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Samedi 13 janvier 6 13 /01 /Jan 14:17

Alors les mecs, visiblement vous avez largué un max de jus en lisant les exploits de Xav avec ses trois potes hétéros !! C'est clair que dans ces conditions, ça donne trop envie de matter de bons matches à la télé... Voilà une nouvelle histoire, bien plus courte mais tout aussi bandante, envoyée par YANIS, un p'tit batard bien och qui kiffe se faire dresser comme un clebs par un skin bien vicelard. Bonne sturbe à tous !

Salut les mecs ! Moi c'est Yanis... Récemment j'ai fait un plan avec un skin de 23 ans qui kiffait grave sur le batard crade que je suis ! Il est venu chez moi et dès qu'il m'a vu, il m'a lancé :
— Quelle tronche de chiotte !! Et en plus tu pues grave ! Oh putain que tu chlingues !!
Et il m'a alors attrapé par les cheveux et m'a traîné jusqu'aux chiottes. Là, il a sorti sa grosse bite et m'a fait décrasser sa grosse queue toute blanche d'ancien jus, puis il m'a uriné sur la gueule et m'a obligé à tout avaler comme une bonne tépu jusqu'à la dernière goutte.

Et comme c'était en soirée, il m'a dit de m'habiller (juste avec fut de treillis et bombers) puis il m'a traîné jusqu'à sa voiture et là il m'a foutu dans le coffre ! Comme un clebs!! On a roulé un quart d'heure et il m'a enfin sorti du coffre. Je me suis retrouvé dans un bois où il m'a mis un collier en cuir et une chaîne, m'a enlevé mon fut et laissé juste en bombers et rangeos.
Il m'a alors baladé comme un clebs, comme çà le cul à l'air et là il m'a fait faire le batard en me forçant à bouffer les bites des mecs que l'on croisait et à boire leur pisse. Au cours de la soirée, j'ai dû décrasser 8 queues mais sur les 8, il n'y en a au que 4 qui m'ont niqué comme une réelle pute !

Avant de sortir du bois, mon skin m'a fait faire mes besoins comme un clebs en levant la jambe pour me faire pisser contre un arbre ! Et il m'a aussi fait chier et m'a ordonné d'ensevellir ma merde avec de la terre toujours comme un clebs bien obéiassant. Puis il m'a claqué le fion en disant d'un ton visiblement satisfait :
— C'est bien Tobby, t'es un bon clebs !!!

Par YANIS - Publié dans : Témoignages
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Jeudi 11 janvier 4 11 /01 /Jan 15:19

Pour bien commencer l'année, rien de tel qu'une bonne histoire de larvage bien och ! Cette semaine c'est XAV (alias HARDHAIRY) qui s'y colle et qui nous raconte en détails comment il a servi de défouloir à ses trois potes hétéros lors du match de rugby France/Nouvelle-Zélande. Et visiblement y'a pas que les Français qui se sont pris une bonne raclée ce jour-là ! Trop kiffant ce plan... Jute garantie avant la fin de l'histoire, parole de Fromton Boy !

 

Mon pote Yann sait à quel point j'aime les soirées devant la télé quand il y a un match. Il fait en sorte que sa femme soit loin de l'appart et il invite Jérémy et Nicolas avec qui nous nageons toutes les semaines. Samedi France/Nouvelle-Zélande, match rugueux qu'il faut suivre décontract devant une pizza. A chaque match je suis fébrile, parce que je sais que je vais passer à la casserole et que les trois gaillards entre deux actions, vont me niker sans retenue...

A l'interphone, la voix de Yann :
— Ouais ?
— C'est Xav !
— Ok monte, on t'attend salope !
Je bande déjà à entendre cette phrase et je me dis que le match risque d'etre difficile pour moi aussi. La porte de l'appart est ouverte et en entrant Jérémy me rejoint. Il a emprunté les escaliers et revient tout juste de son footing. Il me pousse dans l'appart en me claquant le cul.
— Prêt pour ce match Xav ? S'ils perdent, tu vas t' en prendre un max mon gars !
Jérémy, 35 piges, une gueule carrée, son maillot trempé de sueur lui colle aux pecs. Et bien entendu je ne peux m'empêcher de mater son short en devinant ce paquet que j'ai déjà gouté à l'occasion du dernier match de qualification de la France pour la coupe d'Europe de foot... 
 
Dans le salon, Yann et Nicolas sont déjà installés sur le canapé et matent la télé, les All Blacks sont en plein cri de guerre devant des Français bras-dessus bras-dessous. Yann assure que ça va être chaud. Les trois potes s'installent pour déguster leur pizza et Jérémy me fait signe :
— Eh la salope, viens donc me nettoyer la bite, faut éponger toute ma sueur !
Je m'exécute, à 4 pattes je me fourre le pif sur son paquet, je respire ce short bien odorant de mâle en rut. Il baisse son short et je me retrouve avec sa bite presque décalottée dans la gueule...

C'est une tige noyée dans les poils très bruns et luisants de sueur. Quand Jérémy fait du sport, c'est jamais à moitié, il participe régulièrement à des marathons ! Plus sa bite se décalotte et plus elle dégage cette odeur qui me rend dingue, une sorte d'odeur de vestiaires que ses potes perçoivent aussitôt.
— Putain Jerem, tu pourrais prendre une douche ! lui fait remarquer Yann. Tu vas pas imposer à Xav ta toilette intime !
Jérémy semblait assez fier de m'imposer ce petit supplice entre amis, il me prend la tête et me demande avec un air malicieux :
— T'aimes pourtant bien ça Xav ?
Je n'ai pas eu besoin de répondre, j'avais déjà son manche au fond de la gorge et je le nettoyais avec délice.

Yann commençait à s'exciter devant le match, quand les Français encaissaient leur premier essai, mais lui et le beau Nicolas faisaient encore peu de cas de ma présence !
A partir de cet instant, j'ai complètement perdu le fil du match, pour me concentrer sur ma mission : donner du plaisir à trois "hétéros" en rut. Jérémy appréciait mon petit nettoyage, il souleva son cul du canapé pour laisser apparaitre une tache de sueur sur le cuir.
— Xav faut me nettoyer ça avant que Yann m'engueule !
Je m'exécutais avec plaisir en passant ma langue sur cette sueur odorante pour ensuite remonter le long de la raie poilue de Jérémy. J'avais l'impression que mon gland allait éclater tellement j'étais excité, le pif en-dessous de ces couilles dégoulinantes.
Agacé par le jeu des Français, Nicolas se leva du canapé. Nico a une gueule d'ange avec un oeil noir super pétillant et un sourire à faire craquer toutes les femmes. Mais aujourd'hui c'est de moi qu'il va se charger. Pas content, il se place derrière moi alors que je reprennais mon travail de suce sur Jérémy
— Putain on va perdre encore ! et il se mit à me claquer le cul sans ménagement.
— Salope c'est de ta faute si on perd, tu vas le payer, viens me détendre !
Nicolas posa ses fesses sur la table du salon, et Jérémy me releva la tête pour me faire pivoter. Je me retrouvais sur l'entre-cuisses de Nicolas et je commençai à jouer avec sa bite à travers son survet. Il n'est pas encore tout à fait raide, mais y a de quoi faire tellement son paquet est lourd...

Je m'étouffais presque avec ce dard qui obstruait ma gorge, il fallait revenir sur le gland pour souffler un peu. Je m'appliquais à bien passer la pointe de la langue sur la base du gland, puis encore un peu plus haut je titillais le sommet de cette bite massive. Mais aux petites claques que Nicolas m'infligeait sans rien dire, j'ai compris qu'il fallait reprendre une suce ample et active, bien redescendre et remonter sans délai en pivotant la gueule et en lui tenant les couilles fermement.
— Ouais, ouais salope vas-y, suce moi bien ! T'es bonne, t'aimes ça la bite salope, tu vas en avoir !
Avant de comprendre pourquoi il disait cela, je me faisais transpercer violemment par Jérémy, sans préparation, je l'avais presque oublié celui-là ! Je voyais de chaque côté ses cuisses massives qui m'indiquaient qu'il était bien au fond de mon cul. Je me mis à gueuler, tellement mon trou ne s'y attendait pas. Mais mon cri était étouffé par la bite de Nico. Le coup de boutoir violent de Jerem m'a obligé à enfourner le manche de son pote jusqu'à la garde. Sans faire de cas de mon bien-être, les deux copains se mirent à me défoncer la gueule et le cul en suivant le match, comme si mon rôle consistait à compenser la mauvaise performance de l'équipe de France...
 
Yann qui n'avait pas bougé jusqu' à présent, commençait à s'exciter en me voyant défoncé par les deux bouts. J'étais content de me dire que très bientôt j'allais m'occuper de lui aussi. Il est plus petit que les deux autres, hyper musclé et très poilu, le type italien assez rablé, les cuisses très épaisses comme sa bite. Je miaulais de plaisir au moment où j'ai remarqué à côté de la bite de Nico celle de Yann, le gland complètement dégagé, turgescent, avec une goutte de mouille qui ne tardait pas à me filer sur le visage. Il se rapprocha de Nico, tous les deux à genoux me présentaient leurs deux bites et je savais qu'il me fallait les ingurgiter l'une après l'autre, puis toutes les deux en même temps. Leurs deux glands avaient du mal à rentrer dans ma bouche mais ils voulaient vraiment me voir écoeuré par leurs bites. J'avais les trois en moi, sans pouvoir toucher mon propre zob, au bord de l'explosion à chaque coup de bite administré par Jérémy, qui sortait de mon cul complètement, prenait son élan et y retournait d'un coup sec en gueulant de plaisir. Nicolas se dégagea et ne tardait pas à prendre la suite de Jérémy à l'arrière. Sa bite étant plus grosse, mon plaisir augmentait d'un cran, le rythme de Nico était différent, avec parfois des petits coups sur la rondelle pour me faire languir, suivis d'une enculade longue me permettant de profiter de toute la longueur de sa tige. J'avais alors tout le membre de Yann dans ma bouche. Il me prenait la tête pour imprimer sa cadence, puis se dégageait pour me faire gober ses grosses couilles poilues pendant qu'il se branlait en me regardant d'un air supérieur. Jérémy en profitait pour commenter le match, histoire d'énerver davantage ses potes...
 
Yann voulait rester le maître de la situation, il serrait ma tête entre ses deux mains et m'utilisait comme une machine à pomper. Parfois, il me bloquait sur son gland pour je puisse bien titiller son méat du bout de la langue afin de recueillir sa mouille et mieux faire reluire son manche. Nico ne ménageait pas ses efforts en poursuivant son limage intensif. Au bout de longues minutes, Yann voulait me défoncer le cul, mais il préfèra me voir assis sur sa bite. Elle est plutôt moins épaisse que celles de ses copains, mais vraiment plus longue. Après avoir poussé la table du salon, Yann s'allongea sur le sol, enfila une kpote et je ne tardais pas à m'assoir d'un seul coup sur ce piquet. J'entamais mes va-et-vient alors que Jérémy et Nicolas se présentaient devant moi pour se faire sucer l'un après l'autre. C'est alors que Yann me fit basculer d'un seul coup sur lui m'obligeant à écarter les cuisses en l'air. Sa longue bite était toujours en moi, et avant que je ne puisse réaliser ce qui m'arrivait, Nico s'approchait en pressant sa tige sur ma rondelle pourtant déjà bien occupée. Mon cul finit par céder et une deuxième bite entra en moi, comme un vrai déchirement.
Je pensais m'évanouir alors que Nico continuait lentement à me pénétrer. Yann gueulait de bonheur en me traitant de chienne en chaleur. Après quelques secondes de récupération, Nicolas se mit à limer et je ressentais un plaisir rare avec ces deux braquemarts dans ce cul qui se transformait en véritable chatte de salope que je suis. Jérémy nous regardait en se branlant légèrement, tellement la scène l'excitait... il ne voulait pas cracher trop tôt. Comme les Français sur le terrain, je me faisait déchirer, mais moi je prenais mon pied !
A chaque coup de bite que m'infligeait Nicolas, j'avais l'impression que j'allais jouir, la mi-temps arrivait à point ! Les trois potes décidèrent de faire une pose devant une bière bien fraîche. Il était temps pour moi de me reposer le cul, mais pas la gueule. Alors que Jérémy avait pris place sur le canapé, je devais reprendre ma suce active pour le maintenir raide, puis je descendais le long des cuisses dégoulinantes de sueur jusqu'aux panards qu'il me demanda de nettoyer.

Sans prêter attention à moi, chaque mâle m'appelait pour que je prenne sa queue en bouche, et je m'exécutais avec délice laissant du coup mon trou à un repos bien mérité !
A la reprise, chacun retrouva sa place : l'équipe de France allait essayer de limiter les dégâts sur le terrain, et moi à quatre pattes j'espèrais passer une difficile deuxième mi-temps. Jérémy qui n'avait pas pu participer à la double-pénétration, ne voulait pas être en reste face à ses deux copains. Il reprit son limage intensif direct me claquant encore plus fort la croupe comme pour se venger de ne pas avoir eu sa place dans la dernière action. Nicolas restait attentif au match alors que Yann de retour des toilettes voulait profiter du trou qui restait disponible pour y enfourner son chibre. Il n'était plus tout à fait raide, le prépuce avait recouvert le gland, je m'appliquais alors à passer la pointe de ma langue dans ce fourreau qui puait la sueur et la pisse. La bite ne tarda pas à gonfler et Yann, toujours aussi directif, imprimait le rythme avec toujours autant d'énergie en me tapotant sur la tête pour me signifier sa satisfaction...

La tournante s'est organisée sans relâche pendant toute la deuxième mi-temps, même si la France ne se voyait pas infliger la même raclée qu'à la première rencontre, la défaite ne réjouissait pas mes potes et ils m'enculaient à tour de rôle comme si j'étais un joueur de Nouvelle-Zélande. Je ne savais plus qui je suçais, qui m'enculait, mon cul ne savait plus reconnaître les bites tellement il jouissait à chaque coup de bite.
Allongé sur la table du salon en fin de match, je me régalais du spectacle de ces bites en branles au-dessus de moi. Yann fut le premier à cracher dans un râle qui fit trembler les murs et je récoltais ce foutre épais sur les poils de pectoraux. Jérémy ne tardait pas à suivre, un vrai feu d'artifice avec son sperme qui partait dans tous les sens, m'arrosant du cou jusqu'aux burnes. Nicolas, lui, préféra s'assoir sur ma gueule pour que je puisse lui bouffer le cul et lui lécher les couilles. Sans attendre plus longtemps, il se libéra en me traitant de salope. Une fois vidés, ils se dirigèrent vers la douche, Yann remettait en ordre le salon, ouvrait la fenêtre pour que l'odeur de foutre qui envahissait la pièce se dissipe, et moi je n'avais plus qu'à me branler seul avec le foutre des trois bourrins pour jouir enfin. En passant devant moi, Yann me travaillait les tétons avant que j'explose de plaisir.
Très vite Jérémy me lança mon tee-shirt pour que je l'enfile rapidement et que je dégage de l'appart avant que la femme de Yann ne rentre. Je m'exécutais en vitesse, super content d'avoir servi de vide-burnes à mes potes. Dans l'entrée de l'immeuble, je croisais Valérie, la femme de Yann qui me connaissait un peu :
— Tu es venu regarder le match avec les gars ? Alors la France a gagné ?
Je lui expliquais que le match avait été difficile, et que nous nous étions fait déchirer. En entrant dans l'ascenseur, Valérie me lança 
— Les gars, faudrait vous bouger un peu plus que ça, franchement y'a rien de mieux à faire que de passer ses soirées devant la télé ? Vous allez vous encroûter ! 
— On fait vachement de sport Valérie, ça permet de garder la forme !
Par HARDHAIRY - Publié dans : Témoignages
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Jeudi 11 janvier 4 11 /01 /Jan 14:45

Salut les queutards !

Après une petite période de calme en raison des fêtes de fin d'année, me voici enfin de retour sur le blog pour vous souhaiter à tous une excellente année 2007, pleine de belles queues fromageuses à décrasser et d'aisselles bien daubantes à sniffer !!! Comme le début d'année est traditionnellement la période des voeux, j'en profite pour en faire un. Je souhaiterais que vous soyez bien plus nombreux à participer à ce blog cette année, et que vous ne vous contentiez pas de venir vous taper une queue de temps en temps en mattant les vidéos ou en lisant les histoires. Pour être franc avec vous, j'ai même longuement hésité à fermer ce blog au 1er janvier, car j'étais vraiment déçu de constater que de moins en moins de mecs laissaient des commentaires sous les articles, et que plus personne ne m'envoyait de photos ou d'anecdotes à mettre en ligne.

J'ai créé ce blog pour vous offrir un moyen de parler entre amateurs d'odeurs de mâle de tous ces trips hard qui nous font kiffer, et qui ne sont pas forcément compris par les autres. A ma connaissance, il n'existait pas de site comparable et gratuit en France avant cela... C'est donc vraiment dommage qu'aussi peu de mecs aient joué le jeu alors que le blog compte chaque jour plus de 400 visiteurs !
Des fidèles de la première heure (merci à eux !) m'ont dissuadé de fermer ce blog pour l'instant, et ils ont réussi à me remotiver un peu... Donc je vais essayer de refaire régulièrement des mises à jour, mais pour cela j'ai avant tout besoin de votre participation. Donc n'hésitez pas à envoyer pics de vos zobs crémeux, à raconter vos derniers plans hard sur ce blog, ou bien à discuter entre vous de vos trips et fantasmes odeurs, à poser vos questions aux autres amateurs de mecs en rut.

C'est vous qui allez décider de la survie de ce blog, alors plus que jamais je compte sur vous les mecs !

Bonne sturbe odorante et encore une fois bonne année 2007 à tous !!! 
Fromton Boy

Par FROMTON BOY - Publié dans : Débats
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Samedi 23 décembre 6 23 /12 /Déc 22:32

Salut les queutards !

Et oui, c'est Noël et qui dit Noël dit forcément cadeau. Voilà donc, grâce à l'aide d'un fidèle du blog, une superbe vidéo de décrassage d'une teub hyper fromageuse à travers un glory hole. Franchement si vous ne jutez pas direct en découvrant ce p'tit bijou, je n'y comprends plus rien !

Je vous souhaite donc à tous d'excellentes fêtes de fin d'année et j'espère un max de plans bien cho et bien odorants pendant ces vacances ! Et n'oubliez pas de tout nous raconter en détails sur le blog dès la rentrée. Kiss baveux sur tous vos zgegs crémeux !!!
Fromton Boy
 

Par FROMTON BOY - Publié dans : Vidéos
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Mercredi 13 décembre 3 13 /12 /Déc 14:18

Salut les queutards !
Petite mise à jour du blog avec cette semaine en exclusivité le témoignage de Sylvio, un p'tit tarba de Paris qui fantasme à donf sur les laskards de banlieue... Et à force de chercher à se faire baiser, il a fini par tomber sur une bande de kailleras de cité qui l'ont lopé grave dans les chiottes de la gare du Nord... Putain, j'ai grave kiffé son histoire et j'ai pas réussi à me retenir de juter avant la fin. J'en ai encore le slob tout gluant !!! Je vous laisse donc découvrir son histoire et n'hésitez pas à lui mettre des commentaires si vous avez pris votre pied en la lisant. Bonne sturbe à tous !!!

Salut les mecs, moi c'est Sylvio, bonne lopsa de 22 ans sur Paname grave branché skaters et jeunes lascards de téci en rut... Je rêvais depuis longtemps d'une rencontre hyper sexe où un ou plusieurs jeunes lascards bien virils et autoritaires me feraient subir tous les outrages. Et ce jour-là est enfin devenu réalité il y a un mois, alors que je trainais un soir dans les chiottes de la gare du Nord.

En effet, d'autres mecs branchés rebeux m'avaient dit que de bonnes kailleras de téci traînaient parfois les soirs dans les chiottes à la recherche d'un pédé pour les vider. Malgré une légère appréhension, je me suis décidé à aller y traîner un dimanche soir vers 22 heures, histoire de me rendre compte par moi-même. Arrivé sur place, pas grand monde dans la gare si ce n'est quelques voyageurs, l'air sinistre, revenant de leur week-end en province... Je me décide à aller traîner dans les chiottes pour voir si le lieu est à la hauteur de ce qu'on m'en a dit. Là encore, c'est la déception !
Je traîne pendant presqu'un quart d'heure sans voir le moindre coup potentiel passer par les chiottes... J'ai grave les boules car j'étais vraiment chaud ce soir et l'idée de devoir repartir avec les couilles pleines pour me vider tout seul devant un film de boules ne me réjouit pas le moins du monde !
Ne voyant toujours personne apparaître dans cet univers un peu glauque, je décide d'aller pisser avant de repartir chez moi. J'étais en train de pisser face à un urinoir quand un rebeu d'une trentaine d'années à l'air vicelard est entré dans le petit local vétuste. Une ambiance crade y régnait et mon sang ne fit qu'un tour lorsqu'il s'installa à côté de moi. Son regard cherchait le mien et lorsqu'il le trouva, il me sourit d'un air entendu. Il siffla un bon coup et trois autres rebeux dans son genre
rappliquèrent illico. Ils portaient tous des survets de marques, des casquettes lacoste et des skets Tn bien pourraves... Putain j'en croyais pas mes yeux !!! L'un d'eux s'est placé de l'autre côté, s'appuyant contre le mur à coté de l'urinoir où je me vidais. Il s'est penché pour mater mon sexe.

— Pas très grosse cette queue! Il a pas l'air de s'en servir souvent !
— C'est pas comme toi, Kader !
— Kader, il se sert si souvent de la sienne qu'elle est énorme. Les meufs en prennent plein les trous...
— Pas que les meufs...

Il m'a attrapé par le col et m'a poussé vers un de ses copains qui me repoussa vers un autre et ainsi de suite. Ils se sont amusés à me pousser de l'un à l'autre tandis que j'avais toujours la bite à l'air. Une main me claqua le cul avec force tandis qu'une autre m'attrapa les couilles. Ma bite fut tirée avec force, malaxée et pelotée. J'étais vraiment très excité et j'ai commencé à bander comme un ouf. Ces mecs étaient assez effrayants et je sentais le danger... si ça se trouve, je me retrouvais au milieu d'une bande de mecs venus de leur cité pour casser du pédé. Malgré tout, la situation m'excitait grave et ma bite trahissait de plus en plus mon envie de me faire baiser...

— Regardez cette salope qui bande!
— Mais t'es une petite salope...
— Même une grosse ! ai-je alors osé ajouter en regardant le mec droit dans les yeux.
— Et elle le reconnaît, la sale chienne. Elle va être servie... Hein, les gars ?

Le plus baraqué m'a alors jeté sur le sol où l'odeur de pisse m'emplit les narines. Il m'a collé sa sket bien daubante sur la bite et a appuyé sans ménagement. Sous le coup de la douleur, j'ai gueulé très fort mais j'ai vite compris mon erreur : il m'a foutu direct une baffe magistrale, suivie d'une pluie de molards bien glaireux !

— Maintenant tu vas la fermer, sale pute !

Pendant ce temps, les autres mecs avaient tous sorti leur bite. Je les découvrais avec plaisir. Toutes longues et charnues, avec de bonnes couilles lourdes de bon jus. Et le plus kiffant de tout, une putain d'odeur de transpi et de fromton qui me prennait direct aux narines.

— Suce, salope ! Décrasse bien nos zgegs de rebeu bien daubants ! Un par un, et jusqu'à la dernière goutte !

Comme je me relevais pour en pomper un en me servant de mes mains, le plus jeune du lot (je lui donnais pas plus d'une vingtaine d'années) me saisit par les cheveux et me cracha sur la gueule. Un autre tira une paire de menottes de sa poche et, m'emprisonna le poignet gauche derrière le dos. Il ferma les menottes sur le poignet et passa la chaîne dans une canalisation, il referma l'autre sur mon poignet droit. Il me poussa alors son sexe gluant en bouche. Il était d'une taille assez impressionnante, peut-être le plus large des quatre et malgré le fait qu'il était circoncis, il avait pas mal de dépôt sur le gland.

— Elle va adorer ça, la salope ! Du bon jus de rebeu !
— Allez suce mieux que ça... Montre-nous que tu es vraiment une bonne lopette.

Encouragé par les quatre mecs, j'ai commencé à lécher la hampe très dure puis tout autour du gland. L'engin sentait vraiment la pisse et une odeur d'homme très forte. Je passais la langue avec application sur la tige veinée et bien dure. J'étais comme un clebs qui profite à fond de son os. — Mais elle en redemanderait cette salope, dis que tu aimes la bite de rebeu !
— J'adore mec...
— On ne parle pas la bouche pleine connard !

Et je me suis pris la torgnole du siècle. Une baffe retentissante qui résonna dans mon oreille. Dès cet instant, je crois n'avoir plus émis le moindre mot. Mes seuls bruits étaient des gémissements, des plaintes de plaisir...

— Et on suce bien à fond. Mieux que çà ! Les vraies bonnes chiennes sucent les bites à fond. Je dois sentir mon gland buter au fond de ta gorge, sale pute de céfran !
— Ça prétend être une grosse salope et ça suce comme une meuf qui prend son premier coup de bite !
— On va lui apprendre, nous...

D'un coup, il enfonça violemment sa tige d'au moins 22 cm dans ma bouche. J'en ai eu un haut le coeur et puis j'ai essayé de le satisfaire en le pompant bien. Je voulais que mon fantasme se réalise complètement et être 100% à la merci de ces mâles excités. Le fait de me trouver dans des toilettes où quelqu'un pouvait entrer à tout moment y était pour beaucoup. Aspirant ce membre, faisant tourner ma langue autour, j'ai réussi à lui tirer des râles de plaisir. Il a joui en s'enfonçant bien dans ma gorge et j'ai senti son jus épais et chaud qui coulait en moi. Il a sorti son sexe poisseux et s'est essuyé sur ma gueule et dans mes cheveux. Je savais que ce n'était qu'un début... Il m'a retiré les menottes et craché à la gueule en m'insultant en arabe. Les autres m'ont retiré les godasses et le jeans puis m'ont poussé dans un WC dont ils ont laissé la porte ouverte.
— À poil bâtard !
— Enlève toutes tes fringues et jette-les dans la cabines d'à-côté...
— Petite pute ! Ça l'excite tellement qu'elle trique à mort cette salope !
— Il mérite d'être puni, Djamel. Baise-le ! Baise cette pute !

Le Djamel en question - qui était d'ailleurs mon préféré avec ses airs de kaillera viril et poilu - a commencé à me claquer le cul à mort tout en m'insultant en arabe. Il a continué sur la bite. Il voulait me faire débander mais ça m'excitait encore plus fort. Le plus jeune passa derrière moi et m'attrapa fermement les bras pour m'empêcher de bouger. J'étais livré à ces fous excités. Ses copains m'ont alors soulevé pour me mettre en appui sur les bords de la cuvette et le salaud s'est acharné à me rougir les cuisses et les fesses. Des mains m'ont ensuite redescendu sur le sol et m'ont fait plier l'échine. Je frissonnais ! On m'a craché dans la raie du cul et, après avoir entendu un bruit de papier déchiré, j'ai senti un gros gland qui poussait sur mon petit trou. Une queue s'est enfoncée d'un coup sec et j'ai gueulé. J'ai alors eu le droit à une claque sur la tête. Mon enculeur m'a attrapé par les cheveux et m'a plaqué, sans me ménager, la gueule sur la cuvette odorante. Il me limait comme une chienne sous les cris de ses copains qui l'excitaient.

— Baise cette chienne, Djamel ! Enfonce ton dard jusqu'à sa glotte...

L'image quoiqu'exagérée m'excitait très fort et j'écartais un maximum les cuisses comme pour mieux l'accueillir dans mon cul offert. Ma tête fut tirée en arrière pour mieux recevoir les crachats et les injures. Un des mecs - polo lacoste avec de belles auréoles de transpi sous les aisselles - m'a contourné et s'est installé face à moi sur les bords de la cuvette. Celui-ci m'imposa son sexe un peu mou mais aux dimensions prometteuses. Il me l'enfonça dans la bouche pendant que l'autre, derrière, me limait toujours avec autant de fureur.

— Prends ça, putain d'enculé !
— Voilà une bonne pute qui se fait tirer par tous les trous. C'est pas génial, les mecs?!
— Allez...allez... pompe mieux que ça sale céfran !

La bite que j'avais dans la bouche gonflait de plus en plus et je la suçais avec application. Dans mon cul, le mec libéra son jus. Il gueulait comme un forcené en claquant mon cul cuisant. Il s'est fait remplacer par un autre qui voulait aussi se vider les couilles et qui profita de mon cul déjà dilaté. L'engin entra avec plus de facilité et trouva rapidement sa cadence dans mes entrailles. Je sentais les couilles de mon violeur qui venaient battre contre mon cul. Je continuais ma séance de pompage et je caressais les couilles de celui que j'avais devant moi. J'entendis une porte s'ouvrir et claquer contre le mur. On venait d'entrer dans les toilettes. Ma bite gonfla d'un coup et une goutte de sperme perla. Il aurait suffit que je me touche pour larguer ma purée. Un bruit de zip et un écoulement de pisse dans l'urinoir m'indiquèrent qu'un nouveau venu devait profiter du tableau...

— On se tape une pute ! ça te dit, mec ?
— Pourquoi pas, répondit l'inconnu.
— Laisse ta place, Rachid ! Le monsieur veut goûter à notre bâtard...

La troisième bite à me ramoner entra comme une lettre à la poste.

— Mmmm... bon cul, dit le gars!
— Wesh ! Du vrai cul de salope...

La bite que je suçais sortit brutalement de ma gorge pour me jouir sur la gueule. Je sentis le sperme qui dégoulinait sur mes joues. Une main étala le jus chaud sur mon visage, sur mon torse et termina sa course dans ma bouche. L'ambiance était à son apogée ! Mes baiseurs ont tous joui à tour de rôle sur ma gueule, en continuant à m'insulter un max. J'en avais partout et visiblement mon enculeur mystère n'a pas résisté très longtemps à un tel spectacle puisqu'en moins de deux je sentis sa queue se raidir et déverser en moi de puissantes giclées.
J'ai ensuite été obligé de récurer leurs 5 queues foutreuses à la chaîne, avant de devoir me branler devant eux, le cul béant et le corps ruisselant de foutre de rebeu... Situation hyper humiliante mais qui m'excite tellement que je balançais très vite une dizaine de giclées de foutre bien épais sur le sol crasseux des chiottes.


— Ça t'a plu, hein, salope ?
— T'aimerais remettre ça, non ? Avec plus de mecs encore ?

J'ai agité la tête. L'un deux m'a alors écrit son tel sur le cul à l'aide d'un feutre, comme un tatouage, me disant que si j'avais les couilles de le contacter, il pourrait m'organiser un trip abattage dans sa cave où je pourrais sucer une bonne vingtaine de ces potes de cité.

Cela fait maintenant un mois et j'hésite toujours à y aller. Mais qui sait, peut-être qu'un jour que je serais grave en manque, j'oserai franchir le pas... Et si jamais je me lance, comptez sur moi pour tout vous raconter sur ce blog, il est vraiment trop bandant !!!

Par SYLVIO - Publié dans : Témoignages
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Lundi 4 décembre 1 04 /12 /Déc 13:26

Hummm décidément vous êtes gâtés en ce moment... Pour ceux qui n'auraient pas encore juté avec les deux précédents articles, voilà le témoignage hyper kiffant de Marc, un bogosse bien cho de 27 ans sur Paname, et visiblement bien accro aux odeurs de mecs en rut, qui nous raconte son dernier plan décrassage hard  sur les quais de Seine. Ejac garantie avant la fin du texte !


Salut les mecs ! Je me présente : je m’appelle Marc, j’habite paris, j’ai 27 ans et forcément je suis très branché odeurs. Malheureusement, mon prépuce n’est pas à la hauteur de mes espérances, il est beaucoup trop court à mon goût. Certes, il recouvre mon gland mais il se décalote trop facilement, résultats : c’est un peu galère pour qu’il soit fromageux à souhait. Cela ne m’empêche pas d’aller renifler la bite des autres !

La dernière fois, je suis allé draguer sur les bords de Seine, assez tard dans la nuit. Les regards se croisent, on se toise. Cela fait dix minutes que je me promène, quand je passe à côté d’un mec qui  laisse derrière lui une forte odeur de transpiration et de cheveux gras. Ca fait tilt dans ma tête direct ! Je me retourne et il se retourne aussi en me faisant un sourire. Je vais m’asseoir sur un banc et je continue à le mater. Il vient à côté de moi. Le mec a une trentaine d’années, barbe de trois jours, jean crasseux et baskets pourraves.

On ne dit rien, on se regarde uniquement. Il commence à se tâter le paquet et il me prend pas l’épaule en me dirigeant vers sa braguette. Je m’exécute, je pose mon nez sur son entre-jambes, WAOOH ! Je sens déjà une forte odeur de pisse alors que son jean n’est pas encore ouvert. Je trique un max, je sens que je vais me régaler ! Il déboutonne son pantalon et j’aperçois son slip qui devait être blanc à l’origine. Il est couvert de petits médaillons de pisse séchées. Je pose mon nez dessus et je renifle comme un fou. Le mec regarde à droite puis à gauche pour vérifier qu’il n’y a personne sur le quai et il baisse son pantalon aux genoux.


Lentement, il sort sa bite de son slip, elle est à moitié en érection, avec un long prépuce. Je renifle cette peau qui daube l’urinoir d’autoroute !  Au fur et à mesure qu’il décalote, mon nez suit le mouvement, qu’est-ce qu’elle pue ! Son gland est recouvert de petites boules de fromton et à la base du gland ça fait comme des croutes blanchâtres. Le mec mouille et ça exhale encore plus les odeurs. Je le branle, j’ai toujours le nez collé sur son gland. Je commence à donner des coups de langue sur sa bite bien grasse, je racle le from avec ma langue, je passe bien autour du gland. Avec sa main gauche, il m’appuie sur le cou pour que je le suce bien à fond. Je salive un max, je lui caresse les couilles en même temps, je descend pour les lécher, ça sent le fauve !

Il me plaque la gueule contre ses couilles tout en se branlant.
— Passe bien ta langue salope ! me dit-il avec sa voix rauque.
J’ai le nez dans ses poils, ça sent la pisse et la transpiration, je me branle en même temps.
— Putain, je vais jouir !
Et il m’envoie sa sauce sur la joue. L’odeur de son foutre se mêle aux odeurs de pisse et de transpiration. Trop excité, je jouis par terre, toujours avec mon nez dans sa touffe. Sans s’essuyer, il se rhabille. Moi je m’essuie un peu le visage. Il me demande alors comment je m’appelle.
— Je m’appelle Marc.
Enchanté, moi c’est Sylvain. Bon il se fait tard, faut qu’je rentre !
— Ok, rentre bien, à plus !
Et chacun est parti de son  côté.

Ce fut un plan assez rapide mais trop excitant. Je rentre chez moi et j’ai cette odeur de bite dans la bouche. C’est trop bon. Avant de me coucher, je me branle une dernière fois en pensant à ce crasseux et je jouis dans mon slip. Morphée arrive à grands pas et je m’endors le sourire aux lèvres.

Par MARC - Publié dans : Témoignages
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