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Témoignages

Mardi 7 juillet 2 07 /07 /Juil 15:36

Pas mal ce petit plan abattage entre laskards, non ? Pour ceux qui resterait encore sur leur faim, voilà un nouveau témoignage de XAVIER, un bogosse de 29 ans bien salope sur Paname qui vous avait déjà fait kiffé il y a quelques années avec son témoignage "Le décrasseur décrassé" (une des premières contributions du blog). Preuve qu'il est fidèle au blog car il revient aujourd'hui avec le récit hyper bandant de son dernier lopage dans les chiottes de la fac...

On a beau être en pleines vacances, ce plan Q hyper och va certainement donner envie à beaucoup d'entre vous de reprendre rapidement les cours. Si vous aussi vous avez de bonnes anecdotes de plans dans les chiottes à raconter, n'hésitez pas à m'envoyer vos récits... 

 

Salut les sniffeurs ! Ca fait un p'tit moment que je vous ai pas écrit les récits de mes p'tits plans de bonne tepu chodasse. Depuis quelques temps, j'ai moins de temps pour moi mais j'ai gardé quelques contacts à qui je sers régulièrement de sac à foutre. Comme d'habitude, toute ressemblance avec des faits ayant réellement eu lieu ne serait pas purement fortuite.
Approche classique via un site de cul. On se donne rencard par mail et on se retrouve devant un bâtiment du campus, puis on descend dans les chiottes discretos. Elles sont larges, ça laisse de la place. Là, le mecton m'ordonne illico : 

— A oilpé et à genoux ! désignant du bout du doigt le sol devant son pacson.

Le ton étant donné, je m'exécute dans mon rôle de bonne salope. Il commence à me coller le pif sur son pacson déja serré à l'étroit dans son jean moulant.

A ce moment,  je choppe sa sket trop lointaine et je lui montre qu'il peut me serrer le pacson avec en la rapprochant de mes burnes à terre et en écartant les cuisses. Tout en me plaquant sa main derrière la tête, il commence à défaire sa ceinture. Pendant qu'il fait sauter son bouton, je baisse sa braguette avec les dents et je colle aussitôt mon pif dans la fente juste ouverte. C'est bon, c'est chaud, ça sent le mâle, le vrai, le naturel ! 
Puis le calbut tombe et le slobard apparaît, laissant deviner  quelques taches de mouille.
— J'espère que tu kiffes man, elle est pas sortie prendre l'air depuis trois jours !
Pour lui faire comprendre que j'apprécie, comme il dit, je colle mon pif direct au pacson pour sniffer le subtil fumet. Je m'enivre déjà, mais voilà soudain que le gland sort déjà par le côté. Il me choppe la tête en arrière et me lance alors :
— T'as intérêt à avoir soif ! en me larguant une première rasade de jaune dans la gorge.
Le gland n'est pas encore décalotté mais qu'à cela ne tienne, en le choppant par le pacson je mets ma langue à l'oeuvre pour y découvrir un peu de from bien caché.

Là, il me fait une surprise de choix, il se retourne et s'accroupissant, il me fout sa rondelle sous les yeux ! Je lui prends les couilles en main pour l'attirer vers moi et il me colle la pastille direct sur le pif. J'en peux plus, je lui déguste la rosette en lui enfonçant ma langue le plus profond possible, pendant que mes mains se chargent de lui écarter la raie. Assis la tête contre le mur, coincé par son cul, je suis aux anges. Mais v'là ti pas qu'il m'ordonne de m'allonger par terre... Je m'exécute !

Il se met alors au-dessus de moi et me rejette une bonne rasade de pisse bien chaude à la geule. Puis il se retourne à nouveau au-dessus de moi et s'assied sur ma tronche, enfoncant son zgeg dans ma bouche. Ensuite, se décalant un peu, il me refout son derche sur la tronche, en s'exclamant fièrement :
— Allez ma pute, je sais que t'aimes ça alors applique-toi et fais plaisir à ton maître !
Je le bouffe pendant de longues minutes avant qu'il se relève et aille devant les chiottes. Il se met alors en position de pisser et me regarde, faisant un signe de la tête tout en grognant :
— Viens à l'abreuvoir, salope !
Je m'approche de son zgeg qu'il pointe fièrement. Il me fout la tête dans la tinette sur le côté du chiotte et me dit :
— Allez ouvre la bouche et bois, j'ai grave envie ! en me foutant son bitos dans la gueule.
Et il se lache en un jet intense et puissant, que j'ai du mal à avaler. Enfin, il se met à se branler furieusement pendant que je lui lèche les couilles bien pendantes et poilues. Il finit par se décharger sur ma gueule. Il se rhabille sans un mot et quitte le chiotte me laisssant cuver dans la pisse et le foutre.
 

Depuis, il me rapelle de temps en temps, à chaque fois qu'il a besoin d'une langue pour se faire décrasser le zgeg et qu'un urinoir à 37.5° lui semble recommandé pour son nectar en fond de gorge.  

XAVIER

Hummmm rapide mais efficace ton témoignage gars ! ça donne envie de sortir se faire un bon plan dans les chiottes les plus proches. D'ailleurs à ce propos, un petit sondage express concernant les trips chiottes, histoire d'en savoir un peu plus sur vous et sur vos trips. Merci de prendre 30 secondes pour répondre...



Par XAVIER - Publié dans : Témoignages
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Vendredi 26 juin 5 26 /06 /Juin 20:30

Et ouais, c'est encore moi ! Décidément vous êtes gâtés aujourd'hui ! ;-) Après deux superbes vidéos de touze au jus entre minets, des pics d'une belle teub belge bien fromageuse, voilà le récit hyper kiffant de BITOFROM, un fidèle du blog depuis des années, qui a décidé de vous faire partager son premier plan décrassage... Ce moment de plaisir intense où le pif du mec vient se coller sur votre glandos bien crémeux et où sa langue passe délicatement sous le prépuce pour recueillir tout le fromton. Putain, ton histoire m'a vraiment rappelé des souvenirs mec et je suis certain que beaucoup d'entre vous ont dû commencer les trips odeurs avec un plan de ce genre.

D'ailleurs si certains veulent réagir sur cet article ou mieux encore raconter leur premier plan odeurs, n'hésitez surtout pas ! En plus, ça peut aider pas mal de mecs qui n'ont pas encore franchi le pas à voir concrétement comment ça se passe la première fois. Et pour compléter ce superbe récit, un petit sondage pour en savoir un peu plus sur votre première fois à vous...



Et maintenant que vous avez répondu, tous à vos queues pour lire (et relire) le témoignage hyper excitant de BITOFROM, illustré d'ailleurs par ses propres photos. Et avis aux quelques mecs qui avaient regretté de ne pas voir  davantage de trips odeurs de fion sur ce blog,  je pense qu'ils vont adorer cet article... Et pour ceux que ça pourrait éventuellement choquer, ben chacun son truc après tout... L'essentiel dans le sexe n'est-il pas de se faire plaisir entre personnes adultes et consentantes ? ;-)

 

Salut les mecs ! Tout d'abord, j'aimerais dire que ce blog et très excitant, j'y viens souvent pour me vider les couilles en lisant les récits. Et ouais, je suis un accro de la branlette ! Si je ne baise pas, je me branle 2 à 3 fois par jours, espacé généralement de 3 à 4 heures. Je suis plutôt bon juteur, avec de bons jets de sperme plutôt fluide : les 3 ou 4 premiers jets atterrissent sur le haut de mon torse, voire sur mon cou et parfois le menton, le reste va sur le ventre et bas-ventre. Je suis peu poilu niveau torse, par contre j'ai la teub et le fion poilus. Les fions poilus,  hummmm j'adore çà ! Un mec imberbe ne m'excite pas trop, alors qu'un mec avec des poils, c'est tout de suite plus excitant, surtout les poils du cul que j'aime arroser avec mes bons jets de sperme.

J'ai aussi d'autres trips comme voir un mec les couilles bien pleines en train de se branler devant un miroir et bien gicler dessus. Un de mes trips pas encore réalisé c'est de voir un mec domi en train de loper un passif soumis, sans participer mais juste en tant que spectateur en me branlant. J’ai un copain depuis 10 ans, mais il n’est pas du tout branché odeurs. On se fait des plans à 3 soft et j'aime bien mater mon mec en train de limer un cul. Je passe alors derrière lui et regarde de près sa  bite qui bourre bien le cul du mec. Mon cop et moi préférons nous partager un passif plutôt qu'un actif. J’aime aussi sniffer les boxers (les miens ou ceux de mon cop), bien les renifler en me branlant. Je prends toujours un malin plaisir  à passer un de mes doigts entre ma raie pour le sniffer ensuite, surtout l’été, c'est trop bon ! Le poppers, je kiffe pas mais une bonne odeur de fion humide, hummm alors là ça m'excite grave ! Au repos, ça a un effet quasi-immédiat : je sniffe une bonne odeur de fion et je bande direct.
Après vous avoir parlé de mes petits trips, je vais vous raconter mon premier décrassage. J'avais 29ans et depuis deux ans environ, j'avais envie d'une première expérience crade : sniffer, me faire sniffer et décrasser mais comme vous le savez, ce genre de plans est dur à trouver. Les sniffeurs décrasseurs, ça court pas les rues par chez moi ! J'ai donc cherché, puis abandonné, avant de recommencer à chercher sans succès. Puis par le biais de sites, j’ai eu quelques contacts mais j'allais rencontrer d’autres problèmes. Le premier mec était ok mais il voulait plus que ce que je lui proposais. Moi, je cherchais juste à sniffer et me faire sniffer teub et fion, puis à me faire décrasser. Il était ok pour ça, mais il voulait également que je lui pisse dessus ou que je le soumette. Je cherchais pas un plan uro et soumettre un mec n'est pas vraiment mon truc ; du coup, il a refusé. Tant pis, j'en ai cherché un autre… Le deuxième était pas loin de chez moi, là aussi il était ok pour sniffer et décrasser mais il voulait un plan en extérieur. J’ai refusé et pourtant j'en avais grave envie de ce plan mais je ne fais jamais de plan en extérieur, je reçois chez moi. Mais malgré mon insistance, il n’a pas voulu venir. Encore raté !
Je ressors du dial frustré, puis un jour où j'étais bien décidé à me faire ce genre de plan, j'ai cherché sur plein de site (j'étais en congés et j'avais donc tout le temps de chercher). Après quelques contacts sur le site, un mec de Toulouse me répond qu’il est ok, je lui donne mes conditions, que je cherche juste a sniffer, me faire sniffer et décrasser et rien d'autre : ça ne lui pose aucun problème.  On échange donc nos adresses msn, je lui file 3 pics prises deux jours avant : une de mon boxer blanc pisseux avec des traces de merde derrière, une de ma teub au from de 7 jours puis une autre où l'on voit ma teub par en-dessous. Les pics lui plaisent et malgré la distance, il me dit qu’il a grave envie de la sniffer et de la nettoyer à la langue. Je bande dur ! On échange nos tels et on prévoit l'heure : tout est ok ! Il m'envoie un texto pour me dire qu'il part de chez lui.

J'étais impatient et excité, j'avais pris soin de bien faire en sorte d'avoir du from et de bonnes odeurs de mâle, j'avais pissé dans mon boxer blanc 5 jours avant, j'avais juté dedans aussi  puis je l'avais mis de côté dans un sac plastique. J'avais ce soir-là un boxer kaki bien daubant, porté pendant toute la semaine, J'arrêtais pas de me demander s’il allait aimer. Je suis allé chercher mon boxer blanc puis j'ai retiré le kaki pour mettre le blanc, avant de renfiler le kaki par-dessus. Me voilà avec 2 boxers fumants ! Pour amplifier les odeurs, je décide de me faire transpirer un max. Je vais dans la salle de bain et je fous le chauffage à fond, tout en restant habillé chaudement, et je commence à faire des pompes. J'avais le temps : 1h30 environ avant qu’il n’arrive. J’ai  donc fait des pompes, je m'arrêtais un peu puis je recommençais. Le sport, c'est franchement pas mon truc mais là, il fallait que je transpire un max : je voulais pas que le mec soit déçu. Au bout d'une bonne demi-heure, j’ai arrêté. Je sentais mon corps bouillant, j'avais le tee-shirt trempé, je transpirais bien sous les bras et le premier boxer était humide ce qui faisait ressortir l'odeur de pisse : ça devrait suffire ! Je retourne donc au salon, me roule un pétard et me fous devant ma play. Je sentais l'odeur de pisse et de transpi, en attendant patiemment mon premier décrasseur.
Plus d'une heure s’écoule puis le téléphone sonne : il est arrivé en ville. Je lui indique alors les rues à prendre puis de la fenêtre, je regarde. Il descend ma rue, je lui dis de se garer sur le parking juste en face de chez moi, je raccroche et descends le chercher. Après les présentations d’usage, on monte au premier puis je l’amène dans la chambre. On dial un peu en fumant une clope. Une fois fini, on s'assoit sur le lit et là, d'entrée, il me roule une pelle. On se caresse puis il commence à sniffer mon tee-shirt. Je remarque qu'il aime et je le laisse sniffer longuement : il passe son pif partout, y compris sur mes aisselles qui sentent carrément le fauve. Je l'entends renifler à fond puis il descend au niveau de mon entrejambe puis, tout en continuant de sniffer, me regarde avec un léger sourire. On dirait qu'il est aux anges ! Il profite un max et prend son temps à sniffer tous les endroits. Il revient ensuite ver mon visage et on se roule une pelle d’enfer. Il enlève mon tee-shirt et colle à nouveau son pif sous mes bras pour bien les sniffer et les lécher. Hummm ça commence à me plaire. Je lui demande s’il aime, il répond « Oui toujours ! » avec ce petit sourire conquis, puis il redescend lentement. Je m'allonge sur le dos et il se remet à sniffer mon entrejambe. Je porte un pantalon en tissu doublé avec un élastique à la taille ; il tend le devant du pantalon pour sniffer dedans.

Putain, si jusqu'à maintenant je bandais mou, là de le voir faire çà et de l’entendre bien renifler, ça m’a fait bander hyper dur !! Il se tripote la bite, il enlève mon pantalon pour se mettre à sniffer le premier boxer kaki que j'avais porté toute la semaine et qui venait d'être imprégné de l’odeur du boxer blanc pisseux. Je l’entends illico gémir de plaisir : il kiffe grave on dirait ! Il sniffe autour du boxer, il le descend légèrement tout en reniflant et là son pif tombe sur le boxer blanc. Il me lèche la teub et les couilles au travers… putain j'adore !!!  Il salive un max dessus puis enlève totalement le kaki, qu’il garde entre les mains pour mieux le sniffer. Ouah, il aime vraiment ça et inutile de dire que ça m'excite un max ! Il revient ensuite sniffer le boxer blanc, il le descend, sniffant le devant puis le derrière, en léchant les traces de merde. Je sens toutes les odeurs se mélanger autour de moi et je suis grave cho ! Après avoir bien nettoyé à la langue le boxer blanc pendant de longues minutes, il passe à ma teub et fout son nez devant ma teub. Elle est redevenue un peu molle,  le prépuce recouvre quasiment tout le gland. Putain, moi qui attendais çà depuis longtemps, je m’étais souvent branlé en imaginant un mec le pif devant ma teub que je décalottais doucement. J’ai donc fait la même chose avec lui… Hummm trop bon !!!
Il la sniffe et renifle longuement mes couilles humides, puis il la prend doucement ma teub en bouche  sans la décalotter. Puis, avant que je ne bande bien dur, il colle son pif direct devant mon gland puis écarte délicatement le prépuce pour sniffer l'intérieur ; ça l'excite visiblement beaucoup si j’en crois les nombreux gémissement qu’il émet. Il passe alors sa langue à l'intérieur, ma bite se tend de plus en plus et le gland commence à apparaître. Il prend mon gland encore un peu recouvert du prépuce puis tout en continuant de sniffer,  il le décalotte doucement… Putain, j'aurais jamais cru que cela allait autan me plaire ! J’ai senti mes couilles bouillir quand il s’est mis à lécher le bout du gland, là où il y a le moins de from.  Pui sa langue descend sur le gland, jusqu’à ce qu’elle trouve une bonne épaisseur de from humide et jauni par la pisse. Il passe bien sa langue partout sur ma teub et ramasse au fur et à mesure tout le from accumulé pendant 7 jours sur mon gland.

Une fois ma teub bien nettoyée, on se roule une nouvelle pelle. En temps normal, j'aurais jamais roulé une pelle à un mec qui vient juste de décrasser une teub bien crade mais là, dans l'excitation, ça ne me gêne pas le moins du monde. Je sens le goût de mon from dans sa bouche. Bien sûr, j'avais déjà goûté à mon propre from en passant un doigt dessus pour en prendre un peu mais là c’est encore plus excitant… ça colle au palais et ça se répand dans la bouche : le genre de truc qui reste un moment ! Je bande un max  et j'ai trop envie de me faire lécher les couilles. Il est maintenant allongé à poil sur le lit, je m’accroupis sur sa face afin de lui donner mes couilles à lécher tout en me branlant. Je sais pas vous mais moi j'adore qu'on me lèche les couilles ! Il passe sa langue entre les couilles et mon trou… Putain cette zone chez moi, c'est terrible ! ça me fait trop de bien de me faire lécher le dessous des couilles. Je me branle en même temps mais au bout de quelques secondes, je sens que la sauce monte. J'arrête aussitôt de me branler puis je lui donne mon fion à sniffer.
Il y colle le pif direct puis se met à me lécher les fesses à grands coups de langue. Il passe ensuite la langue sur ma raie daubante, tout en se shootant littéralement avec ma bonne odeur de fion humide. Il enfonce sa langue bien au fond de mon trou, ce qui a failli me faire jouir direct ! Un fois la rondelle bien décrassée, je me mets à genoux et il se redresse aussitôt pour me sucer. Après avoir sniffé mes odeurs de jeune mâle en rut et avoir nettoyé ma teub et mon fion, il va goûter à mon jus ! Je lui colle donc ma queue bien au fond de la bouche (c'est trop bon de se faire engloutir la teub par une bouche chaude !) et après quelques vas-et-viens dans sa bouche, je largue mes jets de sperme en gueulant ! Je l'entends avaler 3 ou 4 jets bien puissants, mais je sens qu’il a du mal à tout gobé tellement y’en a. Mais il a quand même tout avalé et visiblement, il a bien aimé le final. Moi aussi d’ailleurs ! On s’est ensuite rhabillés puis je l’ai raccompagné à sa voiture. On s'est dit à la prochaine mais je ne l’ai jamais revu sur msn.
Voilà, j’espère que ma première expérience de décrassage vous a bien fait bander et juter. Merci à Teubcrade et longue vie à ce blog ! Bonne branle et peut-être à bientôt...

BITOFROM

Par BITOFROM - Publié dans : Témoignages
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Mardi 16 juin 2 16 /06 /Juin 17:40

Comme promis, je continue à publier les quelques témoignages hyper bandants que vous m'avez envoyés ces deux derniers mois... Visiblement le plan pisse de HAIRYLEGS94 ne vous a pas laissé indifférent et je pense que beaucoup d'entre vous y repenseront lorsqu'ils s'arrêteront pisser dans les chiottes d'une aire d'autoroute cet été ! ;-)

Je pense que vous devriez également kiffer grave le nouveau témoignage de XAV (alias HARDHAIRY) qui, après avoir servi de vide-couilles à 3 potes de rugby puis s'être fait loper par un ouvrier du BTP bien macho sur Marseille, s'est maintenant trouvé un master bien hard pour le faire progresser. Et pour commencer ce dressage, une bonne mise à dispo de ce bâtard dans des chiottes désaffectés pendant toute une nuit... C'est clair que pour un début c'est carrément trash mais passée l'appréhension des premières heures, cette chiennasse a eu l'air d'apprécier d'être mise à dispo. D'autant plus que son master lui avait sélectionné de bons queutards bien och et hyper daubants ! De quoi lui en mettre plein les narines, et vous faire cracher un max de yop à la lecture de son récit...
Je vous laisse découvrir ce plan de ouf, illustré là-encore par des pics du net pour le rendre encore plus bandant ! Bonne sturbe à tous !!!

Salut les mecs ! Je ne résiste pas à l'envie de vous raconter ma dernière aventure. J'avais esperé ce genre de plan depuis longtemps, sans jamais fanchir le pas... C'est maintenant chose faite. 

Depuis quelques mois, je suis en relation avec Olivier, un master de 40 ans physiquement très différent de moi. Il est haut comme trois pommes, moi je mesure 1m96, il est imberbe moi je suis très poilu, il est très musclé, moi je suis longiligne. Ce qui nous a bien rapproché c'est le cul ! Il prend son pied à humilier, à utiliser un mec comme urinoir, comme nettoyeur de raie, de couilles, de gland fromageux, d'aisselles, de panards. Nous nous sommes rencontrés dans une boîte à cul et j'ai pu lui montrer que je pouvais être le bâtard idéal pour lui. Quand je lui ai raconté mes derniers exploits de clebs à dispo, il s’est senti dans l’obligation de faire mieux. A peine étions nous sortis de la boîte qu’il m’emmena sur une aire de repos désaffectée pour me montrer le lieu de ma prochaine humiliation. J’avais bien vu que cette aire de repos où rodaient habituellement des gays avait été supprimée, mais je ne savais pas qu’il était encore possible d’y accéder par un chemin. A l’origine, il devait y avoir trois pissotières, mais celle du milieu avait été retirée. Il restait donc deux pissotières puantes avec un bel espace entre elles, des graffitis porno sur les murs, bref le lieu idéal pour une lope en mal de baise bien crade !

Pour me mettre en appétit Olivier m’ordonna de me mettre à genoux entre deux urinoirs et il m’arrosa de sa pisse chaude avant de m’enfourner sa bite pour me limer la gueule pendant de longues minutes. Il était tellement excité qu’il juta sur mon tee-shirt avant de me ramener chez moi.
T’inquiète Xav, je te prépare un plan comme tu n’en as jamais fait, tiens-toi prêt dans un mois en jock et chaps, le cul nikel !
Le mois de septembre aura été le plus long de l’année pour moi, d’autant qu’Olivier me tenait informé de l’avancement de son organisation par texto chaque jour. Connaissant mon goût pour les décrassages, il s’appliquait à me trouver des mecs bien daubants. Le 26 septembre j’ai reçu le texto suivant : « mon pote maçon s’est toujours pas savonné la bite depuis le début du mois, ses collègues lui disent qu’il commence à puer ». En rentrant chez moi le soir-même, j’ai pu admirer le slob du pote en question, du jamais vu…je me touchais à peine la bite que je crachais toute ma sauce tellement j’étais excité de savoir que 4 jours après j’allais morfler, mais je ne savais toujours pas combien de bites allaient défiler en moi. La nuit du 29 au 30, j’ai eu beaucoup de mal à trouver le sommeil, je bandais comme un âne et dès que je m’endormais je rêvais aux chiottes de l’aire de repos. 

Le 30 septembre à 22 heures, Olivier s’est présenté chez moi : rangers, treillis, débardeur blanc. J’étais en tenue de combat moi aussi, mais le cul à l’air. Putain j’avais la gorge serrée et je ne voulais rien lui demander.
Alors ma salope, ta chatte est bien propre, on va bien t’utiliser, prépare-toi à une grande soirée !
Sans rien dire, je l’ai suivi dans sa bagnole. Il m’a demandé de retirer mes groles et il m’a enfilé une cagoule, et des bracelets en cuir aux bras et aux chevilles. Avant de démarrer, il me força à sniffer son paquet qui daubait un max à travers le treillis, je l’ai alors supplié de sortir sa bite pour bien en profiter.
T’inquiète, t’auras le temps de l’avoir dans la gueule celle-là et un maximum d’autres !
Je me suis redressé et nous avons roulé 20 bonnes minutes sans un mot. A peine arrivée à l’aire de repos, je me suis retrouvé attaché par les poignets entre deux pissotières assis le dos au mur. Olivier me retira la cagoule, pour m’enfourner direct son gland recouvert de fromton…
Lèche-moi ça sale pute !  Passe bien ta langue autour du gland que je sois bien propre du zob !
Je m’exécutais avec plaisir en me recevant ses mollards dans la gueule et je m’excitais un max à sentir de chaque côté de ma tête les pissotières. C’est alors que deux mecs se mirent à pisser dans les deux urinoirs. Celui de droite me montra son slob avant de sortir sa bite, ça ne pouvait être que le maçon tellement il puait du slob simplement en ouvrant son jean.

De l’autre côté, c’était un jeune beur en survêt et skets super mignon, qui bandait déjà avant même de pisser. Il ne tarda pas à pisser à côté de l’urinoir et à se diriger vers ma gueule pour me la remplir, comme si j’étais une simple pissotière, son fromton mélangé à sa pisse me dégoulinait sur la gueule et il en profitait pour me débarbouiller avec. Il me prit la tête avec ses deux mains pour me guider sous ses couilles : ça puait la transpiration et l’odeur de jeune mâle négligé. Voyant que ses couilles poilues m’excitaient bien, il décida de me les foutre toutes les deux dans la bouche. Elles avaient un goût âcre et je me délectais à les faire rouler sous ma langue pendant qu’il se branlait en crachant sur sa tige. Je récoltais du coup ses mollards qui glissaient sur ses couilles.

Il se retourna sans rien dire et me présenta sa raie poisseuse que j’ai dû lécher comme une chienne. A l’évidence, il n’avait pas pris de douche et il écartait bien sa raie pour que je pénètre sa rondelle avec la pointe de la langue. Olivier me félicitait et se mit à me pisser sur la raie du beur en me demandant de bien nettoyer jusqu’à la dernière goutte. Je ne me touchais pas la bite car j’aurais craché tout de suite. J’avais carrément oublié l’ouvrier qui finissait de pisser à côté, mais il retira ses rangers et se mit à essuyer la raie pisseuse du beur avant de m’enfourner ses panards puants. Il avait des cho7 en laine kaki bien cartonnées et je ne savais plus où donner du pif entre l’odeur de la raie, celle de la pisse d’Olivier et celle des panards du maçon. Les trois se sont relayés pour m’enfiler leur zob dans la gueule en m’insultant et en me crachant sur la gueule pendant 20 bonnes minutes... C’était déjà l’extase pour moi et j’allais me satisfaire de ce bon plan avec trois dominateurs. J’attendais plus que les enculades à la chaîne avec ces trois membres bien dimensionnés. 
Olivier décida alors de me détacher pour me retourner à 4 pattes et il replaça les menottes pour bien me fixer les deux mains aux urinoirs. J’avais le cul offert et je me suis dit que mes trois gaillards allaient en profiter un max. Le maçon se plaçait alors contre le mur, jambes écartées pour que je puisse gober son chibre qui puait et les deux autres m’ont limé en me claquant le cul. L’ouvrier s’est servi de son slob immonde pour me bâillonner, car je gueulais trop, j’avais quasiment envie de vomir tellement il était dégueulasse, et il m’encula direct comme un bourrin pendant que les deux autres buvaient une bière en me pissant dessus. J’étais trempé par la pisse, je commençais à avoir froid, et j’avais la gueule qui puait le fromton. J’avais mal au cul, mais je savais qu’au bout d’un moment je prendrai vraiment du plaisir à me faire défoncer.
Olivier tu nous as trouvé une bonne pute bien docile, faut en faire profiter les autres !
Le jeune qui n’avait rien dit jusque là me prit alors par les cheveux pour que je le suce et il se mit rapido à me juter sur le cou en me traîtant de salope, de tire-jus, de vide-couilles. Il me donna une baffe, m’essuya son foutre avec une de ses cho7, j’ai sniffé ses skets pouraves, et il s’est cassé. Olivier et son pote l’ont suivi jusqu’à sa bagnole et je les attendais pour m’occuper de leurs bites… Sauf que j’ai clairement entendu trois bagnoles repartir, et je me retrouvais menotté à deux urinoirs, sur une aire de repos abandonnée, trempé de pisse, le cul en l’air…

 

J’ai vraiment cru que des flics passeraient pour faire une ronde et qu’ils me trouveraient attaché, souillé, et j’ai vraiment paniqué. Comme dans les films, je me suis demandé comment me libérer les poignets des bracelets en cuir, j’ai essayé de forcer sur la tuyauterie des urinoirs qui ne risquait pas de bouger, et j’échafaudais une explication au cas où quelqu’un viendrait. Après de longues minutes, j’ai entendu une moto s’arrêter, j’ai vraiment cru que c’était les flics, j’avais une trouille d’enfer et je ne risquais plus de bander… C’était l’aventure de trop et j’allais être vacciné pour un moment ! Deux mecs se sont pointés avec leur casque et ils se mirent à se foutre de ma gueule à 4 pattes et attaché. Ils se sont tous les deux pointés devant chaque urinoir et ils ont sorti leur zob. Celui de droite m’a rassuré, en se décalottant pour pisser car j’ai vu du fromton tomber de son gland. Il le récupéra dans la pissotière et il me l’enfourna direct dans la gueule.
Olivier avait raison c’est cool de venir pisser ici ! Hein Eric, qu’est-ce que t’en penses ?
Je me suis retourné vers le deuxième mec qui avait une putain de grosse queue avec un long prépuce, tout ce que j’aime.
Ben ouais, on va l’essayer cette chienne !
Eric s’est tourné vers moi pour finir de me pisser dans la gueule en m’enfournant direct sa bite. Il ne bandait pas encore totalement et je sentais son prépuce au fond de la gorge qui ruisselait de pisse. Après avoir tout englouti, j’ai commencé à bien le sucer pour lui faire gonfler son chibre. Son gland s’est bien libéré, il avait aussi du from et il gémissait de plaisir en me voyant le sucer, l’autre semblait jaloux que je ne m’occupe que de la bite de son pote, il s’est mis à m’insulter :
Ben alors t’es une salope ou t’es pas une salope ?!! Si t’es là pour faire ta sucrée et choisir tes bites, je me casse !

Sans rien dire, je me suis approché de son paquet et je m’en suis bien occupé pendant quelques minutes alors qu’il me collait des baffes. C’est alors que l’autre est passé derrière, a enfilé une Kpote et m’a bourré comme une bête pendant que je suçais l’autre qui commençait maintenant à me complimenter. Ils se sont relayés entre mon cul et ma gueule et ils ont fini par me juter dessus. Sans rien dire, ils se sont cassés, et je n’étais pas plus avancé. J’avais bien dégusté, mais je ne savais toujours pas ce que j’allais devenir.

 

Deux minutes après, c’est Olivier qui s’est pointé avec son pote maçon et deux autres gars, genre portugais, poilus comme j’aime.
Pour finir ta soirée de lope, tu vas satisfaire mes deux collègues ! me lança le maçon. Ils ne s’étaient pas changés après leur taff, et ils puaient la transpi. Olivier me détacha et il m’ordonna de lécher les deux mecs en partant des aisselles jusqu’aux panards. J’aime les plans crades, mais là c’était cho pour moi, surtout les panards qui daubaient un max dans leurs bottes de chantier. Les quatre gaillards m’ont ensuite enfilé les uns après les autres pendant que la file d’attente se formait devant ma gueule pour que je suce, et je me faisais insulter dès que je montrais des signes de fatigue. J’ai fini assis entre les deux urinoirs avec le foutre que les quatre mecs ont carrément largué en même temps sur moi.

J’avais plus qu’à me branler avec tout ce foutre pour jouir comme rarement ça m’est arrivé… Un vrai régal !!! Mais heureux d’avoir pu rapidement me retrouver à la maison sous ma douche tellement j’étais souillé !

 

XAV (alias HARDHAIRY)

Par HARDHAIRY - Publié dans : Témoignages
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Vendredi 12 juin 5 12 /06 /Juin 17:22

Alors les mecs, pas mal ces deux queutards en train de pilonner leur batard, non ?!! Comme promis, je vais commencer à publier les contributions que quelques-uns d'entre vous m'ont envoyées ces dernières semaines et qui, je l'avoue, m'ont fait cracher un max ! A commencer par le témoignage de PIERRE, un bon p'tit batard de 21 ans kiffeur d'odeurs qui s'est récemment fait larver à la pisse lors d'un arrêt dans les chiottes de l'autoroute... Et on peut dire que pour une première, son iniateur ne l'a pas ménagé ! Mais à voir comment il triquait à la fin du plan, couvert de jus et de pisse, je suis sûr qu'il était prêt à remettre çà direct ! ;-)

Comme d'habitude, et sauf mention contraire, les pics illustrant l'article ne sont pas des pics réelles du plan mais des pics prises sur le net, donc inutile de laisser des commentaires pour dire qu'elles ne correspondent pas exactement au plan... Je les fous juste histoire de vous filer encore plus la gaule ! Alors bonne sturbe à tous et merci à toi Pierre ne nous avoir fait partager ce putain de bon plan bien crade !!


Salut Teubcrade ! Je m'appelle Pierre, j'ai 21 ans typé espagnol, musclé sec et bien passif, bonne gueule de salope et grosses narines avides d’odeur de teub ! Je vis à nantes et ça fait un an que je kiffe ton blog. En attendant de pouvoir décrasser ta teub mythique, je t'envoie un plan que j'ai fait la semaine dernière. J’espère qu'il mettra le barreau direct à tous les kiffeurs du blog parce que moi j’ai bien pris mon pied !

La semaine dernière en revenant sur Nantes, grosse envie de pisser ! Je décide innocemment de m’arrêter sur une aire d’autoroute pour me soulager. Je gare ma caisse et constate que le parking est bien chargé. Je descends et me dirige vers les chiottes.
A l’intérieur plein de graffitis de bites, de couilles, d’enculade... Soudain, un mec me rejoint et s’installe devant la pissotière à coté de la mienne. Il sort sa teub et commence à se gratter les couilles et à s’astiquer doucement le manche. Il avait une putain de belle teub : épaisse et bien veineuse comme je kiffe avoir en bouche ! Et surtout, j’ai commencé à sentir une odeur de pourri bien bandante.  Il m’a foutu le barreau direct et ça, il l’a bien vu.

D’un coup, il me saisit brutalement par le col de mon T-shirt et m’envoie dans la cabine de chiotte. Il rentre et ferme la porte à clef. C’est sûr, il va me faire ma fête ! Un bon regard de tueur, un mollard direct envoyé sur la gueule sont les prémices du plan. Bien docile, je me fous direct à genoux prêt à manger chaud. Le mec se rapproche de moi, me passe la teub devant le pif et commence à me la faire sentir. Putain, je me rapproche et commence à renifler à plein poumon. Il approche bien sa teub et me colle le gland sur chaque narine histoire de bien être sûr de marquer son territoire. Il me graisse bien le gland sur le pif et sur la bouche avant de décalotter son gland. Pas beaucoup de from mais un putain de fumet à faire vomir les novices. J’ai donc voulu commencer à décrasser cette teub dégueu quand le mec à juger  utile de me faire faire une autre activité. Il m’a pris par le cou en serrant bien fort ses deux doigts et m’a placé au dessus de la cuvette des chiottes. Je ne savais pas ce qu’il attendait de moi. D’un coup, il m’a appuyé sur la tête jusqu’à ce qu’elle touche la cuvette. Ces gestes étaient insistants, bien virils limite violents. Son but était que je récure la cuvette des chiottes maculée de pisse. J’ai trouvé çà dégueu et j’ai eu un mouvement de recul. Le mec m’a alors empoigné tellement fort que j'ai été obligé d'obéir. Je me suis mis à récurer la pisse des chiottes devant le sourire du mec qui me forçait à le faire. Rapidement, j’ai commencé à prendre mon pied et je me suis appliqué dans cette nouvelle mission.
Jugeant mon travail bien fait, il m’a laissé le droit de renifler sa teub et de sortir ma langue pour commencer à décrasser son matos. Rapidement, il s’est mis en mode « j'te défonce la gorge » ! Il me maintenait bien fermement la tête et foutait des grands coups de reins. Ses couilles venaient claquer sur ma gueule à chaque mouvement. Il a joui très vite en m’envoyant sa purée direct en fond de gorge. Il s’est retiré de ma bouche et m’a souri sadiquement. A ce moment là, il a sorti de sa poche une capote usagée qu’il s’est vidé dans la main. Il s’est rapproché de moi et m’a englué la gueule avec cette semence dont je ne connaissais pas le fournisseur. Puis il s’est cassé sans un mot, me laissant en plan avec une bosse énorme dans le fut et du sperme jauni dégoulinant sur mes fringues.

Bonne expérience que je recommande !

Par Pierre - Publié dans : Témoignages
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Dimanche 5 avril 7 05 /04 /Avr 12:03

Alors les queutards, on profite des premiers rayons du soleil pour transpirer un max et s'en foutre plein les narines ?! lol Visiblement, l'arrivée du printemps a réveillé les hormones de beaucoup d'entre vous qui redécouvrent les plaisirs de bons plans sniffage et décrassage en pleine nature ! C'est d'ailleurs le cas de mon pote PAMPA, toujours aussi cho du zob, qui malgré les températures encore un peu fraîches, n'a pas hésité à suivre en forêt un pur beau gosse looké militaire rencontré sur le net pour un plan décrassage hyper bandant dont vous me direz des nouvelles ! Je précise que si le plan est réel, les photos qui l'illustrent viennent du net (ben oui, c'est pas évident de prendre pics quand on est en train de récurer un keum des pieds à la teub ! lol). Et n'hésitez pas à laisser de nombreux commentaires à Pampa afin qu'il nous fasse profiter de ses prochains plans bien och !!!


Depuis quelques jours, je surfe sur le net à la recherche d’un plan…Clics de souris et tapotage de clavier… Sites de chat, les mecs passent.. On me demande si je vais bien, échanges de mensuration à répétition, confrontation de "trips"… Le temps passe, les mythos aussi, et je finis par en voir un qui se connecte avec une pic de pur beau gosse en tenue militaire, très jeune. Je le contacte pour le fun, juste histoire de lui dire qu’il est mignon, réponse : « Dispo quand ? ». Moi : « Quand tu veux ! ».

Le rendez-vous est pris pour le lendemain après-midi, le gars m’arrose de sms bien chauds avant le moment de la rencontre, et bien sûr je ne manque pas de lui préciser qu’il n’a pas besoin de se doucher d’ici notre rencontre. Ça ne le dérange en rien, et il m’avoue même que ça fait deux jours qu’il zappe la douche. Ses textos continuent de pleuvoir et il semble attendre de ma part un bon décrassage dans les règles. A voir si tout cela est bien réel…

Le moment venu, il est à l’heure, un beau mec de 19 ans, brun, cheveux très courts, des yeux bleus perçants, un vrai beau gosse bien viril, look militaire. Passées les présentations, je nous conduis tranquillement sur les routes en direction de la forêt où il m’indique la direction d’une cabane construite avec ses potes, le tout en discutant de thèmes classiques et convenus. Arrivé en lisière du bois, il faut continuer à pied. On grimpe entre les arbres, il m’amène vers une cabane construite sommairement à l’aide de planches de bois, fermée (ce qui est appréciable vu les températures encore fraîches). Nous entrons dans une petite pièce exiguë avec pour seul mobilier un vieux matelas en mousse.

Il me sort alors d’un ton naturel :
— J’ai trop envie de pisser, t’as soif j’espère !
Il ouvre alors sa braguette, baisse son slip d’une main et sort sa teub toute molle, découvrant un peu son gland bien rose. Je me mets à la hauteur de son entrejambe, son odeur de mec arrive à mes narines : ça sent déjà bien bon le slip bien porté et les parties pas lavées. Je ferme docilement mes lèvres sur le bout de son sexe et laisse venir...
— Attends… Ça vient ! me dit-il, concentré.
Je reste à genoux devant ce jeune engagé.

— Tiens…Avale !
Un fin jet d’urine m’arrive dans la bouche et je prends sa pisse bien chaude et salée avec un arrière-goût de Corn Flakes. Il pisse doucement. Ça prend du temps. Seul le bruit régulier de mes gorgées au fur et à mesure que je déglutis trouble le silence de la cabane. J’avale tout jusqu'à la dernière goutte, une des rares fois où j’avale toute la pisse d’un gars, et c’est trop bon, à croire que j’étais fier de lui avoir servi de d’urinoir, avec en prime une agréable sensation de chaleur dans l’estomac.
— Putain ! T’as tout avalé ! qu'il me dit, l’air étonné.
— Dommage, j’aurais bien voulu que t’en lâches un peu sur tes fringues.
Je le regarde avec de grands yeux ronds...
— Et comment je rentre chez moi après ?
Il prend alors la base de sa queue entre deux doigts et la tape sur ma gueule, ce qui fait gicler ses dernières gouttes un peu partout sur moi, en particulier sur mon front et mes joues. Je sens des gouttelettes de pisse qui me coulent le long des joues. Le bout de son gland humide passe ensuite sur mes lèvres et je m’empresse de l’engloutir, mais il la retire et se dirige vers le matelas.
— Maintenant, j’ai bien envie de me faire lécher les panards !
Il s’affale sur le vieux matelas et s’allume un bedot.
— Allez !
Le message est clair.
Je commence à enlever une sket, une odeur chaude et masculine s’en dégage.

— Et j’espère que tu feras comme je t’ai dit, passe bien entre les orteils !
En effet par sms, après lui avoir proposé de lui lécher aussi les panards, il m’avait répondu avec grand plaisir mais qu’il voulait que je passe bien entre les doigts avec la langue.
J’enlève la chaussette, et commence à lécher ce beau pied aux ongles trop longs sur toute la longueur. J’ai son goût plein la bouche, ça sent fort, et ça me fait bander comme un malade. Je m’attaque à lécher les orteils un à un, je récolte des bouts de peau qui collent dans ma bouche à chaque coup de langue, le tout avec cette odeur écœurante de panards. Putain, c'est qu'il daube grave le gars !

— Comme je t’ai dit, j’ai la flemme de me laver depuis quelques jours…Mais t’as l’air d’aimer !

Sûr que ça me plait ! C’est infecte mais je suis carrément excité, et mon nettoyage appliqué semble lui plaire tellement de bien qu’il pousse alors son pied dans ma gueule pour que ses orteils soient au chaud pendant que je racle à coups de langue tout ce que je peux bouffer. Il retire ensuite brusquement son pied.
— Laisse tomber, remets ma sket, j'me caille trop… Viens plutôt me nettoyer la queue !

Je m’exécute et remonte vers son entrejambe. Sa queue est déjà  plus grosse, bien large avec un gland humide qui dépasse du prépuce, mais il ne bande pas à encore à fond.
— C’est là que ça sent le plus fort, quand j’vais pisser je décalotte même plus tellement ça pue la bite après !
Il repousse alors son prépuce, laissant apparaître un gland bien rouge et baveux de mouille et de fromton. J’approche le nez comme un clebs, mais j’ai un mouvement de recul instinctif. Ça pue le fromage corse, le jus de vieilles branlettes et la pisse.
— Tiens regarde là...
Avec son pouce et son index, il malaxe de petits morceaux de fromton qui s’agglutinaient sous le rebord du gland. Après avoir joué avec à quelques centimètres de mes narines, il ne manque pas de les mettre dans ma bouche pour les essuyer en les frottant contre ma langue.
— Faut que tu nettoies ici, ça schlingue grave ! dit-il en mettant ses mains derrière ma tête alors que j’effleure doucement du bout de la langue chaque coté de son gland, récoltant à chaque lapée un peu des dépôts à l’extrémité de sa tige répugnante.
Je lève les yeux vers lui pile au bon moment pour recevoir un mollard qui s’écrase sur mon nez et coule peu à peu sur ma bouche.
— C’est pour faire couler, salope ! qu’il me dit avec un sourire moqueur alors que je le gobe en l’aspirant.
Malgré son jeune âge, ce mec est très bien inspiré.
Je continue mon décrassage appliqué, sa teub est maintenant bien raide et je le pompe à fond, le nez dans sa touffe de poils pubiens aux effluves enivrante de plusieurs jours passé à transpirer dans son intimité. Je léchouille un peu ses couilles et continue en dessous. Il n’en faut pas plus pour qu’il se lève et me fasse signe de m’allonger sur le dos.
— Bonne idée, mets-toi là, tu seras plus à l’aise pour me lécher le trou du cul !

Allongé sur le dos, je le vois baisser son fut aux genoux et il s’assied littéralement sur ma gueule. J’ai son trou du cul poilu et moite sur la bouche. Ça sent fort, et je ne réfléchis pas trop avant de lui fouiller le trou à coup de langue  pendant qu’il me branle la queue sur cette vielle banquette. La position devient rapidement inconfortable pour lui, aussi il enlève son fut et se réinstalle confortablement sur mon visage. Son trou est trop bon, je l’embrasse et essaye d’y enfoncer ma langue au plus profond du mieux que je peux, le faisant parfois couiner de bonheur. Lui me suce bien la teub, et me gratifie même d’un  « Elle est bonne ta queue ! ». En effet, elle est bien crémeuse, comme il m’avait demandé. Depuis la veille, je m’étais branlé plusieurs fois en y laissant mon foutre pour qu’il ait de bons restes et une bonne odeur de keum.

Je jute rapidement, et il avale en grognant de plaisir. Lui vient à son tour. Je lui demande de me donner son sperme. Il se retourne alors, le poing serré autour de sa bite dégoulinant de sperme au-dessus de moi, je garde la bouche grande ouverte pour recevoir ce qui tombe. Son jus est bien épais et goûteux. Il essuie sa teub sur ma gueule en ramenant tout vers ma bouche. Je finis de le nettoyer comme un bon clebs, heureux de sentir son foutre me descendre dans le gosier.

Le froid aidant, nous ne mettons pas bien longtemps pour nous rhabiller et prendre le chemin du retour. Toujours est-il qu’en cherchant, on peux finir par trouver des beaux p'tis mecs branchés crade, même dans une petite ville...

Par Pampa - Publié dans : Témoignages
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Jeudi 2 avril 4 02 /04 /Avr 14:19

Après cette petite douche de sperme hyper kiffante, rien de tel qu'une bonne dégustation de fromton bien daubant avec l'un des fidèles du blog, ALEXIS. Souvenez-vous, ce bogosse de 26 ans sur Dijon est un habitué du blog où vous aviez déjà pu découvrir quelques-uns de ses plans. Le voilà de retour avec des photos inédites de son zob bien crémeux et le récit de son dernier plan crade avec un mec rencontré sur le net... J'en connais plus d'un qui aurait kiffé être à sa place pour récurer une tige pareille ;-)
J'en profite pour le remercier de nous faire partager ce p'tit plan crade bien cool, et pour vous rappeler que vous pouvez vous aussi envoyer vos témoignages et/ou vos photos perso bien och à teubcrade@yahoo.fr afin de les voir publiés sur ce blog. Je vous rappelle que ce site est avant tout le vôtre, donc il vous appartient aussi de le faire vivre si vous voulez qu'il continue encore longtemps à vous faire cracher un max de yop ! Pour lors, je laisse la parole à Alexis qui, j'en suis sûr, va vous faire kiffer grave avec ce super plan... notamment les amateurs d'odeurs du cul. Merci à toi mec, et à très bientôt j'espère pour de nouvelles aventures encore plus daubantes ! ;-)


Salut à tous ! Je me présente, Alexis, 26 ans, 1m83, 73kg, de Dijon. J’ai déjà écrit quelques récits ici mais il y a pas mal de temps. Il y a même des photos de ma teub dans la rubrique « Amateurs ». Il y a quelque jours, je mattais un site crade quand je vois le profil d’un mec de 18 ans vers chez moi. J’avais déjà parlé avec lui mais il n’était pas beaucoup dispo. Et là, je lui envoie un message lui demandant quand on pourrait se voir. A ma grande surprise, il me répond alors :
— De suite, mec !
On convient donc de se retrouver dans un lieu connu par nous deux et qu'après, il me suive direct chez moi. Inutile de dire qu’il ne s’était pas lavé et qu’il avait remis un boxer crado. De mon coté, j’étais pas lavé non plus (autrement c'est pas drôle). On arrive chez moi, je ferme la porte à clé (on est dans mon entrée) et il me met direct la main sur ma teub. Alors je fais pareil et il me roule une pelle d'enfer. On se fout en boxer en deux secondes et là, je vois l’état de son boxer : le ti cochon, il était tout mouillé au niveau du gland et c’était pas nickel… On se renifle la teub, le boxer et on se pompe un peu. Il me lance alors un regard bien vicieux et me dit :
— Tu as envie de pisser ? Tu as le trou crade ? Tu es plein ?

Je lui réponds :

— J’ai envie de pisser, oui... Trou crade, non... mais pas lavé alors… Plein non. Et toi ?

— Pas envie de pisser, ni plein.

N'y tenant plus, il ajoute :
— Bon, on se met où pour pisser ?

Je le dirige vers la salle de bain et on se met tous les deux à poil dans la baignoire. On se suce un bon bout de temps, histoire de bien décrasser nos teubs.

Je le retourne pour voir son trou, et là putain le crado, il n’avait pas lavé son trou ! Je lui ai reniflé et je lui ai mis un doigt, il aimait ça vu comment il gémissait. Il m’a fait me retourner aussi et il a maté mon trou aussi. Par contre lui, il a mis sa langue bien profond pour me le lécher (à mon avis, le mien était bien mois crado que le sien). On a essayé de pisser mais on y arrivait pas, on s’est donc branlés accroupis dans la baignoire tout en doigtant nos trous pas nickel. On se relevait à tour de rôle pour se faire pomper. Au bout de quelques minutes, on n'arrivait plus à se retenir et on a juté grave.

On s'est douchés ensemble (il n'a d'ailleurs pas trop insisté sur son trou et sa teub pendant le lavage). Il est parti juste après en me disant qu’il avait bien aimé et qu’il aimerait que l’on se revoit mais qu’il ne serait pas libre pendant un ti temps. A suivre donc, s'il y  vraiment suite...
A
lexis
Par Alexis - Publié dans : Témoignages
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Mercredi 18 mars 3 18 /03 /Mars 14:00

Salut les queutards !

Alors les mecs, on profite du retour du soleil pour recommencer à bien transpirer et à s'en foutre plein les narines... Moi, je rentre tout juste de mon footing et j'ai croisé quelques beaux gosses en sueur que j'aurais volontiers sniffer ;-) Je sais pas vous mais moi le retour des beaux jours, ça me réveille grave les hormones et j'ai tout le temps envie de baiser ! Et d'ailleurs je ne m'en prive pas !
Comme ça fait un p'tit moment que je vous ai pas raconté un de mes plans Q bien cho, j'ai pris mon clavier histoire de vous faire partager la méga baise que j'ai faite avec quelques potes lors d'une soirée raclette bien arrosée. Putain rien que d'y repenser, ça me file la trique direct !!! Je précise que si l'histoire est bien réelle, les pics qui l'illustrent ont été prises sur le net (ben oui, m'en voulez pas mais j'étais un peu trop occupé ce soir-là pour jouer les photographes ! lol).
J'ai vraiment mis un max de détails dans le récit pour que vous avez vraiment l'impression d'être au coeur de l'action... J'espère que ça vous fera kiffer grave et que vous serez nombreux à me un commentaire. Bonne sturbe à tous et à très vite sur le blog !

C'était donc il y a quelques semaines... Mon pote Idriss, un superbe métisse martiniquais toujours chaud comme la braise, m’avait invité chez lui pour une petite soirée raclette. Et vous pensez bien qu’un amateur de from comme moi est toujours partant pour déguster une bonne raclette ! lol
Bref, a priori pas de baise de prévu, juste une petite soirée tranquille entre potes… Pourtant j’avoue que quand mon pote m’a donné la liste des autres invités au tél, ma queue a tout de suite frétillé de mon calbut… Tout d’abord Johan son nouveau mec, un p’tit keum de 24 ans (brun, yeux verts, mince et élancé), que j’avais déjà croisé 2 ou 3 fois en boîte par le passé sans pour autant parvenir à le pécho. Faut dire qu’à côté de mon pote Idriss, de sa gueule de lascard et de son calibre de ouf (un bon 23 cm, bien épaisse et dotée d’un super long prépuce), je ne faisais pas vraiment le poids. Bien que mon pote soit en général assez prêteur, je n’avais pas encore eu l’occasion de constater à quel point ce Johan assurait au pieu, mais mon pote m’avait mis plusieurs fois l’eau à la bouche en me racontant en détails leurs baises les plus torrides. Et nul doute que le p’tit Johan était déjà grave accro au calibre de mon pote et prêt à tout pour lui faire prendre son pied.

 

Parmi les invités de la fameuse soirée raclette, Greg, un collègue gay de mon pote avec qui j’avais sympathisé et que j’avais revu plusieurs fois pour de bons plans sniffes… Je dois même dire que c’est moi qui l’ai initié aux trips odeurs et depuis, il adore se faire récurer la tige par de bonnes lopsas bien accro au from. D’ailleurs avec son côté bad boy, je suppose qu’il ne doit pas peiner à se faire reluire le chibre. Je ne l’avais pas croisé depuis un bon moment sur msn, et donc je me réjouissais de le retrouver chez mon pote ce soir-là… Enfin, dernier invité à cette soirée raclette, David, un mec du Sentier qu’Idriss avait récemment croisé au sauna et avec lequel il avait sympathisé (faut dire que ça crée des liens de loper un mec à deux pendant plus de deux heures dans une cabine ! lol).     

 

Même si a priori mon pote avait bien précisé qu’il s’agissait juste d’une soirée raclette, je ne pouvais m’empêcher de penser à la méga touze que l’on pourrait se faire tous les cinq si toutefois l’occasion se présentait. Et j’étais d’ailleurs d’autant plus excité qu’Idriss avait cru bon d’ajouter que tout le monde kiffait le from et donc apprécierait forcément la raclette ! Putain, il n’en fallait pas plus pour me mettre direct les hormones en ébullition !!! Si comme il l’a dit, tous les invités kiffaient vraiment le fromton et les odeurs de teub, il était hors de question que la soirée se limite à une simple dégustation de reblochon fondu ! lol Il fallait absolument que je trouve un moyen de faire dévier à coup sûr la soirée… Après avoir réfléchi à toutes les techniques d’approche possibles, je me suis dit que le mieux était encore d’y aller cash et de filer la trique direct à tous les convives. Et pour cela, quoi de mieux que de débarquer avec une bonne p’tite lopsa prête à décrasser 5 mecs en rut et à leur servir de chiottes et de vide-couilles pendant toute la soirée !


Je me suis donc aussitôt connecté à plusieurs sites de cul et après un peu plus d’une heure de tchat sans grand intérêt, je suis enfin tombé sur Alan, un minet de 21 ans, visiblement bogosse d’après les photos de son profil, à la recherche d’une baise bien hard et de sensations nouvelles. Ben mon gars, avec 5 bitos bien fumants et plein de sève à purger, je peux t’assurer que tu vas en avoir des sensations ! lol Je lui ai donc présenté le plan en lui disant qu’il m’accompagnerait pour la soirée mais que sitôt arrivé chez mon pote, je le foutrai à oilpé et il devra nous servir de clebs pendant toute la soirée, jusqu’à ce que nous n’ayons plus un centilitre de jus dans les burnes. Visiblement le mec était grave excité à l’idée de se faire loper par 5 mecs en rut, et il m’avoue même que son principal fantasme depuis des mois c’est de faire le larbin pour un ou plusieurs mecs. Hummmm visiblement il n’a pas froid aux yeux le minet ! J’espère qu’il sera toujours aussi salope quand je lui décalotterai mon glandos pourrave sous le pif. Après un bon lopage à distance par webcam interposée histoire de m’assurer de la qualité de la marchandise (vous auriez vu le gode qu’il s’est rentré dans le fion, un truc de ouf !!!), je lui ai fixé rendez-vous le vendredi suivant à 20 heures pile en bas de chez lui, afin de le récupérer en caisse avant d'aller bouffer chez mon pote.

 

Comme prévu, ce p’tit batard m’attendait sur le trottoir, une clope à la main. Putain l’enfoiré, il était encore plus bandant en vrai ! 1m80, mince, cheveux bruns coupés très courts, petit collier de barbe et diamant à l’oreille. Côté fringues, une vrai p’tite kaillera de téci : pantalon de survet blanc, casquette Adidas, sweat Airness avec par-dessus un bombers noir entrouvert et aux ieps une paire de Tn noires et or visiblement déjà bien portées !
Putain, je peux vous dire qu’il m’a foutu direct le gourdin !!! J’ai arrêté ma caisse à son niveau, baissé la vitre côté passager et lui ai lancé avec un p’tit sourire en coin :

— Ouah, fringué comme çà, mes potes vont te sauter dessus direct !
Et sans se démonter, il m’a répondu illico :

— Ça tombe bien mec… Ce soir, je suis grave en mode tépu ! Je vais être la plus grosse chiennasse que vous ayez jamais vu !

— Ben j’espère bien mec ! C’est clair que t’as intérêt d’assurer grave, j’ai pas envie de me taper la honte devant mes potes… En attendant, grimpe dans la caisse ! 


Pendant tout le trajet (une dizaine de minutes environ), ce bâtard n’a pas arrêté de me chauffer grave en se tâtant le paquet à travers son fut ou en déchaussant à moitié ses Tn histoire qu’une bonne odeur de ieps envahisse la caisse… Putain, je sais pas comment j’ai fait pour résister car j’avais qu’une envie, c’était de m’arrêter dans un coin discret pour lui montrer à qui il avait à faire ! Mais bon, j’allais quand même pas arriver chez mon pote avec une lopsa déjà couverte de yop et de pisse ! C’est comme si j’avais déjà bu la moitié de la bouteille de vin avant d’arriver ! mdr

 

Dix minutes plus tard, nous voilà donc arrivés devant l’immeuble de mon pote Idriss. J’avoue que j’appréhendais un peu sa réaction en me voyant débarquer chez lui avec un mec à oilpé… Mais bon, le mec était super canon et je l’avais briefé grave pendant le trajet pour qu’il s’occupe direct de notre hôte en arrivant… Et puis bon, c’est quand même plus original d’arriver à une soirée raclette entre potes avec une bonne lopsa qu’avec une bouteille de vin blanc, non ?

 

Arrivés dans le couloir de l’appart, j’ai ordonné à Alan de se désaper afin d’être complètement à oilpé quand mon pote ouvrirait la porte.

Visiblement surpris, il m’a lancé d’un air hésitant :

— Ben je vais quand même pas me désaper ici mec, quelqu’un pourrait arriver…

Sans qu’il s’y attende, je lui balance une grosse mandale dans la gueule, aussitôt suivi d’une énorme mollard pile entre les deux yeux.

— Je t’ai pas demandé ton avis bâtard ! Je t’ai dit de te foutre à oilpé maintenant alors tu fermes ta gueule de tépu et t’obéis !!! N’oublie pas que ce soir, t’es notre pute alors crois-moi, t’as plutôt intérêt à obéir !!

A ces mots, sans doute un peu flippé, il retira son bombers et son sweat laissant apparaître un torse totalement imberbe et finement musclé, légèrement luisant de sueur (j'avais en effet poussé le chauffage de la caisse à fond histoire de bien transpirer !). Il a ensuite retiré ses Tn et l’odeur que j’avais déjà entraperçu dans la caisse m’a alors directement atteint les narines… Hummm ce p’tit bâtard avait déjà dû bien les imprégner ! Conscient de l’effet que ça produirait sans nul doute sur mes potes, je lui ai demandé de remettre ses skets une fois le futal enlevé… Le voilà donc à oilpé dans le couloir, portant simplement un jockstrap blanc mettant grave en valeur son boule et sa paire de Tn pourraves. Putain, c’est clair que comme çà il allait faire un effet bœuf l’enfoiré !

Je sonne à la porte et quelques secondes plus tard, celle-ci s’entrouve laissant apparaître mon pote Idriss en débardeur…

— Ben alors mec, on attendait plus que toi ! Qu’est-ce que tu foutais ?

— Désolé mon pote, c’est juste que je me suis arrêté en chemin pour prendre quelque chose pour la soirée…

J’ai alors choppé la lopsa par la nuque et lui ai foutu direct dans les pattes… Et avant même qu’il ait eu le temps de comprendre ce qui se passait, Alan avait déjà la gueule collée sur le paquet de mon pote et commençait à lui malaxer son beau p’tit boule de black bien ferme.

— Ben ouais, comme je savais pas quoi amener, je me suis dit qu’une lopsa, ça te ferait sans doute plaisir !

Idriss a alors éclaté de dire et m’a lancé en se marrant :

— Putain j’hallucine, mais t’es vraiment un ouf toi !!!

Et avant de continuer, il a choppé la mec par la nuque histoire de voir sa gueule de plus près…

Hummm en tout cas, excellent choix mon pote ! Je crois qu’on va pas s’emmerder ce soir… Eh les mecs, venez voir le cadeau qu’on vient de m’apporter !

 

Aussitôt les trois autres mecs, qui étaient restés dans le salon autour de l’apéro ont rappliqué et le p’tit Alan a dès lors fait l’objet de toute leur attention…

— Putain c’est pas vrai, il a osé ! a lancé Johan, le copain d’Idriss, l’air faussant choqué, tout en se remettant au passage la queue dans le calbut.

— Et ben, ça c’est du cadeau les mecs ! J’espère que tu te la joueras pas perso Idriss et qu’on pourra en profiter nous aussi… a ajouté Greg, que je reconnaissais bien là, toujours prêt à niquer !
Enfin, juste derrière lui, un mec assez baraqué arborait un large sourire en matant le boule déjà bien cambré de la lopsa. J’en déduis qu’il devait s’agir du fameux David, avec lequel mon pote Idriss avait niqué toute une après-midi au sauna, et à en croire la bosse qui se dessinait déjà sous son futal, il affichait un énorme potentiel.

 

— Profitez-en les mecs, ce bâtard ne rêve que d’une chose c’est de se faire larver comme une vraie chiennasse pendant toute une nuit.

— Ouahhh ben il va pas être déçu !!! On va grave lui ruiner le boule, hein les mecs ?!
Joignant le geste à la parole, Idriss claque alors d’un coup hyper sec le cul de la lopsa qui ne peut s’empêcher de pousser un petit gémissement.
— Mais en attendant les mecs, j’ai grave la dalle… Alors on va foutre le clebs à la niche en attendant de s’occuper de lui.
Puis, se tournant vers son mec…
— Johan, va chercher ton collier et ta laisse… Pour une fois, c’est pas toi qui le portera… J’ai trouvé un autre clebs pour ce soir !

Johan devint alors écarlate, provoquant l’hilarité des autres mecs. Quelques minutes après, voilà notre lopsa avec un collier de cuir noir tenu en laisse par mon pote Idriss, qui prend un malin plaisir à tirer des coups secs sur la laisse pour le ramener sur son paquet déjà bien gonflé.

Nous nous vautrons alors sur le canapé et, visiblement ravi de son nouveau joujou, Idriss le fait alors mettre à quatre pattes devant nous afin d’installer les chips et les olives sur son dos. Putain trop fort la table basse !!! A quand les mêmes chez Ikea ?!
La vodka a alors commencé à couler à flots et l’alcool aidant, les mecs se montrent de plus en plus entreprenants avec Alan. Certains lui tâtent le boule, lui glissant parfois un doigt dans sa rondelle en l’insultant… D’autres, à commencer par moi, préfèrent profiter de sa langue de tépu pour se faire décrasser les skets. Et apparemment, ça l’excite grave ce bâtard !  Greg est le premier à oser virer sa Tn pour en faire profiter notre lopsa… Putain je vous dis pas l’odeur de ouf quand il a retiré ses skets, laissant apparaître des cho7 qui n’avaient sans doute plus été blanches depuis bien longtemps. Il a alors pris une de ses skets et l’a plaqué direct sur la gueule de la lope.
— Alors salope, tu kiffes l’odeur de mes ieps, non ?
A en croire les gémissements qu’il poussait, aucun doute à ce sujet ! C’était vraiment trop kiffant de voir Greg le gazer avec sa Tn pourrave… Dire qu’il y quelques mois seulement, il ne connaissait rien aux trips crades ! lol
Tout le monde a alors voulu en profiter et les ieps ont alors défilé dans la gueule de notre tépu. Pendant ce temps, nous nous faisons tourner nos skets histoire de voir lequel de nous daubait le plus des ieps. Et là, sans surprise c’est mon pote Idriss qui a remporté la compétition haut la main ! En plus d’afficher un bon 45 fillette, il transpirait toujours un max des ieps et le simple fait de virer ses skets suffisait à embaumer une pièce entière ! D’ailleurs Alan a eu du mal à supporter l’odeur quand Idriss lui a coller sa skets fumante sur la gueule. Il a même essayé de détourner la tête pour se dégager des effluves de killer de mon pote. Lourde erreur !!! Sans crier gare, Idriss lui a balancé une putain de baffe dans la gueule qui a eu pour effet de le faire tomber sur le côté, renversant ainsi les plats de gâteaux apéro qu’il avait sur le dos. Ça a évidemment rendu mon pote furax…
Putain connard, t’as vu ce que t’as fait ?!!! Tu vas me nettoyer çà immédiatement !
Un coup de pied dans le bide a alors suivi et a fait comprendre à Alan qu’il valait mieux obéir sans attendre !
Pendant que ce bâtard jouait les ramasse-miettes, nous en avons profité pour passer à table. Ben ouais, à l’origine on était quand même là pour une raclette !

Une fois le tapis nettoyé, Idriss a donc attaché la laisse d’Alan au pied de la table, de manière à ce que chaque convive puisse en profiter à sa guise pendant le repas.

Et ça n’a d’ailleurs pas tardé, sitôt les premières tranches de reblochon avalées, j’ai lancé à la cantonade :
— Dîtes donc les mecs, peut-être que notre lope a elle aussi envie d’un peu de fromage, non ?

Tous n’ont pas immédiatement tilté mais Idriss, qui décidément me connaît très bien, a aussitôt éclaté de rire et m’a rétorqué :

— Te connaissant, je suis sûr que tu dois en avoir du bien affiné dans ta cave perso, n’est-ce pas mon pote ?

— C’est clair qu’en ce moment, ça produit pas mal… déjà 5 jours d’affinage, prêt à être dégusté…
J’ai alors choppé la laisse pour ramener la gueule de la lope au niveau de mon paquet, et sans plus attendre j’ai baissé mon futal et sorti ma queue. Quand j’ai commencé à décalotter mon gland pourrave juste sous son pif, il a eu un mouvement de recul et n’a pu s’empêcher de lâcher :

— Putain mais c’est immonde mec ! Tu m’avais pas dit que je devrais vous décrasser le chibre avec du fromton dessus !!! Je devais juste m’occuper de vos ieps, pas de vos zobs de porcos !
Autant vous dire que ça m’a grave énervé, et qu’avant même qu’il ait fini sa phrase, un énorme mollard s’écrasait sur sa face de lopsa, aussitôt suivie d’une grosse mandale.

— Putain tu vas la fermer maintenant ! Quand on veut se faire larver hard, on assume… C’est pas le tout de chauffer mec !
Afin de pallier toute tentative de rébellion, Idriss l’a alors chopé par derrière et lui a tenu fermement les mains dans le dos. Avec l’autre main, il l’a choppé par la nuque et l’a forcé à récurer ma crème de teub !

— Allez salope, maintenant fini de jouer… Tu vas récurer la tige de mon pote et lui faire reluire le glandos comme jamais. C’est quand même pas tous les jours qu’on a l’occasion de décrasser la queue de Fromton Boy en personne !
N’osant pas s’opposer à mon pote et à son mètre 95 de muscles, Alan a commencé à s’exécuter, faisant tourner sa langue de suceuse sur mon gland couvert de from. Peu à peu, le mouvement a pris de l’assurance et quelques minutes après, ce p’tit bâtard m’aspirait littéralement le gland et se délectait de tout mon from en gémissant…

Bien sûr, les autres mecs ne restèrent pas longtemps insensibles au spectacle. Greg fut le premier à sortir sa teub sans aucune pudeur, et à imposer aux autre convives une putain d’odeur de teub, recouvrant même les effluves du reblochon resté sur la table. Faut dire aussi qu’avec le prépuce qu’il a, c’est une vraie usine à fromton ce mec ! Voyant qu’il n’attendait que la langue de la tépu, je l’ai ramené d’un coup de laisse vers sa teub déjà dégoulinante de mouille. Cette fois-ci, Alan ne s’est pas fait prier et s’est précipité sur le zob de Greg pour l’engloutir direct en poussant des cris de salope en rut.
— Ouahhhh putain quelle chienne ce mec !!! Il va pas mettre longtemps à me faire monter le jus s’il continue comme çà !

A la vue du spectacle, nous étions tous en train de nous palucher le bitos sous la table, mélangeant ainsi nos odeurs de teub… Peut-être un peu jaloux de voir une autre lopsa en action, Johan se mit à genoux devant son mec et commença à lui titiller le gland du bout de la langue. Hummmm je vous dis pas comme c’est kiffant de voir une queue de black de 23cm se décalotter peu à peu (et ouais, contrairement à beaucoup de blacks, Idriss était total uncut), laissant apparaître une mousse blanchâtre composée de mouille et de fromton bien daubant. Le tout avec en plus une putain d’odeur de sueur qui m’a toujours fait craquer chez lui !

Il n’a d’ailleurs pas mis longtemps à lever le bras pour m’offrir son aisselle touffue bien humide. Je me suis évidemment collé direct la gueule dessus afin de bien me gazer avec l’odeur de queutard de mon pote.

Sans doute attiré lui aussi par l’odeur, Alan a abandonné la queue luisante de bave de Greg pour venir se coller au calibre d’Idriss, que son copain avait déjà commencé à décrasser… Et le beau métisse a alors eu droit à un vrai ballet de langues de lopsas sur son chibre. C’était à celui des deux qui arriverait à récupérer le plus de fromton ! De temps en temps, Alan et Johan faisaient une pause et se roulaient une pelle bien baveuse avec le from de teub et la mouille de mon pote, qui se délectait lui aussi du spectacle.

— Putain les mecs, je crois qu’on va avoir droit à deux lopsas au lieu d’une ce soir !

 

Resté en retrait jusqu’alors, David s’approcha alors de Johan et engouffra sa tige imposante dans sa bouche. Comme je l’avais pressenti tout à l’heure en matant la bosse à travers son futal, David était monté comme un taureau avec une queue hyper épaisse. Malheureusement ce superbe calibre était circoncis mais à ma grande surprise, ça ne l’empêchait pas de dégager une bonne odeur de sépi. Attiré par ces effluves épicées, je n’ai pas pu m’empêcher de me foutre à genoux moi aussi et de téter cette superbe queue bien large, tandis que Johan lui bouffait littéralement ses deux grosses couilles pendantes, pensant probablement à tout le jus qu’elle contenait et qu’il rêvait de se prendre sur la face.

 

Une fois toutes nos teubs récurées, Idriss proposa un concours de mollards. Il fit mettre la lopsa à genoux devant nous, lui tira la gueule en arrière et lui ordonna d’ouvrir bien grand la bouche pour recueillir nos crachats.

— Allez les mecs, le premier qui lui envoie un bon glaviot direct dans la gueule d’ici aura le privilège de lui démonter le cul en premier !   

Autant dire que cette récompense nous motiva un max et qu’en moins de 5 minutes, Alan avait la gueule et littéralement couverte de mollards, qui dégoulinaient le long de son torse. Et c’est finalement David qui remporta la compétition en lui balançant un mollard bien épais direct au fond de la gorge.

 

Idriss saisit alors la lopsa par la laisse et lui ordonna de s’allonger sur la table du salon, débarrassée à la hâte, afin que l’on puisse le niquer facilement à la chaîne. Il se tourna également vers son mec et lui lança :

Vas-y Johan, bouffe-lui un peu la chatte à ce bâtard car si David le fourre à sec, il va lui éclater la teuch !
Johan ne se fit pas prier et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il était à genoux en train de bouffer le cul de la lopsa et de bien lui baver sur la rondelle. Alan n’en demandait visiblement pas tant et cela eut pour effet de le faire gémir un max…
— Regardez-moi cette pute les mecs, comment il nous chauffe trop ! On va devoir le calmer à grands coups de queue… A toi l’honneur, David !
David écarta alors Johan du trou de la lopsa, balança un gros mollard dessus et y écrasa son gros gland écarlate. Il choppa alors fermement les chevilles d’Alan et d’un coup sec fit rentrer son gland dans sa chatte. Le résultat fut immédiat : Alan hurla et essaya de se dégager de l’énorme mandrin qui lui explosait l’anus. Mais David n’en fut que plus excité et il s’empala alors entièrement dans son cul.

— Arghhhhhhhhhhhhhhhh non !!!! Pitié mec, elle est trop grosse ta queue ! Tu m’exploses le fion là !!!
Mais ses plaintes eurent l’effet inverse et David se déchaîna alors dans le trou d’Alan, lui donnant de grands coups de butoir, trop content de voir cette lopsa morfler à chaque coup de teub.

— Tu la kiffes ma queue, hein salope ?!!! Tu t’en étais jamais pris une aussi grosse, non ?

Soucieux d’étouffer les cris de la lopsa, Idriss lui colla ses 23 cm de teub au fond de la gueule, manquant plusieurs fois de le faire dégueuler tellement il l’enfonçait profond.

— Tu kiffes ça te faire troncher par tous les trous, hein sale bâtard ?!!

Au bout de dix bonnes minutes d’enculage en règle, David stoppa son pilonnage, laissant une chatte béante qui semblait ne plus vouloir se refermer. J’en ai donc profité pour y rentrer à mon tour mon chibre et continuer à bien le défoncer.
— Hummmmm putain ce trou les mecs ! C’est un truc de ouf !!

Excité par les gémissements croissants de ce bâtard, je me suis mis en mode mitraillette et je lui ai pilonné la chatte pendant de longues minutes, en faisant taper mes couilles bien pleines sur son boule bien musclé… Comme j’avais sa Tn juste à côté de la gueule, je n’ai pas résisté à l'envie de la virer et de me coller le pif sur sa cho7 bien humide.

— Ouahhh mais c’est qu’il daube grave aussi cet enfoiré ! Et dire qu’il faisait sa mijorée tout à l’heure devant ma teub fromageuse.
Pas rancunier pour un sou, et hyper excité par le regard qu’il me lançait pendant que je lui démontais le boule, j’ai viré la cho7 et je lui ai léché le pied, en insistant longuement sur chaque orteil.

 

Pendant ce temps-là, Greg et David se relayait dans sa bouche de tépu, l’inondant à la fois d’insultes et de crachats. Quant à mon pote Idriss, n’y tenant plus, il était en train de fourrer son mec sur le canapé.
— Prépare-moi bien son trou, je calme un peu Johan et je viens lui péter la chatte après…

Hummm putain, apparemment il ne m’avait pas menti sur les talents de passif de son mec ! Y’avait qu’à le voir s’empaler sur les 23cm de mon pote pour deviner quelle grosse chiennasse il devait être au pieu. Et côté gémissements, il n’avait rien à envier à Alan : ça couinait grave dans tout le salon ! Entre Idriss et moi, c’était un peu à celui qui ferait le plus hurler sa lopsa…
Au bout de quelques minutes, j’ai passé ma place à Greg qui n’en pouvait plus de nous mater et qui est rentré sans ménagement dans le cul d’Alan, lui arrachant un hurlement mêlant à la fois plaisir et douleur. Faut dire que Greg, avec son côté kaillera de téci, c’est le prototype même du bourrin qui ne recherche que son propre plaisir. En le matant démonter le trou de notre lopsa, j’ai repensé au premier plan odeurs qu’on s’était fait tous les deux et pendant lequel il m’avait pété le cul comme jamais jusqu’à m’en faire limite chialer !

Mais alors que je me délectais du spectacle de ce queutard en rut en train de fourrer, un cri de jouissance retentit du côté du canapé et je vis mon pote Idriss en train de décharger sa sauce dans le fion de son mec…
— Putain le salaud, il m’a tellement excité qu’il m’a tiré le jus !

Visiblement content de lui, Johan affichait un sourire satisfait… et lança aussitôt à la cantonade :

— Qui vient me tasser le jus d’Idriss au fond du boule ?

Ni une, ni deux, David et moi rappliquons illico, découvrant une rondelle fraîchement épilée de laquelle coulait un mince filet de sperme.
Ne voulant pas faire de jaloux, Johan a alors demandé à David de s’allonger sur le canapé afin de venir s’empaler sur son chibre. Une fois sa queue bien au chaud dans son cul foutreux, il m’a ensuite fait signe d’approcher et rentrer à mon tour dans son cul ! Franchement vu le calibre de David, j’aurais jamais cru que nos deux queues pourraient rentrer ensemble mais après une bonne rasade de poppers, sa chatte s’élargit encore et ma queue rejoint sans problème la queue de David. Putain c’était trop bon de patauger ensemble dans le jus d’Idriss, que je sentais sortir du fion de Johan sous la pression de nos deux queues, et couler le long de mes couilles. Putain le pied !!!!!!!!

 

Inutile de vous dire qu’avec deux lopsas comme çà à dispo, nous n’avons pas eu le temps de nous ennuyer une seule seconde ! Nous avons fourré leur deux culs à tour de rôle pendant plus d’une heure en les faisant grave couiner à chaque coup de bite. Idriss n’a d’ailleurs pas mis longtemps à recharger ses batteries et à profiter lui aussi de la rondelle d’enfer d’Alan. C’était vraiment trop kiffant de voir sa chatte aspirer entièrement la tige d'ébène de mon pote jusqu’aux couilles ! Quelle salope ce mec !

 

Pour le final, sachant que tous les deux avaient amplement mérité leur douche de yop, Idriss les a fait allongé à même le sol, visage contre visage, et nous nous sommes placés debout au-dessus d’eux… Hummmm trop bon de voir ces deux lopsas la gueule grande ouverte prête à recevoir des litres de foutre ! Greg a été le premier à lâcher la purée : une bonne dizaine de giclées bien épaisses sont venues s’écraser direct sur la face d’Alan, puis de Johan qui se sont aussitôt roulé un méga pelle bien foutreuse. Le spectacle de ces deux lopes en train de se couiner dans le jus m’a fait larguer illico et ces deux p’tites putes ont eu droit à un véritable geyser de yop !!! Je n’en finissais plus de cracher, imité d’ailleurs aussitôt par David et Idriss qui rajoutèrent chacun de longues traînées de jus bien blanc sur la gueule et le torse des deux lopsas.
Baignant littéralement dans le sperme, Alan et Johan se sont alors foutus en position de 69 et ont giclé quasi-simultanément dans la bouche l’un de l’autre… tout en scrutant du coin de l’œil nos réactions.

— Putain j’hallucine ! Des vrais putes à jus !!! lâcha Greg devant ce spectacle hyper excitant.

— Et pas qu’à jus ! surenchérit aussitôt Idriss, qui avait visiblement son idée derrière la tête.

Il chopa alors la laisse d’Alan, l’arrachant à la bouche foutreuse de son mec pour le tirer jusqu’à la salle de bains et l’installer dans la baignoire.
— Maintenant les mecs, va falloir qu’on marque officiellement notre territoire sur cette pute afin d’en faire notre vide-couilles attitré !

Et avant qu’il ait eu le temps de finir, nous étions tous en train d’arroser ce bâtard avec des litres de pisse bien fumante. Hummm putain vous l’auriez vu en train d’ouvrir grand la bouche pour recueillir le plus de pisse possible, un truc de ouf ! Une fois vidés, on l’a laissé baigner dans la pisse le temps d’aller bouffer le dessert et de boire un verre… Et quand on l’a récupéré une heure plus tard, il nous a supplié de le larver à nouveau… Ce que, vous vous en doutez, nous avons fait avec grand plaisir jusqu’au bout de la nuit !

Alors les mecs lors de votre prochaine soirée raclette entre potes, n’oubliez pas d’amener votre lopsa ! Ambiance torride garantie !!! Parole de Fromton Boy ! ;-)

Par Fromton Boy - Publié dans : Témoignages
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Jeudi 26 février 4 26 /02 /Fév 14:15

Hummm ça donne envie de se mettre au foot, non ? Pour rester dans l'ambiance vestiaires et continuer à s'en mettre plein les narines, je ne résiste pas à l'envie de vous faire partager ce récit envoyé par VIVIAN, un jeune mec de 25 ans vivant du côté de la Bretagne, très porté sur le sexe un peu bestial (odeurs, pisse, soumission...) et qui kiffe grave l'idée que plein de mecs vont juter sur ses textes, inspirés d'expériences assez diverses et mêlant fantasmes et réalité. J'avoue que personnellement, j'ai largué mon jus avant même de finir le récit tellement ça m'a excité...
Et je pense d'ailleurs que je ne vais pas être le seul. Un conseil les mecs, sortez vos teubs dès maintenant, ça vous évitera de tout larguer dans le futal ! ;-) Et si vous kiffez ce texte, n'hésitez pas à laisser un p'tit commentaire à Vivian après avoir giclé... il n'attend que çà ! lol 


Je m’appelle Vivian et j’ai 25 ans. Je suis plutôt bogosse, blond clair aux yeux bleus. Je fais du sport depuis que je suis très jeune. Mais les sports qui m’intéressaient n’étaient pas du goût de mon père qui m’envoya faire du rugby ! J’ai tenu deux semaines et j'avoue que la seule chose qui m’intéressait dans se sport, c’était les vestiaires ! Cet endroit m’a toujours paru être sympa. Les odeurs de transpiration m’ont souvent excité, et ce depuis le plus jeune âge.

Voilà 10 ans que ce qui suit s’est déroulé. Lorsque j’ai débuté, je n’étais pas très musclé et mon corps fin et imberbe ne me plaisait pas. Tous les joueurs de mon âge semblaient être bien mieux bâti et plus développé que moi. Notamment Pierre, le fils de l’entraîneur. Il avait les cheveux bruns qui lui descendaient souvent sur le visage. Sa bouche était belle et pulpeuse. Sa peau était sublime. A chaque fois que l’entraînement était fini, j’étais le dernier à rentrer au vestiaire pour le plaisir de passer près de Pierre et sentir son odeur de transpiration. En général, il était rapidement à poil… je me rinçais l’œil ! Son sexe très développé balançait d’une cuisse à l’autre, m’hypnotisant complètement. Tout le monde sentait assez fort, mélange d’odeurs de pieds chauds et de transpiration... ça déclenchait chez moi une ivresse et des envies de sexe me montaient régulièrement à la tête. Et ailleurs !

Un jour, l’entraînement s’est terminé. Je rejoignais ma place alors que tout le monde se détendait en commentant le match. Mes fringues propres étaient suspendues au mur et au dessous, mon sac rempli de chaussettes et de vêtements crades traînait. Certains sont partis sous la douche et moi je restais là, le sexe bandé sous mon short en regardant les mecs autour de moi. Au fur et à mesure, le vestiaire se vidait. On était plus que 4 lorsque Pierre et ses 2 amis proches, Thomas et Leny, se sont décidés à aller prendre une douche. Je ne pouvais pas me résoudre à y aller, je bandais comme un fou. Je me retrouvais seul et m’approchai du sac de Pierre. Son caleçon était là, trempé de sueur et manifestement, il ne datait pas du jour même. Ca m’a excité au plus haut point ! Je me suis déshabillé et j’ai enfilé son caleçon, lui laissant le mien à la place.
L’entraîneur débarqua alors et me dit d'un ton sec :
Bon allez, on se presse ! 
Il rejoingit ensuite son fils et lui lança :
Je te laisse les clés, tu fermes les portes et tu rentres à la maison pas trop tard. A+ 

Je dus me résoudre à me déshabiller et à prendre ma douche. Pierre et ses potes vinrent dans le vestiaire et me dit :
Allez, magne toi, va prendre ta douche !
Thomas me regarda alors avec insistance, avant de s'exclamer tout haut :
Putain, mais il bande !
J’étais mal à l’aise et je partis aussitôt sous la douche, une main sur mon sexe. Je les entendais qui rigolaient à côté, j’étais excité et en même temps terrorisé.
Alors Pierre apparut dans la salle de douches et me dit :
Pourquoi mon caleçon est sur ton sac ?
Je ne sus pas quoi répondre. Leny lui, qui était roux, se mit à rire et lança à son pote :
Peut-être que ça l’excite ton fute !
Pierre me regarda alors comme un félin prêt à fendre sur sa proie.
C’est vrai ce que dit Leny ?
Je n’étais pas fier et je lui répondis honteusement :
Excuse-moi Pierre, je ne le ferai plus.

 

Pierre m’ordonna alors sèchement :
Enlève tes mains de là !
Devant mon refus, il m'attrapa le bras, découvrant mon sexe bandé.
Ben je vois que tu te fais du bien ! T'es un pd alors ?

 Je le regardais, il semblait tellement nerveux que je craignais un peu sa réaction. C’est alors que Leny me hurla dessus :
Répond bâtard !
Je fis un hochement de tête, approuvant, et suppliant de ne pas me faire de mal.

Pierre esquissa un sourire et dit aux autres :
Eh les gars, on a un pd sous la main, vous voulez vous faire sucer ?
Ils se regardèrent alors les uns les autres, un sourire de connivence au coin des lèvres...

Je me débattais mais ils m’attachèrent les bras et les pieds avec un maillot. J’étais nu sur le sol, la douche me coulait dessus et les trois mecs se faisaient un plaisir de me voir dans cet état. Je ressentais de la peur et pourtant l’excitation grandissait en moi.
Pierre lança alors aux deux autres :
Les mecs, vous avez pas envie de pisser ? Moi si !
Avant même que je puisse réagir, Pierre m'aspergea le corps et le visage avec sa pisse. Je sentais cette chaleur parcourir mon corps, je voyais la pisse jaune sur ma peau blanche, j’étais balancé entre le dégoût et l'ivresse... Je commençais à sentir du plaisir... Les deux autres s’y sont mis aussi, je baignais littéralement dans la pisse, c’était trop bon.
Pierre ma fit ensuite mettre à genoux. Je regardais sa grosse bite qui commençait à durcir. Il m’attrapa les cheveux et me dit :
Ta petite gueule d’ange, j’ai envie de lui cracher dessus.
Sans plus attendre, il me molarda sur les lèvres avant de passer sa langue sur mes yeux. J’étais vraiment excité. Il se tourna alors vers Thomas
Vas-y, fais toi sucer !
Le gland de Thomas était très impressionnant et lorsque je l’eus en bouche, je n’arrivais presque plus à bien saliver. Pierre me tenait toujours par les cheveux et m'empalait la tête sur la queue de son pote.  Je me sentais abandonné et vraiment à leur merci. Ce qui m’excitait encore plus !
Me tirant brusquement en arrière par les cheveux, Pierre me hurla dessus :
Vas-y, fais ta pute et suce-nous !

Chacun y est passé. Les odeurs de leur sexe étaient sublimes. Ils m’ont fait me retourner et alors que je suçais Leny, Pierre s’est approché de mon cul.
Je ne veux pas te faire mal, mais j’ai envie de tes fesses. Elles sont belles, de vraies fesses de meuf !
Il se mit à rire et à cracher sur mes fesses. Il me doigtait avec tant de vigueur que je prenais un plaisir fou, me cambrant même pour faciliter l’accès de ses doigts. C’est alors que je sentis un liquide chaud sur mes hanches. C’était Leny qui finissait de pisser sur moi. Il se marra et dit :
Ça glissera mieux comme çà !
Je sentis le liquide couler entre mes fesses, sur mes boules et le long de mon sexe. Je me dilatais probablement à vue d’œil au contact de sa pisse fumante. En même temps, j

e sentais Thomas qui allait et venait comme un bourrin dans ma bouche. Soudain son sexe se contracta et il déchargea tout son foutre dans ma bouche. Je fus surpris et je sentais que ça coulait le long de mes lèvres. Il lâcha un râle de plaisir, me prit par les cheveux et m’embrassa sur la bouche en me menaçant :
Cette liqueur-là, il va falloir que tu t’y habitues ! Je vais faire de toi une vraie salope...

Je sentis alors que le sexe de Pierre me pénétrer violemment. Ça me faisait mal, mais j’en voulais tellement ! Jusqu’au moment où je le sentis complètement en moi, à moi, rien qu’à moi dans mon cul. Il commençait à glisser en moi et je prenais un pied fou ! Je hurlais de plaisir si bien qu'il ne mit pas très longtemps à décharger à son tour, me faisant par la même occasion jouir sans même me toucher la queue.

Leny me retourna et me dit alors :
Attends, tu ne va pas  t’en tirer comme ça salope !
Il me retourna et vit mon corps ruisselant de pisse, mon sexe au haut duquel mon sperme coulait. Il rigola et me lança, l'air méprisant :
Une petite bite comme toi, ça peut jouir ?
Et avant même ma réponse, il me cracha sur la figure et me donna son cul à lécher, ajoutant d'un ton plein de sous-entendus :

Si tu refuses, c’est non seulement son cul mais aussi nos bites que tu vas nettoyer !
Alors je sortis ma langue et à ma grande surprise, je pris du plaisir à lécher ces fesses pleines de transpiration, ses boules qui sentaient le mâle, sa bite qui sentait encore la pisse. Et contre toute attente, je me suis même laissé aller à les supplir de me filer leur teubs foutreuses :
Oui, faîtes-moi encore sucer vos bites les mecs... Je crois que j’aime ça.
Ils ont rigolé et j’ai nettoyé chaque gland à coup de langue avalant jusqu'à la dernière goutte de sperme et de pisse. Ils m’ont ensuite détaché et on s’est caressé.

Pierre m’a alors dit qu’il voulait me sucer, je lui ai alors dit que ça me ferait très plaisir.
Ils se foutaient de la taille de ma bite (elle n’était pas poilue encore et le fait que j’étais blond n’arrangeait rien). Pierre a décalotté mon gland. Lui et Thomas se mirent ensemble à donner des coups de langue sur ma teub, ça me rendait électrique. J’ai basculé ma tête en arrière, contre le torse de Leny. Ce dernier a alors décidé de me pénétrer. Il a avait un sexe plus gros que celui des autres.
Je pense que tu es assez lubrifié maintenant ! me fit-il remarquer, en me claquant le cul.
Je me remis aussitôt à 4 pattes et il me pénétra sèchement. Ses grandes mains me tenaient les hanches et alors qu’il me pilonnait, je sentis des doigts de pied sur mes lèvres. Ouahhh, ça sentait vachement fort... mais c'était trop bon ! En ouvrant les yeux, je m'aperçus que c'était Pierre qui me collait ses pieds pleins de pisse sur le visage.
Vas-y, lèche salope !
Je m’exécutais avait plaisir et application, me sentant complètement défaillir. Après quelques aller-retour dans mon cul, Leny jouit en moi. Et je ne pus pas résister à l'envie de lui nettoyer ensuite la queue avec ma langue pour m'imprégner une dernière fois de ses odeurs de mâle.
On se roula ensuite une pelle tous ensemble, et me laissant par terre couvert de sperme et de pisse, ils me lancèrent :
Maintenant, tu vas être notre salope à tous les 3 !
J’étais aux anges.

Par Vivian - Publié dans : Témoignages
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Vendredi 6 février 5 06 /02 /Fév 14:18

Alors les mecs, pas mal cette vidéo, non ? Il ne manquait plus qu'une petite douche de pisse à la fin pour nettoyer tout ce jus sur sa face et c'était carrément l'extase ! lol Pour ce qui n'auraient pas encore largué tout leur jus (ou qui rechargent très vite), voilà le témoignage super cho de ROMAIN (alias CHOSKET), un jeune mec de 25 ans qui comme nous kiffent un max les odeurs de teub bien fumantes. Il nous raconte un plan qu'il a fait il y a quelques mois dans les chiottes d'une aire d'autoroute... Hummm déguster une bonne teub bien crémeuse avec les effluves de pisse tout autour, c'est clair que tu as dû grave kiffer mon pote ! Merci à toi de nous faire partager ce méga plan cul et à très bientôt j'espère pour de nouvelles aventures bien daubantes ! Et vous les mecs si vous avez kiffé son récit, n'oubliez pas de lui laisser un p'tit comm pour lui dire ;-)

Salut à tous les keums à la bite daubante. Je m'appelle Romain et j'ai 25 ans. Comme tous les keums qui lisent ce blog, j'ai un kif total pour les odeurs de sgeg et tout ce qui va souvent avec (skets, ieps, slob et bien sur la bonne pisse), le tout en réciproque et selon le keum. Je porte des slobs blancs sans poche pendant 4 à 5 jours. J'égoutte jamais ma teub et décalotte que quand jme branle ou à l'occasion du nettoyage. J'adore la sturb et j'aime juter dans mon slob. Je suis presque tout le temps en survet adidas ou en jean et en skets NB bien daubantes. Je finis mes études à Paris mais j'habite en réalité dans un p'tit bled entre Nîmes et Montpellier. Je prends souvent l'autoroute pour aller voir mes potes sur Montpellier ou Nîmes. Sur les aires de repos entre Nîmes et Montpellier, c'est sont souvent très cho. Comme partout, on trouve de tout et c'est ça qui est super excitant : "la surprise" ! Dès que je peux, je traîne sur les aires d'autoroute. C'est super sympa parce qu'en plus des odeurs du mec avec qui on fait le plan, y'a aussi le parfum d'ambiance des chiottes : la pisse. Moi j'y vais pour le tout : la surprise et les odeurs de jaune. Mais surtout parce que je sais qu'en semaine on y trouve facilement son bonheur en fin de journée. C'est fou le nombre de mecs qui s'arrêtent sur une aire de repos le soir en sortant du boulot.

Le plan que je vais vous raconter s'est passé cet automne pendant les vacances de la Toussaint. En vacances avant une série d'exams, j'avais envie de me détendre un peu pendant mes révisions. Un bon snif de pacson, y'a rien de mieux pour se détendre. J'ai donc eu envie de renifler de la queue. Quel meilleur moment qu'après 18 h ? Toutes ces queues restées au chaud à transpirer dans leur slob toute la journée (ou plus) dans l'humidité des dernières gouttes de pisse lachées par une queue rentrée trop vite dans le slob...
Il m'en fallait une de toute urgence. Je me suis pointé à 18 h sur l'aire d'autouroute (l'accès est sur un trajet gratuit, ce qui garantit la fréquentation). Fin de journée, j'arrive sur le parking de l'aire de repos : 3 camions et 5 voitures. Trois mecs tournent à pied autour des chiottes, ça tourne et retourne. Rien d'intéressant mais faut savoir attendre. Un peu plus tard, un mec s'arrête dans son Opel Astra et reste dans sa voiture à matter. Il sort de la bagnole et se met sous le lampadaire à côté des chiottes. Il se met à tripoter son portable et matte régulièrement l'entrée des chiottes. Le look est hyper classique, genre "je sors du boulot, j'suis cadre et j'ai besoin de déstresser le bitos". Je suis plutôt fan du look sportif mais son look hétéro genre VRP m'a donné envie de tater de son pacson. En plus, il avait une bonne gueule, super masculin, la trentaine passée et bien foutu.

Le mec me repère aussi. Après plusieurs regards insistants vers lui, je le vois ranger son portable et se diriger vers les chiottes. Sans traîner, je le suis de près histoire de pas me faire piquer mon tour de snif. Y'a de la place que pour deux dans les urinoirs. Il entre et direct première à gauche direction pissotière. Pour bien comprendre la scène, les pissotières sont à gauche de l'entrée et face de l'entrée 2 portes de chiottes turcs. Comme je le suis de très près, immédiatement je me place à sa droite. Ces pissotières sont comme je les aime : une mur de porcelaine sans séparation. On peut rien se cacher et rien ne peut nous gêner. Le plan commence. Classique, on sort notre queue et après quelques secondes, comme aucune pisse ne vient des deux côtés, alors les têtes se tournent pour se mater le calibre. Le mec a une queue comme je les aime : épaisse, avec un gros prépuce qui recouvre tout le gland que je devine bien gros. A ce stade, impossible de deviner s'il a de bonne odeur de queue et du fromton. Il n'a pas encore décalotté et ça embaume trop la pisse des chiottes aux alentours. Comme lui, je tripote ma queue sans décalotter et sors mes couilles par la braguette histoire de faire monter la pression. Des deux côtés ça marche ! On commence à bander. Mon gland commence à sortir naturellement (j'ai un prépuce assez court) mais lui c'est pas le cas. Il bande mais son prépuce reste toujours en place. Il ne cherche pas à décalotter, là je me dis c'est bon signe... il a quelque chose à planquer ! Ni une ni deux, avec ma main gauche j'attrape sa teub pour la toucher et je fourre mon index dans le trou du prépuce histoire de prendre la température de ce gland. Je tente un décalottage pour imprégner la paume de ma main de l'odeur de sa queue mais rapidement il me saisit la main et l'écarte. Soit il ose pas aller plus loin, soit y'a un bonne surprise pour moi sous ce prépuce.
J'insiste pas et réflexe, je me mets à sniffer franchement la paume de ma main. Putain, c'est le paradis !!! Une super odeur de queue me chatouille les naseaux. Le mec me regarde assez intimidé et semble gêné pour son odeur. Il est loin de se douter de la suite. Je kiffe à fond son odeur de bite et me mets à bander hyper dur. Pour lui monter que j'adore, je lèche la paume de ma main, ça le fait sourire et il commence à décalotter à moitié son gland en se tournant légèrement vers moi. Son gland était comme je l'imaginais : des petites traces de fromton bien visibles. Voyant ça, j'fais comme lui et décalotte complètement ma queue pour lui montrer mon gland pas très net. Aucun recul de sa part, il s'astique la queue. Tout est bien lancé, on va bien s'amuser ! Seul problème, les 3 mecs à l'extérieurs sont toujours là et régulièrement mattent à l'intérieur des pissotières. Impossible de se faire un plan snif avec eux autour. Je suis très égoïste, je ne partage jamais les odeurs de queue. Ce fromton est à moi ! Comme j'ai pas envie de speeder, je propose au keum qu'on s'isole dans les chiottes turcs qui sont juste à côté. Il me fait un signe de la tête pour accepter. On remballe vite notre marchandise et je fonce le premier dans un des deux chiottes turcs où je pousse simplement la porte. Il me rejoint quelques secondes plus tard et ferme à clé derrière lui.

Les chiottes sont crades avec une odeur de pisse mais pas trop forte. Elles sont étroites mais suffisamment larges pour qu'on puisse tenir à deux accroupis. Pour bien refaire monter la pression, je commence à lui malaxer son pacson au travers de son futal noir et lui fait pareil à travers mon survet. Très vite, nos queues se remettent à bien gonfler. Il essaye alors de prendre l'initiative pour vite se défroquer et sortir sa queue mais rapidement je bloque son poignet. Je reste le maître. C'est moi qui vais déballer sa marchandise. Je dégraffe sa ceinture et son fute, j'ouvre sa braguette et le futal descend immédiatement sur ses chevilles. Il a les jambes bien poilues comme je kiffe. Il continue à me masser le pacson. Son slob est noir, plutôt taille basse (dommage je préfère les slobs blancs pour les traces de yop et de jaune), y'a quelques taches de mouille ou de pisse sur son slob. Il me baisse mon survet. Mon slob est blanc avec de belles traces de pisse et de foutre. A prirori, ça le dérange pas parce qu'il continue à me malaxer le paquet. Après ces préliminaires, je me fous accroupi le pif sur son slob qui contient sa queue hyper dure qui n'a qu'une envie : sortir. Son slob noir était pas net du tout. J'ai commencé ma séance de snif. Il sentait super bon le mélange de pisse et de transpiration. J'avais ma main droite entre ses cuisses et j'ai pu constater que le keum transpirait vachement. Avec ma main gauche, je continuais à lui malaxer le pacson dans son slob. N'y tenant plus, fallait que je déballe sa marchandise ! J'ai baissé son slob à mi-cuisse. Première découverte : des super traces blanches à l'intérieur du slob. J'y plonge aussitôt mon nez et ma main : pisse, mouille et sûrement foutre. Impossible de me contrôler : j'ai tout sniffé et léché à donf pendant qu'il s'astiquait la queue au-dessus de ma joue. Je suis rapidement remonté vers ses couilles. Il transpirait comme un fou. Tout était bien humide et pour mon plus grand plaisir, ses couilles étaient bien poilues. C'est pas si fréquent les mecs qui ne se rasent pas les couilles ; moi je rase jamais, j'aime trop l'odeur. Y'avait une putain d'odeur de transpiration de couilles géniale entre ses jambes et j'ai continué mon nettoyage en insistant bien sur les burnes. Vu ses soupirs, il aimait bien visiblement ça ! Maintenant que j'avais décrassé les alentours de la queue, je me suis attaqué au principal : son sgeg. Il avait toujours pas décalotté et c'est moi qui allait le faire. Son prépuce dégageait une putain d'odeur de pisse au moins aussi forte que celle des chiottes. J'ai commencé à fourrer mon nez sur le prépuce en continuant à me malaxer le pacson. Puis, avec le bout de ma langue, j'ai commencé à attaquer le gland sans décalotter. Ca n'a pas duré longtemps... N'y tenant plus, j'ai décalotté le gland entièrement. Putain quel kiff !!!
Soit ce mec n'égoutte jamais sa teub, soit il ne s'est pas lavé depuis plusieurs jours. Trop bon ! J'ai collé mes narines dessus et j'ai bien sniffé son bout. Y'avait quelques traces légères de from sur le gland, très peu mais autour du gland, un vrai délice de crème ! Avec un doigt, j'ai récolté un peu de ce from que j'ai mis sur mes narines pour ne pas perdre l'odeur et ensuite j'ai attaqué mon nettoyage du bout de la langue. J'ai terminé mon nettoyage par une bonne pipe, en jouant avec son prépuce, en suçant et aspirant.

Comme il était très excité, je sentais que son jus n'allait pas tarder. J'ai donc tout stoppé et me suis relevé. Il était temps maintenant de voir s'il aimait autant que moi le fromton. J'ai baissé mon survet jusqu'aux chevilles. Toujours aucune réaction de sa part sur l'état de mon slob. Il me malaxait le pacson. On s'est roulé une super pelle, ma gueule devait puer le from. D'un coup de langue, il me nettoie les narines comme pour récupérer ses odeurs, revient vers ma bouche, me roule une pelle et j'en profite pour le pousser vers le bas pour qu'il s'occupe de mon paquet. A priori, c'est pas son habitude de sniffer. Il reste peu de temps sur mon slob et très vite le baisse jusqu'en bas sans sniffer l'intérieur. Il cherche à passer à ma queue mais je remonte l'intérieur de mon slob vers son nez pour qu'il sniffe mes bonnes odeurs. Il ne se débat pas et donne même un bon coup de langue sur le tissu. Je le laisse remonter à ma teub. Je redoute sa réaction quand il décalottera car j'ai toujours beaucoup de from autour du gland. Mais c'est dommage, il la prend intégralement en bouche et la décalotte dans sa bouche et ne prend pas le temps de sniffer. Je le repousse en arrière et lui fous ma teub sous les narines. Il ne dit rien et me branle contre son nez pour rapidement la reprendre en bouche. Je tiens plus. Trop excité, je sens que mon jus va monter. Je le repousse alors en arrière et balance plusieurs jets puissants de foutre contre les murs en céramique. Il se relève, matte ma queue qui dégouline de mon sperme et continue de se branler. Je lui demande de m'envoyer sa purée sur la queue car j'adore que mon pacson baigne dans le jus. Il m'envoie alors tout son jus sur la queue et le gland. Ma queue et mes couilles dégoulinent littéralement de son jus. Il avait une bonne réserve le salaud ! 
Je lui ai attrapé la tête et on s'est roulé de super galoches pendant quelques secondes le temps de débander. J'en ai profité pour lui dire qu'il avait une teub super odorante et que son from était un délice. Il a rougi et souri, puis m'a roulé une galoche. Je lui ai proposé d'échanger nos slobs mais il n'a pas voulu. Comme souvent, les plans autoroute se terminent très vite. On a remballé notre marchandise, moi ma queue pleine de jute en pensant à ma prochaine sturbe avec mon slob bien chargé, pourrave et mouillé par son foutre. On s'est quittés rapidos. Impossible de le brancher pour tenter d'aller plus loin à un aute moment. J'ai jamais su comment il s'appelait, ni ce qu'il faisait dans la vie car il a foncé droit vers sa bagnole. Mon grand regret, c'est de ne pas avoir pu jouer avec notre pisse pendant ce plan, mais le mec me semblait pas assez ouvert donc je n'ai pas osé...

Romain (alias Chosket)
 

Par Chosket - Publié dans : Témoignages
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Mardi 11 novembre 2 11 /11 /Nov 16:04

Visiblement le week-end a effectivement été bien och pour un certain nombre d'entre vous, notamment pour PISSHARD, un queutard bien och de Paname qui, comme son pseudo l'indique, adore se faire arroser à la sépi bien fumante... Son témoignage devrait ravir tous ceux qui m'ont demandé davantage de plans pisse sur le blog. Mais trêve de bavardage, je lui laisse la parole pour qu'il vous raconte sa soirée pisse au bordel vendredi dernier.


Salut mec ! Heureux de te voir à nouveau d’attaque pour reprendre le blog. Comme promis, voici le récit de ma soirée de vendredi. Malheureusement les mecs ne sont pas très chauds pour des pics en bocson, donc je te laisse trouver des pics bien kiffantes pour illustrer l'article. 

Arrivé au bordel, fringué tout en latex, je repère une baignoire libre avec une belle petite couche de pisse au fond, je me
fous dedans et commence à m’imprégner du bon liquide jaune. Aussitôt un mec me repère et s’approche teub à la main, bien gonflée. Il me la fourre direct dans la gorge : elle sentait le mec et la sueur, le lub, il venait certainement de fourrer une autre lope. Et d’un coup, un jet puissant d’urine me frappe le gosier ! J’en avale un peu, forte et dégueu, il sort et m’arrose le torse puis revient dans ma bouche avide de pisse. Ensuite, je me fais copieusement arroser par deux bears qui ont nettement contribué à faire monter le niveau de liquide. Pendant ce temps, je repérais un beau mâle en train de se faire limer la gorge et qui prenait le jus de son compagnon avec force râles de la part des deux mecs. Cette vision m’excitant pas mal, je décidais d’aller plonger ma pine dans cette gorge accueillante et tout en lui pilonnant le gosier, je décidais que plutôt de jouir si tôt, j’allais lui nettoyer la bouche à la pisse, ce qui ne lui a apparemment pas déplu puisqu’il est venu en redemander dans la soirée.

Cette situation m’excitait d’autant plus que je repensais à une autre dans un autre lieu. Je kiffe à fond sur un mec motard, toujours en combinaison et bottes de cross, super bandant, Dès que je le vois, je me fous à genoux et sympa, il vient me défoncer la gorge avec son prince-albert, jusqu'à m’étouffer. Il me fait rentre l’anneau bien à fond pour bien avoir envie de gerber. Parfois, je lui lèche bien les dessous de bras : comme il est en combi et transpire un max, c’est un vrai régal d’odeurs de mec en rut ! 

Mais la dernière fois que l’on jouait ensemble, une super lope trempée de pisse et cagoulée est venue lui gober le zob et l’a pompé jusqu'à ce qu’il lui envoie le jus bien au fond. Comme on se faisait les seins face à face, la lope bien coincée entre nous deux (qui parfois venait me sucer un peu), je l’ai bien vu jouir et prendre son pied tout en lachant son foutre. Et je n’ai alors eu qu’une envie : me servir de cette bouche pour prendre mon pied ! Tout en me branlant le zgeg entre ses dents et mon motard me maltraitant avec bonheur les seins, j’imaginais ma queue dans cette antre pleine de son jus. J’ai joui un max en imaginant nos jus se mêler bien au fond de cette gorge humide et déjà pleine de pisse.

Pour en revenir à la soirée de vendredi dernier, je me suis bien roulé dans la baignoire, trempant ma rondelle à l’air dans mon chaps en latex au fond. Après quoi un mec super sec, petite barbe, m’a attrapé la tête, coincé sa pine bien raide dans la gueule et m’a piné le gosier un bon moment tout en lâchant de longs jets de pisse bien chaude, que j’avalais goulûment. Pendant ce temps, un mec bien sexe, cuir et jean daubant la pisse rance à 5 mètres est venu se frotter à moi et a commencé à me doigter le fion. Ces coups répétés dans le cul et dans la gorge qui finissaient par aller en rythme, ont eu raison de ma résistance et j’ai largué un bon jet de foutre dans la mare où je pataugeais depuis un bon moment.


A la suite de quoi mon mec m’a attrapé, plongé la tête dans la pisse me laissant reprendre mon souffle par moment et il s’est mis à me pilonner le trou, jusqu'à larguer sa jute. Il m’a relevé, quelques pelles bien baveuses à la pisse pour se terminer la soirée, collé sa pine devant le nez et demandé de bien lui nettoyer avant de rentrer se pieuter.

Pisshard

Publié dans : Témoignages
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