous, mais moi c'est typiquement le genre de zob dont je suis accro : large, long prépuce recouvrant bien le gland et bonne couche de from au décalottage !

 

decrasseur2keu (2)
Salut les mecs ! J'ai 24 ans, je suis de Toulouse et j'aime par dessus tout me retrouver aux pieds d'un mec bien viril, plutôt le bon macho poilu du torse et dégoulinant de sueur que le minet imberbe qui sent le savon ;-)

 

J'aime que le mec en face de lui soit bourin et qu'il me fasse bien décrasser sa queue avec un max de from, ses pieds et ses aisselles. Et si la queue est bien large, c'est vraiment le top !!!

 

Je vous laisse un mail (decrasseur2keu@gmail.com), si certains veulent me contacter...

  decrasseur2keu (1) decrasseur2keu (3) 

 

 


Si ça vous dit vous aussi d'envoyer vos vidéos de branle avec la queue bien fromageuse (ou de vos plans décrassage ou sniffage entre potes) pour que je les publie que le blog, n'hésitez pas ! Je vous le rappelle, ce blog est avant tout le vôtre ! ;-)

Pour ceux qui n'arriveraient pas à lire la vidéo sur le blog, cliquez sur ce lien pour la visionner directement sur XTube. Bonne sturbe à tous et n'oubliez pas de laisser commentaires après avoir largué !

Par Decrasseur2keu - Publié dans : Vidéos
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Lundi 27 mai 1 27 /05 /Mai 17:00

Salut les queutards ! C'est cool de retrouver enfin le soleil, pas vrai ? On va enfin voir les températures augmenter et pouvoir s'en mettre plein les narines dans le métro ou le bus avec des ptits lascards négligés en survet et débardeurs imprégnés de sueur... Hummm putain rien que de m'imaginer la gueule dans de bonnes aisselles poilues bien fumantes, ça me fout la trique direct ! Et je suis certain que je ne suis pas le seul, pas vrai Simon ? ;-)

Pour bien commencer la semaine, une petite histoire bien och traduite de l'anglais par CRADYON, un fidèle du blog de la première heure, que je remercie pour sa fidélité... Il nous a déniché outre-Atlantique une histoire hyper bandante où un coach visiblement bien odorant va initier un de ses élèves au décrassage de queue bien crémeuse ! C'est d'autant plus kiffant que généralement les Américains sont quasi tous circoncis et assez à cheval sur l'hygiène de leur queue... Mais il semblerait que les trips uncut et from de teub commencent également à exciter grave nos amis yankees ! Donc maintenant va falloir assurer les mecs et leur montrer que les Français sont vraiment les meilleurs producteurs de from au monde !!! ;-) Allez sans plus attendre je vous laisse sortir vos queues et larguer un max sur cette putain d'histoire (illustrée comme d'hab par quelques pics prises sur le net). Et si ça vous plait, n'hésitez pas à laisser quelques commentaires car mon pote CRADYON en a plein d'autres en stock ;-)

 

coach (2)J'avais 18 ans et la pleine conscience de mon corps : je voulais être musclé, poilu et viril mais ça n’en prenait pas le chemin. Je n’étais pas sportif, mais j'avais essayé plusieurs fois : généralement j’étais le gars chargé de m'occuper de l'équipement des équipes. Cette année, c'était le football à l'automne et le baseball au printemps.

 

Certains joueurs de foot avaient capté, je pense, ce que je voulais et de qui je le voulais. Ils faisaient beaucoup de blagues "de pédé" entre eux tout le temps, mais lorsqu'ils les faisaient à mon sujet, le rire était différent. Au début, je pensais que c'était parce que je portais des vêtements alors qu’ils étaient tous nus ou en jocks-straps et en sueur, épuisés par le jeu. Ils faisaient preuve de camaraderie. J'étais différent dans ce vestiaire. J'avais 18 ans et plein d’hormones en ébullition qui exigeaient que ma bite se raidisse 30 fois par jour et qu’elle reste comme ça en permanence dans le vestiaire.

 

Parfois, je portais une coque pour masquer la forme bombée dans mon jeans. Je ne suis pas super bien monté, mais ma bite dure tendait mon pantalon et était nettement perceptible : la coque la déguisait. L'odeur musquée humide du vestiaire masculin me fait bander encore plus.


Je ne pouvais pas détourner mon regard des parties poilues des mecs : je matais les aisselles et m'interrogeais sur leur parfum humide d’après-match, je voyais les poils du torse collés aux pectoraux par la sueur, le sillon de poils qui descend vers le pubis, des poils épais, sombres et bouclés, ou de soyeuses touffes blondes, des jambes musclées et velues, des pieds humides libérés des chaussures et chaussettes d'athlétisme.


coach (5)Je ramassais le matériel de l’équipe pendant qu’ils étaient sous la douche et se changeaient. Un par un, ils me disaient au revoir, disaient dans quel bar ils allaient, me proposaient de venir pour une putain de baise ou en tout cas il y aurait des bières. Je disais toujours "Sûr que je vais y aller, mais j’ai du boulot à finir ici d'abord" et je ne les ai jamais rejoints. J'avais mes propres trucs à faire.

Des trucs comme ramasser leurs T-shirts et chaussettes puants et les jeter dans la machine à laver ou renifler les jocks-straps, laissés sur les bancs pour le lavage. Les gars qui attachaient des pouvoirs mystiques à leurs jocks-straps non lavés les mettaient juste dans leur casier et fermaient la porte.

 

coach (4)Ce vendredi soir, le dernier gars était parti et la salle était calme. Ma queue était raide, j'étais seul, je l'ai donc sortie de mon Levis et je me retrouvais avec le fantasme des mecs en sueur qui étaient maintenant partis, mais dont le parfum restait comme un fantôme dans la pièce dans les T-shirts et les jocks. Je savais à qui était lequel et je commençais à échantillonner. Je ramassais le T-shirt de Vic du banc en face de son casier. Je l'ai lavé une douzaine de fois au moins, mais jamais sans prendre d'abord une grosse bouffée de son odeur personnelle. Ça me faisait décoller. Ma bite frétillait alors que je respirais l'odeur des aisselles humides de Vic. J'ouvris la porte de son casier et en retirai son jock mystique. Il était encore en sueur et humide du match. Il était un peu jauni par la sueur et les gouttes de pisse qui s’étaient écoulées de sa bite et marron sur les bords de la poche qui frottaient dur contre son entrejambe poilue.


Je l'ai approché lentement de mon visage pour voir quand je détecterais l'odeur du scrotum de Vic. Vic était déjà un bel homme grand, imberbe, musclé, bien qu'il ne fût qu’en dernière année à la fac. Il était tout ce que j'ai voulu être et il sentait comme un animal sauvage. Son parfum a pénétré mon cerveau et m'a rendu étourdi, faible ou affamé, comme si je voulais manger son odeur.


J'étais excité et debout dans le vestiaire des hommes avec ce jock humide de Vic, pressé contre mon visage de ma main gauche et ma bite dure dans ma main droite, ma tête basculée en arrière avec mes yeux fermés, mon nez plein d'odeur de Vic, mon esprit complètement ailleurs. Jusqu'à ce que j'entende le coach Pascoe se racler la gorge dans son bureau. Ça m’a surpris. Je pensais qu'il était déjà parti comme tous les autres mecs. Je le supposais seulement. Je n’avais pas vérifié son bureau avant de commencer. J'ai commencé à transpirer et trembler et j’essayais de penser à ce qu'il fallait faire ensuite.


coach (1)Le coach Pascoe a rejoint l'université depuis seulement deux ans, il a environ 24 ou 25 ans je dirais. Une éducation physique principalement, son corps est superbe. Il avait de la force et une solide présence. Son visage était viril, anguleux et ouvert et son sourire était blanc, joyeux et encourageant. Son ombre était toujours là, même tôt le matin. La testostérone de ce mec faisait des heures supplémentaires. Il avait travaillé très étroitement avec moi lorsque nous cherchions un sport où je pourrais être bon et il n’a jamais abandonné. J'ai finalement renoncé, mais il m'a encouragé pour essayer de nouveaux sports ou simplement travailler dehors. Il m’a donné beaucoup de cours particuliers mais en fin de compte, j'ai arrêté d'essayer de nouvelles choses et, je suppose, je l’ai déçu. Il ne savait pas que la proximité avec lui au cours de son instruction ou lorsqu’il me sécurisait aux haltères, mon regard braqué vers le haut, matant son paquet, m'excitait tellement que j'avais peur qu’il le remarque et sache que j'étais pédé. Je savais que je n'étais pas supposé avoir ces pensées au sujet du coach.


Mais il n'a jamais manqué une occasion de me remercier d’être le gérant de l'équipement et de veiller à ce que l'équipe soit prête. Ses tapes dans le dos étaient solides avec une main forte et épaisse, toute en muscles. Parfois, quand il se tenait près de moi, après un match, je pouvais sentir son corps, aussi. Cela me faisait frissonner. J'ai été irrémédiablement attiré par lui dès la première fois où je l’ai vu, mais le béguin s’éloignait à chaque interaction, chaque contact, chaque soupçon d'odeur d'homme.


coach (3)J'ai entendu la chaise du bureau du coach grincer. J'ai remis le jock de Vic là où je l’avais trouvé et je me suis précipité vers les douches. Si le coach venait dans le vestiaire, je ne voulais pas qu’il me voit avoir du mal à rentrer ma bite raide dans mon jeans. Je suis allé à un urinoir dans les douches hors du vestiaire et me tenais immobile comme si je pissais. Quelques secondes plus tard, le coach Pascoe vint et se mit à l'urinoir d’à côté et tira sa queue hors de son pantalon de survêtement et son jock en sueur.

-- Je suppose que nous sommes tous deux à bosser tard, Jim. Encore beaucoup à faire ?

-- Eh bien, coach, j'ai le lavage et quelques affaires à ranger, et... je ne sais pas...


 

Je ne pouvais pas penser à ce stade. Le coach se trouvait assez loin de l'urinoir pour que je puisse avoir un bon aperçu de son engin. Il était épais et non circoncis. Il avait à moitié décalotté le prépuce et sa pisse giclait un flux jaune contrastant avec le blanc de l'urinoir. Je voyais des taches blanchâtres de from le long de ce prépuce rétracté et j'étais sûr qu'il savait que je le voyais.

 

Je pouvais le sentir, aussi. Je pouvais sentir son odeur âcre de pisse remontant de l'urinoir. C’était fort. Ma bite bavait de liquide séminal. Il avait couru partout sur la touche pendant le match, criant des encouragements et des instructions à l'équipe, et il avait travaillé jusqu'à être en sueur. Il était près de moi et je pouvais entendre sa pisse frapper l'urinoir et l'odeur de ses aisselles et sentir l'air chaud et humide venant de son corps si proche du mien. Je pouvais sentir cette odeur de bite pas lavée. Je ne pouvais pas m’empêcher de respirer profondément pour capter plus de puanteur du coach dans mon nez. J'étais trop raide pour pisser et je me demandais s’il pouvait entendre que je ne pissais pas, juste là près de lui avec ma bite dure dans mes mains, essayant de ne pas la caresser, essayant de ne pas être trop explicite quant à son pénis.


coach--10-.jpg

Sa main bougea un peu et révéla plus de son gland épais. Il révélait plus de from, un from plus épais à mesure qu’il tirait son prépuce. Il semblait qu’il n'avait pas eu la possibilité de se laver la bite depuis un certain temps, ou peut-être fait-il du from très vite. Je savais que certains gars arrivaient à faire du from très rapidement, surtout s'ils ont beaucoup sué. Le coach Pascoe était bien sûr en sueur. Il finissait de pisser, il pressait sa bite avec son prépuce pour sortir les dernières gouttes de pisse. Il rendait son gland humide de pisse et pâteux de from humide. L'extrémité du gland et le prépuce avaient encore une dernière goutte de sa pisse. Je me demandais quelle odeur ça pouvait avoir. Quel goût. Puis j'ai réalisé qu'il me regardait maintenant pendant que ses doigts couraient sur sa queue. Il devenait plus gros, aussi.


 

Je me trouvais à côté du coach Pascoe à le regarder se caresser la bite et déplacer son prépuce et sentir ses odeurs au point que ma bouche bavait et mes genoux tremblaient et il me regardait faire en souriant de son sourire encourageant. Il me lança alors :

-- Je t’ai vu.


Et sa bite se faisait plus longue dans sa main. Elle semblait vraiment gluante et humide sous le prépuce quand il le tirait en arrière. Et j'ai caressé ma bite doucement et secrètement à côté de lui, encore très proche de l'urinoir afin qu'il ne puisse pas voir mon érection et je dis innocemment :

-- Coach ?

-- Je t'ai vu sentir ce T-shirt en sueur et ce jock. Tu semblais vraiment parti. T’aimes ce genre de choses ? T’aimes l'odeur de couilles en sueur d'un mec ?
Et puis il a fait un pas en arrière de l'urinoir et se tourna vers moi, avec sa grosse bite pointant vers moi. Et j'ai trouvé le courage de faire la même chose.

-- J'aime vraiment ça, entraîneur. Je ne sais pas pourquoi. Je sais que c'est mal. Je ne peux rien y faire.
Je ne pouvais pas le regarder dans les yeux. J'ai pensé à son beau visage et son corps solide, mes genoux étaient faibles et puis je tombais lentement à genoux devant lui.
-- Je veux vous sentir, coach. J'ai besoin du goût et de l'odeur  et vous semblez en avoir envie aussi...

Je louchais sur sa bite et elle bavait un épais jus qu’il trayait avant de l'étendre en un glissement collant partout sur son gland et le bord de son prépuce épais. Sous ce prépuce se cachait un puant paradis épais et je le voulais.

-- Ouais, je pense que tu le veux vraiment, Jim. T’as déjà sucé une bite ?

-- Bien sûr, entraîneur. Je suis assez bon à ça. Permettez-moi de le faire. Il n’y a personne autour et personne ne le saura.


coach (7)J'ai tendu la main vers son pantalon de survêtement gris et je l’ai baissé révélant la sueur du jock malodorant qu'il portait et que je baissais sous ses couilles. On voyait à peine le scrotum sous l’épaisse toison noire. Son odeur de sexe flottait au-dessus de mon visage en vagues chaudes. Je m’approchai de sa bite crade et puis je lui lançai un regard cherchant silencieusement sa permission.

 

Il a mis sa main charnue derrière mon cou et m'attira près de son engin. Son trou à pisse suintait de jus et je sortis ma langue et en léchai un peu. Il trouvait que c'était chaud. Sa bite balançait de haut en bas alors que ma langue caressait sa fente de pisse. Une chaîne de jus resta accrochée entre mes lèvres et son gland. Je pouvais sentir le musc de sa sueur de bite et l'odeur plus profonde de son jock et de son entrejambe.

J'en ai pris plus et il a dit :
-- Ouais, je sais que tu aimes cette odeur. La sueur de mon entrejambe et ma pisse et ma bite gluante. Je t’ai vu avec ce jock ! Je savais que tu me sucerais.

 

coach (8)Il souriait de ce sourire encourageant et j'ai pris tout ce que je pouvais de sa bite chaude, épaisse, musquée dans ma bouche. Je savourais le goût de sel, de peau, de musc et de from et je le laissais presque glisser hors de ma bouche et ensuite revenir pour plus. La lubrifiant avec une combinaison de ma salive et de son jus, ma langue œuvrait dans des zones sensibles sous le prépuce, dégustant la pisse qui restait et la pâte piquante que j'avais vue.


Le coach Pascoe respirait bruyamment et de sa voix basse et sombre il m’exhortait à prendre plus, à sucer plus profond, à lui dire que j'aimais le goût, lécher son scrotum, lécher son entrejambe. Il enleva son sweat à capuche et me dit de lécher sa poitrine velue, sentir ses aisselles, sucer ses aisselles, le sentir, sentir cette putain d’odeur. Il se retourna et se pencha et me dit de bouffer son trou du cul putride et je l'ai fait. Pendant un très long moment parce qu'il aimait tellement ça. Je suppose qu'aucune fille n'aime mettre sa langue dans cette raie poilue, mais moi j’ai aimé bien sûr. J'ai aimé toutes les saveurs du coach Pascoe.


coach (6)Puis il se leva, se retourna et dit  :

-- Je dois encore pisser. Jim t’as soif ? Tu veux de ma pisse chaude dans la bouche ?
Je le voulais tellement, que je ne pouvais même pas sortir les mots. J'ai juste ouvert ma bouche et hoché la tête et l’ai regardé dans les yeux alors qu’il approchait sa grosse bite près de mon visage et de mes lèvres. Puis la pisse arriva. Dans une courte rafale d'abord. Elle a frappé mon menton et éclaboussé sa bite. Elle était très jaune. J'étais désolé qu'il ait manqué ma bouche, parce que je voulais vraiment boire la pisse du coach Pascoe. Je n'ai pas eu à attendre longtemps pour obtenir mon souhait, cependant. Dans les secondes qui suivirent, il a pissé un long flot ininterrompu de son jus dans ma bouche et je déglutissais pour avaler ce que je pouvais avant que ma bouche déborde, et chaque fois que j'avalais, un déluge de pisse de mon entraîneur volait de ma bouche, vers le bas de mon visage, sur ma poitrine et sur ma bite et faisait une énorme flaque de pisse dorée dans laquelle j'étais agenouillé sur le sol, réclamant plus de pisse. Plus de pisse salée du coach Pascoe.


J'ai adoré. J'aimais profondément le coach Pascoe à ce moment-là. Il était l'homme chaud le plus masculin, beau, musclé, poilu, avec qui j'avais eu des relations sexuelles jusqu'alors. Il s’était complètement abandonné dans le sexe jusqu’au moment où il s'est rendu compte que je ferais absolument tout ce qu'il me dirait de faire. Il aimait attraper ma tête à deux mains et baiser ma bouche avec sa grosse bite. Il transpirait comme un fou et baisait ma bouche et son parfum se faisait plus net avec la sueur de ses couilles et plus piquant avec la pisse qui était désormais partout et il grognait à chaque poussée et enfin il tira sa queue de ma bouche tout à coup et, serrant les dents dans une version bizarre de ce sourire bien-aimé, a joui de blanches giclées épaisses de sperme au goût fort sur mon visage et ma bouche, 6 ou 7 giclées. Il a retiré sa bite et la peau du prépuce a commencé à recouvrir le gland et j'ai englouti dans ma bouche et sucé la dernière goutte de sa bite. J'ai descendu et embrassé ces couilles poilues et des gouttes de sperme tombées là de mon visage, et j'ai léché, aussi.


coach (9)Je levai les yeux vers son visage rouge, ruisselant de sueur avec ces efforts, et il a dit :

-- Maintenant recule. Gicle ton sperme sur mes pieds !

Il m'a fallu peu de temps. Ses pieds étaient grands et décorés de poils foncés et étaient là sous mes genoux et j'ai écarté mes genoux pour approcher ma bite de ces pieds nus, couverts de pisse. J'ai fait gicler une charge énorme comme seulement un jeune homme excité peut le faire. Ça a éclaboussé les pieds du coach avec force et ça s’est étalé à l'impact en couvrant presque entièrement les deux pieds de blanc et en se prenant dans les poils. J'ai regardé à nouveau le coach, qui avait un sourire narquois sur son visage, maintenant, comme s’il m’avait a pris dans un piège...

-- Je dois pisser à nouveau maintenant. Lèche ce sperme et cette pisse sur mes pieds. Veille à tout récupérer entre les orteils !

 

Il m'a fait manger mon propre sperme sur ses pieds en sueur tandis que juste au dessus de moi sa pisse éclaboussait mon dos et mes cheveux et coulait sur mon visage et sur ma langue, où elle se mêlait avec le goût de mon propre sperme chaud et épais. Sa pisse est si chaude. Je voulais qu'elle dure éternellement. Je voulais que l'odeur et le goût et la sensation de léchage des pieds du Coach Pascoe nettoyés de sa sueur et du sperme et de la pisse durent éternellement. Quand il eut fini de pisser sur moi il se tenait là nu, poilu, viril, en sueur et dit :

 -- Tu ferais mieux de prendre le balai et nettoyer ce gâchis et puis nous irons sous les douches !


Plus tard, quand nous étions habillés et prêts à partir, il a mis ses bras autour de mon épaule, sentant le propre et le déodorant cette fois et dit :

-- Tu sais, nous ne pouvons jamais dire aux autres que nous avons fait ça, mais j’ai aimé ça bien sûr. Ta bouche est si bonne. Je ne veux pas dire que nous allons le refaire ou pas. Nous allons juste le jouer à l’oreille. Mais en attendant...
Et il a mis sa main dans sa poche de veste et a sorti son jock-strap, celui qu'il portait ce soir-là, il l’a approché de mon nez et tout évoquait la sueur de ses couilles et une odeur de pisse et sa crasse du prépuce et notre partie de sexe ensemble. Je l'ai aussitôt mis dans ma poche. Et nous n’avons jamais recommencé, même si nos yeux se rencontrèrent sciemment de nombreuses fois, jamais les circonstances ne sont revenues à nouveau. Je n’ai plus 18 ans, mais je me souviens de ce vendredi soir comme si c'était hier et j'ai encore le jock du coach Pascoe. (Oh, et celui de Vic aussi, mais c'est une autre histoire !)

Par Cradyon - Publié dans : Témoignages
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Mercredi 15 mai 3 15 /05 /Mai 12:30

Avec les beaux jours qui arrivent (je vous assure, il paraît qu'on est au printemps les mecs !), on va tous pouvoir retrouver les joies des loisirs de plein air ! Et pour ceux qui ont la chance de disposer d'une piscine privée, voici une vidéo qui devrait leur donner illico envie d'inviter quelques potes ;-) Ça commence par quelques jeux bon enfant entre potes, puis le désir montant, nos 4 éphèbes se montrent de plus en plus entreprenants, allant jusqu'à réaliser d'audacieuses fellations sous l'eau !

 

S'ensuit une série de pipes et de bouffages de cul d'enfer au bord de la piscine, puis les 3 invités s'installeront à 4 pattes sur le sol, tendant leur petit cul imberbe au gros chibre veineux de leur hôte ! Putain, qui n'a jamais rêvé d'avoir 3 mecs à dispo comme çà et de pouvoir passer d'un cul à l'autre en mode bourrin ?!! Quel kiff de voir le mec rentrer sa queue dans ces p'tits trous tout lisse et larguer son jus épais sur le trou de ses potes, avant de renfoncer sa queue bien profond afin de bien tasser son yop au fond ! Superbe vidéo, avec de magnifiques gros plans de culs foutreux ! Impossible de ne pas larguer devant un tel spectacle, pas vrai les mecs ?

 

Par Teubcrade - Publié dans : Vidéos
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Mercredi 15 mai 3 15 /05 /Mai 11:30

Hummm, je vois que la bonne queue fromageuse de SVEN a fait couler pas mal de jus ce week-end ! Apparemment je ne suis pas le seul à avoir envie d'y passer la langue pour récolter tout ce from bien épais... Je pense que pour la prochaine élection de Mister Teubcrade, tu as toutes tes chances mec ! ;-) N'hésite pas à nous renvoyer d'autres photos de ton zob bien crémeux ou d'une bouche de salope en train de te la décrasser à fond !

Aujourd'hui, je vous propose le témoignage de MEULBY, un autre fidèle du blog depuis des années qui adore servir de chiottes et de vide-couilles à de bons mâles macho et odorants... Alors quand il est retombé sur ce mec poilu et viril en chattant sur un site, il n'a pas résisté bien longtemps à l'envie de se faire larver par ce pur queutard... Mais il était bien loin de se douter que ce mec serait aussi daubant ! Je vous laisse découvrir sans plus attendre le récit de ce plan hyper bandant, illustré par quelques photos prises sur le net. Merci encore pour ton témoignage mec, et continue à nous faire partager tes futures baises hard et odorantes !

 

meulby 1Salut à tous ! Ça fait quelques années que je suis ce blog en me paluchant devant les vidéos et tous les témoignages aussi bandant les uns que les autres ! Mon surnom est Meulby, j’ai 30 ans et je vis dans le sud-ouest. Je suis brun, 1m80, et je suis assez massif. Comme vous allez le remarquer d’ici peu, j’aime bien me faire lope, je kiffe toutes les odeurs de mâle (bite, chaussette, slob, aisselles), et plus c’est fort, plus je suis heureux !

C’était l’été dernier, il faisait une chaleur insupportable et j’avais le cul en feu. Un mec avec qui j’avais eu un plan quelques mois auparavant m’envoie un texto pas très développé : « Envie ? » La première fois qu’on s’était vus, le plan avait été assez quelconque, mais étant en rut, je lui réponds que oui. Dans les trois secondes, je reçois « T'aimerais quoi ? ».

 

 

Pour le coup, je me lâche un peu...

-- Je veux me faire traiter comme une chienne.

-- Tu vas avoir ce que tu veux... Mets un slip blanc. Je termine le taff à 17h30, je me douche, t’arrives et je te baise.

-- Ne te douche pas, je préfère.

-- Il fait 40°, j’ai transpiré toute la journée, tu vas pas apprécier...

-- Oooh si !


J’arrive donc à 17h30 chez lui, j’attends un peu en bas et je reçois un texto : « Arrive salope ! ». Je ne me fais pas prier et je rentre dans l’immeuble. Une porte s’ouvre, je ne vois rien, l’appart est dans le noir, je rentre... Je me fait aussitôt plaquer sur le mur et sa langue me rentre profondément dans la gueule. Il est massif et bien velu. J’ai un barreau d’enfer, d’autant plus qu’il pue gravement la sueur ! Il me bouffe littéralement la gueule, me déshabille en me laissant mon slip. Lui est déjà en caleçon. Il me descend au niveau de sa teub.

 

meulby 5 Là, même si je suis plus qu’excité, je prends mon temps, et je renifle. A dix centimètres, ça sent déjà la pisse et la sueur. Je colle donc mon nez dessus et renifle tout ce que je peux. Je comprends pourquoi il tenait tant à se doucher avant que j’arrive, ce mec est un porc ! En plus de la pisse, ça sent la sueur et le vieux sperme macéré. Je renifle, je le suce à travers le calbart. Ça sent l’homme comme j’aime ! Enfin, je lui sors la bite, la décalotte, et même s’il n’y a pas de fromton, ça sent très fort ! Je le suce doucement, en prenant bien son gland entre mes lèvres et en le léchant amoureusement.

-- T’es une vrai cochonne toi ! Va sur le lit ! Et à quatre pattes !

Il me fait monter sur le lit, le cul en l’air, dos à lui. Il commence à me cracher sur le slip, à me claquer les fesses. Il a l’air d’aimer ce qu’il voit. Il met mon slip en string, m’inonde la rondelle de crachats et commence à me doigter. Il y va franchement comme un bourrin, ce qui me fait couiner. Pour me faire taire, il me met les doigts qu’il vient de m’introduire dans la bouche et me demande de les lécher. Je m’exécute et il recommence à me doigter vigoureusement...

Un doigt, deux doigts, trois doigts, quatre doigts... Il s’excite de plus en plus, et tout d’un coup, il retire ses doigts et me dit :
-- Maintenant on va faire un tour dans la salle de bain...

Je ne sais pas trop ce qu’il va m’y arriver, mais j’ai une petite idée... Arrivé dans la salle de bain, il me met à genoux, se met dos à moi et me plaque la gueule dans sa raie !
-- Allez, je veux que ça brille !

meulby 3Je lui nettoie la rondelle comme il semble le vouloir et ça sent fort ! Il grogne de plaisir, me colle la tête à fond dans son cul. Au bout d’un moment, il me retire de là et m’envoie dans la cabine de douche. Le moment que j’espérais ! Je suis encore à genoux, il approche sa teub, et j’attends un petit moment en fixant avec envie son énorme gland. Tout d’un coup, un gros jet m’arrive en plein visage. Il m’arrose partout. Il a dû boire tout l’après-midi en pensant à moi tellement y’en a ! Il s’arrête un petit moment, mais comme il tient encore sa bite, je me dis qu’il a pas tout à fait fini. Pour l’encourager, je lui suce doucement le gland, et sans me prévenir, il recommence à pisser, mais dans ma bouche cette fois-ci.

 

Je bois tout le liquide doré. Il doit avoir une vessie de cinq litres ! J’ai l’impression que ça ne s’arrêtera jamais !


Une fois qu’il a eu fini, je le suce vigoureusement, et au bout de quelques minutes, il me prend la tête, me recule, et se masturbe. Je comprends bien ce qu’il va m’arriver... Il m’éjacule à la gueule en grognant, et franchement, j’ai rarement vu quelqu’un qui giclait autant !
meulby 4Une fois vidé, il me lance en sortant de la salle de bain :

-- Termine-toi salope, et tu peux t’en aller...

Je ne me fais évidemment pas prier ! Je me masturbe, le visage couvert de sperme et le corps ruisselant de pisse. J’arrive vite tellement il m’a excité. Je me rince à la douche, je me rhabille et m’en vais sans un mot. De temps en temps, il m’envoie un texto pour me demander si j’ai envie de remettre ça. En général, je ne me fais pas prier !

 

meulby@hotmail.com

Par Meulby - Publié dans : Témoignages
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Mercredi 8 mai 3 08 /05 /Mai 02:00

Salut les queutards !

 

De retour sur le blog après quelques semaines d'absence... Pas toujours évident de jongler avec l'emploi du temps et d'assurer des mises à jour régulières ! Mais bon pour me faire pardonner ce petit mois d'absence, je vous ai réservé pour les prochains jours pas mal d'articles hyper bandants qui devraient vous faire larguer un max de jus !!! A commencer par la contribution envoyée par SVEN, un queutard de 27 ans et fidèle du blog depuis des années : deux photos de sa queue bien daubante et crémeuse à souhait...

Sven (1)

Putain, ça donne grave envie de se gazer le pif avec et d'y passer ensuite la langue pour récupérer tout ce fromton accumulé sur le gland ! Sur la 2ème photo, on peut voir le slob que SVEN porte quand il fait du sport et notre queutard précise qu'il ne l'a pas lavé depuis plus de deux mois ! Comme on peut le voir, il est bien cartonné et a pris tous les arômes dégagés pendant et après l'effort (transpi, pisse, foutre). Un vrai concentré de teub !

Sven (2)

J'envie grave le mec qui te l'a décrassée !!! Merci beaucoup pour ces pics ultra bandantes et n'hésite pas à nous faire profiter de tes futurs plans odeurs mec ! ;-)

Par Sven - Publié dans : Photos
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Lundi 18 mars 1 18 /03 /Mars 16:40

Pour rester dans la thématique "foot" du jour, une vidéo super kiffante où un kiné très sexy s'occupe avec beaucoup d'application d'un joueur après un match... Le massage de la cheville va très vite laissé place à une séance de sniffe visiblement bien fumantes du minet, qui conduira ensuite le kiné jusqu'au short du mec, pour un bon gazage en règle ! Le jeune footeux allongé sur le banc a d'ailleurs l'air d'apprécier les talents de pompeur du kiné quand débarque dans le vestiaire un de ses coéquipiers, qui lui colle direct son zob bien raide en bouche...

Décidément très consciencieux, le kiné va ensuite se lancer dans un autre massage, mais cette fois-ci de la prostate ! ;-) Après s'être fait tringlé à tour de rôle par les deux mecs, le minet leur servira évidemment de vide-couilles, avant de se laisser aller à une magnifique pelle au jus à 3 ! Voilà peut-être une méthode de relaxation que devrait essayer l'équipe de France avant son match de vendredi contre la Georgie ! lol

Par Teubcrade - Publié dans : Vidéos
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