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Témoignages

Dimanche 29 juin 7 29 /06 /Juin 19:30

Pas mal cette petite touze entre footeux, non ? Et bien on continue avec un témoignage hyper bandant envoyé par LUCAS, un p'tit mec de 18 ans fidèle du blog qui a récemment sucé sa première queue, et comble de bonheur, une bonne queue odorante !!! Merci à toi pour ce récit qui fout grave la trique, et si vous aussi vous voulez raconter comment s'est passé votre premier décrassage de bite, n'hésitez surtout pas ! Je me répète, mais ce blog est avant tout le vôtre ! Son but essentiel (outre le fait de vous faire larguer un max de jus ! lol) est de vous permettre de pouvoir échanger sur vos trips, vos kiffes, vos fantasmes et/ou vos expériences de baise. Mais trêve de blabla, je laisse la parole à Lucas  dont la carrière de décrasseur, au vu de cette première expérience, s'annonce très prometteuse !

 


Lucas01

Salut, moi c'est Lucas, j'ai 18 ans. Je vais régulièrement sur ton site, j'adore ce que tu fais. Bon voilà, il y a une semaine j'ai sucé mon premier mec et je pense que cette histoire a sa petite place sur ton site...

J'en avais marre de regarder des vidéos et je voulais enfin passer à l'acte. Sur Internet, j'ai trouvé un mec de 26 ans qui voulait se faire sucer par des mecs assez jeunes. En discutant avec lui, j'ai appris qu'il aimait bien courir occasionnellement, qu'il était bien actif et qu'il aimait se faire lécher, sans donner plus de détails. Il m'a dit qu'il aimait bien avoir le dessus sur son partenaire et que son "joujou" faisait 18*5... Je me suis dit parfait ! Etant donné que je ne pouvais pas recevoir, on a décidé de se faire un plan nature dans les bois. Il m'a dit qu'il connaissait un bon coin pas loin de chez moi. Comme c'était ma première fois et que j'avais peur de vomir si je mangeais quelquechose avant, on a décidé de se faire ça au matin vers 11 heures. Il ma dit qu'il ferait son footing et qu'il me rejoindrait à 11 heures devant Carrefour.

L'attente a été interminable ! Le jour J à 11 heures, je suis devant le magasin et je le vois arriver en trottinant. Il avait un short et un t-shirt bleu foncé, ses vêtements étaient larges mais lui allaient bien. Il avait des skets bleues aussi. Seule fausse note : ses chaussettes étaient blanches. Il devait faire au moins 1m90, musclé mais pas trop, juste ce qu'il faut.  Quand il s'est rapproché de moi, il était tout en sueur et il sentait grave la transpi. Il a demandé si j'était prêt, j'ai dit oui. Son odeur m'excitait...

Lucas04 Il m'a demandé de le suivre vers l'endroit qu'il connaissait, et sur le chemin, il m'a dit qu'il était plein de 4 jours, qu'il avait couru 20 km avant de me rejoindre et qu'il était super chaud... Une fois arrivés sur place, il y avait un gros tronc d'arbre coupé assez haut : en s'asseyant dessus, nos pieds ne touchaient plus terre. J'ai compris pourquoi il m'avait emmené là. Il s'est assis dessus, m'a dit de me mettre a genoux pour que je sente sa bite à travers son short. Ça sentait très fort la sueur et un peu l'urine, comme si elle avait pas été lavée depuis la veille.

Je bandais à mort et lui commençait à durcir. J'ai voulu tirer son short mais il m'a repoussé et m'a dit pas tout de suite. Il a enlevé une chaussure, ça sentait super fort ! Le mec puait des pieds... Je m'attendais pas à ça comme plan... Il m'a sorti "Vas-y lèche !", j'ai reculé ma tête. Il a alors enlevé sa deuxième sket et m'a dit d'un ton sec "Je t'ai dit lèche !!!". J'ai donc exécuté son ordre, j'ai senti puis léché ses chaussettes blanches toutes mouillées de sueur. Il m'a fait enlever ses chaussettes et m'a dit "Oublie pas entre les orteils !". Là, je bandais plus du tout... Ça puait à mort ! C'est donc à contre-coeur que j'ai léché ses pieds. J'étais agréablement surpris par le goût. Plus je léchais et plus j'avais envie de lécher. 

 

Lucas03Au bout de 5 minutes, il s'est levé et a collé son short sur ma figure. J'ai sorti sa bite et l'ai sentie. Là, il m'a sorti "Mais vas-y t'inquiète, c'est que du bon à l'intérieur !". Je l'ai donc mise dans ma bouche doucement, en hésitant un peu. Elle n'était pas décalottée mais je sentais cependant un goût de sueur ou je sais pas quoi. J'ai dû faire un peu la grimace. Il l'a alors ressortie, décallotée puis remise dans ma bouche en disant "Comme çà, c'est bon ?". Je me suis mis à aimer quasiment tout de suite, je suçais son gland et un peu le reste sans trop l'enfoncer. D'un coup, il a pris ma tête et a enfoncé sa bite à fond ! J'ai failli vomir. Je lui ai dit "Non mais t'es pas bien !". Il m'a répondu "Tais-toi et suce !" puis l'a remise dans ma bouche. Je luttais pour ne pas vomir... heureusement que je n'avais rien mangé avant.

Il m'a littéralement limé la bouche (je pense que c'est le terme approprié), j'ai vomi un peu de bile et de salive. Il avait l'air super content de lui, donc j'ai laissé faire (et puis de toute façon, j'avais pas vraiment le choix). Au bout de 15 minutes, il a accéléré et éjaculé au fond de ma gorge. Il m'a alors pincé le nez en gardant sa bite dans ma bouche et m'a ordonné de tout avaler, ce que j'ai fait. Il a ensuite sorti sa bite de ma bouche et m'a demandé de la nettoyer. Pendant que je la nettoie avec les larmes aux yeux, il me dit que j'ai bien travaillé et que peu de personnes acceptent de faire çà. Mon cul ouais, j'y ai été obligé !! Bon bref...

  Lucas05

 

Tout en laissant la main sur mon épaule pour que je reste à genoux, il se décale sur le côté et se met à pisser. Une fois fini, il la retourne vers ma bouche et sourit. "Allez, faut bien la nettoyer maintenant !". Je la remets donc dans ma bouche, elle était encore gorgée de pisse mais j'ai adoré ! Au moment où je croyais avoir fini, il a souri et a balancé un jet de pisse dans ma bouche. J'ai avalé sans broncher et il m'a lancé "C'est bien, tu comprends vite !".

 

Il l'a ressortie, m'a dit de rester à genoux et au lieu de le rhabiller, il a entièrement enlevé son short, s'est appuyé le dos sur le tronc d'arbre avec les jambes en l'air et m'a sorti "Maintenant tu peux me décrasser le cul !" Sans même y réfléchir, j'ai donc sans broncher lécher son cul. C'était très agréable mais ça n'a malheureusement pas duré longtemps.


Satisfait, il s'est relevé, s'est rhabillé et m'a dit de m'allonger par terre, qu'il allait me branler. J'ai aussitôt obéi, en faisant bien attention de ne pas m'allonger dans sa pisse ou dans mon vomis. Il m'a effectivement branler, puis il s'est raclé le gorge et a craché dans ma bouche en continuant de m'astiquer la queue.

 

Il m'a fait éjaculer sur un bout de tissu déjà bien utilisé, m'a dit à la prochaine puis est parti sans même attendre que je me sois relevé. J'ai adoré et j'espère vraiment pouvoir le refaire un jour !

Par Teubcrade - Publié dans : Témoignages
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Samedi 25 janvier 6 25 /01 /Jan 18:59

Après cette bonne baise entre sneakers chauds comme la braise, un peu de lecture avec un mail que m'a récemment envoyé ADRIEN, un mec de 34 ans tombé sur le site un peu par hasard et qui visiblement en est devenu carrément accro depuis ! A la lecture de certains des récits sur le blog, il s'est rendu compte que lui aussi était sans doute une vraie lope et qu'il kifferait grave se faire humilier par un ou plusieurs queutards odorants. Il a donc décidé de prendre son clavier pour nous faire partager son fantasme ultime, dans l'espoir de trouver via le blog quelqu'un pour le réaliser... Alors si son trip vous fait kiffer, n'hésitez pas à le contacter et à nous raconter ensuite comment vous avez larvé et humilié ce p'tit batard à la queue ridicule.

Moi c'est Adrien. Jeune mec brun sans histoires, plutôt masculin par mon look et généralement confiant en moi. Je vois pas le monde comme une source de danger. Mais je kiffe les mecs hyper virils, et de mon côté, j'ai une toute petite bite. Mais alors vraiment petite. Genre minable. Quand je bande à fond elle fait 12 cm, tordue vers la gauche, et je décalotte pas complètement. Vraiment, la honte quoi. Et au repos, franchement, c'est une micro-bite : 5 cm à tout casser, long prépuce fripé, petit gland de puceau.

Adrien (1) Adrien (3)

Je m'imagine en train de me promener dans une téci de banlieue, disons plutôt 9-3 que 78... Donc je marche, tranquille. Je viens de sortir d'une soirée chez des amis, à Saint-Denis. J'ai un peu picolé, sans plus. Et là, j'ai juste une giga envie de pisser. C'est l'hiver, et avant de reprendre le métro, je scrute chaque coin de rue où je pourrai vider ma vessie tranquillement. Les deux trucs mêlés, je veux dire l'envie de pisser et le froid de décembre font que ma ptite bite se rétracte encore plus. C'est clair, je sens que mon zizi pointe vers l'avant, sans même couvrir mes couilles. Ptite teub dans son slip. J'avance toujours. Je passe devant une barre d'immeuble. En contrebas, y a une palissade de chantier. Là, j'en peux plus. Plutôt confiant, en me disant qu'il n'y a personne autour, je m'approche du mur fait de planches de bois. Je m'apprête à pisser. Le seul truc que je sens dans l'air du soir, c'est une vague odeur d'herbe. Sur le coup, ça me fait sourire. Bon. Je me débraguette, je baisse mon calebut et j'essaie de prendre ma mini queue entre deux doigts. J'ai du mal à trouver ma quéquette. Je commence à pisser, un petit jet de merde qui atterrit assez bas sur la palissade. Eh ouais. Quand on a une ptite bite, ça va pas bien loin. Et là, j'entends un mec qui se met à gueuler :
− Eh, putain, faut pas te gêner, mec. Tu t'crois autorisé à pisser sur mon mur ?

laskard4.jpgJe me retourne. Dans la pénombre, je vois un jeune laskar entre 18 et 25 ans. Sapé costla. Il s'avance vers moi. Un peu agressif.
Euh ben... Désolé...

Franchement surpris, je continue à pisser, en faisant en sorte que le mec ne voit pas ma teub. Je repense à une phrase de meuf se foutant de la gueule des mecs : décidément, les mecs sont pas doués pour faire deux choses en même temps. En fait, j'espère juste avoir le temps de finir de pisser pour me casser en courant.

Trop tard... Le jeune rebeu a pas lâché l'affaire. Il est à un mètre de moi. Il me mate en train de pissoter. Il a remarqué que mon jet n'était pas super puissant. Il jette sa clope. Il me serre le cou en me disant :

J'crois que tu m'as pas compris. Je fumais trankil mon bédo, avec deux autres potes, de l'autre côté de la palissade. Et on a entendu un keum qui pissait. C'est pas cool du tout.
Moi, j'encaisse le coup. Je ferme ma gueule et j'essaie de me resaper.
Mais le rebeu m'en empêche. Il appelle ses deux potes.
− Julien, Pedro ! Venez-voir le ptit pisseur... 
Là, je commence à flipper.
Les deux autres arrivent. Ils sont trois. Je suis seul. Je sens qu'ils vont me pourrir la vie.
Tant bien que mal, j'ai remis ma petite bite dans mon calebut, mais trop occupé à voir les trois mecs, j'ai pas remonté mon fut.


laskard2Samir, le jeune rebeu, me lance alors :
− Ben vas-y, te gêne pas. Continue de pisser.

− Ben, c'est bon, j'ai fini...
Le plus grand des trois mecs, genre 1m80, barak et bien viril, très brun, assez rigolard, s'approche de moi. Lui, c'est Pedro. Je pense que c'est un bon petit portugais. Dans ma tête, je fantasme sur lui, et la forme possible de sa bite.
− Ouais, mais moi, j'ai très envie que tu nous montres comment on pisse dans la rue...
Là, je suis déjà super mal à l'aise. Ce mec m'a demandé un truc, et j'vais pas y couper.
Ses deux potes, le rebeu et le céfran, se rapprochent de moi. D'instinct, je me retourne à nouveau face à la palissade, pour leur tourner le dos et tenter de pisser.
Mais là, Pedro arrête tout. Il précise tout de suite :
− Non, non. Face à nous !
Là, je suis paralysé. Je me retourne à nouveau vers eux. Je regarde au loin, j'essaie de garder ma contenance. Puis je baisse mon calebut. Là, c'est la honte. Je le sais et ils le savent.
− Putain, mec, c'est avec ça que tu pisses !
Les trois keums se marrent mais c'est Pedro qui a parlé pour eux trois.

Je sais pas où me mettre.
Après quelques sifflets et autres petits rires narquois, Samir, le premier mec à qui j'ai eu affaire, reprend les commandes et propose un truc.

− Ok, mec. Tu te pointes ici. T'as pas le look du quartier. Tu viens pisser devant notre squatt, et t'as un ptit zob de puceau ? Ok. On va bien s'amuser.
 

Le céfran et le rebeu me prennent par les épaules, et m'emmènent de l'autre côté de la palissade. Là, je passe sous des structures en béton d'un immeuble jamais fini. Il fait froid et c'est encore sombre. Plus à l'intérieur, y a comme une sorte de salon pourri, où trônent deux vieux canap, des lampes de récup'. C'est là qu'ils doivent fumer et se taper des branles trankil. Moi, je le suis pas. Mais alors pas du tout.
− On va faire d'une pierre deux coups, mon pote. On va te punir. Et tu vas te racheter. D'abord on va s'occuper de ta ptite bite de merde, et on va te montrer ce que c'est d'être un vrai mec. Un mec qui a le droit de pisser debout dans la rue...


laskard1Depuis le début, le céfran − qui s'appelle Julien − ne dit rien, mais je sais pas si c'est par solidarité avec moi, ou si c'est juste parce que c'est un gros pervers. Samir me force à m'allonger sur le dos. Sur le grand canapé crade de leur squatt. Je m'exécute. Là, l'humiliation commence. C'est Samir qui commence. Il me fout deux claques pour bien me soumettre et me faire comprendre que je suis coincé là. Il approche sa main de mon fut et commence à le baisser. Première réaction, lorsqu'il voit mon calebut :
− Oh putain les mecs, y a vraiment pas grand chose là-dedans...

En fait, pour tout dire, je porte pas un calebut − pour moi c'est juste le nom global des sous-vêtements. Ce que je porte ce soir-là, c'est un boxer. Putain de mauvais choix. Un boxer bleu clair, qui me moule bien, et qui épouse les formes de mes couilles et de mon mini-zizi. Ça donne quoi ? Une petite boule informe avec un mini relief qui correspond à ma quéquette.
 

Les trois mecs sont au-dessus de moi.
Pedro pousse Samir et lui dit :
− Allez, vas-y j'en peux plus, désape-le !
Samir me baisse le caleçon d'un coup. C'est la honte totale. Là les mecs voient un zizi de 4 cm, tout rétracté, tremblant, et humide de ma pisse. Et quand je dis 4 cm, c'est deux centimètres de prépuce au bout.
− Ptite bite, va. T'as pas honte ? C'est quoi cette quéquette ?

laskard3Samir me pince le prépuce et se retourne vers ses potes en disant :

− Vous vous rendez compte les gars, si ce keum était circoncis, ça lui ferait un zob de 2 cm !!!!
Ils se marrent et se réjouissent à l'idée de ce qu'ils vont pouvoir inventer...
Là, pour la première fois, Julien s'approche de moi et me mollarde à la gueule :
− Tu fais honte aux statistiques des céfrans !
Et pour appuyer son discours, il se met d'instinct à se désaper. Il ouvre son jean et sors un gros chibre veineux, bien large, bien dodu.
− Tu vois, j'suis pas circoncis, mais regarde ce que ça peut donner une vraie bite...
Moi, humilié, tremblotant, je fixe sa teub et j'évalue à 12 cm sa longueur au repos. Soit la même longueur que mon zizi quand je bande un max. La sienne se termine par un prépuce généreux comme une grosse trompe d'éléphant.

Ses deux potes, à leur tour, me montrent ce que c'est qu'une vraie bite de mec. Samir sort une bite très large, au gland court et rose foncé, mais hyper large, qui vient couronner son zeub comme une grosse coupole de chair. Et Pedro sort une bite de 14 cm, au repos, pas circoncis, et avec un prépuce qui se referme à peine sur sa saucisse.

Là, je me dis que c'est fini. Leur programme punitif est terminé... Ils ont vu ma mini-bite, et ils m'ont affiché leur teub bien grosse et bien virile. Mais c'était sans compter la dernière idée de Pedro.
− Ok, mon pote. Maintenant on va te crèmer !

Adrien (2)Sur le coup, je vois pas ce qu'ils veulent dire. Je suis inquiet, et ma quéquette doit faire moins de 3 cm, prépuce compris. Pedro s'approche. Il me tend sa grosse-grosse bite devant moi. Avec ses doigts bien larges, il s'approche de ma toute petite quéquette. Il prend les replis de peau ridicules de mon zizi. Il déplie cette dentelle de chair rose digne d'un puceau. Et il me décalotte... Là, les trois mecs atteignent un point jamais imaginé d'humiliation : mon gland de bébé apparaît au grand jour.
Un demi-centimètre de gland rose pâle, trempé de pisse et d'excitation. Ils éclatent de rire. Mon cerveau bugg complètement : c'est à la fois l'humiliation totale et la plus grande jouissance. Mais ça n'est pas encore terminé.
..

Pedro ramène ses gros doigts vers sa propre bite. En l'effleurant à peine, il se décalotte. Et là, c'est un monde que je n'avais jamais imaginé qui s'ouvre sous mes yeux. Un gros gland rouge foncé, comme le drapeau portugais, sort d'un coup, avec des gros morceaux blancs dessus.
− Tu sais ce que c'est ? C'est mon fromage "maison". Mon fromage de grosse bite.

Une odeur hyper dense de chiottes et de vinaigre sort de sa grosse bite. Cette odeur m'ensorcèle.
− Et tu sais ce que je vais faire ? Je vais te napper ta ptite quéquette de merde avec. Tu sais que tu pourrais me lécher ? Mais c'est pas ce qu'il te faut du tout... On va aromatiser ton zizi de puceau.

fromton42.jpg Pedro ramasse avec ses doigts plusieurs couches de fromage de teub. Blanc clair et jaune foncé. Je deviens fou. J'essaie de  deviner le nombre de jours qui ont dû aboutir à ce fromage de mec. 4 jours ? 8 jours ? Deux semaines ? Et là, c'est le sommet. Le jeune portugais a collecté bien un ou deux centimètres cubes de fromage-crado. Il me fait un grand sourire. Puis recouvre ma mini-queue de tout son fromton jaunâtre. Je sens, sur ma ptite bite, s'accumuler une crème épaisse puante. La sensation est délicieuse. Puis il me recalotte, d'un coup.

− Garde tout ça longtemps sur ta ptite queue. Peut-être que ça la fera grandir...

Ils éclatent de rire et moi j'éjacule de bonheur !

Adrien


P.S. : pour tous les gars qui voudraient vraiment me transférer leur fromage sur mon zizi de puceau, n'hésitez pas à me contacter (adrianobertano@yahoo.fr)

Par Adrien - Publié dans : Témoignages
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Samedi 25 janvier 6 25 /01 /Jan 17:30

Salut les queutards !

 

Et non, je ne vous ai pas oublié... Comme je vous le disais dans mes derniers articles, pas toujours évident de concilier vie personnelle, boulot et administration régulière du blog. Mais rassurez-vous, je respecterai mes engagements concernant les mises à jour, et pour répondre aux nombreux commentaires laissés sous les derniers articles, vous aurez donc droit ce week-end à 5 nouveaux articles, histoire de vous faire cracher un max de foutre bien épais !

 

pissejusetfromJ'en profite également, puisqu'il est encore temps, pour vous souhaiter à tous une excellente année 2014... la santé (c'est évidemment), le fric (tant qu'à faire), l'amour (pour ceux qui y croient encore) et bien sûr un max de sexe avec des mecs accros aux odeurs de mâle, bons baiseurs et fiers de leur bitos crémeux ou de leurs aisselles pourraves ! Tout est d'ailleurs résumé dans la photo ci-contre. C'est vraiment la queue dont on rêve tous : du from, du jus bien épais et de la pisse bien fumante !!! J'en connais plus d'un qui rêverait de s'en occuper, pas vrai ? ;-)

J'espère par ailleurs que cette année 2014 me permettra d'être un peu plus régulier dans la publication des articles (c'est la période des bonnes résolutions, non ? lol) et que vous serez nombreux à participer vous aussi à la vie de ce site en envoyant vos commentaires, photos, témoignages, fantasmes... bref tout ce que vous avez envie de partager entre sniffeurs !

Je sais que j'ai un peu tendance à me répéter (l'âge sans doute !) mais ce blog est le vôtre et il est donc avant tout ce que vous en faîtes... En tout cas, je tenais vraiment à remercier tous ceux qui laissent régulièrement des commentaires  sous les articles ou qui m'envoient des mails de soutien. Sans eux, c'est clair que j'aurais jeté l'éponge depuis longtemps. Il serait trop long de tous les citer mais je tiens à remercier tout particulièrement mes potes Tonio, Jared, Hairylegs94, Cradyon, Angy, Meulby et Coïncidence qui m'envoient régulièrement de quoi vous faire larguer des litres de foutre ! Je leur souhaite donc le meilleur pour 2014, et j'espère qu'ils continueront encore longtemps à nous faire triper un max avec leurs récits de baise.

mosaique.jpg

Par Teubcrade - Publié dans : Témoignages
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Lundi 16 décembre 1 16 /12 /Déc 21:20

Et pour terminer cette série de mises à jour, voici comme promis un 5ème article avec de la bite bien daubante ! Un plan décrassage bien chaud que vient tout juste de m'envoyer mon pote HAIRYLEGS94, fidèle de la première heure de ce blog et dont vous avez été nombreux à apprécier la vidéo de cartonnage de jockstrap en juiller dernier.Cette fois-ci, ce p'tit veinard a réussi à se faire décrasser son chibre bien pourrave par un jeune intérimaire dans les vestiaires de son taf... Et pour illustrer l'article, quelques pics de ses plans sniffage et une vidéo où il se fait décrasser le chibre par un pote. Encore une semaine avant Noël, mais vous êtes déjà gâtés les mecs ! ;-)

 

Hairylegs (5)En arrivant au taff, alors que je me changeais dans les vestiaires, un poil s'est coincé dans mon prépuce. Je sors alors ma bite et décalotte pour l'enlever, re-calotte et range le tout.

Un collègue rentre alors (un beau jeune, brun et musclé sec) et commence à se changer derrière moi. Il renifle un petit temps et dit :

− Humm ça sent bizarre ici, je connais cette odeur. 

Il se tourne alors vers moi et me sors :

− C'est toi ?

Je ne répond pas. Il insiste, et avant qu'il ait le temps de réagir, je lui attrape la tête et le colle direct à mon paquet, lui aussi bien chargé.
Il se dégage.

− Humm, je savais que ça sentait la bite de mâle.
Je lui écrase illico la gueule sur ma queue en lui lançant :

− Ta gueule et sniffe !

Puis je l'emmène dans les douches, ferme la porte, le plaque à genoux contre le mur, lui sort ma teub et la lui met sous le nez. Putain c'est vrai qu'elle daube grave !!!

Il sniffe à fond, en poussant des petits cris de bonne lope.

− Passe ta langue autour sale pute, récure-moi le zob !

Il le fait et s'applique, il me regarde dans les yeux en le faisant, visiblement ravi de me décrasser le bitos.
Hairylegs (4)Avec les doigts, je lui ouvre à fond la bouche et y rentre ma bite jusqu'à l'en étouffer. Je lui baise littéralement la gueule, et je kiffe grave voir la bave couler le long de sa bouche et de son menton.

Cette pute commence à sortir son zboub et à se sturber. Je lui colle une claque direct et lui ordonne de ranger : il est là juste pour me décrasser et me vider les burnes, pas pour prendre son pied !
Il me sniffe de partout : la toison, les boules, sous les boules...
Hairylegs (1) Au bout d'un moment, je suis tellement excité que je le mets debout, tire sur son boxer et jute à l'intérieur en lui disant :

− Comme ça, tu auras une bonne odeur de mâle sur toi toute la journée, et tu pourras bien sniffer ptite pute !

Hairylegs (3)Suis deg de pas l'avoir recroisé dans la journée, mais j'espère qu'il reviendra bientôt faire de nouvelles vacations à mon taff...

 


Je vous rappelle la nouvelle règle de mise à jour du blog :
10 commentaires = 1 nouvel article, 20 commentaires = 2 articles...

Alors à vous de jouer les mecs ! ;-)
Par Hairylegs94 - Publié dans : Témoignages
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Lundi 16 décembre 1 16 /12 /Déc 16:40

Pas mal ces deux p'tits sneakers en rut, non ? Place maintenant aux amateurs de pisse et de trips uro avec un témoignage de mon pote CRADYON, dont vous avez déjà pu lire à plusieurs reprises les histoires hyper bandantes sur le blog (Vive la canicule ! et Larvé par le coach dans les vestiaires). Mais cette fois-ci, il s'agit d'un plan réel réalisé début novembre avec son mec à l'occasion d'une soirée naturiste entre potes. Je sais pas vous mais moi des apéros comme çà où les mecs sont tous à oilpé et où la pisse coule à flots, j'en voudrais bien toutes les semaines ! Une idée à creuser pour vos futurs réveillons ! ;-)
Je laisse sans plus attendre la parole à mon pote Phil, en le remerciant encore pour sa fidélité au blog (pour info, les photos viennent bien évidemment du net car sinon il leur aurait fallu un appareil étanche !).

poilu

 

 Salut, moi c’est Phil et je vis en couple avec Denis. On se connaît depuis un peu plus de 2 ans et on se fait parfois des plans avec d’autres mecs.

 

Début novembre, on avait invité deux potes à nous, Aurélien et Willy, pour une soirée naturiste chez nous : un apéro dînatoire à poil. On avait déjà fait ce genre de soirée avec Aurélien, mais pas avec Willy qui a tout de suite été partant pour cette nouvelle expérience.

 

Aurélien arrive en premier, on discute un moment puis il se fout à poil, enfile un tablier et nous aide à préparer les amuse-gueule, on est tous les trois à poil. Willy arrive quant à lui à l’heure de l’apéro, je lui ouvre la porte à poil et lui aussi se déshabille rapidement : 4 mecs à poil, entre 36 et 49 ans, dont trois bien poilus.


L’apéro se passe cool, on picole, on grignote sans faire attention à notre nudité. Je profite d’un prétexte bidon pour attirer Aurélien dans notre chambre : je lui avais demandé de pas se laver le gland pendant le week-end prolongé et je veux voir le résultat. Je le décalotte doucement et découvre son gland humide, mais pas de from. Je colle mon nez dessus : quasiment pas d’odeur. Je suis un peu déçu... On revient au salon.

cradyon (4)Aurélien nous fait une démonstration de ses gadgets : cockring, masturbateur et autres babioles. Je vais chercher ma tenue : collier de chien, harnais et cockring en cuir. L’alcool aidant, on commence à se palucher tous les 4 puis chacun pompe une bite saisie au hasard...


Aurélien et Denis connaissent mes penchants pour les plans uro, qu’on a déjà pratiqués tous les trois mais Willy l’ignore alors je les préviens tous qu’en cas d’envie de pisser, ma bouche est à leur service. Mais malheureusement personne n’a envie à ce moment-là. Les pompeurs s’occupent si bien de ma queue que je suis à deux doigts de jouir, mais j’arrive à garder le contrôle... Après cette première séance de pompage, on reprend le fil de l’apéro : le champagne fini, on attaque le mojito et on sort d’autres amuse-gueule à grignoter.

cradyon (1)

cradyon (2)Plus tard dans la soirée, nouvelle partie de pompage : Denis s’occupe d’Aurélien mais après un moment celui-ci lance qu’il a du mal à bander parce qu’il a envie de pisser... Ni une ni deux, on se retrouve tous les 4 dans la salle de bain, je m’assois dans la baignoire, Aurélien debout face à moi. J’ouvre la bouche, je guette son jet avec impatience... et soudain, ma récompense ! Sa pisse est bien forte, elle est abondante. J’en bois une bonne partie et j’en laisse couler sur moi. Denis s’approche et m’envoie son jet dans la tronche, il fait ça par petites giclées, un coup dans la bouche, un coup sur le torse, un coup sur le visage… Quel pied !!! Deux pisseurs pour moi ! Hélas, Willy n’a pas envie… pour le moment.


Denis et Willy sortent de la salle de bain pour aller dans la chambre et nous laissent, Aurélien et moi, dans la baignoire. Je suis toujours à genoux devant Aurélien et le pompe bien à fond en le doigtant comme il aime, lui massant la prostate. Je le pompe goulûment jusqu’à le faire gicler dans ma bouche. Je garde son jus dans ma bouche, me relève et on se roule une pelle d’enfer avec son sperme qui coule sur son menton.
Quel pied !! Je m’astique le manche et finis par envoyer mon foutre dans la baignoire.


Un coup de rinçage et on rejoint Denis et Willy dans la chambre. Denis est en train de défoncer le cul de Willy qui prend son pied. Aurélien et moi, on commence à faire des papouilles à Willy qui est très sensible des tétons. On apprécie son poil soyeux et doux. Après avoir joui dans la capote, Denis s’occupe de pomper Willy bien à fond et celui-ci ne tarde pas à envoyer de puissantes giclées de foutre un peu partout. Aurélien et moi, on lèche ce qu’on peut récupérer sur le corps de Willy. On a joui à nouveau tous les 4...

cradyon (6) Après s’être remis de ses émotions, Willy me lâche qu’il a envie de pisser : hop, un crochet par la salle de bain ! Je m’assois dans la baignoire, lui est debout devant moi, j’ai son sexe au niveau des yeux. Cette situation inhabituelle semble le mettre mal à l’aise, ça a du mal à sortir mais je suis patient... Je ne dis rien... Je ne le touche pas… ça dure quelques minutes et sa pisse finit enfin par couler !

cradyon (3) Je dirige aussitôt le jet vers ma bouche pour en boire un maximum. Sa pisse est la plus forte des trois mais ça ne me dérange pas, je bois tout ce que je peux, jusqu’à la dernière goutte. On se rince et on sort de la salle de bain. On rejoint les autres dans le salon. Peu après, nos invités se rhabillent et prennent congé en disant qu’il faudra remettre ça. C’est vrai que ça a vraiment été une soirée mémorable : j’ai bu la pisse de tous les participants, je suis vraiment une bonne pissotière !

Par Cradyon - Publié dans : Témoignages
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Samedi 2 novembre 6 02 /11 /Nov 15:40

Salut les queutards ! Tout d'abord, un grand merci à tous les mecs qui ont pris le temps de laisser un commentaire sous les derniers articles suite à mon petit coup de gueule (et à tous ceux qui s'apprêtent à le faire). C'est vraiment motivant de constater que vous êtes nombreux à kiffer ce blog et à attendre impatiemment les mises à jour ! Donc pour vous remercier comme il se doit d'avoir rempli cette "règle" des 10 commentaires pour un nouvel article, je vous propose aujourd'hui un article qui vous fera larguer à coup sûr un max de foutre, foi de Teubcrade ! C'est le témoignage d'un de mes potes de longue date, TONIO, bon lascard bi, macho, viril et toujours prêt à gazer une salope avec ses odeurs de mâle... et aussi bien les meufs que les mecs ! Suite à l'article sur les nanas et les odeurs de mecs, mon pote m'a d'ailleurs confirmé que pas mal de meufs kiffaient s'occuper d'un bon bitos odorant, voire même fromageux, sans pour autant oser l'avouer... Et je peux vous dire que Tonio ne s'est d'ailleurs pas privé de se faire lustrer le chibre par de bonnes chiennasses en manque de vrais mâles domi macho.

Tonio (0)Son témoignage hyper bandant raconte d'ailleurs en détails son décrassage par une beurette bien nympho qui le chauffait un max depuis un bon bout de temps... Et visiblement, quand il a enfin réussi à la pécho, cette salope n'a pas eu chagrin de sa course ! Mais comme vous le verrez, tout bon domi macho qu'il est, mon pote Tonio ne rechigne pas non plus à faire la tépu quand un pote hétéro lui déballe son bitos bien fumant sous le pif ! C'est fou ce que l'odeur de bite a tendance à transformer les plus gros domis en décrasseurs hyper salopes ! lol

Allez trêve de blabla, je vous laisse découvrir le témoignage et les pics de mon pote... Il m'a dit qu'il avait grave hâte de lire vos commentaires alors je compte sur vous pour faire péter les compteurs les mecs !!! Et un conseil, sortez vos queues tout de suite si vous ne voulez pas courir le risque de tout larguer dans votre froc en lisant l'article ! ;-)

Tonio (1)Salut poto ! Comme promis, voilà un de mes plans que je souhaite te faire partager à toi et à nos frangins lecteurs du blog ! C'était en mai dernier, environ un mois avant mon départ du 93 pour rentrer en Normandie, dans ma région natale. À l'époque où j'avais emménagé dans mon immeuble en 2010, j'avais fait la rencontre de mon voisin de palier Steven, que j'avais trouvé attirant avec son visage de taulard et son regard perçant.
Bien qu'il était un peu enrobé, il était beau mec. Moi j'étais en couple avec mon mec. Très vite on est devenus amis avec lui et sa femme. On se faisait des soirées dvd entre voisins, des barbecues, etc... Steven était devenu un vrai pote avec qui je bougeais et passais du temps au grand dam de mon mec bien sûr... La belle-s
œur de Steven était logé chez lui avec son mec Walid... sauf que celle-ci très attirante et sexy me faisait constamment du rentre- dedans dès que son mec Walid n'était pas là ! Pendant plus d'un an, j'ai résisté aux avances de la belle-sœur de Steven, voulant rester fidèle à mon mec.

 

Tonio (5)On faisait souvent des soirées où l'on restait dormir les uns chez les autres et j'avais remarqué depuis le début que Steven n'avait pas l'air d'être très fan de douche. J'avais même soupçonné des odeurs douteuses plusieurs fois quand on était en voiture ensemble... Arriva le jour où je me suis séparé de mon mec. Steven et sa femme avaient déménagés dans une ville limitrophe à la mienne, et Sonia aussi s'était séparée de Walid !

J'avoue que bien des fois je me suis paluché en m'imaginant loper Sonia comme une vrai chienne, la souiller comme j'aime le faire quand je sors avec une meuf ! Et oui, je suis bi ! ;-)

Mon fantasme devint enfin réalité le weekend du 14 juillet 2011 ! Steven m'avait invité à venir taper le week-end chez lui, ce qu'on avait l'habitude de faire en bons amis ! On avait convenu qu'avant d'arriver chez lui, je devais récupérer Sonia, sa belle-sœur à son taf. Inutile de vous dire que cette idée me chauffait bien : elle était célib et moi aussi donc le terrain était libre ! Et ça faisait plus d'une pige qu'elle voulait mon bitos de céfran cette magnifique beurette et qu'elle ne s'en cachait d'ailleurs pas, donc j'étais remonté comme un vrai porc en rut ! C'était le moment ! Je ne m'étais pas douché et avais enfilé mes airmax cuir ce qui me chauffait encore plus, surtout qu'en plein mois de juillet la chaleur et le soleil étaient au rdv !!!
Tonio (13)Sonia monta dans ma caisse, se brûlant legèrement les cuisses sur le siège en cuir de ma caisse et on fila vers Sarcelles chez Steven. Il ne fallut pas plus de trois minutes dans la voiture pour que tous deux cochons que nous étions, la conversation tourne déjà sur le sexe !
Alors Sonia, ça fait un moment qu'on se tourne autour toi et moi et que je ne cède pas !
Oui, c'est vrai Tonio, je te trouve super attirant, je me souviens encore le jour où t'as emménagé, on se chamaillait ma sœur et moi pour être la première à te croiser. On te trouvait super beau, et tu m'attires toujours ! Et tu sais Tonio, je suis une meuf qui assume ses désirs !
Ha ouais Sonia ??! (rires) J'ai bien remarqué ça, t'inquiète ! Et dis-moi alors, tu kiffes quoi sexuellement ?
Honnêtement Tonio, j'adore qu'on me domine bien ! Mais les mecs n'osent pas trop en général...
Bah tu veux que je t'avoue un truc Sonia ? Moi, c'est l'inverse... je kiffe trop dominer les meufs, truc de ouf !!!
Autant vous dire que j'avais mon paquet qui allait exploser dans mon jean !

T'es sérieux Tonio ?! Et bien je crois qu'on va bien s'entendre alors !
Oui, là c'est clair Sonia ! Si t'aimes te prendre des baffes, te faire insulter et humilier, on va grave s'entendre, j'te l'assure ma belle !

Tonio (12)On arriva chez Steven et la soirée se passa tranquillement, malgré que Sonia et moi n'arrêtions pas de nous jeter des regards qui en disaient long ! Sachant ce qu'elle aimait, je n'arrêtais pas de lui lancer des regards vicieux pour bien lui faire comprendre que sa chatte allait bientôt m'appartenir et je voyais bien qu'elle aimait ça ! J'avais trop hâte qu'on aille tous se coucher pour enfin me faire décrasser ma bite enfermée pendant toute cette chaude journée dans mon jean et lui labourer sa chatte humide de tous mes doigts et de mon bitos ! Sauf que coup de théatre, Sonia alla se coucher dans la chambre de sa petite-nièce, seule !!!  Rien ne se passa ! Et hors de question d'éveiller les soupçons chez Steven et sa femme !


Le lendemain matin, on se leva tous. J'avais dormi tout habillé et je prétextai à Steven que je devais allez vite fait chez moi prendre une douche, n'ayant pas de quoi me changer. Sonia comprit de suite le message et devant Steven elle me dit :
Attends-moi, je me prépare et je viens avec toi, j'ai besoin d'acheter des cigarettes !
Elle sortit de la salle de bain plus sexy que jamais avec son jean moulant et ses talons hauts qui lui faisaient une silhouette d'enfer ! J'étais fier !
Tonio (11)Ni une ni deux, une fois arrivés chez moi, on se sauta l'un sur l'autre ! J'étais crade de la veille, pas lavé, pas changé, et au bout de 30 secondes de galochage, je l'attrappe par la nuque et la fais descendre jusqu'au niveau de ma bite sale. Il ne fallut pas plus de temps pour qu'elle se mette à me nettoyer le chibre bien comme il faut !


Mon rêve, mes branles secrètes, mon fantasme devenaient realité : Sonia était en train de me décrasser la bite et elle aimait ça, en bonne femme soumise et cochonne qu'elle était !!!

Tonio (16)S'ensuit une bonne série de pilonnage de sa gueule et sa chatte, en passant par les insultes et les gifles ! Je lui pilonnais sa chatte alors qu'elle portait encore son petit string blanc en coton qui allait vite devenir jaune de mouille et de jus...
On prit ensuite notre douche ensemble, où je lui offris ses premiers jets de pisse sur sa gueule, avant de retourner ensuite chez Steven.
Ça y est, elle était à moi !

Sonia, tu sais que tu es ma pute maintenant, hein ? Ta chatte est à moi et je compte bien l'utiliser à ma guise ! lui dis-je dans la voiture au retour.

Tonio (14)Elle abdiqua d'un sourire. Arrivée au pied de l'immeuble de Steven, on attendait l'ascenseur avec plusieurs personnes. Moi encore bien remonté, pour montrer à Sonia mon titre de propriété, j'en profitai pour me coller à elle et doucement je passai ma main par le derrière de son entrejambe afin de titiller cette chatte qui était désormais mienne, par dessus son jean et son string. Elle me suppliait d'arrêter en chuchotant, mais son liquide séminal coulait à travers son jean ! Elle était trempée, elle dégoulinait. Arrivés devant la porte de Steven, je lui fis sucer mes doigts plein de sa mouille super odorante avant d'entrer chez lui comme si de rien n'était.

 

La nuit qui suivit, je la baisai encore plus violemment que le matin (dans le lit de Steven cette fois-ci, ainsi que le surlendemain à nouveau chez moi). Autant vous dire que la capote n'était pas au rdv... C'était ma seule et unique fois sans capote, on se connaissait bien donc la confiance était là, on pouvait tout se permettre !

Tonio (15)

On s'est revus par la suite un dimanche après-midi où elle était passé me voir à ma demande, mais elle n'était pas chaude. Je ne lui laissa toutefois pas le choix de bouffer mon bitos une dernière fois ! Après ce jour, nous reprîmes chacun notre vie respective en restant bon amis. Nous avions chacun réalisé nos fantasmes respectifs. La vie continua et mon pote Steven se sépara de sa femme quelques mois plus tard.

 

C'est là qu'intervient la seconde partie de l'histoire les amis ! ;-)
Steven et moi sommes restés potes malgré nos déboires de couple respectifs et nous somme toujours amis aujourd'hui. Mais c'est en mai 2013 que notre amitié devient plus intime ! Il savait que j'étais bi et il l'acceptait bien, je le taquinais régulièrement sur le sexe (il avait du mal à trouver des meufs pour se soulager). Je lui avais déjà proposé mes services en plaisantant, bien que de mon côté un peu pervers il y avait de la vérité. Et j'avais toujours ce doute qui me rongeait concernant l'hygiène intime de mon pote...

Tonio (9b)Un soir de mai dernier donc, on se parle sur Facebook comme souvent, lui hébergé chez sa sœur et moi seul chez moi. Ce soir-là, je ne sais pas ce qui lui a pris mais je n'ai pas eu besoin de sortir mes vieilles plaisanteries de branleur à deux balles. Il a été cash !
Salut Tonio, bien ou bien poto ?
Hey tranquille, et toi Steven ?
La loose, y'a rien à faire et surtout rien à graille (graille = pecho sexuellement parlant). Vas-y, on va au BdB ? (Bois de Boulogne)
Steven, je t'ai dit l'autre soir que je kiffe pas le BdB et comme je t'ai déjà dit, va pas te payer une pute alors que t'as ton pote qui peut te rendre service gratos...
Ouais, c'est clair Tonio... En plus, à ce qu'il parait, les mecs sucent mieux que les meufs !
Je confirme Steven !
Bon alors on fait quoi Tonio, je viens chez toi ?
Ok Steven, tu veux qu'on essaie ?

Bah en fait je sais pas trop... Bon je viens, on se matte le film "Les Cailleras" et on laisse les choses se faire naturellement.

Ok Steven, à tout de suite. Je t'attends.
Et là ça y est, j'étais certain que j'allais enfin goûter à la pine de céfran de mon pote !

Steven arriva quelques minutes plus tard. Comme d'habitude, il paraissait détendu comme si la conversation qu'on venait d'avoir sur Facebook n'avait jamais eu lieu. Il était naturel, comme chaque fois qu'on se tapait des soirées poto entre "hétéros"... D'ailleurs, ça faisait un moment qu'on ne s'était pas retrouvés que tous les deux car habituellement lors de nos soirées, il y avait toujours un pote à nous, Hakim, hétéro et pas au courant pour moi. Lui, c'est un vrai queutard, toujours à essayer de ramener des meufs quand on est ensemble ce Hakim...

Bref, on se posa Steven et moi devant le film "Les Cailleras" récemment sorti, tout en buvant du coca. En fait, j'y suis allé progressivement. Au bout de dix minutes de film, j'ai éteint la lumière du salon pour qu'il soit plus à l'aise. On a continué à matter un peu le film tous les deux, assis l'un à côté de l'autre dans le canapé. Au bout d'un moment, j'ai pris mon courage à deux mains et lui ai sorti doucement :
− Alors Steven, t'es chaud ?
Putain grave Tonio !

Aussitôt, je posai donc ma main entre ses cuisses et commençai à le caresser doucement.
Je retirai sa ceinture et enlevai les boutons de son jean. Je mis ma main dans son calbut et commencai à presser sa bite entre mes doigts en la caressant doucement et en titillant son très long prépuce du bout de mon pouce... Lui se laissait faire  Je sortis ensuite sa queue, en baissant doucement la tête vers son prépuce. Et là, une odeur âcre m'arriva en plein dans la face ! Putain, je le savais ! Mon pote est un vrai porc !!! Un bon Français négligé comme je kiffe !
Tonio (3)Direct, je pris son chibre en bouche pour le sucer et c'est là que j'ai senti des morceaux durs sur ma langue et mes lèvres ! Putain le salaud avait la bite pleine de fromton ! Je sentai le goût du from sur ma langue et remplir ma bouche, et je l'entendais gémir de plaisir. Quand d'un coup il me lance :
Viens, on va dans ton lit !

Il bandait comme un porc en rut ! Arrivés sur le lit, on se déshabilla entièrement et il me dit qu'il aimerait goûter à ma bite. Il veut tester. On se met donc en 69. On s'était mis sur le côté, lui légèrement par dessus moi. Il se mit à me sucer langoureusement, je fis de même quand tout à coup en continuant à me sucer, il commenca à me pilonner la gueule. Du coup, j'avais ma tête coincée entre ses larges cuisses, le pif collé à son trou ! Putain le salopard daubait un max du fion !!! Une odeur aigre et acide que je ne pouvais faire autrement que de respirer : à chaque coup de boutoir qu'il me foutait dans ma gorge, mon pif se collait à sa raie poisseuse ! C'était immonde, mais venant de lui ça devenait un délice. Ensuite, il m'a proposé de me sodomiser. Moi étant habituellement actif, j'ai hésité une seconde puis j'ai finalement accepté de lui offrir mon cul.
Tonio (2)Et du coup, il ne m'a pas baisé mais il m'a fait l'amour comme personne ne me l'avait fait auparavant, sans aucune douleur. Steven m'a dévergé avec délicatesse et désir. Il me désirait. Mon pote hétéro me désirait comme moi je le désirais ! J'hallucinais, incapable de bander tellement je voulais savourer ce moment intense. Je ne savais plus quoi ressentir, quoi penser. Mon pote et moi faisions l'amour et non la baise ! Il a joui dans la capote, en moi, avant de se retirer de mon cul, la capote remplie de jus mais aussi recouverte de ma merde... Il m'avait bien ramoné le trou ce salaud ! Nous nous somme ensuite rhabillés sans prendre de douche (ce qui confirme que c'est un vrai porcos mon pote) et on termina la soirée tranquille, avant de s'endormir ensemble dans mon pieu.

J'avais peur de sa réaction à froid mais à ma grande surprise, que ce soit juste après notre baise ou le lendemain, il resta naturel, égal à lui-même, sans aucune gêne. J'étais rassuré, notre amitié ne volerait pas en éclat pour du cul ! Par la suite, je lui ai quand même demandé s'il regrettait et il m'a dit que non mais qu'on ne le referait plus car il kiffe trop les meufs... Ce sont ses mots... Moi, maintenant, je sais qu'il kiffe mon cul et ma bouche aussi ! On s'est dit que ce sera notre secret à nous. Depuis, je le revois de temps en temps mais toujours en compagnie de notre pote Hakim. Ils sont même venus me rendre visite en Normandie.

Alors, est-ce qu'un jour je regoûterai de son from à mon pote Steven ? Moi je l'espère, qui sait, un jour peut-être ! Ce jour-là, vous inquiétez pas les frangins porcos, je vous en ferai part ! ;-)
Tonio (7)Vous voyez, je ne vous avais pas menti... Trop kiffant ton récit mon pote !!! Putain vivement que je vienne te rendre visite en Normandie ! Si vous voulez encore un max d'articles aussi trippants que celui-ci, vous savez ce qu'il vous reste à faire ! Vous essuyez le foutre que vous venez de larguer sur le clavier et vous laissez un p'tit comm avec vos impressions ou vos remarques sous l'article...

Je vous rappelle la nouvelle règle de mise à jour du blog :
10 commentaires = 1 nouvel article, 20 commentaires = 2 articles...
Alors à vous de jouer les mecs ! ;-)

Par Tonio - Publié dans : Témoignages
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Mercredi 30 octobre 3 30 /10 /Oct 18:00

Salut les queutards !

Et ouais, une fois de plus je me suis fait un peu désirer ! Pas toujours facile de concilier le taf, la vie perso et la gestion régulière d'un blog... Je profite donc de quelques jours de congé pour mettre en ligne quelques nouveaux articles, histoire de vous faire cracher un max de foutre ! Pour commencer, je vous propose le récit d'un plan bien och de mon pote HAIRYLEGS94, dont vous avez été nombreux à savourer la vidéo de yopage de jockstrap il y a quelques semaines... Il nous fait aujourd'hui profiter d'une baise bien fumante avec son ex, un pur lascard fier de ses odeurs et sa teub ! J'en connais plus d'un qui kifferait se retrouver à genoux en mode lopsa devant un tel queutard, pas vrai les mecs ? :-)
Une histoire certes assez courte (illustrée de quelques pics du net), mais terriblement efficace... Alors sortez vos teubs et nonne sturbe à tous !

 

laskar (3)Cette histoire remonte à deux ans. J’étais alors en couple avec un mec en mode lascard même à son taf, brun, yeux bleus, poilu. A chaque fois qu’on sortait, j’avais envie de baiser direct tellement il m’excitait. Un mec en survet costla avec de bonnes odeurs, ça me fait toujours triquer. Un jour, bien cho au réveil, je le sextote, et lui dis que ce soir il doit être en total lascard costla, mais porter le plus odorant qu’il a. Il me répond qu'il est ok et que moi je devrai porter mon jock cartonné (4 ans que je le yoppe sans le laver !).

 
Je débarque chez lui après le taf, sur tout le chemin je bandais dur. Il ouvre la porte. Humm, il me dit de me mettre direct en jocks. On s’embrasse puis je me fous à 4 pattes, je lui lèche ses TN noir, j’en enlève une dont je sniff illico l’intérieu. C'était ses plus crades, dosée au jus et à la pisse, ses TN et cho7 pour lope comme il disait ! Il les dose régulièrement et fait toujours son jogging avec, l’odeur est forte et enivrante. Je lui suce les orteils à travers ses cho7 crades, couvertes de vieilles taches de sperme et d'auréoles de pisse. Le goût m’envahit la bouche, je lui tête les ieps comme une vraie tépu. Pendant ce temps, il passe un doigt le long de ma raie poilue et moite, puis le porte à son nez pour le sniffer longuement avant de recommencer. Excité par la scène, je me doigte et cambre bien mon boule pour le chauffer un max.


Je suis toujours à ses ieps, m’occupant méticuleusement de ses pieds, je veux faire durer le plaisir. Puis je me mets à genoux et sniffe son pacson.

 

Wooow je vous dis pas l’odeur de son froc ! Il  a de bonnes traces blanches séchées, et aussi une putain d'odeur de pisse. Je le sniffe à fond et le lèche comme une vraie chienne. Je passe et repasse ma langue sur les taches, me caressant le zboub à travers mon jockstrap. Je lui baisse ensuite le pantalon, et là direct il me chope par la nuque et me colle la gueule sur son boxer. Malheureusement peu d’odeurs : c'était son boxer du jour, juste quelques petites auréoles de pisse. Vu qu'il ne sert à rien, je le vire. Sa teub bien bandée me fait face, j’approche le nez et hume. Humm bonne odeur de mâle, un peu de from sur le bord du prep et sur le gland. Je décalotte doucement, le fumet qui s’en dégage me rend dingue. Je me gaze à fond avec son glandos puis je passe la langue autour pour récolter son from : goût pas trop fort, bien kiffant, mais vite consommé hélas... 3-4 coups de langue y'en a déjà plus !
laskar (1)Il s’assoit alors et s’ouvre une bière pendant que je m’occupe de son zob. Je prends une TN et ses cho7 pourraves pour sniffer en même temps que je pompe, le kiff total !!! Puis il me retourne, mon cul lui fait face, boule bien cambré, la tête au sol dans ses skets, cho7 et ieps, pendant qu’il me doigte le fion et me le travaille longuement. Et oui, Monsieur est TBM ! 1… 2… 3 doigts y passent, presque 5 doigts ! Moi je suis toujours au paradis des kiffeurs avec ses odeurs. Je bouge mon cul pendant qu’il me travaille. Il kiffe ça et me claque les fesses vigoureusement avant de me lancer qu’il a envie de pisser. Je me lève aussitôt et me dirige dans la salle de bain.

Où tu vas mec ? J’ai la flemme de bouger là, à genoux et ouvre ta gueule !
Je reviens donc vers lui, me positionne sous sa queue et il commence à me pisser dans la bouche. Autant vous dire que j’ai intérêt à rien laisser tomber ! Je le prends en entier, ça coule au fond de ma gorge et j’avale sa pisse jusqu'à la dernière goutte, hummmm !

suce08.jpg Il me pousse alors en arrière, crache sur son zeb, je me cambre bien, sur le sol, je sniffe ses cho7 et TN, bien mieux que du poppers. Il présente son gland, le fait glisser sur ma raie pour étaler son mollard, et crache à nouveau sur ma chatte poilue. Il rentre direct dans mon trou ! Putain je le sens passer ! Il ne bouge pas, m’attrape le jock et les hanches et d’un coup me rentre ses 18 cm bien larges. Je sers les dents avec unr cho7 en bouche pour étouffer mes cris. Il se calme deux secondes mais reprend aussitôt le pilonnage intensif de mon boule. Il sait que je n’aime pas les « marteaux-piqueurs » mais je l’ai tellement excité qu’il veut absolument se vider en me bourrinant le fion. Il ne s’arrête pas de baiser.

laskar (4) Par moment, il sort sa pine et admire mon trou élargi. Quand je me fais baiser comme çà, moi ce que je kiffe c’est de toucher la bite qui rentre et sort de mon cul, d’y mettre un doigt. Il se retire alors sans prévenir, m’attrape les cheveux et crache un max de foutre épais sur mon visage, qu'il lèche ensuite à grands coups de langue pour récolter son jus et me le donner en bouche.

Par Hairylegs94 - Publié dans : Témoignages
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Jeudi 29 août 4 29 /08 /Août 18:40

Après ce lopage à distance, un autre petit plan sympa laissé sur le blog par PTIT0M, qui lui aussi a visiblement bien kiffé cet été ! C'est rapide, mais super bandant et efficace !!! Grave kiffant de tomber sur un black sportif, domi, macho et fier de ses odeurs de queutard ! A mon avis, t'as pas fini de t'éclater avec lui mec !! J'espère que tu continueras à nous raconter ton futur dressage ;-) Je vous laisse découvrir le récit super bandant de Ptitom, agrémenté de quelques photos prises sur le net pour l'illustrer... Bonne sturbe à tous !


black 00

Le plan a été prévu en 5 minutes : on se trouve en bas de chez moi, on descend direct dans ma cave et il me lope sans limite. Seule condition : on met la capote.


Il est 11h50, il arrive.

David est canon : black, 1m70, il rentre du sport, en short skets débardeur, lunettes de soleil et clope au bec. Il finit tranquillement de fumer et me suit dans l'ascenceur. Pas un mot. Une fois en bas, il perd pas de temps : une grosse pelle bien baveuse pour me dire bonjour, et un mollard pour me faire comprendre que je suis sa pute.

Interdition de toucher son paquet, de lécher ou quoi que se soit : il enlève une de ses skets, une TN bleu pas très neuve.

− Me suis pas lavé pour toi, alors dépêche de venir me nettoyer les pieds !

Ni une ni deux, je m'exécute et porte son pied à ma bouche.

Il sentait bon le mec chaud, et la sueur d'un mec qui aime qu'on remarque ses odeurs. C'était moite et bien puant, idéal pour m'imbiber le visage de son odeur en peu de temps. Quelques mollards aidant, je me suis vite retrouvé le visage trempé et ma barbe de trois jours complètement crade. J'avais l'impression d'être une chaussette dans laquelle il allait se vider.


Il parlait peu mais chaque mot résonnait comme une excitation supplémentaire.

Après avoir passé en revue ce premier pied aux odeurs de bon sportif en rut, pas le temps pour le second, monsieur avait envie de sortir sa pine.

− Tiens Tom, regarde cette queue pour toi ! Ferme ta gueule et regarde avec le nez !
black 01 Je le regarde sans trop y comprendre quand soudain l'odeur m'arrive aux narines... Un fumet âcre et viril. Il sourit et semble kiffer me faire subir ces odeurs qui dépassent largement le simple délire un peu macho. Il décalotte devant ma figure totalement à sa merci et observe mes réactions face à un gland baveux et apparement en l'état depuis sa dernière branle.

− Qu'est-ce que t'attends ? Tu nettoies ou tu veux que je te montre comment ça marche ?

Suite à mon manque de réaction, David décalotte complètement et s'essuie littéralement la bite sur mon visage. J'ai l'impression de n'être qu'un morceau de sopalin, mais l'excitation monte alors que je sens les odeurs envahir mon nez. Il se place devant ma bouche et force l'entrée. Sans me préparer au calibre surdimensionné de sa grosse bite de blackos, il lime ma bouche. Mes petits soupirs et mes cris ne l'arrêtent pas et ont au contraire tendance à l'encourager à me baiser la bouche davantage. Je me retrouve écrasé contre le mur avec sa bite qui entre et sort violemment, laissant échapper des traînées de bave visqueuse de ma gorge profondemment pénétrée.
black 02 − Sale pute, tu croyais que je venais me faire pomper comme ça ? Je suis venu pour te donner un premier extrait de ce que ta vie va devenir... Tu vas être une pute pour moi, tu comprends ?

black 04Je ne pouvais rien dire, la gorge totalement occupée par l'énorme bite de ce mec que je connaissais à peine.

− Tu écoutes tout ce que je dis, tu obéis et tout ira bien !

Il me fout par terre et me baise la bouche. Je l'entends soupirer.

− Je vais t'asperger la gueule et je te préviens, t'as intérêt de garder mon jus toute la journée sur la face, sinon tu vas morfler.
Il se relève et m'ouvre la bouche, le regard plein de vice, il pousse un bon cri de mâle en giclant sur mon visage son jus bien épais et gluant. Après l'avoir bien étalé sur tout mon visage, il se relève et me demande d'en faire autant. Retour à l'ascenseur avec ce jus sur le visage.

− C'est bien pute, continue comme ça et on sera très bons amis... RDV très bientôt... J'ai besoin de ma toilette quand je sors du sport.

La porte de l'ascenseur s'ouvre, il sort et me laisse avec son foutre sur la gueule. Retour chez moi, pour une giclée rapide sur la gueule, histoire que mon yop goûte le sien...

Par Ptitom - Publié dans : Témoignages
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Jeudi 29 août 4 29 /08 /Août 17:30

Salut les queutards ! J'espère que vous avez passé d'excellentes vacances et profité un max du soleil et de la chaleur de ces deux derniers mois pour vous en mettre plein les narines ! ;-) D'ailleurs n'hésitez pas à m'envoyer les récits, photos et/ou vidéos de vos plans de l'été pour que je les publie sur le blog ! J'ai encore quelques articles en attente mais j'avoue que je manque cruellement de nouvelles contributions en cette rentrée. A bon entendeur :-)

 

Pour commencer, je vous propose un p'tit plan original et sympa réalisé par COÏNCIDENCE, un des fidèles du blog, qui après avoir lopé un agent immobilier et un coiffeur, nous fait aujourd'hui partager un défi lancé à un de ses potes au taf... Hummm apparemment il en veut ce p'tit batard, vivement que tu nous racontes un bon lopage odorant avec lui mec ! En tout cas, merci pour ce témoignage et ces quelques photos bien bandantes... Et si vous aussi vous avez envie de lancer des défis de ce genre à vos potes, n'hésitez pas et n'oubliez pas de venir tout nous raconter après sur ce blog...

 

Il y a quelques temps, je discutais avec un pote sur Skype qui me disait qu’il était en manque de from et de sniffage de bons boxers daubants car son mec ne tripe pas du tout sur ce trip (il ne sait pas ce qu’il loupe ! lol).  Sachant mon pote assez joueur (c’est lui qui m’a fait découvrir cet excellent blog qu'est Teubcrade) et qu’il peut être assez salope, mon esprit pervers ne fit qu’un tour et je lui ai proposé un défi. Devant aller régulièrement dans les locaux où il taf, je lui propose de lui crader un boxer que je porterais plusieurs jours et que je lui laisserais dans les chiottes de son taf pour qu’il puisse s’amuser avec. Bien sûr, en bonne lope qu’il est, il accepte sans hésiter.


Comme je devais me rendre à son taf une dizaine de jours plus tard, j'ai décidé dès le lendemain de garder mon boxer jusqu’au jour J. Donc 10 jours à le porter, à transpirer dedans, me branler et juter dedans. Je vous raconte même l’odeur quand je me réveillais avec le matin, j’avais le barreau direct et ne pensais qu'à baiser toute la journée.

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Arrive le jour J... Je lui envoie un sms pour lui dire à quelle heure il trouvera sa surprise (bien sûr je jute une dernière fois dedans juste avant de partir). Je le mets dans un petit sachet en lui laissant également un petit mot car je voulais voir s’il était une vraie salope prête au défi...

Concidence (11)

 

« Salope, tu vas aller dans les chiottes pour sniffer ce boxer foutré et commencer à te branler. Puis tu vas aller à ton bureau et te branler bien à fond dans le boxer en pensant à ma teub dans tes trous de chienne. Etale bien ta mouille dessus et caresse-toi le torse et la gueule avec. Jute sur le boxer. Prends des photos de ta queue de lope dans mon boxer, montre-moi la chienne que tu es qui peut pas s’empêcher de se branler au taf avec le boxer d’un autre. Je récupérai le boxer dans une heure au même endroit dans les chiottes. »


Je suis donc allé aux chiottes de son taf, j’ai déposé le paquet comme prévu. Une heure après je l’ai récupéré bien humide...

 

 

Et le soir, j’avais les photos par mail et mon pote m’a demandé si je pouvais en faire un article pour Teubcrade. C’est chose faite. Bon matage à tous et bonne branle !

 

 

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Par Coïncidence - Publié dans : Témoignages
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Samedi 3 août 6 03 /08 /Août 01:00

Il semblerait que la dernière histoire de larvage dans les vestiaires laissée sur le blog par mon pote CRADYON ne vous ait pas laissés indifférents, loin de là ! Je ne résiste donc pas à la tentation de vous faire partager une autre témoignage traduit de l'anglais par lui pour votre plus grand plaisir... C'est de loin la meilleure description d'un décrassage de bite fromageuse que j'aie jamais lu ! Preuve qu'outre-Manche aussi les p'tits hétéros machos kiffent se faire récurer leur zob bien daubant par leur pote pédé ! Et vous verrez que même si l'Angleterre n'est pas spécialement connu comme un grand pays producteur de fromages, certains mecs n'hésitent pas à nous faire concurrence ;-)
Allez trêve de bavardage, je sens que vous avez déjà la queue raide alors sortez vos teubs les mecs, c'est parti pour un pur témoignage qui vous fera cracher à coup sûr !

 

A 21 ans, j'ai vécu avec 5 autres gars dans une maison à Waterloo, où nous allions tous à l’Université. Je les connaissais tous depuis quelques années, avant de décider de déménager du campus et de partager une maison. J'avais tout le sous-sol pour moi en chambre à coucher, il y avait une chambre au premier étage, trois autres au second et un grenier pour finir. Ian était dans le grenier.

C'était l'été. Le grenier était chaud et humide, presque trop chaud. Je me demandais comment Ian pouvait le supporter car c'était sa chambre et il dormait là, la plupart des nuits. J'avais déménagé un lit grande taille dans le sous-sol la semaine précédente et poussé l'ancien lit jumeau contre le mur opposé. La journée avait été chaude et nous avions tous senti la chaleur : une bande de gars dans leur job d'été, en sueur, musqués et détendus. Rien que des mecs, la plupart d'entre nous portions des shorts.
canicule 01La peau de ces hommes était brillante et parfois ruisselante de sueur. Nous n’avions aucun climatiseur. Le salon sentit bientôt comme un vestiaire. Certains d'entre eux, un par un, se levèrent pour aller prendre un bain. La seule baignoire était au deuxième étage et il n'y avait pas de douche. Ian n’était pas parmi les gars qui se nettoyaient. Neil s’était effectivement éloigné de lui sur le canapé après avoir commenté l’odeur corporelle de Ian.

canicule 03 Nous étions tous à fumer des 420, boire des bières et je pense que Ian avait même un peu de drogue. À environ une heure, nous nous sommes tous couchés. Je suis allé à la cave fraîche et Ian est allé au grenier. Environ une demi-heure plus tard, la maison était silencieuse. J'étais à l'aise dans mon nouveau lit, dans la fraîcheur du sous-sol et je somnolais. Puis j'ai entendu des pas dans l'escalier, sur le sol de l'étage principal, puis descendre les escaliers jusqu'au sous-sol. J'ai allumé ma lumière et Ian se tenait devant ma porte, seulement vêtu de son caleçon blanc totalement moite. Sa peau était de nouveau brillante de sueur et son calbut en coton collait à ses cuisses épaisses et musclées. Ses couilles sortaient sur un côté et son impressionnante bite non circoncise sur l'autre. Sa braguette était ouverte et je pouvais voir la touffe luxuriante juste au-dessus de sa queue.

-- Mec, je supporte plus chaleur là-haut. Je crève. Je peux squatter ici ?
-- Bien sûr. Je sais pas comment tu endures cet été.
Je pensais que Ian aurait jeté les vêtements qui étaient sur mon vieux lit jumeau au sol et se serait couché là, mais il traversa la pièce et s’écroula sur l'autre côté de mon nouveau lit. Il leva les bras au-dessus de sa tête sur l'oreiller et je pus immédiatement le sentir. C’était une puanteur intense. Il passait son été à repeindre des maisons et il portait toujours la même combinaison, alors, qu’il se baigne tous les jours ou pas, tous les jours après le travail, il puait. C'est pas comme si je vérifiais si les gars se lavaient ou pas, mais je profitais des odeurs virils quand ils ne le faisaient pas. Je me doutais bien que Ian est l'un de ces gars qui ne prennent pas vraiment un bain tous les jours. Peut-être juste laver son visage et ses aisselles avec un gant de toilette le matin. Pas de méprise, il aurait bien pu se laver pour un rendez-vous en fin de semaine, mais c'était jeudi soir.

-- Merci mec. J’arriverai pas à survivre là-haut ce soir
-- Pas de problème, ai-je dit, me retournant pour le regarder, mon nez si près de ce paradis poilu puant.

canicule 05 Ian était un mec qui travaillait dur et s’endormit assez rapidement. Il était allongé sur le dos avec les bras au-dessus de la tête et les jambes écartés prenant plus que sa part du lit. Nous étions tous les deux sur les draps. Même si le sous-sol était plus frais que partout ailleurs dans la maison, il faisait encore trop chaud pour être couverts. Lorsque sa respiration se ralentit et devint plus régulière, je me suis rapproché. Ma bite était raide comme un roc et passait au-dessus de la ceinture de mon caleçon. J'ai approché mon visage des aisselles de Ian et je pris une profonde bouffée.
canicule 04 Son odeur corporelle était forte et épaisse dans mes narines. J'ai collé ma langue pour goûter sa sueur salée et j'ai doucement sucé les poils que je trouvais ici. J’ai dû chatouiller Ian parce qu'il se tortillait un peu et je me suis arrêté un instant. J'ai éloigné ma tête de son aisselle mais mon visage était encore humide de sa sueur et je pouvais le sentir encore. Il se remit en place. J'ai regardé son short. Sa bite se trouvait de mon côté. Il aurait pu ne rien porter du tout parce que son boxer était complètement trempé et transparent. Je pouvais voir le bout de son gland dont je savais qu’il était recouvert d’un prépuce épais. Je m’appuyai sur un coude et avec ma main libre, je traçai d’un doigt la longueur de sa virilité de la racine aux lèvres boudeuses de son prépuce. Je portai ce doigt à mon nez pour sniffer, pas beaucoup d’odeur.

 

canicule 04b Je vérifiai qu'il était bien endormi avant de glisser ma main dans la braguette ouverte de son boxer et lentement, avec précaution, extraire sa bite humide. Je la laissais étendue dans la chaleur et la regardais attentivement. J'étais heureux de ne pas avoir enlevé ma lampe de chevet après que Ian soit venu dans mon lit. Elle ne donnait pas beaucoup de lumière mais ça suffisait pour voir que son pénis était sombre et son prépuce long. J'ai caressé légèrement les bords de son prépuce. J'ai léché mon doigt et recommencé. La bite de Ian a commencé à réagir. Ian a recommencé à se tortiller le haut du corps et j'ai retiré ma main et jeté ma tête en arrière où j'étais prisonnier de son odeur rance d’aisselle.

Au bout d’un moment, je me suis déplacé vers le bas du lit pour que mon visage soit à quelques centimètres de sa bite. Maintenant je pouvais la sentir. C’était différent de l’odeur de mes jocks en sueur. Ma sueur de bite et de couilles était musquée. La sueur de bite de Ian était carrément piquante, presque une odeur aigre. Sentir le prépuce non lavé en sueur de Ian me faisait mouiller du gland. J'ai tendu une main et saisi la peau avec mon pouce et l'index pour la tirer vers le bas de sa tige.


J'avais juste commencé à faire ça lorsque Ian leva soudain la tête en haletant et souleva ses bras de l'oreiller.
-- Putain ! Putain mec, qu’est-ce que tu fais ? Dégage de ma bite putain !
-- Désolé, ai-je murmuré avant de me redresser et de me rallonger sur l’oreiller, regardant le plafond, incapable de regarder Ian.
-- Qu’est-ce que tu faisais, putain ? dit-il à voix basse tout en me regardant.
Il s’était détendu mais n’avait pas remis sa bite dans son boxer. Ses mains ne protégeaient pas sa queue. Elle était toujours exposée.

-- Pourquoi tu touchais ma bite, mec ? Eh, regarde-moi quand je te parle !
J'ai tourné ma tête pour regarder Ian. Son visage n'était pas en colère. Il était perplexe. Comme s’il ne pouvait pas comprendre ce qui était arrivé. Je pouvais aussi voir du coin de l’œil que son pénis gonflait.
-- Je... euh... tout simplement j’ai jamais touché un mec avec un prépuce avant, ai-je répondu faiblement.

-- Tu joues avec les bites des mecs ? C’est ce que tu me dis ?
-- Eh bien, ok, oui, c’est ce que je fais.
-- T’aimes les tenir ? Ou les caresser en cercle ? Ou quoi ?
-- Tenir, presser. Parfois caresser, mais juste en duo, pas comme un tas de gars.
-- T’as aussi sucé un mec à fond, hein ? Dis-moi la vérité.

 Puis, quand il s'est tourné pour me regarder et qu'il a senti l'odeur émanant de ses aisselles, je crois qu'il a lancé un truc du genre : "Putain, je pue vraiment là !".

-- Ouais, ai-je répondu timidement.
-- Ouais quoi ? Ouais tu suces la queue ou ouais je pue ?

 Je pouvais voir que la bite de Ian était entièrement dressée maintenant. Le bout de sa bite était à environ deux centimètres de ses abdos durs, comme si elle était en lévitation dans l'air. Je me tournai et regardai droit sur sa bite.
-- Les deux. Oui tu sens comme un homme pas lavé et oui j'ai déjà sucé de la bite.

 
canicule 18 Ian prit une profonde inspiration. Ses pectoraux se sont élargis et ses abdos se sont levés et sont retombés et il laissa échapper un long soupir.
-- Alors t’es un pédé ! Je suis au lit avec un pédé et tu as touché ma bite pendant que je dormais !
-- Ouais, je pense que oui...
-- Regarde ce que t’as fait, mec. Elle est toute raide. Et mes couilles sont pleines aussi. J’ai pas vu ma meuf depuis deux semaines. Regarde. C’est ce que tu as fait. T’aimes ça ?
Il a pressé ses fesses et les a fait tressauter. Le prépuce recouvrait encore complètement son gland mais un peu de jus coulait à l'extrémité de sa peau.

-- Putain, mec. Ouais j'aime çà !.
-- Touche-la encore !
Et j'ai tendu ma main aplatie pour la poser sur le dessus de son engin.
-- Non, sens-la ! dit-il avec plus d’empressement.

J'ai alors fermé mon poing autour de sa bite raidie. Elle était dure comme de la pierre et elle tressaillait dans ma main. Il prit une profonde inspiration et soupira...
-- Je pue, mec. J'ai travaillé toute la journée avec cette chaleur atroce et j'ai pas pris un bain depuis des jours. J'aime ma propre odeur quand j'ai travaillé mais là, c'est assez extrême. Tu disais que t’avais jamais touché le prépuce d'un mec avant. Tu sais ce qui se passe quand on ne le lave pas ?
-- Je sais qu’il y a un truc qui apparait, mais je sais pas...

-- Descends ton visage vers ma bite ! dit-il avec autorité, ne me laissant pas d'autre choix que d'obéir.
-- Maintenant tire mon prépuce vers le bas, doucement, lentement...

canicule 11Putain, je pensais qu'il reprenait le plan là où je l’avais laissé. Je me suis vraiment rapproché de sa bite et puis j’ai commencé à tirer la peau en arrière. La première chose à se produire lorsque la peau a été bien dégagée fut qu'une grande quantité de liquide séminal clair a coulé sur ses abdos et est restée suspendue à sa bite comme un épais sirop. J'ai continué à tirer vers le bas et j’ai vu le gland pourpre tout brillant avec son jus et puis il est allé du violet à blanc à environ un tiers de la hauteur du gland.

-- T’as vu ça ? C'est le fromton. Du fromage de bite. C'est ce qui arrive quand je la lave pas tout le temps. J’en ai tous les jours mais j’ai la flemme. C’est la production de 5 jours. Elle pue, hein ?
fromextra1.jpg J'ai pris une grosse bouffée. Ça sentait l’odeur de bite la plus intense que j'ai jamais sentie. J'ai pris une autre grosse sniffée de la bite de Ian et j’ai continué à retrousser sa peau. Au sommet du gland, la peau se dégagea subitement et là, juste face à moi, il y avait une énorme accumulation de gros morceaux de from accompagné d’une substance crémeuse, et tout ça sentait extrêmement fort la bite crade.

 J'ai approché la bite de Ian de mon nez et j’ai frotté de son from sur le bout de mon nez.
-- Putain, mec. C’est pas dégoûtant ? Je veux dire, t’es pas écœuré ?
-- Non Ian, ai-je dit avant de me retourner pour regarder son visage
-- Je dois dire que j'aime l'odeur de ta bite crade. Je peux la sentir et je peux sentir l’odeur de tes couilles dans ce vieux jockstrap et... eh bien, j'aime beaucoup.
 
-- T’aimes mes couilles ? Sniffe-les alors !

Sur ce, il a levé ses jambes et a enlevé son boxer une fois pour toutes avant de se rallonger, complètement nu. J'ai aussi chopé une bonne odeur de pieds quand ils ont volé près de mon nez. Incroyable. Ma bite me faisait mal tellement je bandais. J'ai jeté un dernier regard à son beau visage puis j’ai plongé mon visage dans son entrejambe poilue, odorante. Le paradis !!! Le paradis de la puanteur masculine ! Mieux que n'importe quel jockstrap en sueur que j'aie jamais reniflé secrètement dans un vestiaire. Mieux que n'importe quel sous-vêtement crade de mec avec lequel j’ai pu me branler quand personne n'était à la maison. J'ai léché et sucé ses couilles poilues alors qu'il gémissait un peu et murmurait des choses comme "putain de malade" et "sale pédé".

canicule 06 Sa respiration devenait irrégulière et plus rapide. J'ai léché sa peau jusqu’à ses pieds et reniflé l'odeur complètement dingue de ses pompes et l'odeur aigre de ses chaussettes et léché le fromage entre ses orteils rances et sucé sur les orteils (ce qui le faisait sursauter). Il s'assit alors. Je me suis donc assis moi aussi. Sa bite se tenait droit vers le haut et le prépuce recouvrait le gland à nouveau.
-- Si t’aimes mes pieds, mon pote, tu vas adorer le goût de ma bite au from. Suce-moi à fond !

Il a saisi ma tête d'une main et m'a forcé à descendre vers sa bite. Je l'ai arrêté avant qu'il force ma bouche.
-- Laisse-moi faire à ma façon, mec. Je veux te tailler la meilleure pipe que t’aie jamais eue !

 
Ian se détendit, s’allongea et je suis allé m’occuper de lui. J'ai tiré le prépuce vers le bas lentement à nouveau, complètement cette fois et mes narines se remplirent de cette odeur de saleté caractéristique. J'ai léché l'extrémité de la queue de Ian où le liquide séminal suintait et savouré le goût sucré et l'odeur aigre de sa bite. J'ai tendu ma langue et j’ai commencé à récolter l'amas de fromton sous la crête du gland et je l'ai amené dans ma bouche et mâché. Je pouvais sentir les secousses de la bite de Ian dans ma main, chaque fois que je léchais son pieu fromageux.

canicule 17 Je laissais ma langue envelopper doucement et tourbillonner sur son gland couvert de blanc pendant qu'il se raidissait et gémissait et que la croûte blanche devenait crémeuse avec ma salive. J'ai frotté sa grosse queue sur ma lèvre supérieure pour pouvoir sentir tout le fromton que j'avais laissé là. Puis j'ai pincé mes lèvres et les ai tartinées de son liquide séminal jusqu'à ce qu'elles soient couvertes de liquide visqueux et glissant, puis j’ai glissé sa bite entre mes lèvres glissantes, plus profond et plus profond. Le goût épais de son from de bite emplissait ma bouche. Il se tortillait d'un côté à l'autre et poussait ma tête de plus en plus bas, jusqu'à ce que je puisse goûter son from dans ma gorge, épais et corsé, avec mon nez enfoncé dans sa toison pubienne piquante de sueur. Il a commencé à grogner et à m'appeler "suceur de bite", " sale porc" et "Pédépédépédépédépédé".


Quand il a joui dans ma bouche, c'était comme si c’était solide. Coup après coup, du jus avec la consistance de la gomme. Mais pas le goût de la gomme. C'était incroyable de déguster ça, peut-être parce qu'il n'avait pas éjaculé depuis si longtemps, peut-être parce qu'il était mélangé à de la saleté qui s'accrochait encore à sa bite, c'était doux et épicé, salé et âcre. Et il y en avait tant. J'ai continué à sucer et ça continuait à sortir et à gicler à l'arrière de ma bouche et à descendre vers ma langue et mes lèvres et j'ai avalé et avalé et avalé.

canicule 14J'avais fini d’avaler, mais je gardais sa bite dans ma bouche tandis qu'elle ramollissait, léchant doucement, suçant doucement, sentant encore plus les couilles de Ian. Je ne voulais pas que ça s'arrête. Il a mis ses mains sur ma tête et m’a dit d'un ton sec :
-- Enlève-toi de ma bite !
Je me suis étendu à côté de lui à nouveau avec son odeur d’aisselle dans mon nez à nouveau et je l’ai regardé. Il m’a regardé droit dans les yeux et m'a alors lancé :
-- C’était un putain de plan, sale baiseur ! Putain, va te laver le visage mec ! Je peux sentir la puanteur de ma bite crade sur ton visage.
Mais cette fois, je n’obéis pas. Je me suis retourné et j’ai gardé son odeur là où je pourrais l’apprécier toute la nuit. Plusieurs fois, je me suis réveillé dans la nuit pour trouver mon visage enfoui dans son aisselle impressionnante encore une fois, ou sentir sa bite dure, pressée contre mon dos ou frottant contre mes fesses. Ian était un baiseur tellement excité.

D’autres rendez-vous après cela ? A chaque vague de chaleur au cours de cet été...

Par Cradyon - Publié dans : Témoignages
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