Salut les mecs !
Me revoilà après une petite absence que vous comprendrez aisément en lisant le suite. En effet, j'ai profité de quelques jours de vacances pour me faire un pur plan avec le bogosse le plus och de tout Paname, j'ai nommé TEUBIX en personne ! Putain j'ai déjà vraiment loin de m'attendre à un tel programme lorsque j'ai accepté son invitation à aller faire une rando entre potes à la campagne ! Franchement, je crois que je ne m'étais jamais fait larvé aussi hard auparavant, et pourtant j'ai déjà pas mal d'expérience en la matière !
Putain ce mec est trop génial, et il vit tous ses trips sans se poser de questions, c'est trop bon de baiser avec lui !!! Alors vous avez intérêt à aller en masse sur son nouveau blog (http://teubix.com) et à l'inonder de commentaires pour qu'il continue à bien me larver pour votre plus grand plaisir... Je compte sur vous amis sniffeurs !
Allez, assez de bla-bla, je le laisse vous raconter notre dernier trip. Préparez-vous à larguer un max de jus ! lol
Fromton Boy et moi… On n’était certes pas des potes de toujours mais notre rencontre assez fraîche sur le net nous avait assez rapprochés pour prévoir une confrontation bien réelle pour se chauffer à fond sur nos trips le temps d’un week-end d'été...
Faut-il le préciser c’est lui qui allait jouer la lope et moi le maître dans cette aventure. Du coup, lui venait au rendez-vous sans savoir ce que je lui réservais… Je ne le savais pas vraiment moi-même. Je voulais que ce moment reste profondément encrassé dans sa mémoire de bâtard et bien placé aussi dans le catalogue de mes expériences hot entre potes. Potes jusqu’à un certain point… Car si les premiers échanges furent amicaux… très vite, j’ai changé de ton avec ma lope : il fallait qu’elle comprenne la pauvre petite place minable qu’elle allait occuper à mes côtés pendant deux jours qui allait lui paraître interminables, insupportables... et qui sait ? Peut-être sans billet de retour… Nous venions de nous retrouver devant la gare et sur le trajet qui nous menait à l’hôtel je le voyais déjà inquiet de savoir ce que j’avais mis dans mon sac de randonnée qui était plus gros que nécessaire pour deux jours seulement. Mais le bref scenar de séquestration à l’hôtel était pour moi déjà enterré depuis longtemps. Règle numéro un, il faut surprendre sa proie… la faire frémir dès les premiers instants… la déstabiliser, la dérouter…
Il devait vite perdre ses repères quand au lieu de rejoindre le centre-ville, je l’ai entraîné à travers une foule de rues sinistres proches de bâtiments désaffectés pour finalement lui demander de me suivre sur un chemin à travers champs. Au loin : une forêt qui lui réservait certains des pires fantasmes de sa carrière de bâtard !
Après plusieurs heures pendant lesquelles je l’ai laissé me suivre sans lui prêter la moindre attention, je me suis arrêté et je l’ai fixé méchamment dans les yeux, il avait l’air épuisé… et assoiffé… J’ai posé mon sac, j’ai saisi le Fromton Boy par le col de son t-shirt et je l’ai traîné jusqu’à un arbre au tronc énorme que je venais de repérer. Je lui ai plaqué la tête contre l’écorce et lui ai ordonné de m’attendre sans bouger… Je suis revenu avec une corde de dix mètres de long et en quelques minutes, il se retrouvait attaché de la tête aux pieds le cul à l’air, le slob et le falzar en bas des jambes. Là, j’avais besoin de me soulager grave… la vessie pour commencer.
— Je vais devoir te déranger, vraiment navré pour toi mais t’es justement scotché sur l’arbre sur lequel j’ai envie de larguer ma pisse… ça te gêne pas au moins ?
— Non maître, vous pouvez m’arroser… comme il vous plaît
— J'attendais pas ta permission ! Ferme ta gueule de petite pute !
J’ai baissé mon survet… Vas-y l’odeur qu’y avait déjà là… A faire fuir les moustiques à cent mètres à la ronde. J’avais mis un calbut qui avait déjà recueilli plusieurs doses d’urines de partenaires bien chauds et de bonnes giclées de foutres dont pas mal du mien… Avec en prime la méga-transpiration depuis le départ en train avec une canicule à faire fondre un glaçon en cinq secondes. Autant dire ça que ça fouettait un max le vestiaire de fin de match ! Fromton avait capté, je l’entendais renifler dans l’air comme un ptit porc qui cherchait sa bouffe.
Contre toute attente il n’allait pas sentir couler la moindre goutte de pisse sur lui, j’avais sorti une bouteille vide que j’ai alors rempli de moitié avec de gros jets dont le bruit frappant les parois en plastique rappelait celui d’un tuyau d’arrosage remplissant à fond un seau. Fromton a gémi rien qu’au bruit… Il était excité le mec et il aurait kiffé recevoir tout ça sur la rondelle, c’était clair… J’ai passé la main entre le tronc et sa bite… Raide comme une branche ! J’en profite pour passer un doigt pisseux sur le bout de son gland. Je récupère un peu de sa mouille mêlée de from qui arrivait jusqu’au bord du prépuce même sans décalotter… C’est pas une légende ce « teubcrade.over-blog.com » ! J’ai foutu mon doigt sous ses narines, il a voulu lécher mais j’ai vite retiré la main pour moi-même devant son regard affamé sucer lentement ce doigt goûtu à souhait !
Je l’ai détaché, je le sentais frustré de n’avoir eu ni pisse ni jus. Alors qu’il remontait son slob et son jogg j’ai remarqué qu’il en profitait pour se mouiller un peu les doigts en touchant son gland.
— Eh batârd ! T’as quelque chose pour moi là ! Amène-moi ça !
Il m’a avancé sa main, j’ai sniffé çà, léché puis lâché un gros mollard dans la paume que je lui ai ordonné d’avaler. J’avais grave la trique et lui aussi ne débandait pas.
On allait reprendre la marche quand il m’a dit qu’il avait lui aussi envie de pisser…
— Qu’est-ce que t’attends, vas-y, pisse salope !
Alors comme il se dirigeait vers un arbre :
— Oooooh toi là ! Reviens ici !
J’ai sorti un vieux lacet de ma poche et lui ai ligoté les poignets dans le dos.
— Allez pisse et vite ! On a encore du chemin...
J’ai vu son survet blanc commencer à s’humidifier au niveau du zgueg puis la pisse a coulé le long de ses jambes jusqu’à ses skets.
— Voilà du bon jus de chaussettes qui se prépare, c’est bon là ? Allez avance, tu peux finir en marchant !
Il continuait à pisser mouillant le bas de son t-shirt aussi et déambulait toujours attaché. Je lui tenait son sac à la main plus le mien sur le dos, il commençait à se faire tard… Je me suis mis derrière son dos et je l’ai bousculé pour qu’il avance plus vite.
— Allez cours ! Plus vite, donne ton maximum ! Active-toi ! Cours mec je te dis !
Il a couru, je l’ai suivi des yeux jusqu’à le voir s’effondrer au sol. Il était essoufflé comme un bœuf ! Je l’ai rejoint, j’ai largué les affaires à côté de lui…
— Ben voilà t’as choisi notre lieu de campement ! Allez je t’enlève le lacet et tu montes la tente, et que ça saute !
Il sortait le matos du sac et pendant ce temps je m’ouvrais une bière plus très fraîche mais bienvenue malgré tout. Il se mit à installé le dortoir, je le voyais bien crevé le petit bâtard…
— Garde des forces mon pote ! Ce soir tu m’appartiens et tu vas te donner à fond à moi… depuis le temps que t’attends ça ! J’ai du from à la bite pour un régiment !
Malgré la fatigue, j’ai vu que cette annonce lui avait ravivé le regard. Il avait même un léger sourire sur le visage...
— Calme ta joie ! C’est que le début, tu vas encore en baver !
— Je peux boire ?
— Oh ! Je t’avais pas dit de fermer ta gueule toi !
Dans le train ça sentait grave sur lui, y’a un gars qui s’est installé dans notre compartiment… Il a vite capté :
Il a repris l’installation… Il avait presque fini quand je l’ai interrompu pour le plaquer au sol pour l’immobiliser. Là j’ai ouvert la bouteille avec la pisse encore chaude… Il a vite compris, il a ouvert la bouche et a reçu tout le contenu d’une traite… Il en avala plusieurs gorgées… j’ai passé la main sur son paquet… Putain de queue ! Il bandait grave encore !
La nuit tombait, on n’avait pas mangé mais lui comme moi à présent n’avions qu’une envie c’était de directement passer au choses sérieuses.
A peine les dernières gouttes vidées de la bouteille, je l’ai entraîné dans la tente à moitié bancale j’y ai rentré toutes les affaires… Et j’ai refermé les fermetures.
— Tu sens cette odeur de renfermé ? Cette pisse fumante ? Tiens, sors le sachet plastique de la poche du haut de mon sac… ça manque d’odeurs de ieps non ?
Là, il étala plusieurs paires de chaussettes daubantes de chez daubantes et quelques autres slobs cartonnés au jus et à la pisse. Je lui ai plongé le nez dedans et je l’ai dessapé… encore plus d’odeurs ! Il dégageait pas mal de partout et ses panards fumaient gravement bon ! Je me suis allongé.
— Vas-y Fromton ! Montre à Teubix ce que tu sais faire...
Il a assuré comme un dieu mais je ne lui ai pas dit… au contraire je l’engueulais et lui disais qu’on m’avait rarement aussi mal sucé et qu’il savait pas bien me lécher les pieds et les couilles alors que c’était l’un des trucs les plus forts pour moi… Une bonne langue pulpeuse et saliveuse qui se promène longtemps, longtemps sur mes arômes de fauve… du coup, il s’appliquait de plus en plus sous mes critiques et mes insultes. Je sentais le jus monter… La tente devait dégager de la vapeur dehors tellement dedans c’était bouillant et puant. Je lui ai demandé de me donner sa teub à nettoyer. Je n’oublierai jamais ! Le gland de Fromton Boy en bouche, je lui doigtais le cul en même temps, bonne dose de gel, pour s’offrir un passage glissant, une p’tite capote qui allait grandir de 20 cm bien épais...
Et son trou qui accueillait ma bite comme rarement cul l’a accueilli… Il était pourtant au bout du rouleau… Il était sur le point de me supplier d’arrêter le pilonnage mais en même temps il savait que ses caprices ne serait pas entendu. Je me suis retiré pour lui cracher plusieurs jets de ma jute chaude sur le visage. Il était en larme le bâtard, il juta pourtant comme un éléphant, il en avait plein le torse. Il continuait de gémir aussi fort qu’un ours.
— Dis-moi, toi, je t’avais pas dit de la fermer…
Je lui ai enfin accordé un sourire qui se transforma en éclat de rire quand toute la tente s’écroula sur nous ! Il en aurait fallu plus pour nous en faire sortir. On s’est collés très fort, nos corps transpirants, pisseux, tout enspermés… les têtes posées sur le tas de fringues crades… Les nez en places VIP pour toute une nuit ! Pas besoin de sac ni de matelas… On était bien comme ça comme deux clébards sur leur tapis poisseux. On s’est léché les babines pendant de longues minutes qui m’ont d'ailleurs paru des heures… plus moyen de s’interrompre… de nouveau excités… les bites raides, les langues qui se remettent à décrasser, nouvelle suce, nouvelle nique… en salivant, en aspirant, en savourant le cocktail façon « Teubcrade » : mouille, from, pisse et jus ! Encore, encore !!! Je me suis arrêté.
— Tu pleures toujours ?
— De plaisir… oui.
Nous n’avons pas beaucoup dormi. Baignant dans cette ambiance d’essences de mâle intense. C’était trop bon pour ne pas remettre ça dès le moindre mouvement de l’autre. Petit coup de renifle dans le cou puis la langue qui s’active de plus belle… Epuisés de plénitude, on finit par s’effondrer vraiment pour très peu d’heures, la toile de tente sur nos corps comme un drap qui nous faisait suer encore plus… Nous étions trempés intégralement et nous aurions plus remplir quelques flacons d’un elixir rare avec toutes ces gouttes mélangées. Le jour nous réveilla tôt, on avait super faim. On a tout remballé. On s’est avalé quelques bananes avec des bières et on a repris notre route…
Avant de quitter la forêt, je lui ai fait poser son sac. J’ai déposé le mien aussi. Son visage est redevenu inquiet… Il y avait une flaque de boue qui paraissait assez profonde à environ vingt mètres de là. Son regard me recommandait d’arrêter là. Il me désignait de la main son survet blanc certes pisseux avec plein d’auréoles mais encore blanc… Et me montra mes rekins bien explosées déjà mais encore blanches aussi…
— T’inkiettttt ! Tu vas kiffer man !
Je l’ai entraîné en courant vers la flaque et en arrivant devant, je me suis arrêté net. Surpris, il tenta de stopper sa course mais un petit coup dans le dos et hop il était dedans. Enfoncé dans la boue, il en avait partout le bâtard… Je me suis avancé, puis me suis plaqué sur lui, je lui ai roulé des pelles bien saliveuses, sa tête baignait dans la terre vaseuse.
— Allez, relève toi !
On a fini de se branler contre un arbre en crachant nos jus dans nos skets. J’ai essuyé mes skets avec un bout de drap sorti du fond du sac… Je lui ai filé un short et un t-shirt pas trop crades et secs. Je me suis changé aussi…
— Tu croyais pas rentrer comme ça dans le train quand-même… t’es vraiment un porc mec !
Une fois les fringues boueuses fourrées dans le sac qui dégueulait vraiment de tous les côtés, je lui ai pissé dans le short.
— Militaire ?
— Oui je rentre sur Paris… Vincennes là… et vous ?
— Paris 13, j’amène mon pote chez moi pour prolonger le week-end en éclate…
— Ok, ok… Ben moi j’ai quelques heures à tuer avant demain matin… Y’a moyen de se boire quelques bières chez toi ?
— C’est une affaire qui roule man ! C’est comment toi ?
— Brian.
— Teu… euh moi c’est Stéphane.
— Julien !
Le mec nous a larvé jusqu’au bout de la nuit… J’ai dû subir autant sinon plus que ce que Fromton Boy avait dû endurer la veille. Voilà ce qui s’appelle prendre le revers de la médaille… aïe ! On était vidés de chez vidés quand il est reparti à l’aube en nous pissant une dernière fois dessus. On s’est endormi jusqu’à la fin de l’après-midi, c’est à peine si nous pouvions nous décoller l’un de l’autre… Tout avait séché, c’était trop bon à sniffer…
— Quel putain de pied mon pote !
— Tu l’as dit ! T’as pas un train à prendre toi ?
— Demain y’en aura d’autres…
Fromton n’a pas eu le temps de refermer la bouche avant de recevoir un bon gros mollard à avaler…
— Même après-demain !
Pendant la nuit, je me suis installé sur mon ordi pour taper cette histoire. Il dormait profondément quand j’ai mis le point final. Je me suis recouché… en lui mettant ma bite sous le nez. Il a reniflé à fond dans son sommeil… Et… véridique ! …l’a prise en bouche comme une tétine pour continuer sa nuit !!! Je me suis réveillé avec sa langue entre les orteils et son petit clin d’œil charmeur… Un phénomène ce mec… il a capté tous les bons trips qui vont triquer Teubix !
Comme l'avait décrit Likou, N'Goma est un Sénégalais de 26 ans. Une véritable armoire à glace ! Michael fait même carrément gringalet à côté ! Son torse est sculpté à merveille ! Des pectoraux bien développés, 99 % de muscles. Des tablettes de chocolat noir comme on en mangerait tous les jours ! Des biceps de la taille d'une cuisse ! Bref, un corps à faire bander un hétéro ! Et puis ce tatouage sur ce biceps ! Mmmmmmmm !!! Sans parler de son visage, crâne rasé et un petit bouc. Et pour couronner le tout, il porte un short rouge qui laisse deviner la longue forme de sa queue.
Visiblement grave excités par le spectacle de leur pote en train de m'engluer la face, les autres mecs ne tardent pas à balancer eux-aussi des litres de yop bien épais sur moi. Mon corps est la cible de dizaines de giclées de foutre bien gluant qui me recouvrent littéralement ! Pas un seul centimètre carré de mon corps qui ne soit souillé de leurs foutres de kailleras !
— Bah moi je kiff grave la teub de mec !
Il me dit comme si cela le gênait :
— Tu trouves ce que je viens de faire crade ?
Un matin il m’a réveillé, il était comme un dingue il criait presque « Rachid, Rachid, mate mon zgeg Rachid ! Réveille-toi putain, viens kiffe comme elle est daubé à mort putain, c’est cool ! ». Je me suis levé la tête dans le cul et suis allé m’asseoir sur le bord de son lit. Putain, j’en croyais pas mes yeux : son prépuce débordait de foutre sec et il était resté collé à son glandos tant il était rempli de fromton épais, on aurait dit qu’il était tuméfié. Il a été obliger de cracher sur son prépuce un paquet de fois avant de pouvoir dégager son gland et se branler pour en remettre une couche, un vrai pro. Il y allait fort tant il était excité et content d’avoir son zgeg crade un max, je lui ai conseillé d’y aller molo pour ne pas que le from qu’il avait déjà se décolle de son gland. J’ai maté la mienne, elle était bien daubée aussi alors on s’est dit que c’était le moment de chercher une lope sur le net pour se faire décrasser.
Puis il me dit :
En disant cela, il se recalotta afin de ne pas perdre de from et il baissa son slibard et écarta à nouveau les jambes et je vis que ses poils pubiens étaient tout collés de transpi et de foutre. Je ne répondis pas. Je repris son beau zboub et le redécalottais lentement avec la bouche entre ouverte et je me mis à passer des coups de langue autour de son gland récupérant tout ce bon from qu’il avait gardé pour moi. Je n’en perdis pas une goutte en bon bâtard que j’étais. Puis goulûment je gobais sa verge à donf. Il fit plusieurs va et vient intenses pendant au moins 10 minutes, puis il se mit à gémir se retira de ma bouche gourmande m’envoyant plusieurs jets de foutre bien épais sur la gueule.
Tout le monde aura compris que ce que j'aime, c'est de m'occuper de plusieurs bites à la fois... Imagine, tu décrasses une bonne bite pendant que tu en sniffes une autre, alors que celle que tu as déjà nettoyée à donf auparavant tu ramones le cul...!!!! Il se crée donc une sorte de roulement, car il faut bien renettoyer celle qui t'a pris, et là, t'attend que le mec se soulage dans ta bouche... En effet, on est tous fait pareil, il me semble, on va tous pisser après avoir joui...
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