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Samedi 9 septembre 6 09 /09 /Sep 00:46

Salut les mecs !

Me revoilà après une petite absence que vous comprendrez aisément en lisant le suite. En effet, j'ai profité de quelques jours de vacances pour me faire un pur plan avec le bogosse le plus och de tout Paname, j'ai nommé TEUBIX en personne ! Putain j'ai déjà vraiment loin de m'attendre à un tel programme lorsque j'ai accepté son invitation à aller faire une rando entre potes à la campagne ! Franchement, je crois que je ne m'étais jamais fait larvé aussi hard auparavant, et pourtant j'ai déjà pas mal d'expérience en la matière !

Putain ce mec est trop génial, et il vit tous ses trips sans se poser de questions, c'est trop bon de baiser avec lui !!! Alors vous avez intérêt à aller en masse sur son nouveau blog (
http://teubix.com) et à l'inonder de commentaires pour qu'il continue à bien me larver pour votre plus grand plaisir... Je compte sur vous amis sniffeurs !
Allez, assez de bla-bla, je le laisse vous raconter notre dernier trip. Préparez-vous à larguer un max de jus ! lol


Fromton Boy et moi… On n’était certes pas des potes de toujours mais notre rencontre assez fraîche sur le net nous avait assez rapprochés pour prévoir une confrontation bien réelle pour se chauffer à fond sur nos trips le temps d’un week-end d'été...

Faut-il le préciser c’est lui qui allait jouer la lope et moi le maître dans cette aventure. Du coup, lui venait au rendez-vous sans savoir ce que je lui réservais… Je ne le savais pas vraiment moi-même. Je voulais que ce moment reste profondément encrassé dans sa mémoire de bâtard et bien placé aussi dans le catalogue de mes expériences hot entre potes. Potes jusqu’à un certain point… Car si les premiers échanges furent amicaux… très vite, j’ai changé de ton avec ma lope : il fallait qu’elle comprenne la pauvre petite place minable qu’elle allait occuper à mes côtés pendant deux jours qui allait lui paraître interminables, insupportables... et qui sait ? Peut-être sans billet de retour… Nous venions de nous retrouver devant la gare et sur le trajet qui nous menait à l’hôtel je le voyais déjà  inquiet de savoir ce que j’avais mis dans mon sac de randonnée  qui était plus gros que nécessaire pour deux jours seulement. Mais le bref scenar de séquestration à l’hôtel était pour moi déjà enterré depuis longtemps. Règle numéro un, il faut surprendre sa proie… la faire frémir dès les premiers instants… la déstabiliser, la dérouter…
Il devait vite perdre ses repères quand au lieu de rejoindre le centre-ville,  je l’ai entraîné à travers une foule de rues sinistres proches de bâtiments désaffectés pour finalement lui demander de me suivre sur un chemin à travers champs. Au loin : une forêt qui lui réservait certains des pires fantasmes de sa carrière de bâtard !

Après plusieurs heures pendant lesquelles je l’ai laissé me suivre sans lui prêter la moindre attention, je me suis arrêté et je l’ai fixé méchamment dans les yeux, il avait l’air épuisé… et assoiffé… J’ai posé mon sac, j’ai saisi le Fromton Boy par le col de son t-shirt et je l’ai traîné jusqu’à un arbre au tronc énorme que je venais de repérer. Je lui ai plaqué la tête contre l’écorce et lui ai ordonné de m’attendre sans bouger… Je suis revenu avec une corde de dix mètres de long et en quelques minutes, il se retrouvait attaché de la tête aux pieds le cul à l’air, le slob et le falzar en bas des jambes. Là, j’avais besoin de me soulager grave… la vessie pour commencer.

— Je vais devoir te déranger, vraiment navré pour toi mais t’es justement scotché sur l’arbre sur lequel j’ai envie de larguer ma pisse… ça te gêne pas au moins ?

Non maître, vous pouvez m’arroser… comme il vous plaît

— J'attendais pas ta permission ! Ferme ta gueule de petite pute !

J’ai baissé mon survet… Vas-y l’odeur qu’y avait déjà là… A faire fuir les moustiques à cent mètres à la ronde. J’avais mis un calbut qui avait déjà recueilli plusieurs doses d’urines de partenaires bien chauds et de bonnes  giclées de foutres dont pas mal du mien… Avec en prime la méga-transpiration depuis le départ en train avec une canicule à faire fondre un glaçon en cinq secondes. Autant dire ça que ça fouettait un max le vestiaire de fin de match ! Fromton avait capté, je l’entendais renifler dans l’air comme un ptit porc qui cherchait sa bouffe.

Contre toute attente il n’allait pas sentir  couler la moindre goutte de pisse sur lui, j’avais sorti une bouteille vide que j’ai alors rempli de moitié avec de gros jets dont le bruit frappant les parois en plastique rappelait celui d’un tuyau d’arrosage remplissant à fond un seau. Fromton a gémi rien qu’au bruit… Il était excité le mec et il aurait kiffé recevoir tout ça sur la rondelle, c’était clair… J’ai passé la main entre le tronc et sa bite… Raide comme une branche ! J’en profite pour passer un doigt pisseux sur le bout de son gland. Je récupère un peu de sa mouille mêlée de from qui arrivait jusqu’au bord du prépuce même sans décalotter…  C’est pas une légende ce « teubcrade.over-blog.com » ! J’ai foutu mon doigt sous ses narines, il a voulu lécher mais j’ai vite retiré la main pour moi-même devant son regard affamé sucer lentement ce doigt goûtu à souhait !

Je l’ai détaché, je le sentais frustré de n’avoir eu ni pisse ni jus. Alors qu’il remontait son slob et son jogg j’ai remarqué qu’il en profitait pour se mouiller un peu les doigts en touchant son gland.
Eh batârd ! T’as quelque chose pour moi là ! Amène-moi ça !
Il m’a avancé sa main, j’ai sniffé çà, léché puis lâché un gros mollard dans la paume que je lui ai ordonné d’avaler. J’avais grave la trique et lui aussi ne débandait pas.

On allait reprendre la marche quand il m’a dit qu’il avait lui aussi envie de pisser…
Qu’est-ce que t’attends, vas-y, pisse salope !
Alors comme il se dirigeait vers un arbre :
Oooooh toi là ! Reviens ici !
J’ai sorti un vieux lacet de ma poche et lui ai ligoté les poignets dans le dos.
Allez pisse et vite ! On a encore du chemin...

J’ai vu son survet blanc commencer à s’humidifier au niveau du zgueg puis la pisse a coulé le long de ses jambes jusqu’à ses skets.
Voilà du bon jus de chaussettes qui se prépare, c’est bon là ? Allez avance, tu peux finir en marchant !
Il continuait à pisser mouillant le bas de son t-shirt aussi et déambulait toujours attaché. Je lui tenait son sac à la main plus le mien sur le dos, il commençait à se faire tard… Je me suis mis derrière son dos et je l’ai bousculé pour qu’il avance plus vite.
Allez cours ! Plus vite, donne ton maximum ! Active-toi ! Cours mec je te dis !
Il a couru, je l’ai suivi des yeux jusqu’à le voir s’effondrer au sol. Il était essoufflé comme un bœuf  ! Je l’ai rejoint, j’ai largué les affaires à côté de lui…
Ben voilà t’as choisi notre lieu de campement ! Allez je t’enlève le lacet et tu montes la tente, et que ça saute !
Il sortait le matos du sac et pendant ce temps je m’ouvrais une bière plus très fraîche mais bienvenue malgré tout. Il se mit à installé le dortoir, je le voyais bien crevé le petit bâtard…
Garde des forces mon pote ! Ce soir tu m’appartiens et tu vas te donner à fond à moi… depuis le temps que t’attends ça ! J’ai du from à la bite pour un régiment !
Malgré la fatigue, j’ai vu que cette annonce lui avait ravivé le regard. Il avait même un léger sourire sur le visage...
Calme ta joie ! C’est que le début, tu vas encore en baver !
Je peux boire ?

Oh ! Je t’avais pas dit de fermer ta gueule toi !
Il a repris l’installation… Il avait presque fini quand je l’ai interrompu pour le plaquer au sol pour l’immobiliser. Là j’ai ouvert la bouteille avec la pisse encore chaude… Il a vite compris, il a ouvert la bouche et a reçu tout le contenu d’une traite… Il en avala plusieurs gorgées… j’ai passé la main sur son paquet… Putain de queue ! Il bandait grave encore !

La nuit tombait, on n’avait pas mangé mais lui comme moi à présent n’avions qu’une envie c’était de directement passer au choses sérieuses.
A peine les dernières gouttes vidées de la bouteille, je l’ai entraîné dans la tente à moitié bancale j’y ai rentré toutes les affaires… Et j’ai refermé les fermetures.
Tu sens cette odeur de renfermé ? Cette pisse fumante ? Tiens, sors le sachet plastique de la poche du haut de mon sac… ça manque d’odeurs de ieps non ?

Là, il étala plusieurs paires de chaussettes daubantes de chez daubantes et quelques autres slobs cartonnés au jus et à la pisse. Je lui ai plongé le nez dedans et je l’ai dessapé… encore plus d’odeurs ! Il dégageait pas mal de partout et ses panards fumaient gravement bon ! Je me suis allongé.
—  Vas-y Fromton ! Montre à Teubix ce que tu sais faire...

Il a assuré comme un dieu mais je ne lui ai pas dit… au contraire je l’engueulais et lui disais qu’on m’avait rarement aussi mal sucé et qu’il savait pas bien me lécher les pieds et les couilles alors que c’était l’un des trucs les plus forts pour moi… Une bonne langue pulpeuse et saliveuse qui se promène longtemps, longtemps sur mes arômes de fauve… du coup, il s’appliquait de plus en plus sous mes critiques et mes insultes. Je sentais le jus monter… La tente devait dégager de la vapeur dehors tellement dedans c’était bouillant et puant. Je lui ai demandé de me donner sa teub à nettoyer. Je n’oublierai jamais ! Le gland de Fromton Boy en bouche, je lui doigtais le cul en même temps, bonne dose de gel, pour s’offrir un passage glissant, une p’tite capote qui allait grandir de 20 cm bien épais...
Et son trou qui accueillait ma bite comme rarement cul l’a accueilli… Il était pourtant au bout du rouleau… Il était sur le point de me supplier d’arrêter le pilonnage mais en même temps il savait  que ses caprices ne serait pas entendu. Je me suis retiré pour lui cracher plusieurs jets de ma jute chaude sur le visage. Il était en larme le bâtard, il juta pourtant comme un éléphant, il en avait plein le torse. Il continuait de gémir aussi fort qu’un ours.

Dis-moi, toi, je t’avais pas dit de la fermer…
Je lui  ai enfin accordé un sourire qui se transforma en éclat de rire quand toute la tente s’écroula sur nous ! Il en aurait fallu plus pour nous en faire sortir. On s’est collés très fort, nos corps transpirants, pisseux, tout enspermés… les têtes posées sur le tas de fringues crades… Les nez en places VIP pour toute une nuit ! Pas besoin de sac ni de matelas… On était bien comme ça comme deux clébards sur leur tapis poisseux. On s’est léché les babines pendant de longues minutes qui m’ont d'ailleurs paru des heures… plus moyen de s’interrompre… de nouveau excités… les bites raides, les langues qui se remettent à décrasser, nouvelle suce, nouvelle nique… en salivant, en aspirant, en savourant le cocktail façon « Teubcrade » : mouille, from, pisse et jus ! Encore, encore !!! Je me suis arrêté.
Tu pleures toujours ?
De plaisir… oui.

Nous n’avons pas beaucoup dormi. Baignant dans cette ambiance d’essences de mâle intense. C’était trop bon pour ne pas remettre ça dès le moindre mouvement de l’autre. Petit coup de renifle dans le cou puis la langue qui s’active de plus belle… Epuisés de plénitude, on finit par s’effondrer vraiment pour très peu d’heures, la toile de tente sur nos corps comme un drap qui nous faisait suer encore plus… Nous étions trempés intégralement et nous aurions plus remplir quelques flacons d’un elixir rare avec toutes ces gouttes mélangées. Le jour nous réveilla tôt, on avait super faim. On a tout remballé. On s’est avalé quelques bananes avec des bières et on a repris notre route…

Avant de quitter la forêt, je lui ai fait poser son sac. J’ai déposé le mien aussi. Son visage est redevenu inquiet… Il y avait une flaque de boue qui paraissait assez profonde à environ vingt mètres de là. Son regard me recommandait d’arrêter là. Il me désignait de la main son survet blanc certes pisseux avec plein d’auréoles mais encore blanc… Et me montra mes rekins bien explosées déjà mais encore blanches aussi…
T’inkiettttt ! Tu vas kiffer man !
Je l’ai entraîné en courant vers la flaque et en arrivant devant, je me suis arrêté net. Surpris, il tenta de stopper sa course mais un petit coup dans le dos et hop il était dedans. Enfoncé dans la boue, il en avait partout le bâtard… Je me suis avancé, puis me suis plaqué sur lui, je lui ai roulé des pelles bien saliveuses, sa tête baignait dans la terre vaseuse.
Allez, relève toi ! 
On a fini de se branler contre un arbre en crachant nos jus dans nos skets. J’ai essuyé mes skets avec un bout de drap sorti du fond du sac… Je lui ai filé un short et un t-shirt pas trop crades et secs. Je me suis changé aussi…
Tu croyais pas rentrer comme ça dans le train quand-même… t’es vraiment un porc mec !
Une fois les fringues boueuses fourrées dans le sac qui dégueulait vraiment de tous les côtés, je lui ai pissé dans le short.

 Dans le train ça sentait grave sur lui, y’a un gars qui s’est installé dans notre compartiment… Il a vite capté :
Militaire ?
Oui je rentre sur Paris… Vincennes là… et vous ?
Paris 13, j’amène mon pote chez moi pour prolonger le week-end en éclate…
Ok, ok… Ben moi j’ai quelques heures à tuer avant demain matin… Y’a moyen de se boire quelques bières chez toi ?
C’est une affaire qui roule man ! C’est comment toi ?
Brian.
Teu… euh moi c’est Stéphane.
Julien ! Le mec nous a larvé jusqu’au bout de la nuit… J’ai dû subir autant sinon plus que ce que Fromton Boy avait dû endurer la veille. Voilà ce qui s’appelle prendre le revers de la médaille… aïe ! On était vidés de chez vidés quand il est reparti à l’aube en nous pissant une dernière fois dessus. On s’est endormi jusqu’à la fin de l’après-midi, c’est à peine si nous pouvions nous décoller l’un de l’autre… Tout avait séché, c’était trop bon à sniffer…
Quel putain de pied mon pote !
Tu l’as dit ! T’as pas un train à prendre toi ?
Demain y’en aura d’autres…
Fromton n’a pas eu le temps de refermer la bouche avant de recevoir un bon gros mollard à avaler…
Même après-demain !

Pendant la nuit, je me suis installé sur mon ordi pour taper cette histoire. Il dormait profondément quand j’ai mis le point final. Je me suis recouché… en lui mettant ma bite sous le nez. Il a reniflé à fond dans son sommeil… Et… véridique ! …l’a prise en bouche comme une tétine pour continuer sa nuit !!! Je me suis réveillé avec sa langue entre les orteils et son petit clin d’œil charmeur… Un phénomène ce mec… il a capté tous les bons trips qui vont triquer Teubix !

 

 

Par TEUBIX - Publié dans : Témoignages
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Samedi 2 septembre 6 02 /09 /Sep 09:46

Salut les sniffeurs !

Me voilà enfin de retour après quelques jours de vacances sur la Côte d'Azur... L'occasion de me faire pas mal de trips bien och et notamment avec un p'tit rouquin de 19 ans hyper odorant. Je vous raconterai tout çà très prochainement mais en attendant, je vous laisse découvrir la suite du premier trip odeurs de SNIFFEUR OCH.

Souvenez-vous, dans l'épisode précédent ("Décrassage au camping"), ce pur bogosse de 25 ans venu passé quelques jours tout seul dans un camping près de Marseille en pleine canicule s'était déjà fait lopé par deux de ses voisins de tente, occupée par une bande de laskards de téci bien hardos. Je vous laisse découvrir la suite... Franchement, préparez-vous à lâcher des litres de yop en lisant son trip (moi j'en ai encore le calbut tout gluant !!!). Et comme d'hab, n'oubliez pas de laisser vos impressions sous l'article...


Après une séance de larvage en règle, John et Michael rejoignent leurs potes sous la tente pour leur faire un compte-rendu détaillé du plan...
Alors ! Racontez ! Ça s'est passé comment ? demande Likou.
J'ai l'impression qu'il va pas tarder à craquer ! répond John.
C'est une vrai salope ce mec ! T'as bien fait de nous le repérer ! enchaîne Michael. Il avait une de ces gaules quand on est arrivés... A mon avis, tu lui as fait de l'effet !
Alors, vous lui avez fait quoi ? demande Hicham.
Oui racontez ! On l'a entendu gueuler comme une pute ! rétorque Abdel.
Michael lui a fait bouffer mon caleçon ! Il a tout léché !
—  J'ai dû le forcer au début mais après fallait voir les coup de langues qu'il donnait ce bâtard !
MMMMmmmmm une bonne salope gourmande, t'as chopé le gros lot cousin ! déclare N'Goma à Likou.
Mais tu lui as fait quoi pour le faire gueuler comme une truie ? questionne Hicham.
Je lui ai serré les couilles à donf !
Vous auriez vu çà ! Moi je le tenais entre mes jambes, les bras derrière le dos ! T'y as pas été doucement quand même Michael !
C'est clair, je voulais voir de quoi il étais capable ! Et surtout qu'il sache la couleur avant de pointer son nez !
Sur la fin il aimait ! Je ne le sentais plus se débattre...
Ou alors il était K.O. !!! répond N'Goma.
Moi je crois plutôt qu'il kiffait grave ! Putain les mecs vous m'avez donné la gaule ! dit Abdel en se touchant la queue.

L'excitation se fait sentir dans la tente. Visiblement cette bande de racailles raffole déjà de moi sans même me connaître ! De mon coté, je me réveille doucement de ma sieste. En repensant à ces odeurs, ce caleçon et ce broyage de couilles, je chope direct la gaule. Evidemment, je commence donc à me branler ! C'est clair que j'y prends goût... De l'autre main, je me masse les couilles encore sensibles puis me les presse. Mmmmmmmm !!!
Très rapidement, je me jute sur le torse et étale à nouveau ma semence crémeuse. Je vais pas pouvoir résister... Je sens que je vais craquer !

L'après-midi s'avance et la chaleur devient insupportable dans la tente. Je décide de sortir, un peu hésitant tout de même après le traitement que je viens de subir. J'enfile un petit short noir et décide d'aller courir. Je sors, tout en regardant discrètement du côté de la tente de mes joyeux baiseurs. Ils sont partis !
J'entame alors mon footing en me dirigeant vers la plage. La chaleur est très pesante. Je cours, transpirant copieusement, matant les mecs en maillot sur la plage. Au loin, j'aperçois trois mecs en train de faire un foot. Mais oui !!! Je reconnais tout de suite Likou, Michael et le deuxième black. J'hésite... Dois-je y aller ? Oh et puis après tout ça coûte rien de dire bonjour !
Je cours donc vers le trio. En plus, ils sont tout les trois torses nus, moi qui rêvais de voir les musclé de Likou !
Salut les gars !
Ah tiens, voilà David ! lance Likou.
Mmmm depuis le temps que j'entends parler de toi ! Moi c'est N'Goma...
Enchanté !
Comme l'avait décrit Likou, N'Goma est un Sénégalais de 26 ans. Une véritable armoire à glace ! Michael fait même carrément gringalet à côté ! Son torse est sculpté à merveille ! Des pectoraux bien développés, 99 % de muscles. Des tablettes de chocolat noir comme on en mangerait tous les jours ! Des biceps de la taille d'une cuisse ! Bref, un corps à faire bander un hétéro ! Et puis ce tatouage sur ce biceps ! Mmmmmmmm !!! Sans parler de son visage, crâne rasé et un petit bouc. Et pour couronner le tout, il porte un short rouge qui laisse deviner la longue forme de sa queue.
Likou ne s'était pas trompé en me parlant de toi ! T'es hyper musclé !
N'Goma s'approche de moi. Je ne peux m'empêcher de mater ce torse d'athlète. Il prend alors ma main et la pose direct sur son pec.
Vas-y mec, profites-en ! Tu peux toucher, c'est pas de la gonflette.
J'hésite, puis commence à caresser les pecs de N'Goma, ruisselant de transpiration. 
Alors, t'as vu David ? C'est impressionnant, non ? lance Likou. 
Likou et Michael se rapprochent et m'entourent. N'Goma reste quant à lui devant moi.

Allez mec ! Mets-y un peu plus de conviction ! dit Michael.
Michael commence à caresser le torse de N'Goma d'une manière très sensuelle ! Likou en fait autant. Et voilà N'Goma en train de se faire caresser par trois mains en même temps !
Je prends un max de plaisir à caresser cette peau. Michael rapproche sa tête et commence à lécher le biceps de N'Goma. Moi je descends naturellement ma main pour lui caresser les abdos. Je dessine avec ma main le contour de ces belles plaques en béton armé ! Je ne peux pas m'empêcher non plus de mater cette belle bosse qui se dessine sur le short de N'Goma. Putain, il doit être sacrement monté ce mec !
Michael lève le bras de N'Goma et lui lèche les aisselles, trempées de sueur. Quel régal ! N'Goma saisit alors fermement ma main.
Laisse-toi faire ! me lance-t-il d'un ton sec.
Sans problème mec !
Il guide ma main sur son torse, puis sur ses abdos, il descend petit à petit jusqu'à faire entrer ma main dans son short. Il me fait tâter ses poils. Je descends lentement, frôlant la base de sa queue. J'en frémis de désir tellement je suis excité. Je peux maintenant sentir la largeur de cette queue ! Putain c'est impressionnant !
A mon grand regret, N'Goma retire alors ma main de son short.

Si tu en veux plus mec ! Tu sais où venir ce soir !
Euh...
Je reste bouche bée. A vrai dire, je ne me suis toujours pas remis de la largeur de cette queue ! Inconsciemment, je ne peux m'empêcher de renifler mes doigts, imprégnés d'une forte odeur de pisse et de sperme.
Les trois mecs se resserrent alors, Michael et Likou caressant toujours N'Goma.
Alors à ce soir David ! lancent-ils avec un sourire plein de sous-entendus.

On verra !

Très excité, je retourne courir, je sais que ce soir je ne vais pas tenir ! Ce torse, cette odeur et cette queue c'est trop pour moi !


Fin d'après midi, je rentre dans ma tente, trempé de sueur. J'attends dans ma tente le début de la soirée, tout en entendant la musique rap dans la tente à côté ! C'est bon, visiblement ils sont au complet ! J'hésite, je ne sais pas quoi faire...
Et puis merde ! J'y vais !
Je me lève et pars en caleçon en direction de la tente des kailleras. Abdel est debout en train de fumer, torse nu, jeans large descendu. Abdel est musclé assez fin, genre pur bogosse de téci qui le sait et qui en profite. Je le mate grave en arrivant, Abdel en fait de même.


David je suppose ? Moi c'est Abdel !
Enchanté ! lui dis-je en lui serrant une poignée de main.
Alors ça y est, tu as décidé de venir ?
Oui ! Enfin on verra ce que ça fera !
Abdel s'approche alors de moi.
T'inquiète pas, on va prendre soin de toi, tu as un si beau corps...
Il commence alors à me caresser le torse. Déjà très excité, je me laisse faire. L'odeur qui se dégage de son torse luisant de rebeu ne fait qu'augmenter mon excitation. Abdel caresse ensuite ma nuque et m'approche la tête de ses pecs.
Allez David, régale-toi !
Je me penche et commence à lécher le torse d'Abdel, le goût est prenant. Je m'applique à lécher toute cette sueur d'arabe en rut... Hummmm, quel régal ! Je prends le bras d'Abdel et le soulève afin de pouvoir lécher ses aisselles. Je donne des grands coup de langue, bien lentement afin de profiter au max de cette odeur de mâle.
Parfait David ! Tu m'as tout l'air d'une belle salope !
J'essaye !
Je me recentre sur le torse pour recueillir sur ma langue le mince filet de sueur qui dégouline vers le nombril d'Abdel.
Putain Abdel, j'aime trop cette odeur !
Je lui lèche le nombril, et me mets à genoux tout en lui caressant les fesses. Ma langue continue de descendre. Je commence à lécher la base de ses poils. Il baisse légèrement le jean et je vois apparaître son boxer blanc. L'odeur de pisse remplace alors petit à petit l'odeur de sueur.

A ce moment-là, Likou sort de la tente.

Ah, je vois que tu es déjà au travail ! Applique-toi bien David, on a plein de surprises pour toi !
Je n'attends que çà !
Je me remets à lécher comme une salope. Je déboutonne le jean d'Abdel et commence à pomper ce tissu blanc, devinant peu à peu la forme de la queue. De plus en plus excité, j'aspire le tissu de son boxer : une forte odeur de pisse et de sperme s'en dégage. Likou me regarde faire en se tâtant le paquet. Abdel apprécie de plus en plus mon travail de salope.
Allez mec, aspire bien !
Vas-y David, décrasse lui le boxer ! lance Likou.
MMMMmmmmm

Je m'applique à lécher au niveau du gland afin de recueillir le max d'odeurs ! Abdel prend alors ma tête entre ses mains et l'écarte vivement de son paquet.

T'aimes toutes ces odeurs de mecs ?
A fond Abdel !
Putain quelle chienne ! Regarde moi ça alors ! me répond Abdel, avec un petit sourire bien pervers au coin des lèvres.

J'en crois pas mes yeux !!! Abdel commence à pisser direct dans son boxer. Une belle auréole humide apparaît et de la pisse commence à couler sur le jean et sur les cuisse d'Abdel. Il approche aussitôt ma tête de son paquet dégoulinant de pisse.

Vas-y salope, régale-toi !
Abdel me plaque la tête sur son zgeg et machinalement, j'ouvre grand la bouche et commence à aspirer la pisse bien odorante qui sort du boxer. Je bois et avale tout pour ne pas en perdre une goutte. Le flot de pisse s'arrête, je me déchaîne sur la bosse d'Abdel, je lui lèche les cuisses afin de récolter tout !
Abdel baisse alors son futal et son calbut.
Je me recule afin de mater cette belle queue d'arabe. Belle et super odorante en plus !
Allez bâtard maintenant lève-toi et rentre dans la tente !
Ok !

Abdel rentre à poil dans la tente, je le suis et Likou ferme la marche. Une odeur très forte règne dans la tente : sueur, pisse, merde et sperme ! Ça ce voit qu'il y a six mecs qui ont pas pris de douches depuis 3 semaines ! Le sol est humide, sperme et pisse s'y sont accumulés ! Il y en a vraiment partout !
Les six mecs sont là, en caleçon pour la plupart. Abdel est à poil bien sûr... mais Hicham aussi ! Le dernier de la bande ! Boule à Z, Hicham est le plus jeune, musclé et tatoué, Hicham n'aime visiblement pas les douches... sauf peut-être pour mater !

Salut David ! lancent les mecs.
Salut les mecs !
Ah c'est toi David ! la grande salope ! ajoute Hicham.
C'est moi !
C'est parfait çà ! On va pouvoir s'amuser !
J'espère !
Que la fête commence alors ! lance Likou.
Abdel me tire vers lui et s'assoit jambes écartées. Je me fous aussitôt à quatre pattes devant lui.
Allez décrasse-moi la teub bâtard !
Je m'approche, pendant que les autres mecs matent le spectacle. Je prends la queue d'Abdel en main et la décalotte délicatement.

Putain ! C'est hyper crade mec !!!
Vas-y lèche çà !
Une bonne couche de fromton couvre le gland d'Abdel. D'abord un peu répugné, j'approche lentement la tête, ouvre la bouche et commence à passer ma langue sur son fromton. Le goût est fort mais pas si désagréable que çà ! Je lui gobe alors tout le gland, ma langue amasse le fromton et lui décrasse totalement le zboub. J'avale et aspire à fond. Pendant que je pompe Abdel, Hicham me caresse le crâne tandis que les autres m'encerclent et me touchent le caleçon. La queue d'Abdel grossit de plus en plus dans ma bouche de décrasseur !
Et bien pour un débutant t'as l'air de bien te débrouiller ! lance Hicham. Viens t'occuper de la mienne !

Je me retire. Likou et N'Goma me retournent dos à terre. Me voilà encerclé par six racailles puantes. Hicham s'amène à quatre pattes au-dessus de moi.  Il baisse ses fesses, sa queue touche mes lèvres. J'ouvre la bouche et gobe le gland, lèchant l'intérieur de son prépuce afin de récolter un nouveau fromton encore bien puant. Pendant ce temps, Michael baisse mon short et je me retrouve complètement à poil !
Les autres matent en caressant mon torse ainsi que le cul d'Hicham.
Sans prévenir, Hicham se met alors à me pisser direct dans la bouche ! Surpris, je suis obligé d'avaler sa pisse chaude et puante. Hicham retire sa queue et asperge mon torse, avant de me recoller son zgeg dégoulinant dans la bouche. Les autres se régalent à lécher mon torse ruisselant de pisse.

Les queues se succèdent dans ma bouche, et enfin arrive celle de N'Goma. Ce dernier baisse lentement son short. Une queue terrible apparaît, un long prépuce qui doit certainement caché un max de fromton ! 

Mes yeux s'ouvrent en grand ainsi que ma bouche, et sans me poser de questions, je commence a le récurer direct.
Je vois que tu sais ce que tu dois faire salope ! me lance N'Goma.
Je l'imaginais pas si grosse...

T'inquiète pas, attends que je bande !
Mmmmmmmmm
L
a queue remplit peu à peu ma bouche de salope. N'Goma commence à bander sous mes coups de langue répétés.

La chaleur et l'odeur de mâle se font de plus en plus intenses dans la tente. Les autres mecs ne cessent de me caresser, tout le monde est désormais à poil, y compris Likou, bel étalon que je prends mon pied à décrasser intégralement.
Je suis plus en plus excité et je ne peux m'empêcher de pousser de petits gémissements.

Les mains de Michael et Abdel se dirigent alors vers mes fesses. Ils écartent mes cuisses pour me dégager le cul. Les mains caressent mes cuisses musclées en se rapprochant des fesses. Hicham passe ses doigts sur ma raie en sueur.
T'as un jolie cul de puceau on dirait ! lance-t-il avec un regard plein d'envie.

Oui les mecs, surtout faîtes gaffe !
T'inquiète pas, on sait s'y prendre avec les putes dans ton genre !

Pendant ce temps, je m'affaire toujours à sucer les deux étalons aux queues immenses et hyper épaisses, plus particulièrement celle de N'Goma, qui sans bander complètement avoisine déjà les 25 cm.

Hicham entre délicatement son doigt dans mon trou. Je me cambre alors en gémissant. Les autres mecs me plaquent aussitôt au sol.
Détend-toi ! répond Michael.
Hummmmmmmm, hummmmmmmmmmm...
Les gémissements accompagnent le doigt de Hicham. Je ne peux pas m'empêcher de toucher ma queue. Michael et John, de chaque coté, m'immobilisent les mains. Hicham me doigte de plus en plus rapidement.
Il mouille comme une vraie meuf ce bâtard !
Hicham se met alors entre mes cuisses, une belle queue, assez fine tout de même, l'idéal pour me préparer le trou aux assauts de ses potes.
A sec Hicham ! lance N'Goma d'un ton sec.

T'es sûr ? ça va être tendu ! répond Hicham.
A sec j'ai dit !
Hicham s'appuie de chaque coté mon torse et pointe sa queue sur mon trou. Je sursaute en gémissant. Hicham commence à avancer son bassin, les autres continuant à me caresser pour essayer de me détendre.

Le gland entre d'un seul coup, me faisant pousser un véritable hurlement. 
ARGHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!!!!!!!
Hicham s'enfonce de plus en plus. Il commence un va-et-vient lent, allongeant de plus en plus son mouvement. Malgré la douleur, j'apprécie grave de me faire défoncer le cul par un rebeu un rut, encouragés par ses potes à me faire gueuler encore plus !

— Oh oui, c’est bonnnnnnn !!!!

T’aimes ça la sodomie, hein salope ?! répond Hicham.
Oui vas-y mec, encule-moi à fond !
La queue d’Hicham me laboure littéralement le cul. Au bout de 10 minutes de pilonnage intensif, Hicham se retire et vient plonger sa queue direct dans ma bouche.
Allez suce-la ! Fais-moi jouir salope !
Je pompe à fond en massant les couilles d’Hicham, qui sentent grave l'odeur de mon cul. Hicham se branle frénétiquement dans ma bouche et au bout de quelques secondes, il sort sa queue et m'inonde littéralement la tronche de bon jus de mâle bien épais.
MMMMMMMmmmmmmmmm !!!!! Ohhhh oui !!!

Visiblement grave excités par le spectacle de leur pote en train de m'engluer la face, les autres mecs ne tardent pas à balancer eux-aussi des litres de yop bien épais sur moi. Mon corps est la cible de dizaines de giclées de foutre bien gluant qui me recouvrent littéralement ! Pas un seul centimètre carré de mon corps qui ne soit souillé de leurs foutres de kailleras !

PUTAIN LE PIED !!!!! Je n'ai d'ailleurs pas tardé à cracher moi aussi ma jute, rajoutant mon nectar à celui de tous mes baiseurs !
Je vous dis même pas comment j'ai kiffé décrasser toutes ces belles teubs foutreuses et encore odorantes les unes après les autres... Et maintenant qu'ils ont marqué leur territoire à la sépi et au yop, je leur appartiens totalement ! Et croyez-moi, les vacances ne font que commencer et je n'ai pas fini d'en baver.
                              A suivre...

Par SNIFFEUR OCH - Publié dans : Témoignages
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Vendredi 25 août 5 25 /08 /Août 01:44
Salut les queutards !

Alors, toujours grave la gaule en parcourant mon blog ? lol
Si j'en crois les commentaires et les mails que j'ai reçus, vous avez kiffé un max la vidéo de Franck en train de décalotter son gland bien fromageux... Hummm, j'espère que ça va donner plein d'idées à beaucoup d'entre vous et que vous m'enverrez d'autres vidéos aussi och dans les jours qui viennent...
Avouez quand même que c'est vachement excitant de se dire que des centaines de mecs se vident les couilles en mattant des photos ou une vidéo de sa propre queue couverte de fromton !
Alors, pas une seconde à perdre : tous à vos cam !!!

En attendant, voilà une anecdote envoyé par Xavier, un bogosse de 26 ans sur Paname. Souvenez-vous, c'est déjà lui qui vous avait fait kiffé avec son histoire "Le décrasseur décrassé". Visiblement, il a l'air toujours aussi cho ce p'tit mec ! A vous d'en juger...


Vous êtes vous déjà demandé ce qu'un hétéro — une bonne caillera de téci pur jus —pense des plans cho entre mecs ? Et bien je vous livre la discussion que j'ai eu avec un hétéro poussé à venir sur nos tchats pour assouvir ses fantasmes.
Soudain le téléphone sonne ! " Appel  inconnu "
 
— Wesh cousin c'est Farid, on a discuté sur smboy, tu m'as filé ton tel.
J'ai envie d'un plan chaud. Bah moi voila j'ai 26 1 83 76 bien dessinné, suis cho du zob, jkiff grave la chatte de meuf tu comprends... Tu kiffes quoi toi ?
 — Bah moi je kiff grave la teub de mec !
 
— C'est cool mais moi je kiff grave sur la meuf qu'a des gros seins mais elles sont super coincées du cul. Alors  tu comprends j'ai trop envie de te mettre à genoux et de te foutre mon zob à sniffer sous le pif et de te molarder ta gueule de batard.
 
— J'ai envie de me lacher dans mon calbut, un bon jet qui coule dans mes poils et sur mes jambes en te collant le pif sur mon paquet à travers mes bonnes odeurs de calbut. Et toi tu pisses où ?
 
— J'ai envie de te foutre le zob dans la bouche et de me vider à grandes giclées.
 
— Moi je me pisse dessus quand tu veux !
 
— J'ai envie de me lacher un bon jet sur le torse et que tu me lèches, tu comprends moi je kiffe les meufs — dit-il comme pour se rassurer — mais y'en a aucune qui accepte de faire çà !
 
— Hummm... Laisser couler ton jet de pisse dans ma touf !
 
— J'ai envie de te voir t'exhiber comme une pute dans ton jean moulant et voir une tache foncée apparaître à l'interieur de la cuisse et descendre en s'agrandissant. Je veux te voir te souiller devant moi dès que je le veux...
Et puis de te retourner et t'arroser le cul de ma sepi, de me frotter la teub sur la tache et te faire sniffer ma teub après... et j'ai envie de me branler sur ta gueule et de te gicler sur ta gueule de batard mon foutre de mec pasque les meufs elles font pas ces trucs-là avec les mecs.
 
— Quand tu veux man !
 
Toute ressemblance avec des conversations ayant eu lieu entre vrais adultes consentants ne serait pas complètement fortuite. lol
Par XAVIER - Publié dans : Témoignages
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Lundi 21 août 1 21 /08 /Août 19:17

Votre blog préféré fête aujourd'hui son premier anniversaire... Et oui, déjà un mois que vous venez régulièrement vous astiquer sur ce site en mattant les pics de belles teubs fromageuses ou en lisant les histoires hyper bandantes d'autres mecs accros aux odeurs de mâle en rut !

Et visiblement vous aimez çà car le blog vient de dépasser le cap des 12 000 visiteurs (avec une moyenne de 500 visiteurs par jour !)... Vous imaginez combien de litres de foutre ce site a déjà dû faire couler ?!! lol

Seul petit bémol, le faible nombre de commentaires sous les différents articles. Si vous kiffez ce site (et je sais que c'est le cas !), pourquoi ne pas laisser quelques mots pour le dire et encourager tous les mecs qui participent activement en envoyant leurs pics perso ou des témoignages bien cho !

Bon cela dit je ne suis pas rancunier, et pour fêter cet anniversaire comme il se doit, voici la première vidéo du blog !

Et en plus, il s'agit d'une vidéo perso envoyée par un mec qui kiffe grave ce blog et qui a décidé de vous faire profiter de son beau gland fromageux... Hummm quel plaisir de découvrir Franck, un mec de 38 ans sur Lyon (1m80, 88 kg, brun, yeux marrons) se décalotter lentement devant la cam et laisser apparaître un max de bon fromton bien daubant !!!
Une minute de pur bonheur et la jute assurée ! Il ne manque plus que l'odeur...
Merci à toi Franck et envoie-nous encore plein d'autres vidéos aussi bandantes de ta queue crémeuse ! Et les mecs, là franchement ça vaut bien un p'tit commentaire, non ?


Par FROMTON BOY - Publié dans : Vidéos
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Lundi 21 août 1 21 /08 /Août 15:22

Salut les sniffeurs !

Et oui, me revoilà après quelques jours d'absence... Le temps de recevoir plein de mails bien och de mecs accros aux odeurs de teubs fromageuses et de mâle en rut (et aussi de récurer quelques belles tiges bien odorantes je l'avoue ! lol).

Parmi les mails que j'ai reçus, voici le témoignage hyper bandant de Nathan, un mec hyper cho grave branché odeurs de keums et qui comme vous allez le constater, n'a pas froid aux yeux. Vraiment trop kiffants ses souvenirs d'auto-stop ! Je vous défie d'arriver jusqu'au bout de son hsitoire sans avoir largué tout votre foutre dans votre calbut... Perso, j'y suis pas arrivé et du coup là j'ai la queue qui baigne dans le yop ! Du bon fromton en perspective !!! lol

Bon assez de bla-bla, je vous laisse découvrir l'histoire. Si vous kiffez, n'oubliez pas de laisser plein de commentaires à Nathan sous l'article pour l'encourager à nous raconter la suite de ses aventures de décrasseur !

Je n’avais pas beaucoup d’argent mais je voulais quand même partir en vacances. Je décidais donc de partir en stop avec mon sac à dos, j’allais sur une plage naturiste dans le sud de la france. Ayant peu de place je pris un jean, un tee-shirt, un débardeur, un short, ma serviette de bain. J’avais en plus ce que j’avais sur moi soit un short un slip kangourou un débardeur et une paire de sandale.
Cela faisait quelques heures que j’attendais le pouce levé avec mon écriteau dans l’autre main. Soudain un camion mit son clignotant et se gara un peu plus loin, je partis jusqu’à lui, il avait la fenêtre ouverte il se pencha et je vis un beau mec, il me dit :
— Où vas-tu ?
— Au cap d’Agde.
— Tu peux monter, je vais au Portugal c’est ma route !
Je fis le tour et je montai dans le camion. Mes narines furent tout de suite assaillies par des odeurs fortes. Son débardeur arborait de belles auréoles au niveau des aisselles ainsi qu’entre ses pectoraux puissants. Il y en avait de plus larges et sèches qui montraient que ce n’était pas le premier jour qu’il le portait. En sniffant bien la cabine il n’y avait pas que de la transpi, ça daubait les ieps et j’en jurerai la teub. Il me dit :
— Je m’appelle Rachid et toi ?
— Nathan.
— Enchanté Nathan.
— Moi aussi et merci de m’avoir pris en stop.
— De rien, nous allons faire un bon bout de chemin ensemble.
Nous discutâmes longtemps et je ne pouvais m’empêcher de mater ses bras musclés, ses cuisses poilues, il portait des cho7 de sport en accordéon avec des skets qui avaient bien vécues. Il leva son bras pour se gratter la nuque et je vis son aisselle dont les poils étaient noirs et très abondants ; ils étaient humides et regroupés par paquets dessinant de petites virgules. Soudain un filet de transpiration coula le long de son corps et vint s’ajouter au débardeur déjà inondé de sueur.

— Il fait chaud n’est ce pas ?
— Oui.
— Putain, je transpire un max avec ses températures ! Apparemment toi aussi.
En effet, j’avais moi aussi de bonnes auréoles à mon débard, il mata cet endroit de mon corps en faisant mine d’approuver et me fit un sourire. Nous discutions de tout et de rien, au bout de deux heures je lui dis :
— J’ai envie de pisser grave, je tiens plus... Tu peux t’arrêter ?
— Ok pas de problème, d’ailleurs j’ai une putain d’envie moi aussi.
Il stoppa son camion dans un recoin d’où partait un petit chemin de terre longeant un bois. Je descendis et me dirigea dans cette direction. Arrivé là, je déboutonnais mon short et je glissais ma main dans l’ouverture de mon slip, j’en sortis ma teub et je commençai à uriner quand je m’aperçu qu’il venait de se mettre juste à côté de moi. Il baissa son short et je vis qu’il portait comme moi un slip kangourou. Comme son débardeur, ce n’était pas le premier jour qu’il le portait. Il avait sur la poche plusieurs auréoles jaunes et la rigidité du tissu laissait supposer qu’il y avait balancé plus d’une fois son foutre. Il passa la main dans l’ouverture de son slip et déballa sa bite sombre qui était munie d’un long prépuce, il sortit aussi ses grosses burnes bien poilues, puis il envoya une bonne giclée de sepi sans décalotter. Le salaud il s’exhibe. Sa teub sentait trop fort même calotter je pouvais en sniffer les effluves.

Il me dit comme si cela le gênait :
— Tu dois trouver que je schlingue grave de la bite, non ?
— Ouais elle dégage !
— C’est que je n’ai pas eu le temps de prendre de douche depuis huit jours. Je revenais d’un trajet en Allemagne qui m’avait pris 5 jours, et quand je suis arrivé à l’entrepôt mon boss m’a dit qu’il fallait repartir de suite pour le Portugal pour une cargaison urgente. Je n’ai même pas eu le temps de passer chez moi pour prendre des fringues de rechange, et comme je dors dans le camion je n’ai rien pour me laver.
— Je comprends, alors comme ça tu baignes dans ton jus et dans les mêmes fringues depuis 8 jours !
— Ouais ! Ça va, pas trop écoeuré de faire le trajet avec moi ?
— Non pas du tout. Cela ne me gêne pas, on a tous des odeurs.
— Ouais mais les miennes sont super fortes.
— C’est vrai, mais les mecs ont tous des odeurs plus ou moins soutenues.
— Moi c’est plutôt plus.
— T’inquiète pas Rachid, c’est pas les odeurs de mec qui vont me gêner. Puis finalement une bite ça se doit de sentir la bite non ?
— Je suis bien de ton avis Nathan, je ne trouve rien de plus écoeurant qu’un zboub qui sent le savon, la mienne a toujours un putain de fumet.
— Moi aussi je trouve que l’odeur du savon ou du gel douche au sexe c’est pas génial.
— Dis-moi Nathan, il me semble que tu me matais pendant que nous discutions sur la route je me trompe ?
Je me sentis rougir.
— Tu rougis ? J’ai donc raison ?
— Oui c’est vrai, je te trouve hyper beau.
— Cool mec. Si tu penses que je ne suis pas trop dégueux, on pourrait faire quelque chose ensemble. Quand penses-tu ?
Pendant qu’il prononçait ces derniers mots, il remit lentement sa bite dégoulinante de sépi dans la poche de son slip, le résultat ne se fit pas attendre. Un dernier écoulement d’urine s’échappa de sa verge et fut pompé par le tissu de son slip laissant apparaître une grande auréole humide supplémentaire. Il scruta son slob l’air satisfait puis remonta son short. La salive me monta à la bouche.
— Tu trouves ce que je viens de faire crade ?
— Non je ne trouve pas, je pense plutôt que t’es un mec hyper viril. En voyant de la manière dont tu t’y prends, je comprends mieux l’odeur que tu dégages et l’état de ton slob.
— Eh Nathan !
— Oui ?
— Je crois que tu as fini depuis un moment !
Je me retrouvais bête car j’avais fini de vidanger depuis un bon moment et j’étais resté à le mater comme un con ma teub à la main. Comme pour montrer que j’approuvais son geste, (finalement c’était moi qui étais encore le plus gêné d’avoir un slip presque immaculé, en effet j’avais deux minuscules auréoles de pisse de la veille et j’avais l’air ridicule), je remis donc ma bite dans la poche de mon slip sans la secouer. A mon tour, la poche de mon slibard se trouva souillée par une grande tâche d’urine qui une fois sec fera une large auréole jaune. Il mata mon slob et je vis dans son regard qu’il approuvait mon geste. Je me sentis mieux d’avoir à mon tour dégueulasser mon calbut et surtout je me sentais plus proche de ce mec hyper bandant.

— Dis Rachid, si tu avais eu la possibilité de te changer et de te laver, tu ne l’aurais pas fait ?
— Si, je me serais lavé au lavabo en prenant soin de ne pas me mouiller les couilles et la teub car j’aime la garder nature. Je ne me serais pas lavé les pieds non plus je kiffe grave quand je me déchausse.
— J’ai pu sentir ça aussi dans le camion.
— Je porte les mêmes skets depuis bientôt un an et elles sont bien odorantes. Pour tout te dire je ne me lave jamais les burnes et la teub et j’envoie ma sépi sans décalloter pour garder le max de from, car je trouve toujours des mectons accros odeurs de zgeg. Une fois, je n’ai trouvé personne pendant 14 jours. Je ne te dis pas comme ma gaule était daubé grave !!! J’avais du me branler une dizaine de fois et j’avais un from d’enfer bien épais et bien crémeux. Le bâtard que j’ai fini par rencontrer en a prit un max dans sa bouche de lope, il a tout avalé sans rechigner. Je trouve que l’odeur de la transpiration est excitante et que d’avoir un slibard foutreux et pisseux plus viril. Toi, tu viens de commencer de dauber ton slob ! T’as une méga auréole humide. T’aimerais qu’il soit comme le mien ?
— Ouais je crois que tu m’as convaincu, je trouve ça très excitant, ça me branche ton truc. Et puis je me suis senti ridicule avec ma poche qui avait deux ridicules taches de sépi, on aurait dit un slip de puceau.
— Que penses-tu de rajouter du bon foutre dans ta poche ?
— Ouais ce serait bien. Après une bonne branlette, je remettrai tout ça dans la poche du slip pour laisser macérer et sécher. Mais je n’aurais hélas jamais de from comme toi car tu as vu je suis circoncis. D’ailleurs Rachid vu ton prénom j’aurais cru que tu l’étais toi aussi...
— Mon père est algérien mais ma mère est espagnole, ils avaient décidé que seul l’ainé serait circoncis. C'est mon frère Aziz qui est cut, moi et mon petit frère Kamel on n’est pas circoncis. A l’âge de 17 ans dans un urinoir public, j’ai rencontré un mec qui sniffait grave du zob et du reste, ça m’avait trop fait kiffer. Du coup, j’ai commencé à travailler mon zboub, mes slob et mes cho7 grave. Kamel avait deux ans de moins et il dormait dans la même chambre que moi. Nous avions un lavabo pour nous laver et pisser, du coup il me voyait uriner sans décalotter et ranger le packson tout mouillé, puis j’avais l’habitude de me branler sur mon lit en calbut pour bien le dauber. Je ne me cachais pas, après tout c’est mon fréro.
— Et il ne t’a jamais rien dit ?
— Non. Il matait discrètement sans rien dire, puis un soir on pissait ensemble dans le lavabo et contrairement à son habitude, il ne s’est pas décalloté et il n’a pas secoué son zgeg, il avait daubé son calbut en soutenant mon regard. Je n’ai rien dit sur le coup, j’ai eu peur de sa réaction et puis qu’il stoppe en si bon chemin, je m’en serais voulu à mort si il avait arrêté de saloper son zgeg. Le soir, il se branlait comme un dingue et larguait tout dans son slob. C’est environ un mois après qu’il ait commencé que je lui ai demandé si ça lui plaisait de faire comme moi et il m’a répondu que s'il avait su que c’était aussi kiffant, il aurait commencé bien plus tôt. A partir de là, il ne se la lavait plus et on cherchait toujours un bon keum bien salope pour nous faire décrasser ensemble. Et crois moi à 15 ans son zgeg était hyper crade comme son kang il sniffait un max et les panards je t’en parle pas. On s’est bien marrés, on faisait des concours de celui qui aurait le zob le plus crade et le plus odorant... c’était hyper kiffant ! 
Un matin il m’a réveillé, il était comme un dingue il criait presque « Rachid, Rachid, mate mon zgeg Rachid  ! Réveille-toi putain, viens kiffe comme elle est daubé à mort putain, c’est cool ! ». Je me suis levé la tête dans le cul et suis allé m’asseoir sur le bord de son lit. Putain, j’en croyais pas mes yeux : son prépuce débordait de foutre sec et il était resté collé à son glandos tant il était rempli de fromton épais, on aurait dit qu’il était tuméfié. Il a été obliger de cracher sur son prépuce un paquet de fois avant de pouvoir dégager son gland et se branler pour en remettre une couche, un vrai pro. Il y allait fort tant il était excité et content d’avoir son zgeg crade un max, je lui ai conseillé d’y aller molo pour ne pas que le from qu’il avait déjà se décolle de son gland. J’ai maté la mienne, elle était bien daubée aussi alors on s’est dit que c’était le moment de chercher une lope sur le net pour se faire décrasser.
— Putain j’aurais voulu voir et sniffer la teub de ton frangin ! T’es un bon prof en la matière. Ton fréro t’a imité et moi maintenant ! Kamel continue-t-il toujours à se pouraver la teub et le reste ?
— Ouais tu parles, son zgeg c’est une usine à fromton ! Il en a toujours une bonne épaisseur, j’ai une de ces putains de fierté qu’il ait pris mon chemin et crois-moi pour ce qui est des odeurs de mâle en rut, c’est un champion, il sent le zboub à 10 lieues !
— Et vos parents, qu’est-ce qu’ils disaient ?
— Rien. Ils sont divorcés, ma mère vit à l’étranger. On est restés avec notre père, il n’a jamais dit quoi que ce soit à ce sujet. D’ailleurs il ne sentait pas la rose non plus, il est routier comme moi et quand il rentrait au bout de quelques jours, il puait grave et on ne peut pas dire qu’il se ruait à la salle de bain. D’ailleurs ses jours de repos, il restait souvent en kangourou à la maison et il avait un max d’auréoles de pisse et de traces de pneus. Aziz, lui, ce n’était pas un accro du gant et du savon non plus et crois-moi ses slobs et ses cho7 valaient bien les nôtres.
— Chez vous ça sentait toujours le mâle à donf alors ?
— Ça tu l’as dit, on aurait dit une cage de fauves.
— Votre père avec ses calbuts crades, ça a du vous influencer tout de même ?
— Ouais, c’était déjà un bon exemple à suivre, comme c’est moi qui était chargé de la lessive il me donnait ses fringues et il n’y avait pas souvent de slibards, j’ai pu constaté qu’il les gardait plus de 10 jours : ils étaient bien daubés.
— Tel père, tel fils !
— Ouais les matins c’était cool, on déjeunait tous en calbut dégueux avec l’auréole pisseuse humide. On porte tous des tailles hautes ouvert à poche comme mon père, je trouvais ça trop kiffant, je pense qu’il était content de nous voir comme lui avec un slip de macho. On avait la fringale, ça devait être dû aux odeurs de ieps et de teub qu’il y avait dans la cuisine.
Finalement tu vois, pour en revenir au prépuce, ça me permet d’avoir du fumet et du from. Je serais toi, je récupérerais mon dernier jet de sépi dans la main et je me masserais le pubis, le zboub et les boules avec pour leur donner une odeur et idem avec le yop, et surtout ne te la lave pas car sans prépuce cela sera plus dur d'avoir une bonne sniff. Si tu salopes vraiment bien ton kang, ta teub s’imprégnera un peu de son odeur.
— Cool ! Je vais suivre tes conseils, j’aimerais que tout ça soit bien daubé.
Nous remontâmes dans le camion il tira les rideaux laissant une légère fente de lumière afin que nous puissions tout de même nous voir et surtout, je crois, que je puisse profiter un max de sa bite.
— C’est cool mec ! Je ne suis pas déçu de t’avoir pris en stop. Tu m’as l’air d’un bon bâtard qui aime la teub bien pourave.

Pendant qu’il disait ces mots, il avait enlevé son short et s’était assis sur la banquette un pied à terre et l’autre jambe allongée. Je me mis à genoux entre ses cuisses, je pouvais voir alors de près la poche bien dégueulasse de son slob. Il portait comme moi un slip kangourou qui n’avait pas d’élastique au niveau des cuisses. C’était un vieux slip dont l’entrejambe était distendu un max, et je pouvais voir une couille poisseuse lourde et pendante qui en dépassait et dont les poils étaient collés par la sueur et très certainement des résidus de bon jus. L’ouverture était aussi gravement distendue car il le portait souvent et tirait dessus pour l’agrandir afin de faciliter les manœuvres pour sortir et rentrer son membre viril. (Je le sais par expérience car je fais pareil, je défonce aussi avec le poing la poche du kangourou pour avoir plus d’espace afin de laisser bien pendre ma teub et mes couilles).

Une odeur de mec en rut m’emplit les narines. Je pus admirer de près la poche de son slip. On ne pouvait compter les auréoles de pisse et de sperme tant il y en avait. Il ota ses skets laissant échapper des odeurs de panards hors du commun.
Puis il me dit :
— Ces cho7 ça fait trois semaines que je les porte, je les ai piquées à Aziz qui les avait déjà portées 15 jours ! Qu’en penses-tu ?
Sans un mot, je pris sa cheville et amena son iep vers mon visage. Sa cho7 était crade on ne peut mieux. Elle était trempée de transpiration, je sortis ma langue et commençais à léger le tissu daubé et humide, j’étais à la limite de gerber tant l’odeur et le goût était fort.
— Aziz c’est le meilleur daubeur de cho7, quand il se déchausse c’est un vestiaire à lui seul ! Tu vois, j’ai bien fait de les prendre.

Pendant de longues minutes, je pris mon pied c’est le cas de le dire. Puis je lui enlevai sa cho7 laissant apparaître son panard long et fin bien puant comme je les aime, j’écartais avec mes doigts ses orteils afin de profiter de chaque recoin où pouvait se cacher du dépôt bien odorant que je récupérai avec ma langue.
— Je crois que t’es bien och. Lève toi et retourne toi.
Je me levai et me retournai.
— Baisse ton calbut sale bâtard !
Je m’exécutai sans un mot. Il me poussa sur les reins fermement avec sa main pour me faire pencher et il m’écarta les jambes. Je m’appuyais avec les mains sur le tableau de bord. Il commença à me caresser les fesses puis d’un coup il me rentra plusieurs doigts dans l’cul. Il le ramona ainsi un long moment et je commençais à gémir de plaisir.
— Tu aimes ça hein sale lope ?!!
— Oui, continue !
— Putain tu mouilles comme une chienne sale bâtard !
Il continua enfonçant toujours plus profonds ses doigts. Puis il les retira.
Remets ton slob et fout toi à genoux. A peine en position, il me colla les doigts gluants sous le nez.
— Tiens bouffe, ça vient de ton fion.

Je me mis à sucer ses doigts et à avaler tous les glaires qu’il avait raclé au plus profond de mon cul. Puis je me mis à remonter avec la langue le long de sa jambe, dont le goût acre de la transpiration me donnait des sensations de bonheur, pour arriver le nez collé sur la poche de son slip bien daubé. J’avais une de ces triques !!!

La poche était par endroit durcie par des dépôts successifs de sperme abondants, je crachais dessus pour humidifier le sperme sec et à pleine bouche je me mis à aspirer tous les résidus de pisse et de purée. Puis je glissai ma main dans l’ouverture pour lui sortir la teub et les burnes. Son zgeg gluant était collé à la peau de ses boules et l’odeur était très intense. Je lui soulevai la bite qui se décolla lentement de ses balloches bien pleines qui retombèrent sur la banquette. Mes doigts étaient déjà poisseux et collants et ils avaient pris l’odeur de son zboub bien daubé. Je me mis à l’œuvre en le décallotant lentement pour profiter du spectacle. Petit à petit, son gros gland apparut rempli de bon fromton bien épais, crémeux et généreux. Ah, il avait du se branler un paquet de fois ces jours derniers. Il me dit alors :
— Ca te dit de me sucer et de bouffer mon from ? C’est du bon, il a 8 jours !

En disant cela, il se recalotta afin de ne pas perdre de from et il baissa son slibard et écarta à nouveau les jambes et je vis que ses poils pubiens étaient tout collés de transpi et de foutre. Je ne répondis pas. Je repris son beau zboub et le redécalottais lentement avec la bouche entre ouverte et je me mis à passer des coups de langue autour de son gland récupérant tout ce bon from qu’il avait gardé pour moi. Je n’en perdis pas une goutte en bon bâtard que j’étais. Puis goulûment je gobais sa verge à donf. Il fit plusieurs va et vient intenses pendant au moins 10 minutes, puis il se mit à gémir se retira de ma bouche gourmande m’envoyant plusieurs jets de foutre bien épais sur la gueule.
— Prends ça p’tite lope !!!
Quand il eut fini, son zboub se rétracta. N’étant pas encore rassasié, je la repris dans la bouche et la nettoya avec ardeur avalant jusqu’à la dernière goutte de son yop. Puis je m’assis sur la banquette, je sortis ma teub par l’ouverture de mon slob et me mis à me branler. Je ne tardai pas à jouir tant il m’avait chauffé. Je restais là un moment savourant chaque minute, puis je remis ma bite pleine de jus dans le fond de la poche de mon slip et je me mis à me tâter le paquet avec ma main dégoulinante de yop l’essuyant sur le slip afin de bien le dauber.

— Putain Nathan, c’était trop bon mais ça m’a donné une envie de pisser.
— Moi aussi, on va pouvoir continuer le boulot dans nos calbuts.
— Tu l’as dit !
— C’est trop top Nathan... ton slip va bientôt être bien pourave comme le mien. Ca te dirai de venir avec moi en Espagne ? Tu pourras profiter encore de mon from, je vais en repréparer pour toi.
— Combien de temps va durer ton voyage ?
— 10 jours. 10 jours pour dauber encore plus ton slob et tes cho7, et me faire un max de fromton.
— Ok mec pas de problème, je suis partant.
— Ok Nathan mais à condition que toi aussi tu daubes bien ton slob de sépi et de foutre.
— Je crois que j’en prends le chemin. Je n’ai que celui-ci et en 10 jours, crois-moi, il sera crade grave.
— Cool man ! On va bien s’éclater alors !

Par NATHAN - Publié dans : Témoignages
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Mercredi 16 août 3 16 /08 /Août 17:14

Avis à tous ceux qui ont flashé sur la queue bien crasseuse d'ALFY et qui veulent en savoir davantage sur lui, voilà de quoi répondre à leur curiosité... 
Décidément ce p'tit mec a l'air grave cho et j'avoue que son idée d'une bonne touze entre mecs bien daubants me fait triquer un max moi aussi ! Quoi de mieux en effet que de se faire décrasser le zob tout en récurant soi-même une bonne tige bien fromageuse... le tout dans une putain d'odeur de keums en rut !!!
Si certains d'entre vous ont déjà participé à un tel plan, surtout qu'ils n'hésitent pas à tout nous raconter en détails ! Et sinon pourquoi ne pas essayer de s'organiser çà un de ces jours...


Pour tous ceux qui veulent en savoir plus sur moi, voilà : j'ai 30 ans et j'habite sur Paris dans le 18ème. Quant à mes trips, je suis de ceux qui partent du principe que quand on ne connaît pas, on ne peut pas juger, aussi je suis ouvert à tout, histoire de m'en faire une opinion. J'ai quand même idées bien arrêtées, comme celles des pieds. Je n'aime absolument pas tout ce qui se rapporte aux ieps (désolé pour les sniffeurs de ieps !!).
Par contre, comme tous ceux qui apprécient ce blog, une bite qui daube un max... WOUAHHHH !!!!
Ce qui m'amène à une certaine réflexion : on trique tous à donf sur le fait d'avoir un gland bien fromageux sous le pif, et on aime tous en avoir une à décrasser en même temps, ce qui est dommage, c'est qu'une fois la teub bien décrassée par nos soins, elle n'a plus d'attrait olfactif. En gros, il faudrait être plusieurs (mais vraiment assez nombreux) pour que chacun puisse décrasser une bonne teub bien daubante, et en avoir une sous le pif en même temps, et là.... YAHOOOOUUUUU, la jouissance extrême !!!!!!!!!!!!
Tout le monde aura compris que ce que j'aime, c'est de m'occuper de plusieurs bites à la fois... Imagine, tu décrasses une bonne bite pendant que tu en sniffes une autre, alors que celle que tu as déjà nettoyée à donf auparavant tu ramones le cul...!!!! Il se crée donc une sorte de roulement, car il faut bien renettoyer celle qui t'a pris, et là, t'attend que le mec se soulage dans ta bouche... En effet, on est tous fait pareil, il me semble, on va tous pisser après avoir joui...
Et ça, j'adore : une rasade de pisse qui te nettoie la bouche !!!

Voilà mes mecs, vous connaissez maintenant ce qui me fait jouir à coup sûr : odeurs, jutes, et pisses !!! A bon entendeur, salut !!!

Alfy

Par ALFY - Publié dans : Trips / Fantasmes
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