Tout d'abord, un grand merci pour vos commentaires et vos messages d'encouragement suite à la reprise du blog !  Ça fait vraiment plaisir de voir que malgré tout ce temps, le blog conserve de vrais fidèles qui continuent de venir régulièrement se purger les couilles dessus ! Continuez à réagir aux différents articles les mecs, j'avoue que ça me booste pas mal pour la suite !

Comme vous le savez, vous pouvez raconter sur ce blog vos plans Q les plus och et ainsi partager vos trips et vos expériences de baise avec tous les kiffeurs du site ! Aujourd'hui, c'est HAIRYLEGS94, un fidèle de la première heure de ce blog, qui nous fait partager une baise bien odorante qu'il a eu avec un mec il y a quelques temps. Sérieux les mecs, impossible de pas larguer avant la fin tellement son récit est bandant ! T'es vraiment un pur queutard mon pote, et j'espère que tu vas continuer à nous faire triper un max avec tes plans Q bien och et odorants ! Allez, trêve de blabla... Sortez vos queues et bonne sturbe à tous !

Bonne baise crade entre kiffeurs
(par HAIRYLEGS94)

Cet après-midi là, ma teub sentait moyennement, mais sentait quand même et j’étais chaud de la queue ! J’avais envie de la faire sentir et aussi de me gazer avec celle d’un autre. Alors je me connecte sur internet, et après un grand moment sans rien trouver qui me plait, je tombe enfin sur un mec dans la trentaine, pas trop loin, bien poilu comme je kiffe. Et en plus bon mouilleur et bien foutu ! On parle un peu et il me dit qu’il kiffe aussi les plans odeurs, mais il ne va pas jusqu’au from, c'est dommage. Il fait beaucoup de sport donc il transpire un max (aisselles, pieds, entrejambe...). En plus, il avait passé toute sa matinée au club de gym. On a donc prévu de se voir le jour même. Je portais mon jock noir bien crade, puant et cartonné au foutre, jamais lavé depuis un an, je le porte de temps en temps pour lui redonner un peu d’odeur qu’il perd en restant dans le tiroir quand  je ne le porte pas. Après avoir parlé un peu, je vais chez lui, il m’ouvre la porte en cho7 et jock blanc pourrave, bien jauni par la pisse et le jus, porté depuis deux semaines.

Dès que je suis entré dans l’appart, une odeur m’est montée au nez direct. Woooow !!! Un mélange de toutes les odeurs : on se serait cru dans des vestiaires. Je me désape illico et me retrouve en jock, je le tate, renifle ses aisselles, les lèche, je lui mordille les tétons, les pince, caressant son torse, son ventre poilu, passant ma langue pour arriver à son jockstrap daubant. Il m’attrape alors la tête et me l’enfonce dans son entrejambe, je prends plaisir à renifler toutes ses effluves viriles, je lui lèche le jock, le suce pour avoir en bouche son odeur. Je lui retire ensuite son sous-vêt et libère son zboub, et l’odeur qui s’en dégage me rend fou ! Je la prends en main : un bon 18 cm mais pas large, plutôt longue et fine, avec un bon prépuce serré. Dommage, avec ce prépuce et toute la mouille qui en coulait, il pourrait avoir du bon fromton... Il devrai tester mais bon. Je le décalotte et me colle ce gland humide sous le pif. Je le prends en bouche et le pompe un p'tit moment.

De mon autre main, je lui caresse son boule velu et lui passe deux doigts sur la raie. Il me dit qu'il s’est fait enculer ce matin au club de gym. Son fion sentait bon le cul et la baise ! Je porte aussitôt mes doigts à mon nez et il y avait en effet une odeur de cul bien masculine. Je ne me lassais pas de le doigter et de sniffer mes doigts mais aussi de les lui faire renifler et sucer. Puis il me relève à son tour pour venir me renifler les aisselles, qu’il me dévora complètement. Elles coulaient de sa bave. Il sniffa vite ensuite mon jock, vite fait histoire de passer direct à mon dard, me décalottant et se le collant sous le nez et respirant mes odeurs. Puis il a mis son nez dans ma toison noir sentant le jus et la pisse.

Mais il s’arrêta au bout de quelques minutes car on a prévu de se faire un ptit plan uro. Je suis plus receveur et lui, ça tombe bien, n’aime pas trop la pisse sur lui mais adore voir des mecs jouer avec la sienne ! Donc je me mets dans la cabine de douche, mais comme il n’y a de la place que pour une personne, lui reste debout dehors. Je suis accroupi dedans et il me largue direct sa pisse bien claire. Hummm un régal ! Il dirige le jet partout sur oim mais je prends sa queue en mains et mets son gland en bouche. Il continue de pisser et j’avance un peu plus pour avoir sa queue en fond de gorge tout en continuant à avaler sa pisse. Il la ressort, j’ouvre la bouche en grand et il me pisse dedans. Il commence à bander et s’arrête alors de pisser. Je lui regobe le zboub aussitôt et lui décrasse à fond sa belle teub. Je sors de la douche dégoulinant de pisse et on retourne dans le salon. Là j'attrape l’une de ses skets et la lui fous direct sous le pif. Il se shoote grave avec et je lui refile ensuite mon zob à sniffer à pleins poumons. Dans son appart, il y avait des vêtements qui traînaient un peu partout, ça doit être ceux qu’il met pour faire son sport. Ça daubait grave dans toute la pièce !

Puis je le retourne pour lui bouffer la rondelle et goûter un peu mieux ce qui s’en dégageait. Je me délectais de ce fion poilu et lui gémissait comme un fou. Je le doigtais en même temps mais depuis le matin il était encore ouvert donc au lieu de commencer avec un doigt, j’en ai mis 2 direct et tout de suite après 3 et 4 ! Il gueulait comme une bête en rut avec nos pompes et cho7 sous le nez. De son cul, je passais à ses burnes que je gobais, puis à sa queue que je tétais comme un ouf. Je me suis alors relevé, j'ai pris une kpote sur sa table et me la suis enfilé sur le zob avant de le pénétrer. Il s'est embroché totalement sur ma queue : un vrai gourmand le keum ! Il bougeait grave son cul et j’avais quasi rien à faire, mais j’ai dû arrêter car je commençais à débander avec toute la pisse que j’avais bue et qu'il ne demandait qu'à ressortir.

J’ai alors eu une idée : je suis parti chercher un verre, j'ai pissé dedans et je l'ai posé sur la table devant lui. Lui était assis sur le canapé, en sturbe, en train de sniffer ma sket. Je me mets debout sur le canapé pour qu’il me suce, je lui attrape la tête et la lui mets bien au fond pour lui baiser la bouche. Il profite d'une petite pause pour aller chercher une autre kpote, mais pour lui cette fois-ci. Il se la met et se tartine le zboub de lubrifiant pendant que je m'installe sur le dos sur le canapé.

Là, il me pénètre : il rentre le gland doucement, s’arrête, m’attrape les hanches puis s’enfonce d'un seul coup jusqu'à la garde. Je crie de douleur mais lui ne bronche pas et continue ses va-et-vient de plus en plus rapides. Tout en me baisant, il se penche et me lèche le cou, me l’embrasse et me bouffe l’oreille, passant sa langue dans tous les coins. Je me retire pour pas qu’il jute et j'attrappe le verre de pisse en lui disant qu’on va cracher dedans tous les deux. On se branle en se gazant de nos jocks et nos cho7 pourraves. Je jute le premier, et mon jus se mélange à la pisse. Visiblement le spectacle l'excite grave et le mec jouit à son tour dans le verre. Et là, avant même qu'il ait repris ses esprits, je saisis le verre et le bois en prenant bien mon temps, en le savourant jusqu'à la dernière goutte... Le gars ne s’attendait pas du tout à ça, mais ça l’a grave excité !  

Salut les queutards !

Et ouais, je sais que beaucoup d'entre vous n'y croyaient plus mais après deux ans d'absence, Teubcrade est de retour sur la toile ! Et rassurez-vous, toujours aussi accro aux bonnes teubs bien crémeuses et aux odeurs de keum en rut !

Si je n'ai pas actualisé mon blog pendant tout ce temps, c'est avant tout parce que j'ai éprouvé une certaine lassitude... En effet, ce blog existe depuis 2006, et contrairement à ce que certains d'entre vous peuvent penser, la gestion régulière d'un blog demande pas mal de temps et de motivation ! Il suffit de regarder tous les excellents blogs qui ont mis la clé sous la porte ces dernières années (Teubix, Slips-chauds, Keumcrade, Sadic Arnaud... et beaucoup d'autres encore !). Au début, vous êtes nombreux à jouer le jeu, à envoyer des contributions, des photos, à signaler des vidéos bandantes, à laisser des commentaires... et puis au fil du temps, au fur et à mesure que le blog se développe et que son contenu s'étoffe, les contributions et les commentaires s'amenuisent, et les contributeurs deviennent peu à peu simples consommateurs.

Certes, c'est hyper kiffant de savoir que vous êtes des centaines chaque jour à vous vider les couilles grâce au site (les statistiques en témoignent), mais c'est toujours plus intéressant pour le webmaster d'avoir également vos commentaires, vos suggestions... et au final de ne pas être le seul à gérer le blog. Comme je vous l'ai déjà dit, ce blog c'est avant tout le vôtre ! Pour être franc avec vous, j'ai longuement hésité moi aussi à le supprimer définitivement. Mais plusieurs rencontres et plusieurs dials m'ont fait changer d'avis. J'ai découvert en effet que pas mal d'entre vous ont pu, grâce à ce blog, découvrir qu'ils n'étaient pas les seuls à triper sur les odeurs de queue et d'aisselles, à rêver de décrasser un bon gland couvert de from ou à se faire arooser de pisse bien fumante... Certains mecs m'ont même avoué que ce site leur avait donné confiance en eux et leur avait permis d'enfin se lacher au pieu, ou d'aborder le sujet avec leur mec. C'est clair que c'est toujours réconfortant de voir qu'on est loin d'être les seuls à triquer à la moindre effluve de mec !

D'ailleurs, depuis bientôt 7 ans que ce blog existe, je trouve que de plus en plus de mecs sur les chats et les sites de cul assument leurs trips crades... Si j'ai pu modestement y contribuer, j'en suis ravi car c'était un peu le but de ce site à l'origine. Vous aurez sans doute déjà remarqué quelques changements au niveau du design. Les rubriques vont aussi évoluer peu à peu en fonction de vos retours. Autant être direct avec vous, je ne vous promets pas des mises à jour très régulières, mais bon je vais essayer de reprendre un bon rythme au niveau des articles, histoire de continuer à faire couler un max de jus !

Donc n'hésitez pas à m'envoyer par mail vos témoignages, vos récits de plans cul, vos fantasmes, vos pics ou vos vidéos pour que je les publie sur le blog... Et surtout faites un max de pub pour le blog auprès de vos potes, sur les réseaux et sur les sites de cul que vous fréquentez régulièrement ! 

Et pour fêter comme il se doit la reprise de votre blog préféré, une petite vidéo hyper kiffante d'un minet suédois de 19 ans en train d'astiquer en gros plan son gros zob bien fromageux ! Putain, je sais pas vous les mecs mais moi ça me donne grave envie de passer la langue direct sous son prépuce pour bien récupérer tout ce fromton ! D'ailleurs, vous remarquerez que lui même ne résiste pas à la tentation d'en prendre sur le doigt pour le déguster. Comme quoi la France n'est pas le seul pays du fromage ! ;-)

Salut les queutard !

Alors, tous en train de courir les magasins surpeuplés à la recherche des derniers cadeaux de Noël ? Sur votre blog préféré, le Père Noël a pris un peu d'avance... Après la vidéo bien juteuse d'hier, c'est un autre cadeau à la fois kiffant et original qui vous est fait par un fidèle du blog : une parodie des 3 premiers paragraphes du roman "A la recherche du temps perdu" de Marcel Proust, en version nettement plus sexe et spécial odeurs de keums en rut ! Franchement félicitations à toi pour cet exercice de style vraiment original, et j'avoue super bandant !!! N'hésitez pas à dire vous aussi ce que vous en pensez les mecs. Perso, je pense qu'on se serait tous nettement moins emmerdé à le lire au bahut dans cette version trash. Allez, trêve de blabla, je laisse sans plus attendre la parole à Marsel PROUT et à sa parodie odorante d'un classique de la littérature française...

Bonjour à toi et merci pour le blog !
Depuis quelques temps je suis attiré par les odeurs, et la première fois que j'ai débarqué sur le blog, je me suis dit c'est vraiment dégueu. Mais régulièrement je retourne visiter le blog, et ça me met de bons fantasmes en tête. Pour moi, ce goût pour l'odeur c'est assez récent, et malheureusement je n'ai pas encore trouvé un plan branché odeur, c'est pas facile à dégoter. Pour Noël, j'avais envie de faire un petit cadeau à toi et aux visiteurs du blog avec un article "intello" (lol). J'ai repris les 3 premiers paragraphes de "A la recherche du temps perdu" pour le parodier à la sueur de mâle. Encore merci à toi Teubcrade et joyeux Noël à tous !

 

A la recherche du from perdu

Du côté de chez suinte
Première partie  -  Schlingay

Longtemps, je m'suis dit : "le fromton m'écoeure". Parfois, à peine mon prépuce retroussé, mes narines humaient si fort que je n'avais qu'un désir : "offrir cette odeur". Et, quelques sniffes après, la pensée qu'il était temps de chercher un mec me pénétrait, je voulais laver mon gland autrement qu'avec mes mains et l'enfiler dans sa bouche ; je n'avais pas cessé en m'excitant de faire des réflexions sur ce que je désirais faire, mais ces réflexions avait pris le tour d'un combat ; il me semblait que j'étais moi-même gourmand d'un gland puant, à la fois attiré, révulsé, la bouche franchement alléchée à en cracher une quiche. Cette contradiction survivait au coeur de mon phantasme ; elle me gênait car la réciprocité d'une turlute odorifère ouvrait des bourgeons dans ma bouche et l'empêchait d'abaisser le prépuce sans frayeur.  Puis elle commençait à devenir obsédante, comme après des journées sans une douche la peau se parfumait de milles muscs salés ; le zob au from s'attachait à ma salive, j'étais libre d'y appliquer ma langue ; aussitôt je recouvrais le goût sauvage et j'étais plein d'excitation de trouver autour de moi un corps sale, puant et bandant pour mon esprit, mais peut-être plus encore pour ma bite, à laquelle il apparaissait comme un homme primitif, animal, comme un homme vraiment en rut. Je me demandais qui ferait mon affaire; j'entendais les beaux râles d'un garçon tendre qui, plus ou moins velu, comme un chat miaulant entre une paire de cuisses, le pif dans un nid de sniffes, me décrivait l'étendue de la puanteur secrète où le sniffeur se plonge en toute nature; et le petit oiseau qu'il suce va être gravé dans son souvenir par la saveur qu'il doit à des plans crado, à des enivrements initiatiques, à des ouvertures récentes et au fromage sous le prépuce dissimulé, qui macère toujours dans le silence de la nuit, à l'odeur prochaine du petit jour.

J'appuyais tendrement mes boules contres les belles boules de mon mâle qui, pleines et chaudes, sont comme les boules de soi-même. Je frottais mon allumette en regardant ses fesses. Bientôt l'anus. C'est le moment où le sniffeur, qui adorait le phallus puant approche d'une cave obscure, versant sur la cerise, réjouit d'écarter avec appétit une raie des fesses. Quel bonheur ces jeux de cul ! Dans un moment les senteurs seront levées, il faut profiter de l'ouverture, bouffer où l'on abandonne la matière. Le désir d'aimer un cul autant que l'autre aime le mien. Juteusement j'ai préparé son trou, miraculeusement couronné de poils, ses pets sont comme les miens. Et ma raie des fesses qui était sous sa langue accueille sa bite. C'est rentré ; on vient d'allumer le gaz ; la première salve est partie et nous aurons toute la nuit pour jouir sans remède.

Je respirais à même son aisselle, et parfois je n'avais plus que de courtes craintes d'un instant, le temps de croire que j'avais épuisé sa sueur, l'accoutumance de mes narines cherchant à renouveler sans cesse le coup de fouet, de perdre à cause d'un malheur le chemin de cette marmite de sueur, à petits bouillons, marmite dont le couvercle se soulève et à la sensibilité de laquelle je retournais m'attabler. Sans voir, comme je sniffais, qu'il avait rejoint mes aisselles avec son nez d'oiseau vif, retrouvé telle de mes odeurs de mâles comme celle d'une truffe qu'un bon cochon tire de la terre et qu'avait poivré la baise, - date pour moi d'une ère nouvelle ,- où les odeurs fourmillaient. J'avais pénétré ce royaume des puanteurs sévères, je retrouvais la nature aussi simplement qu'un fennec désapprivoisé pour accueillir sa queue dans mon aisselle, et fignolant la chose, tandis que je la serrais sous mon bras pour qu'il puisse aller et venir, j'attrapais de temps à temps avec mes dents comme une baie pulpeuse.